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Un tireur tue deux écoliers et en blesse 14 autres dans une église à Minneapolis

Un tireur a ouvert le feu mercredi dans une église de Minneapolis attenante à une école catholique, dans le nord des Etats-Unis, tuant deux enfants et en blessant 14 autres parmi les élèves rassemblés pour la messe.Le suspect de 23 ans a agi seul, a précisé Brian O’Hara, le chef de la police de Minneapolis. …

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Argentine : des projectiles lancés en direction du président Milei exfiltré et indemne

Le président argentin Javier Milei a été mercredi la cible de projectiles divers, pierres ou bouteilles, lancés par des manifestants mécontents d’une supposée affaire de corruption touchant son entourage, a constaté l’AFP.M. Milei, qui circulait à bord d’un véhicule de la présidence dans la périphérie de Buenos Aires pour promouvoir son parti en vue des élections législatives d’octobre, a été exfiltré par ses services de sécurité et est indemne, selon le porte-parole présidentiel.”Ils ont attaqué à coups de pierres le cortège dans lequel se trouvait le président de la Nation. Il n’y a pas eu de blessés”, a écrit sur X Manuel Adorni.Dans le même message, il a tenu pour responsables les partisans de l’ex-présidente de centre gauche Cristina Kirchner (2007-2015), assignée à résidence depuis juin.”Des militants de l’ancienne politique, pur kirchnérisme et un modèle de violence que seuls veulent les hommes des cavernes du passé”, a écrit M. Adorni.Une bousculade a suivi les incidents et au moins une femme, une partisane du président ultralibéral, a été blessée et évacuée en ambulance, a constaté l’AFP.Les manifestants, qui tenaient des pancartes “Milei dehors de Lomas de Zamora”, le nom du quartier, exprimaient leur colère contre une supposée affaire de corruption éclaboussant la soeur du président argentin.L’affaire a été déclenchée après la fuite d’audios de l’ex-directeur de l’Agence pour le Handicap, Diego Spagnuolo, qui affirme que Karina Milei détournait des fonds destinés aux personnes handicapées.”Tout ce que dit (le fonctionnaire) est faux, nous allons le traduire en justice et prouver qu’il a menti”, a déclaré de son véhicule aux journalistes, quelques minutes avant les incidents, le président Milei.”C’est une honte qu’ils volent aux personnes handicapées”, a commenté une manifestante, María Martinez, auprès de la chaîne de télévision C5N.Les législatives du 26 octobre mettront à l’épreuve la popularité de Javier Milei après ses succès en matière économique, parvenant à maîtriser l’inflation au prix de coupes sévères dans les dépenses publiques, notamment dans l’aide sociale aux personnes handicapées.

Argentine : des projectiles lancés en direction du président Milei exfiltré et indemne

Le président argentin Javier Milei a été mercredi la cible de projectiles divers, pierres ou bouteilles, lancés par des manifestants mécontents d’une supposée affaire de corruption touchant son entourage, a constaté l’AFP.M. Milei, qui circulait à bord d’un véhicule de la présidence dans la périphérie de Buenos Aires pour promouvoir son parti en vue des …

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Israël intensifie ses opérations autour de Gaza-ville, réunion à la Maison Blanche

L’armée israélienne a intensifié mercredi ses opérations autour de la ville de Gaza, avant une réunion à la Maison Blanche sous la présidence de Donald Trump consacrée à des plans d’après-guerre pour la bande de Gaza.La Défense civile gazaouie a fait état de 38 morts dans les bombardements et les tirs israéliens à travers ce territoire assiégé, dévasté et menacé de famine selon l’ONU. Compte tenu des restrictions imposées aux médias et des difficultés d’accès sur le terrain dans la bande de Gaza, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les affirmations de la Défense civile.Le Premier ministre Benjamin Netanyahu est sous pression croissante, tant en Israël qu’à l’étranger, pour mettre fin à l’offensive de son armée dans la bande de Gaza, déclenchée en riposte à une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023.Son cabinet de sécurité a approuvé début août un plan pour s’emparer de Gaza-ville, située dans le nord de ce territoire palestinien dont les quelque deux millions d’habitants ont été déplacés plusieurs fois par la guerre. Mercredi, l’armée israélienne qui contrôle environ 75% de la bande de Gaza, a affirmé que ses soldats opéraient à la périphérie de Gaza-ville pour “démanteler les sites d’infrastructures terroristes”.- “La mort vous suit” -Elle a jugé “inévitable” l’évacuation de la population de cette ville, qu’elle présente comme le dernier grand bastion du Hamas dans ce territoire et d’où des milliers de personnes ont déjà fui.”Les avions ont bombardé et des drones ont tiré toute la nuit”, a déclaré au téléphone à l’AFP Tala al-Khatib, une habitante du quartier Zeitoun à Gaza-ville. “Nous sommes toujours chez nous, certains voisins ont fui. Mais où que vous fuyiez, la mort vous suit !”L’ONU estime à près d’un million le nombre actuel des habitants gouvernorat de Gaza qui comprend Gaza-ville, le chef-lieu de la bande de Gaza, et ses environs.Le ministre de la Défense Israël Katz a menacé de détruire cette cité si le Hamas n’acceptait pas d’être désarmé et de libérer tous les otages enlevés pendant l’attaque du 7-Octobre, aux conditions d’Israël.Mardi, des dizaines de milliers d’Israéliens avaient manifesté afin de réclamer un accord pour libérer les otages et arrêter la guerre.Parmi les objectifs d’Israël énumérés le 10 août par M. Netanyahu figuraient notamment, outre la libération des otages et le désarmement du Hamas, “un contrôle de sécurité prépondérant” du territoire par Israël et une “administration civile pacifique non israélienne”.Steve Witkoff, l’émissaire de Donald Trump, a annoncé “une grande réunion à la Maison Blanche” mercredi pour “élaborer un plan très complet sur le jour d’après” dans la bande de Gaza, sans fournir de précisions.Le président américain avait au début de l’année suggéré que les Etats-Unis prennent le contrôle de ce territoire, en évacuent sa population et y réalisent des projets immobiliers.M. Netanyahu a salué cette proposition, rejetée par plusieurs pays européens et arabes.- “Agir” -Après avoir interdit en mars l’entrée de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, Israël a autorisé en mai son retour, même si elle est jugée largement insuffisante par les agences humanitaires.Le 22 août, l’ONU a officiellement déclaré la famine dans ce territoire palestinien et en a attribué la responsabilité à Israël, en se fondant sur un rapport du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), un organisme mandaté par les Nations unies.Israël, qui a affirmé qu’il n’y avait “pas de famine à Gaza”, a exigé mercredi que “l’IPC retire immédiatement son rapport fabriqué de toutes pièces”.Des images de l’AFP montrent quasiment chaque jour des Palestiniens dont de nombreux enfants tendant des casseroles vides à des organisations caritatives pour obtenir de la nourriture dans plusieurs secteurs de la bande de Gaza.”Quand il n’y a pas assez à manger, les enfants souffrent de malnutrition sévère, puis ils meurent lentement et douloureusement”, a lancé mercredi devant le Conseil de sécurité de l’ONU la patronne de Save de Children, Inger Ashing.”Nous ne pouvons pas rester les bras croisés et simplement regarder des civils innocents, des travailleurs humanitaires, des journalistes se faire tuer et mourir de faim” dans la bande de Gaza, a dit de son côté la commissaire européenne chargée de l’aide humanitaire Hadja Lahbib. “L’heure est venue pour l’UE d’agir.”L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP reposant sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 restent retenues dans la bande de Gaza dont au moins 27 sont mortes selon l’armée.L’offensive de représailles israélienne a fait au moins 62.895 morts dans ce territoire palestinien, en majorité des civils, selon les chiffres du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas.

Israël intensifie ses opérations autour de Gaza-ville, réunion à la Maison Blanche

L’armée israélienne a intensifié mercredi ses opérations autour de la ville de Gaza, avant une réunion à la Maison Blanche sous la présidence de Donald Trump consacrée à des plans d’après-guerre pour la bande de Gaza.La Défense civile gazaouie a fait état de 38 morts dans les bombardements et les tirs israéliens à travers ce territoire assiégé, dévasté et menacé de famine selon l’ONU. Compte tenu des restrictions imposées aux médias et des difficultés d’accès sur le terrain dans la bande de Gaza, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les affirmations de la Défense civile.Le Premier ministre Benjamin Netanyahu est sous pression croissante, tant en Israël qu’à l’étranger, pour mettre fin à l’offensive de son armée dans la bande de Gaza, déclenchée en riposte à une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023.Son cabinet de sécurité a approuvé début août un plan pour s’emparer de Gaza-ville, située dans le nord de ce territoire palestinien dont les quelque deux millions d’habitants ont été déplacés plusieurs fois par la guerre. Mercredi, l’armée israélienne qui contrôle environ 75% de la bande de Gaza, a affirmé que ses soldats opéraient à la périphérie de Gaza-ville pour “démanteler les sites d’infrastructures terroristes”.- “La mort vous suit” -Elle a jugé “inévitable” l’évacuation de la population de cette ville, qu’elle présente comme le dernier grand bastion du Hamas dans ce territoire et d’où des milliers de personnes ont déjà fui.”Les avions ont bombardé et des drones ont tiré toute la nuit”, a déclaré au téléphone à l’AFP Tala al-Khatib, une habitante du quartier Zeitoun à Gaza-ville. “Nous sommes toujours chez nous, certains voisins ont fui. Mais où que vous fuyiez, la mort vous suit !”L’ONU estime à près d’un million le nombre actuel des habitants gouvernorat de Gaza qui comprend Gaza-ville, le chef-lieu de la bande de Gaza, et ses environs.Le ministre de la Défense Israël Katz a menacé de détruire cette cité si le Hamas n’acceptait pas d’être désarmé et de libérer tous les otages enlevés pendant l’attaque du 7-Octobre, aux conditions d’Israël.Mardi, des dizaines de milliers d’Israéliens avaient manifesté afin de réclamer un accord pour libérer les otages et arrêter la guerre.Parmi les objectifs d’Israël énumérés le 10 août par M. Netanyahu figuraient notamment, outre la libération des otages et le désarmement du Hamas, “un contrôle de sécurité prépondérant” du territoire par Israël et une “administration civile pacifique non israélienne”.Steve Witkoff, l’émissaire de Donald Trump, a annoncé “une grande réunion à la Maison Blanche” mercredi pour “élaborer un plan très complet sur le jour d’après” dans la bande de Gaza, sans fournir de précisions.Le président américain avait au début de l’année suggéré que les Etats-Unis prennent le contrôle de ce territoire, en évacuent sa population et y réalisent des projets immobiliers.M. Netanyahu a salué cette proposition, rejetée par plusieurs pays européens et arabes.- “Agir” -Après avoir interdit en mars l’entrée de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, Israël a autorisé en mai son retour, même si elle est jugée largement insuffisante par les agences humanitaires.Le 22 août, l’ONU a officiellement déclaré la famine dans ce territoire palestinien et en a attribué la responsabilité à Israël, en se fondant sur un rapport du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), un organisme mandaté par les Nations unies.Israël, qui a affirmé qu’il n’y avait “pas de famine à Gaza”, a exigé mercredi que “l’IPC retire immédiatement son rapport fabriqué de toutes pièces”.Des images de l’AFP montrent quasiment chaque jour des Palestiniens dont de nombreux enfants tendant des casseroles vides à des organisations caritatives pour obtenir de la nourriture dans plusieurs secteurs de la bande de Gaza.”Quand il n’y a pas assez à manger, les enfants souffrent de malnutrition sévère, puis ils meurent lentement et douloureusement”, a lancé mercredi devant le Conseil de sécurité de l’ONU la patronne de Save de Children, Inger Ashing.”Nous ne pouvons pas rester les bras croisés et simplement regarder des civils innocents, des travailleurs humanitaires, des journalistes se faire tuer et mourir de faim” dans la bande de Gaza, a dit de son côté la commissaire européenne chargée de l’aide humanitaire Hadja Lahbib. “L’heure est venue pour l’UE d’agir.”L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP reposant sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 restent retenues dans la bande de Gaza dont au moins 27 sont mortes selon l’armée.L’offensive de représailles israélienne a fait au moins 62.895 morts dans ce territoire palestinien, en majorité des civils, selon les chiffres du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas.

Israël intensifie ses opérations autour de Gaza-ville, réunion à la Maison Blanche

L’armée israélienne a intensifié mercredi ses opérations autour de la ville de Gaza, avant une réunion à la Maison Blanche sous la présidence de Donald Trump consacrée à des plans d’après-guerre pour la bande de Gaza.La Défense civile gazaouie a fait état de 38 morts dans les bombardements et les tirs israéliens à travers ce …

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Nucléaire: pour l’Iran, le retour des inspecteurs de l’AIEA ne marque pas une reprise complète de la coopération

Le retour en Iran des inspecteurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) ne marque pas une reprise complète de la coopération sur le programme nucléaire de Téhéran, suspendue en juillet, a affirmé mercredi le chef de la diplomatie iranienne.Le patron de l’AIEA, Rafael Grossi, a annoncé qu’une équipe de l’agence était de retour en …

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Nucléaire: pour l’Iran, le retour des inspecteurs de l’AIEA ne marque pas une reprise complète de la coopération

Le retour en Iran des inspecteurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) ne marque pas une reprise complète de la coopération sur le programme nucléaire de Téhéran, suspendue en juillet, a affirmé mercredi le chef de la diplomatie iranienne.Le patron de l’AIEA, Rafael Grossi, a annoncé qu’une équipe de l’agence était de retour en Iran, malgré la suspension par Téhéran de sa coopération avec l’organisme onusien, dans le sillage de la guerre de 12 jours déclenchée le 13 juin par une attaque d’Israël sur le sol iranien.L’Iran reproche à l’AIEA de ne pas avoir condamné les frappes israéliennes, puis américaines, qui ont visé ses installations nucléaires durant ce conflit.Téhéran estime également que l’AIEA a une part de responsabilité dans le déclenchement de l’attaque israélienne surprise, lancée au lendemain du vote d’une résolution critique sur le programme nucléaire iranien au siège de l’agence. Depuis juillet, une loi votée au Parlement iranien bannit en principe toute coopération avec l’AIEA.”Aucun texte définitif n’a encore été approuvé concernant le nouveau cadre de coopération avec l’AIEA et des échanges de vues sont en cours”, a clarifié mercredi le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, cité par la télévision d’État.  – “Modalités pratiques” -Des inspecteurs de l’AIEA sont de retour en Iran où ils ont commencé leur travail mercredi sur le site de Bouchehr, la principale centrale nucléaire de production d’électricité en Iran, a annoncé son patron, Rafael Grossi, à des journalistes à Washington.Cette décision a été prise “afin de surveiller le remplacement du combustible de la centrale de Bouchehr”, a souligné Abbas Araghchi. Le ministre, principal négociateur pour le nucléaire côté iranien, n’a fait en revanche aucune mention des sites de Fordo, Natanz et Ispahan, visés par des frappes américaines en juin.Rafael Grossi a indiqué que des discussions étaient en cours pour inspecter ces sites touchés.Les pays occidentaux, États-Unis en tête, et Israël, ennemi juré de la République islamique, soupçonnent de longue date l’Iran de vouloir se doter de la bombe atomique. Téhéran se défend vigoureusement d’avoir de telles ambitions militaires mais insiste sur son droit au nucléaire pour des besoins civils. – La menace des sanctions -Le retour des inspecteurs de l’AIEA intervient alors que l’Iran a repris des négociations avec Paris, Berlin et Londres, qui menacent de rétablir les sanctions contre Téhéran.L’Iran a déclaré mardi “négocier de toutes ses forces” pour empêcher les Européens de déclencher le mécanisme de rétablissement des sanctions prévu par l’accord international conclu en 2015 sur le nucléaire iranien.Et mercredi soir, les Affaires étrangères iraniennes ont prévenu que la coopération avec l’AIEA serait “affectée” et s’arrêterait “probablement” si le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne déclenchaient ce mécanisme.Le trio européen avait trouvé en 2015 avec la Chine, la Russie et les États-Unis cet accord avec l’Iran prévoyant d’importantes restrictions à son programme nucléaire en échange d’une levée progressive des sanctions de l’ONU. Washington avait décidé de s’en retirer unilatéralement en 2018 sous la première présidence de Donald Trump et avait rétabli ses propres sanctions. Depuis, Téhéran s’est affranchi de certains engagements pris, notamment sur l’enrichissement d’uranium.Paris, Londres et Berlin menacent d’activer une clause prévue par l’accord de 2015, et qui expire le 18 octobre, pour rétablir les sanctions internationales, si aucune solution négociée n’est trouvée d’ici fin août. L’Iran conteste leur légitimité à le faire.  Téhéran a appelé mardi les Européens et le Conseil de sécurité de l’ONU à faire le “bon choix” après de nouveaux pourparlers mardi à Genève (Suisse). Moscou a de son côté proposé mardi au Conseil de sécurité de repousser de six mois, “jusqu’au 18 avril 2026”, la date limite pour l’activation du mécanisme de rétablissement des sanctions, selon un projet de résolution consulté par l’AFP.Selon l’AIEA, l’Iran est le seul pays non doté de l’arme nucléaire à enrichir de l’uranium à un niveau élevé (60%), bien au-delà de la limite de 3,67% fixée par l’accord de 2015.Pour fabriquer une bombe, l’enrichissement doit être poussé jusqu’à 90%, d’après l’AIEA.