AFP Tech

Modération des contenus en ligne: le gouvernement rappelle à l’ordre les réseaux sociaux

Le gouvernement a exigé lundi que les réseaux sociaux lui présentent des “règles claires” concernant le bannissement des utilisateurs diffusant des contenus problématiques, leur rappelant leur obligation de modération et brandissant la menace de sanctions.Les plateformes Meta, Snapchat, Tiktok, Twitch, Youtube et X ont été “convoquées” par le gouvernement pour répondre notamment de leur obligation …

Modération des contenus en ligne: le gouvernement rappelle à l’ordre les réseaux sociaux Read More »

Un “chantage” sur Karine Le Marchand ? La défense de sa “bonne copine” Mimi Marchand plaide la relaxe

L’avocate de Mimi Marchand a plaidé lundi la relaxe de la papesse de la presse people, jugée pour extorsion sur sa “bonne copine” Karine Le Marchand dans une histoire de photos volées qui sera tranchée le 1er juillet par le tribunal correctionnel de Paris.”Ce qui n’est pas beau est-il affaire de justice ? Ou de l’amitié, de l’inimitié, du règlement de conflit entre des personnes ?”, a interrogé Me Caroline Toby.Devant elle, sa cliente Mimi Marchand, veste en cuir, chemise écrue et verte, pantalon marron, a le visage fermé, tandis que ses mains serrent son sac à main, posé sur ses jambes croisées.Mercredi, elle a écouté la procureure Marion Adam requérir à son encontre un an de prison avec sursis et 20.000 euros d’amende, notamment car elle ne s’est pas “remise en cause”.En février 2020, cette femme âgée aujourd’hui de 78 ans avait alerté l’animatrice de “L’amour est dans le pré” qu’un “jeune” photographe inconnu avait tenté de lui vendre des photos de sa fille mineure sortant de garde à vue. Elle l’avait rassurée, disant avoir “bloqué” les images en donnant 3.000 euros au photographe.A la barre mardi, Mimi Marchand a reconnu avoir “menti” : les photos avaient été prises par l’un de ses habituels paparazzi, l’une des stars de la profession, Sébastien Valiela, également jugé.”Merci Mimi, je te le revaudrai”, avait répondu, soulagée, Karine Le Marchand, avant de “rembourser” une première partie de l’argent avancé, 1.600 euros.Avec ces photos, la procureure Marion Adam a estimé mercredi que Mimi Marchand “tenait” l’animatrice et qu’elle avait ensuite multiplié les demandes auprès de l’animatrice, argent et fausse paparazzade, maintenant une “pression” constante. Pour Me Toby, dans cette “affaire croustillante (qui) n’en est pas une”, où apparaît une “façon de profiter de la situation qui n’avait pas lieu d’être”, il n’y a juridiquement pas d’extorsion.- “Gênée” -Cette infraction reprochée à Mimi Marchand, “c’est la contrainte, la menace ou la violence”, selon le code pénal. Citant les échanges téléphoniques amicaux et le déjeuner entre les deux protagonistes après cet événement, Me Toby interroge: “Où et dans quelle séquence de ce petit vaudeville entre deux copines avons-nous la moindre trace de violence, pression ou contrainte ?”L’avocate plaide donc la relaxe, tout en concédant une faute morale beaucoup plus simple: après avoir “instantanément voulu protéger” Karine Le Marchand en bloquant les photos, Mimi Marchand l’aurait ensuite utilisé pour “bénéficier de la bonne image de protectrice des gens puissants”, car “elle veut être aimée de ceux qui brillent”.Certes, sa cliente n’a “pas agi honnêtement”, “a accepté les 1.600 euros proposés par Karine Le Marchand (…) pour que ça ait l’air vrai”, “ce n’est pas joli” et “même mesquin”, “mais s’il fallait faire un procès pour toutes les mesquineries du monde…”.Dans un milieu où “les gens du métier, les gens en vue le savent, il faut parfois payer pour protéger son image”, Mimi Marchand a, selon Me Toby, “improvisé à la va-vite son petit plan gagnant-gagnant avec sa chère Karine”. Puis elle s’est vite retrouvée “gênée avec sa copine” avec qui elle risquait une “rupture” amicale si elle lui avouait que c’est “son” photographe” qui avait pris les clichés en cause.Et “si Karine Le Marchand n’avait pas déposé plainte contre la police, tout le monde aurait été plus content”, a imaginé Me Toby, qui toutefois “comprend la colère, le sentiment d’avoir été flouée” de l’animatrice.Dans le procès qui s’est ouvert le 26 mai, l’animatrice avait dit mardi “détester” le “système” de la presse people.Mercredi, la procureure a également requis de la prison avec sursis contre le paparazzo Sébastien Valiela et un policier qui avait donné l’information de la garde à vue.Ils étaient tous deux aussi jugés dans un dossier annexe, également en février 2020: le premier avait alerté le second de la possible arrestation de l’artiste russe Piotr Pavlenski dans l’affaire des vidéos à caractère sexuel de Benjamin Griveaux. A l’ouverture du procès lundi, Piotr Pavlenski s’était fait expulser de la salle après avoir déclenché un incident d’audience.

Un “chantage” sur Karine Le Marchand ? La défense de sa “bonne copine” Mimi Marchand plaide la relaxe

L’avocate de Mimi Marchand a plaidé lundi la relaxe de la papesse de la presse people, jugée pour extorsion sur sa “bonne copine” Karine Le Marchand dans une histoire de photos volées qui sera tranchée le 1er juillet par le tribunal correctionnel de Paris.”Ce qui n’est pas beau est-il affaire de justice ? Ou de …

Un “chantage” sur Karine Le Marchand ? La défense de sa “bonne copine” Mimi Marchand plaide la relaxe Read More »

M6 lève le voile sur son premier feuilleton quotidien, “Nouveau jour”

Après France Télévisions et TF1, M6 se lance dans l’arène encombrée des feuilletons quotidiens avec “Nouveau jour”, dont l’efficace premier épisode de 25 minutes, attendu cet été, a été dévoilé lundi à la presse.Tourné depuis mi-avril dans la région de Montpellier, ce mélange haletant de soap-opera, thriller et comédie plonge dans les coulisses d’un hôtel familial 4 étoiles.Depuis la disparition en mer de son propriétaire, le domaine Bartoli est dirigé par sa fille Louise (Helena Noguerra), aînée d’une fratrie déchirée par un lourd secret. Alors que Théa (Marion Aymé), la nièce de Louise, revient en ville, décidée à se faire embaucher par sa tante, l’hôtel devient la cible d’un étrange corbeau…Bruno Solo figure également au casting, aux côtés entre autres de Laëtitia Milot et Jean-Baptiste Maunier.La chanteuse Hoshi signe par ailleurs le générique de cette quotidienne, la première hors formats courts (comme “Caméra Café”, co-créé par Bruno Solo) pour la chaîne privée.”Cela fait plusieurs années qu’on en caresse l’idée”, a rappelé Quentin de Revel, directeur de la fiction du groupe M6, lundi devant la presse. “Le point de bascule a eu lieu il y a à peu près deux ans”, en prévision du lancement l’année dernière de M6+, “plateforme de streaming beaucoup plus ambitieuse” que sa prédécesseure 6play. Il s’agira du sixième feuilleton quotidien made in France : TF1 lancera mi-juin “Tout pour la lumière” – son quatrième du genre après “Demain nous appartient” (DNA), “Ici tout commence” (ITC) et “Plus belle la vie, encore plus belle” -, tandis que France Télé propose “Un si grand soleil” depuis 2018. Tournée dans le sud comme ses concurrentes, “Nouveau jour”, dont l’horaire de diffusion reste à déterminer, a été créée par d’anciens scénaristes de DNA et ITC, Mohamed Benyekhlef et Mari Mouazan.Pour se différencier, la série mise notamment sur son hôtel, un décor “jamais traité” dans ce format, et des “sous-intrigues beaucoup plus comédies (…) qui nous ressemblent un peu”, selon M. de Revel.”On a mis énormément de moyens”, a-t-il insisté, sans chiffrer l’investissement du groupe. Au total, la série emploie “une trentaine d’auteurs, une quarantaine de comédiens récurrents et au quotidien, 200 personnes entre les équipes de mise en scène, les équipes techniques, la post-production, les équipes logistiques, etc.”, selon le producteur François Daniel-Lamazière.

M6 lève le voile sur son premier feuilleton quotidien, “Nouveau jour”

Après France Télévisions et TF1, M6 se lance dans l’arène encombrée des feuilletons quotidiens avec “Nouveau jour”, dont l’efficace premier épisode de 25 minutes, attendu cet été, a été dévoilé lundi à la presse.Tourné depuis mi-avril dans la région de Montpellier, ce mélange haletant de soap-opera, thriller et comédie plonge dans les coulisses d’un hôtel …

M6 lève le voile sur son premier feuilleton quotidien, “Nouveau jour” Read More »

“Mon devoir”: en Ukraine, de jeunes correspondantes de guerre au plus près des combats

Quand l’invasion russe commence en 2022, la jeune journaliste ukrainienne Olha Kyrylenko regarde de chez elle les images d’horreur publiées par ses confrères, qui risquent leur vie pour couvrir le siège de Marioupol.”Je me suis demandée si je serais capable de travailler dans de telles conditions”, raconte cette correspondante du média Ukraïnska Pravda, âgée de …

“Mon devoir”: en Ukraine, de jeunes correspondantes de guerre au plus près des combats Read More »

“Mon devoir”: en Ukraine, de jeunes correspondantes de guerre au plus près des combats

Quand l’invasion russe commence en 2022, la jeune journaliste ukrainienne Olha Kyrylenko regarde de chez elle les images d’horreur publiées par ses confrères, qui risquent leur vie pour couvrir le siège de Marioupol.”Je me suis demandée si je serais capable de travailler dans de telles conditions”, raconte cette correspondante du média Ukraïnska Pravda, âgée de 26 ans. “Et je me suis dit, bon, il faut au moins que j’essaie.”Au printemps de la même année, elle prend le chemin du front pour la première fois, et constate qu’elle est loin d’être la seule femme à avoir fait ce choix.”Tous mes amis journalistes qui couvrent la guerre sont des femmes”, dit Olha Kyrylenko, rencontrée par l’AFP lors d’une rare pause dans un café de l’Est ukrainien.Le nombre de ces reporters est difficile à estimer avec précision et certaines ont commencé à travailler dès 2014, quand a débuté le conflit dans l’est de l’Ukraine avec des séparatistes pilotés par Moscou.Mais quand la Russie a lancé son invasion en 2022, déclenchant un conflit sans précédent en Europe depuis la Deuxième guerre mondiale, une nouvelle génération de correspondantes de guerre, celle d’Olha, a émergé.Au début, certains correspondants “ont troqué leurs micros contre des armes et sont allés combattre”, note la journaliste.- Vérité -L’armée s’est aussi féminisée, mais la mobilisation obligatoire ne concerne que les hommes. Deux journalistes d’Ukraïnska Pravda ont été mobilisés, dont le photographe avec lequel Olha Kyrylenko partait en reportage au début de la guerre.Depuis, la reporter travaille seule. Comme le faisait une de ses consoeurs, Victoria Rochtchina, dont la mort en détention russe l’an dernier a mis en lumière les risques pris par les journalistes ukrainiens.La journaliste de 27 ans avait disparu en 2023 durant un reportage très risqué dans les territoires ukrainiens occupés par la Russie. Son corps n’a été rapatrié qu’en février, portant des marques de torture selon une enquête journalistique internationale.Olha avait travaillé avec Victoria, “tenace” et prête à aller là où personne n’osait. Son décès l’a forcée, dit-elle, à se demander si le journalisme “vaut la peine de risquer sa vie”.Quand elle pense à sa mère ou à son chien elle se dit que non.Fin avril, Olha était en reportage à Pokrovsk, un des points les plus chauds du front Est, le jour de l’anniversaire de sa maman. Elle s’est promis que rien ne lui arriverait, pour ne pas gâcher sa journée.Mais, “ma propre vie n’est pas la chose la plus précieuse”, lâche-t-elle. L’essentiel pour elle est “que le pays survive” et “que la vérité sur cette guerre, quelle qu’elle soit, soit présente”.- “Une fille dans cette guerre” -Garder une distance avec un sujet aussi personnel est parfois difficile.Alina Yevych, reporter de guerre de 25 ans, pense avoir réussi pendant un temps. Puis elle a rencontré une fille encore plus jeune qu’elle, qui lui a dit avoir été séquestrée et violée pendant toute une semaine par des soldats russes à Marioupol.Après ce témoignage, “je ne sais pas comment être objective”, confie cette femme fluette.Elle travaille en duo avec sa cheffe, Maria Davydenko, pour le petit média Vchasno. Selon Alina, les soldats ont parfois du mal à croire qu’elles puissent comprendre le fonctionnement des tanks ou écouter, sans flancher, leurs anecdotes de batailles sanglantes.Les mentalités évoluent, se satisfait-elle, mais “pour certaines personnes, tu restes vraiment une fille dans cette guerre”.- “Jouer à Rambo” -Pour Viacheslav Mavrychev, rédacteur en chef de la branche de l’audiovisuel public Suspilné à Kharkiv (nord-est), ses employées prennent moins de risques inutiles que leurs collègues masculins.Les hommes veulent parfois “jouer à Rambo” pour prouver leur courage, regrette-t-il. Dans son équipe de reporters de guerre, les femmes sont plus nombreuses que les hommes.L’une d’elles, Oleksandra Novosel, vient de convaincre sa hiérarchie d’investir dans des gilets pare-balles adaptés à la morphologie féminine.Au début de l’invasion, l’un des seuls gilets disponibles pesait 12 kilos, soit environ un quart de son propre poids. “J’ai marché avec, j’ai vacillé”, sourit-elle.Fière d’avoir obtenu cette avancée, la reporter de 30 ans dit qu’elle aurait préféré ne jamais avoir besoin de gilet pare-balles et ne s’était pas imaginée travailler en terrain de guerre, jusqu’à ce que son pays en devienne un. Oleksandra Novosel aurait préféré suivre des procès, ou enquêter sur la corruption. Mais pour l’instant, couvrir la guerre, “c’est mon devoir”, tranche-t-elle.

T18, le pari d’une chaîne “qui s’amuse à réfléchir”, selon son président

Neuf ans après la dernière naissance d’une nouvelle chaîne sur la TNT, la jeune pousse T18, lancée vendredi, a pour ambition de “donner à réfléchir” mais aussi de distraire un large public, expose son président Christopher Baldelli à l’AFP. “Je pense qu’on sera entre les deux! Nous donnons rendez-vous à 19H45 pour une émission de lancement …

T18, le pari d’une chaîne “qui s’amuse à réfléchir”, selon son président Read More »

T18, le pari d’une chaîne “qui s’amuse à réfléchir”, selon son président

Neuf ans après la dernière naissance d’une nouvelle chaîne sur la TNT, la jeune pousse T18, lancée vendredi, a pour ambition de “donner à réfléchir” mais aussi de distraire un large public, expose son président Christopher Baldelli à l’AFP. “Je pense qu’on sera entre les deux! Nous donnons rendez-vous à 19H45 pour une émission de lancement présentée par Laurent Ruquier. Les animateurs de la chaîne y parleront de leurs émissions. Puis il y aura le film +Yves Saint Laurent+ avec Pierre Niney, suivi de l’émission de débats d’actualité +Pour tout dire+, présentée par Matthieu Croissandeau. Cette soirée donne tout de suite une certaine idée de la chaîne.” “T18, c’est la télé qui s’amuse à réfléchir. Ce n’est pas seulement un slogan publicitaire, c’est aussi une forme de promesse, une ligne éditoriale. On n’est pas une chaîne publique mais nous nous adressons à tout le monde sur la TNT (télévision numérique terrestre), et nous voulons faire une télévision de qualité. Par exemple, il y aura du divertissement mais pas de téléréalité sur T18.Notre objectif est d’offrir une télévision qui élève plutôt et donne à réfléchir. Pour autant, nous voulons qu’elle soit accessible à tous, pédagogique et surtout pas une chaîne élitiste.La place du documentaire y sera beaucoup plus importante que sur la plupart des chaînes, avec plus de 3.000 heures par an. Nous proposerons aussi 25 spectacles vivants par an et autant de films d’art et essai. Peu de chaînes privées leur font une telle place.” “Nous croyons à la télévision. Cela fait vingt ans que tout le monde explique que la télé est en crise et, pourtant, elle est toujours là et, dans un certain nombre de cas, elle se porte plutôt bien économiquement.C’est vrai que ce n’est plus l’Eldorado, un monde où l’on vivait sans compter. La télévision, c’est à la fois la qualité des programmes pour le téléspectateur, qui fait l’audience, mais c’est aussi de l’autre côté une gestion extrêmement attentive.”   “On ne va pas se définir par rapport à une chaîne qui n’existe plus. Certaines chaînes ont pu, à certains moments, donner l’impression d’avoir des partis pris, idéologiques ou politiques. Ce n’est pas la ligne de T18. Il y aura une véritable liberté d’expression sur la chaîne. Mais en revanche, pas de militantisme. Daniel Kretinsky est très peu intervenu. Il a juste souhaité que la chaîne soit pluraliste sur les sujets d’information.” “Le groupe CMI (propriété de Daniel Kretinsky, NDLR) a eu la certitude qu’il aurait une chaîne de télévision en décembre 2024. C’était il y a à peine six mois. Ce lancement est un exercice difficile mais très stimulant. On avait une particularité chez CMI, c’est qu’on est un groupe média avec beaucoup de titres importants de presse écrite, mais qui n’avait ni radio ni télévision. C’est plus simple évidemment pour des groupes de télévision de lancer des chaînes: il y a déjà les stocks de programmes et tous les métiers.Là, c’était vraiment partir d’une page blanche sur tous les sujets: du point de vue éditorial, pour la mise en place d’un outil de production et de diffusion, les équipes, les locaux, etc. Nous aurons cependant peut-être des collaborations avec certaines entités du groupe, comme Louie Media (studio de podcasts, NDLR), et des rapports ponctuels avec certains titres, comme Marianne ou Elle. Mais la chaîne n’est pas le rassemblement des éditeurs existants de CMI. Ce n’est ni la chaîne de Franc-Tireur (hebdomadaire politique) ni la chaîne de Marianne”.

Numérotation TNT: la remontada “inespérée” de France 4

En succédant le 6 juin à Canal+ sur le numéro 4 de la télécommande, France 4 figure parmi les grandes gagnantes du chamboule-tout de la TNT, une remontada “inespérée” pour la chaîne jeunesse et culturelle du service public, un temps condamnée à la fermeture.Finie l’incongruité en vigueur depuis vingt ans: positionnée depuis son lancement sur …

Numérotation TNT: la remontada “inespérée” de France 4 Read More »