Oil slides, stocks rise as Trump says Iran-Israel ceasefire holds

Oil prices sank and stock markets rose Tuesday as US President Donald Trump said a ceasefire between Iran and Israel was taking hold after he berated both countries for violating the truce.In volatile trading, crude futures slumped more than five percent after Trump announced a ceasefire.”This morning’s ceasefire further reduced the perceived threat to Middle Eastern oil supply routes,” said David Morrison, analyst at Trade Nation.The main international and US contracts reduced their losses later as Israel and Iran accused each other of breaking the ceasefire.But prices fell again around five percent after Trump declared the ceasefire was in effect after berating the two countries in an expletive-laced outburst.Iran’s President Masoud Pezeshkian said later his country will respect a ceasefire if Israel also upholds its terms, while Israel said it refrained from further strikes after a phone call between Trump and Prime Minister Benjamin Netanyahu.Prices were also brought down by Trump saying that China could continue to buy oil from Iran, in what appeared to be relief for Tehran from sanctions Washington has previously imposed.Prices had already fallen by more than seven percent on Monday after Iran’s response to US strikes on its nuclear facilities was limited to missile launches on a US military base in Qatar.There was also relief that Iran has refrained from closing the strategic Strait of Hormuz, a chokepoint for about one-fifth of the world’s oil supply.Wall Street extended gains at the open on Tuesday.Paris and Frankfurt were sharply higher in afternoon deals but London’s gains were limited as shares in oil majors Shell and BP fell on the lower crude prices.Asian markets closed higher.The dollar retreated against other major currencies.Escalating tensions in the Middle East has removed some focus from Trump’s tariffs war, which threatens to dampen global economic growth.”With the immediate geopolitical tensions dialled down, investors are free to focus on President Trump’s trade war and the first tariff deadline coming up in a couple of weeks,” Morrison said.”As far as investors are concerned, they’ve just stared down the prospect of World War Three, so they’re not going to be fussed by a few percentage points on US imports,” he added.Several countries face steep tariffs if they fail to reach deals with the United States by July 9, with duties of 50 percent looming large over the European Union.Fawad Razaqzada, analyst at City Index and Forex.com, said investors were “now shifting their attention” to Federal Reserve Chairman Jerome Powell’s testimony in Congress later Tuesday.Powell was due to tell Congress that the central bank can afford to wait for the impact of Trump’s global tariffs before deciding on further interest rate cuts, according to his prepared remarks.”For the time being, we are well positioned to wait to learn more about the likely course of the economy before considering any adjustments to our policy stance,” he said.- Key figures at around 1335 GMT -Brent North Sea Crude: DOWN 5.2 percent at $66.85 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 5.2 percent at $64.93 per barrelNew York – Dow: UP 0.8 percent at 42,904.31 pointsNew York – S&P 500: UP 0.8 percent at 6,070.59New York – Nasdaq Composite: UP 1.1 percent at 19,839.12London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 8,773.12Paris – CAC 40: UP 1.2 percent at 7,631.36 Frankfurt – DAX: UP 1.6 percent at 23,637.76Tokyo – Nikkei 225: UP 1.1 percent at 38,790.56 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 2.1 percent at 24,177.07 (close)Shanghai – Composite: UP 1.2 percent at 3,420.57 (close)Euro/dollar: UP at $1.1589 from $1.1581 on MondayPound/dollar: UP at $1.3597 from $1.3526Dollar/yen: DOWN at 145.04 yen from 146.12 yenEuro/pound: DOWN at 85.24 pence from 85.60 penceburs-lth/giv

A Téhéran, la vie reprend un peu grâce au cessez-le-feu

Téhéran était loin d’être aussi animé que d’habitude mais la vie reprenait des couleurs mardi dans l’espoir ténu que le cessez-le-feu entre l’Iran et Israël soit respecté, après 12 jours de guerre dévastatrice dans la capitale.Tiendra? Tiendra pas? Dans le bazar de Tajrish, dans le nord de la capitale, chacun a son avis sur les chances que le cessez-le-feu puisse durer après avoir été annoncé par le président américain Donald Trump en pleine nuit.”Je ne pense pas qu’il soit tenable”, affirme Ahmad Barqi, un vendeur de produits électroniques de 75 ans. “Nous aimerions qu’il soit respecté, mais ils ne l’appliquent pas, ils ne tiennent pas leurs promesses”, ajoute-t-il en pointant du doigt les Israéliens.”Il semble qu’Israël ait violé la trêve”, avance aussi Alireza Jahangiri, un autre commerçant, qui a entendu les médias d’Etat affirmer que les Israéliens avaient mené trois salves de frappes après l’annonce surprise de Donald Trump.Aucune frappe n’a cependant été répertoriée à Téhéran depuis le début de la matinée, après une nuit durant laquelle les habitants ont été réveillés par le bruit des explosions, bien plus nombreuses que les jours précédents.”On a heureusement survécu”, se félicite, soulagé, un promeneur profitant du beau temps dans un parc du centre, tandis que les cafés accueillent des jeunes heureux de pouvoir de nouveau se retrouver.Ces quelques heures de cessez-le-feu seront-t-elles suffisantes pour convaincre ceux qui ont fui la capitale ces derniers jours de revenir?”On va voir. Je pense que nous resterons encore une semaine dans le nord pour voir comment les choses évoluent”, répond prudemment Amir, 28 ans, joint par téléphone.- “Estomaqué” -Il raconte avoir été “estomaqué” en découvrant, en pleine nuit, l’annonce de Trump relayée par les médias sociaux. “Trump avait dit qu’il réfléchirait pendant deux semaines avant de prendre une décision (pour attaquer l’Iran), mais tout d’un coup, il a bombardé. Puis le lendemain, il a dit qu’il ne cherchait pas un changement de régime (…) Et, boum, la paix. Je ne sais vraiment pas… mais honnêtement, je ne pense pas que les choses reviendront à la normale”, confie le jeune homme.   Tout aussi dubitatif sur la réalité de l’arrêt des combats, Benyamin, 28 ans, raconte devoir retourner à Téhéran rapidement parce qu’il n’a “plus de revenus” depuis qu’il a trouvé refuge au bord de la mer Caspienne.Les 12 jours de crise ont fortement impacté la vie économique de la capitale, où de nombreux commerces, restaurants et administrations ont fermé leurs portes, tandis que les bureaux étaient désertés dans les quartiers les plus exposés.Les frappes israéliennes ont détruit, partiellement ou totalement, des bâtiments publics, en particulier ceux liés à l’armée, aux Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique, ou aux activités nucléaires. Elles ont aussi visé des immeubles d’habitation où vivaient de hauts responsables, provoquant la mort de civils.  “Quand il y a une guerre, tout le monde souffre économiquement”, estime Alireza Jahangiri, commerçant au bazar de Tajrish. “Mais je ne pense pas que nous devons y penser maintenant. La priorité c’est l’agression contre notre pays bien aimé, à laquelle nous devons répondre”, ajoute le sexagénaire.Sans utiliser le terme de “cessez-le-feu”, les autorités iraniennes ont présenté mardi l’arrêt des frappes comme “une victoire et un triomphe qui a forcé l’ennemi à regretter, accepter la défaite et unilatéralement cesser son agression”.Mais, ont-elles ajouté, l’Iran “ne fait aucune confiance aux ennemis” et “garde le doigt sur la gâchette pour une riposte décisive” en cas de nouvelle “agression”.

A Téhéran, la vie reprend un peu grâce au cessez-le-feu

Téhéran était loin d’être aussi animé que d’habitude mais la vie reprenait des couleurs mardi dans l’espoir ténu que le cessez-le-feu entre l’Iran et Israël soit respecté, après 12 jours de guerre dévastatrice dans la capitale.Tiendra? Tiendra pas? Dans le bazar de Tajrish, dans le nord de la capitale, chacun a son avis sur les chances que le cessez-le-feu puisse durer après avoir été annoncé par le président américain Donald Trump en pleine nuit.”Je ne pense pas qu’il soit tenable”, affirme Ahmad Barqi, un vendeur de produits électroniques de 75 ans. “Nous aimerions qu’il soit respecté, mais ils ne l’appliquent pas, ils ne tiennent pas leurs promesses”, ajoute-t-il en pointant du doigt les Israéliens.”Il semble qu’Israël ait violé la trêve”, avance aussi Alireza Jahangiri, un autre commerçant, qui a entendu les médias d’Etat affirmer que les Israéliens avaient mené trois salves de frappes après l’annonce surprise de Donald Trump.Aucune frappe n’a cependant été répertoriée à Téhéran depuis le début de la matinée, après une nuit durant laquelle les habitants ont été réveillés par le bruit des explosions, bien plus nombreuses que les jours précédents.”On a heureusement survécu”, se félicite, soulagé, un promeneur profitant du beau temps dans un parc du centre, tandis que les cafés accueillent des jeunes heureux de pouvoir de nouveau se retrouver.Ces quelques heures de cessez-le-feu seront-t-elles suffisantes pour convaincre ceux qui ont fui la capitale ces derniers jours de revenir?”On va voir. Je pense que nous resterons encore une semaine dans le nord pour voir comment les choses évoluent”, répond prudemment Amir, 28 ans, joint par téléphone.- “Estomaqué” -Il raconte avoir été “estomaqué” en découvrant, en pleine nuit, l’annonce de Trump relayée par les médias sociaux. “Trump avait dit qu’il réfléchirait pendant deux semaines avant de prendre une décision (pour attaquer l’Iran), mais tout d’un coup, il a bombardé. Puis le lendemain, il a dit qu’il ne cherchait pas un changement de régime (…) Et, boum, la paix. Je ne sais vraiment pas… mais honnêtement, je ne pense pas que les choses reviendront à la normale”, confie le jeune homme.   Tout aussi dubitatif sur la réalité de l’arrêt des combats, Benyamin, 28 ans, raconte devoir retourner à Téhéran rapidement parce qu’il n’a “plus de revenus” depuis qu’il a trouvé refuge au bord de la mer Caspienne.Les 12 jours de crise ont fortement impacté la vie économique de la capitale, où de nombreux commerces, restaurants et administrations ont fermé leurs portes, tandis que les bureaux étaient désertés dans les quartiers les plus exposés.Les frappes israéliennes ont détruit, partiellement ou totalement, des bâtiments publics, en particulier ceux liés à l’armée, aux Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique, ou aux activités nucléaires. Elles ont aussi visé des immeubles d’habitation où vivaient de hauts responsables, provoquant la mort de civils.  “Quand il y a une guerre, tout le monde souffre économiquement”, estime Alireza Jahangiri, commerçant au bazar de Tajrish. “Mais je ne pense pas que nous devons y penser maintenant. La priorité c’est l’agression contre notre pays bien aimé, à laquelle nous devons répondre”, ajoute le sexagénaire.Sans utiliser le terme de “cessez-le-feu”, les autorités iraniennes ont présenté mardi l’arrêt des frappes comme “une victoire et un triomphe qui a forcé l’ennemi à regretter, accepter la défaite et unilatéralement cesser son agression”.Mais, ont-elles ajouté, l’Iran “ne fait aucune confiance aux ennemis” et “garde le doigt sur la gâchette pour une riposte décisive” en cas de nouvelle “agression”.

Trump says Iran-Israel truce holds after berating both countries

US President Donald Trump said Tuesday that a ceasefire between Iran and Israel was holding, shortly after he lashed out at both countries and cursed as he accused them of violating the truce.In a fast-moving series of declarations, the 79-year-old Republican, who was on his way to attend a NATO summit in The Hague, posted on his Truth Social app that “the Ceasefire is in effect!””ISRAEL is not going to attack Iran. All planes will turn around and head home, while doing a friendly ‘Plane Wave’ to Iran. Nobody will be hurt,” Trump wrote.Minutes earlier, he had castigated Iran and also close US ally Israel for violating a ceasefire he had originally announced late Monday.The two countries have been “fighting so long and so hard that they don’t know what the fuck they’re doing, do you understand that?” the president told reporters at the White House.Iran violated the ceasefire, “but Israel violated it too,” Trump told reporters on the White House’s South Lawn as he departed for the NATO summit.”So I’m not happy with them. I’m not happy with Iran either. But I’m really unhappy if Israel is going out this morning.””I’ve got to get Israel to calm down,” he said. “Israel, as soon as we made the deal, they came out and dropped a load of bombs the likes of which I’ve never seen before.”Trump’s unusually public display of anger at Israel saw the US leader apparently trying to cajole his ally to call off warplanes in real time.Earlier the same morning, he had posted on Truth Social: “ISRAEL. DO NOT DROP THOSE BOMBS” — without it being clear which bombs he was referring to.”IF YOU DO IT IS A MAJOR VIOLATION. BRING YOUR PILOTS HOME, NOW!”If it holds, the truce would be a big political win for Trump in the wake of his risky decision to send US bombers over the weekend to attack three nuclear facilities in Iran that Israel and the United States say were being used to build an atomic bomb in secret.The US leader had said the truce would be a phased 24-hour process beginning at around 0400 GMT Tuesday, with Iran unilaterally halting all operations first. He said Israel would follow suit 12 hours later.Israel has been bombing Iran in an offensive that began June 13. The United States joined the attack with a mission starting overnight Friday to Saturday against the deeply buried Fordow complex and two other sites.Speaking to reporters at the White House, Trump insisted that the US bombing mission was a success.”I think it’s been completely demolished,” he said, savaging US journalists for “fake news” and calling two networks “scum” for reporting that it remains unclear whether the Iranian nuclear infrastructure was truly dismantled.”IRAN WILL NEVER REBUILD THEIR NUCLEAR FACILITIES!” he posted separately on Truth Social.

IS-linked group abducting children in Mozambique: HRWTue, 24 Jun 2025 13:11:01 GMT

Islamic State-linked militants active in northern Mozambique are increasingly abducting children, with at least 120 kidnapped this year although some have already been released, Human Rights Watch said Tuesday. The gas-rich region has been plagued for years by jihadist violence that has killed thousands of people, caused others to flee and forced the suspension of a …

IS-linked group abducting children in Mozambique: HRWTue, 24 Jun 2025 13:11:01 GMT Read More »