US cancels $590 million contract with Moderna for bird flu shot

US President Donald Trump’s administration on Wednesday canceled a $590 million contract with Moderna to develop an avian flu vaccine, the US biotech company said.It marked the latest move against vaccines by Health Secretary Robert F. Kennedy Jr, who has spent decades promoting misinformation about immunization. The contract, announced on January 17 — three days before Trump took office — was for an mRNA vaccine targeting the H5N1 influenza strain, which has been circulating in birds and cattle. Experts have warned the virus could jump to humans and spark a pandemic.American pharmaceutical and biotechnology company Moderna disclosed the news as it announced positive results from an early stage clinical trial of 300 people designed to test safety and immune response.”While the termination of funding from HHS adds uncertainty, we are pleased by the robust immune response and safety profile observed in this interim analysis of the Phase 1/2 study of our H5 avian flu vaccine and we will explore alternative paths forward for the program,” said CEO Stephane Bancel in a statement. “These clinical data in pandemic influenza underscore the critical role mRNA technology has played as a countermeasure to emerging health threats.”The statement added Moderna would “explore alternatives” for funding the development and manufacturing of the vaccine.Dr. Ashish Jha, a public health expert who served as former president Joe Biden’s Covid-19 response coordinator, reacted with dismay.”The attack on mRNA vaccines is beyond absurd,” he posted on X. “It was President Trump’s Operation Warp Speed that gave us mRNA vaccines.”

Les Etats-Unis vont révoquer “activement” des visas d’étudiants chinois

Le gouvernement américain a annoncé mercredi qu’il allait révoquer “activement” des visas d’étudiants chinois, après que Pékin a critiqué la suspension aux Etats-Unis du traitement des visas d’étudiants étrangers, dont l’administration de Donald Trump veut passer au crible les réseaux sociaux.Il s’agit de la dernière mesure en date prise par l’administration américaine dans le cadre de son offensive contre les universités, visant notamment Harvard qui organise jeudi sa cérémonie annuelle de remise des diplômes.Le gouvernement américain va “révoquer activement les visas pour les étudiants chinois, notamment ceux ayant des liens avec le Parti communiste chinois ou étudiant dans des filières sensibles”, a affirmé le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio dans un communiqué.”Nous allons aussi revoir les critères pour renforcer l’examen de toutes les prochaines demandes de visa venant de la Chine et de Hong Kong”, a ajouté le secrétaire d’Etat.Plus de 277.000 Chinois étaient inscrits dans les universités américaines pour l’année 2023-2024, seulement dépassés – pour la première fois depuis des années – par les étudiants indiens, selon un rapport approuvé par le département d’Etat.Les étudiants chinois représentent l’une des sources de revenus les plus importantes pour les universités aux Etats-Unis.Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump s’est lancé dans une vaste campagne contre des universités qu’il accuse de propager une idéologie “woke”, leur reprochant notamment leurs politiques de promotion de la diversité ou encore d’avoir laissé proliférer des manifestations contre la guerre à Gaza, qu’il associe à de l’antisémitisme.Lors de son premier mandat (2017-2021), le milliardaire républicain avait surtout pris pour cible les étudiants chinois dans les filières jugées sensibles, soupçonnés de liens avec les renseignements chinois.L’annonce de Marco Rubio survient après que la Chine a appelé les Etats-Unis à “garantir concrètement les droits et intérêts légitimes des étudiants internationaux, y compris des étudiants chinois”.- Suspension des visas -L’administration Donald Trump, bien décidée à imposer son idéologie nationaliste et conservatrice, a ordonné mardi la suspension du traitement des visas pour les étudiants étrangers, dont elle veut passer au crible les réseaux sociaux.Dans un document interne consulté par l’AFP, le département d’Etat américain demande désormais aux ambassades et aux consulats américains de ne pas autoriser de “rendez-vous pour de nouveaux visas étudiants ou de programmes d’échange”, en attendant la publication de “directives sur l’examen approfondi des réseaux sociaux pour toutes les demandes de ce type”.Depuis janvier, des centaines d’étudiants étrangers ont déjà vu leurs visas révoqués, tandis que des étudiants en situation régulière sur le sol américain ayant participé à des manifestations propalestiniennes ont été arrêtés et menacés d’expulsion. La charge de Donald Trump sur les visas va au-delà des étudiants, l’administration américaine ayant annoncé mercredi qu’elle refusera les visas aux responsables étrangers qui “censurent” les Américains sur les réseaux sociaux.M. Rubio – blâmé par certains pour avoir retiré des visas de personnes ayant critiqué Israël – a estimé qu’il existait des “actions flagrantes de censure” à l’étranger contre des entreprises américaines.Il a annoncé mercredi, sous forme de représailles, “une nouvelle politique de restriction des visas qui s’appliquera aux responsables étrangers et aux personnes qui se rendent complices de la censure des Américains”, sans citer de noms.Le chef de la diplomatie américaine avait toutefois visé la semaine dernière le juge Alexandre de Moraes, de la Cour suprême brésilienne, qui s’est opposé à Elon Musk en bloquant temporairement son réseau social X au Brésil en 2024.L’administration de Donald Trump, lui-même très friand des réseaux sociaux, a aussi accusé ses alliés allemand et britannique d’avoir limité l’accès à certains discours qualifiés par ces deux pays de haineux.burs-rr/lgo

Les Etats-Unis vont révoquer “activement” des visas d’étudiants chinois

Le gouvernement américain a annoncé mercredi qu’il allait révoquer “activement” des visas d’étudiants chinois, après que Pékin a critiqué la suspension aux Etats-Unis du traitement des visas d’étudiants étrangers, dont l’administration de Donald Trump veut passer au crible les réseaux sociaux.Il s’agit de la dernière mesure en date prise par l’administration américaine dans le cadre de son offensive contre les universités, visant notamment Harvard qui organise jeudi sa cérémonie annuelle de remise des diplômes.Le gouvernement américain va “révoquer activement les visas pour les étudiants chinois, notamment ceux ayant des liens avec le Parti communiste chinois ou étudiant dans des filières sensibles”, a affirmé le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio dans un communiqué.”Nous allons aussi revoir les critères pour renforcer l’examen de toutes les prochaines demandes de visa venant de la Chine et de Hong Kong”, a ajouté le secrétaire d’Etat.Plus de 277.000 Chinois étaient inscrits dans les universités américaines pour l’année 2023-2024, seulement dépassés – pour la première fois depuis des années – par les étudiants indiens, selon un rapport approuvé par le département d’Etat.Les étudiants chinois représentent l’une des sources de revenus les plus importantes pour les universités aux Etats-Unis.Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump s’est lancé dans une vaste campagne contre des universités qu’il accuse de propager une idéologie “woke”, leur reprochant notamment leurs politiques de promotion de la diversité ou encore d’avoir laissé proliférer des manifestations contre la guerre à Gaza, qu’il associe à de l’antisémitisme.Lors de son premier mandat (2017-2021), le milliardaire républicain avait surtout pris pour cible les étudiants chinois dans les filières jugées sensibles, soupçonnés de liens avec les renseignements chinois.L’annonce de Marco Rubio survient après que la Chine a appelé les Etats-Unis à “garantir concrètement les droits et intérêts légitimes des étudiants internationaux, y compris des étudiants chinois”.- Suspension des visas -L’administration Donald Trump, bien décidée à imposer son idéologie nationaliste et conservatrice, a ordonné mardi la suspension du traitement des visas pour les étudiants étrangers, dont elle veut passer au crible les réseaux sociaux.Dans un document interne consulté par l’AFP, le département d’Etat américain demande désormais aux ambassades et aux consulats américains de ne pas autoriser de “rendez-vous pour de nouveaux visas étudiants ou de programmes d’échange”, en attendant la publication de “directives sur l’examen approfondi des réseaux sociaux pour toutes les demandes de ce type”.Depuis janvier, des centaines d’étudiants étrangers ont déjà vu leurs visas révoqués, tandis que des étudiants en situation régulière sur le sol américain ayant participé à des manifestations propalestiniennes ont été arrêtés et menacés d’expulsion. La charge de Donald Trump sur les visas va au-delà des étudiants, l’administration américaine ayant annoncé mercredi qu’elle refusera les visas aux responsables étrangers qui “censurent” les Américains sur les réseaux sociaux.M. Rubio – blâmé par certains pour avoir retiré des visas de personnes ayant critiqué Israël – a estimé qu’il existait des “actions flagrantes de censure” à l’étranger contre des entreprises américaines.Il a annoncé mercredi, sous forme de représailles, “une nouvelle politique de restriction des visas qui s’appliquera aux responsables étrangers et aux personnes qui se rendent complices de la censure des Américains”, sans citer de noms.Le chef de la diplomatie américaine avait toutefois visé la semaine dernière le juge Alexandre de Moraes, de la Cour suprême brésilienne, qui s’est opposé à Elon Musk en bloquant temporairement son réseau social X au Brésil en 2024.L’administration de Donald Trump, lui-même très friand des réseaux sociaux, a aussi accusé ses alliés allemand et britannique d’avoir limité l’accès à certains discours qualifiés par ces deux pays de haineux.burs-rr/lgo

Displaced Syrians leave camps to pitch tents near destroyed homes

Aref Shamtan, 73, preferred to pitch a tent near his destroyed home in northwest Syria rather than stay in a camp for the displaced following longtime ruler Bashar al-Assad’s ouster.”I feel good here, even among the rubble,” Shamtan said, sipping tea at the tent near his field.When he and his son returned after Assad’s December 8 overthrow, Shamtan found his village of Al-Hawash, nestled among farmland in central Hama province, badly damaged.The roof of their house was gone and its walls were cracked.But “living in the rubble is better than living in the camps” near the border with Turkey, where he had been since 2011 after fleeing the fighting, Shamtan said.Since Islamist forces ousted Assad after nearly 14 years of war, 1.87 million Syrians who were refugees abroad or internally displaced have returned to their areas of origin, the United Nations’ International Organization for Migration says.The IOM says the “lack of economic opportunities and essential services pose the greatest challenge” for those returning home.Shamtan, who cannot afford to rebuild, decided around two months ago to leave the camp with his family and young grandchildren, and has started planting his farmland with wheat.Al-Hawash had been controlled by Assad’s forces and was along the front lines with neighbouring Idlib province, which became a bastion for opposition factions, particularly Hayat Tahrir al-Sham, the group that led the offensive that toppled Assad.- ‘Nothing here’ -“We can’t stay in the camps,” Shamtan insisted, even if “the village is all destroyed… and life is non-existent”, lacking basic services and infrastructure.”We decided… to live here until things improve. We are waiting for organisations and the state to help us,” he said.”Life is tough.”Local official Abdel Ghafour al-Khatib, 72, has also returned after fleeing in 2019 with his wife and children for a camp near the border.”I just wanted to get home. I was overjoyed… I returned and pitched a worn-out tent. Living in my village is the important thing,” he said.”Everyone wants to return,” he said. But many cannot even afford the transport to do so in a country where 90 percent of people live in poverty.”There is nothing here — no schools, no health clinics, no water and no electricity,” Khatib said, sitting on the ground in the tent near the remains of his home.The war, which erupted in 2011 after Assad’s brutal repression of anti-government protests, killed more than 500,000 people and displaced half of the pre-war population internally or abroad, with many fleeing to Idlib province.More than six million people remain internally displaced, according to the IOM.With the recent lifting of Western sanctions, Syria’s new authorities hope for international support to launch reconstruction, which the UN estimates could cost more than $400 billion.IOM chief Amy Pope said on Monday that “the lifting of sanctions sends a powerful message of hope to millions of displaced Syrians”, cautioning, however, that “hope must be matched with concrete support”.- ‘No home’ -After being repeatedly displaced, Souad Othman, 47, returned with her three daughters and son to Al-Hawash around a week ago.”Everything has changed — the homes are damaged and there is nothing left in their place,” said Othman, whose husband died during the war.The roof of her home has collapsed and its walls are cracked, but she still chose to return, eking out a living through manual labour.A small bed sits out in the open, protected only by blankets on a clothesline, with a makeshift cooking area set up on the rubble.She said she borrowed $80 to pay for a battery for two solar panels.”There are snakes and insects here. We can’t live without light during the night,” she said.AFP aerial footage of camps in northwest Syria showed some former structures empty of residents.Jalal al-Omar, 37, who is responsible for part of a camp near the village of Qah in Idlib province, said around 100 families had left for his home village of Treimsa in the Hama region.But around 700 other families cannot afford to return, he said, also noting the lack of infrastructure in Treimsa, where people have to travel miles just to buy bread.”People don’t want to stay in the camps, they want to return to their villages. But the lack of essential services… prevents their return,” he said.”I myself have no home. I’m waiting… for a place to shelter in the village,” he added.

Harvard settles lawsuit over enslaved ancestor images

Harvard University has agreed to settle a deeply emotional dispute over who has the rights to images of enslaved Africans taken in 1850 by a professor who sought to support a racist theory.The daguerrotypes, a precursor to modern photographs, are considered to be the earliest known images of Black American slaves, who were posed nude and semi-nude “without consent, dignity or compensation,” a 2019 lawsuit stated.The Cambridge institution has agreed to relinquish the images and has offered plaintiff Tamara Lanier a confidential monetary settlement.Lanier says she is a descendant of a slave known only by his first name, Renty, who was photographed nude, and his daughter Delia, who was photographed nude from the waist up, in images commissioned by Harvard biologist Louis Agassiz as supposed evidence of Black inferiority.The images were taken in South Carolina, and Lanier is advocating for them to be transferred to the International African American Museum there. Lanier accused the university of using them for advertising and commercial purposes, and denounced the use of Renty’s image on a cover of a $40 anthropology book it published in 2017.”Since Black Americans were first brought to this country in chains, our pain and trauma have been exploited for capitalistic gain,” said Lanier. Lanier claimed rights to the images 15 years ago, but Harvard has long-disputed the claim that she is Renty’s great-great-great-granddaughter.”As descendants of slaves, familial history and well-documented genealogy are a luxury that many Black Americans do not have,” Lanier said, who relied on her family’s oral history to determine the connection in lineage.In a statement on the settlement, Harvard said they have “long been eager” to steward “the daguerrotypes in a responsible manner.”In his time Agassiz, a Swiss-born biologist, was a renowned scientist who worked in geology. But Lanier’s attorney Ben Crump said Agassiz also supported polygenism, which was “used to justify both the ongoing enslavement of Black people prior to the Civil War and their segregation afterward.”The daguerrotypes were in the possession of Harvard’s Peabody Museum of Archaeology and Ethnology to date. “Harvard played a role in the darkest chapter in American history,” Lanier said. “This is a small step in the right direction towards fully acknowledging that history and working to rectify it.” The stain of Agassiz’s work has been controversial elsewhere, too. He had an elementary school named after him near Harvard — but local residents successfully demanded the name be changed to honor a long-serving Black principal Maria Louise Baldwin in 2002, citing his scientific racism.

Musk, “déçu” par Trump, quitte son rôle gouvernemental

Le multimilliardaire Elon Musk, qui vient de critiquer pour la première fois son grand allié Donald Trump, a confirmé qu’il mettait fin à sa mission de réduction de la dépense publique, après quatre mois d’une expérimentation sans précédent.”Alors que ma période prévue en tant qu’employé spécial du gouvernement touche à sa fin, je voudrais remercier le président Donald Trump de m’avoir donné l’occasion de réduire les dépenses inutiles”, a écrit mercredi l’homme d’affaires sur son réseau social X.”La mission +Doge+ (ndlr: le nom de sa commission à l’efficacité gouvernementale) va se renforcer encore à l’avenir pour devenir un mode de vie dans le gouvernement”, a affirmé le patron de Tesla, SpaceX et X.C’est un tout autre ton, beaucoup plus amer, qu’il a adopté dans un entretien à la chaîne CBS.”J’ai été déçu de voir ce projet de loi de dépenses massives – franchement – qui augmente le déficit budgétaire”, a déclaré Elon Musk dans une interview dont un extrait a été diffusé mardi soir, en référence à une grande loi économique du président républicain.Le patron de Tesla et SpaceX a aussi déploré auprès du Washington Post que Doge soit “en passe de devenir le bouc émissaire pour tout”.La “grande et belle loi”, telle que l’a baptisée Donald Trump, est en cours d’examen au Congrès et a pour objectif de mettre en application certaines promesses de campagne emblématiques, comme la prolongation de gigantesques crédits d’impôt .Selon une analyse d’une agence parlementaire sans affiliation politique, le texte en l’état entraînerait une hausse du déficit fédéral de 3.800 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie.- “Grande” ou “belle” -“Je pense qu’une loi peut être grande ou qu’elle peut être belle. Mais je ne sais pas si elle peut être les deux”, a déclaré Elon Musk, dont la mission doit officiellement bientôt s’achever, dans son interview à CBS News, laquelle sera diffusée en intégralité dimanche.Ce commentaire marque la première fissure publique dans une alliance politique proprement extraordinaire, née pendant la campagne de Donald Trump, qu’Elon Musk a généreusement financée, et renforcée pendant les débuts fracassants du second mandat du républicain.Le richissime entrepreneur d’origine sud-africaine et le président milliardaire de 78 ans ont été inséparables pendant les jours et semaines après l’investiture du 20 janvier.Avec Donald Trump dans le Bureau ovale, dans l’avion présidentiel, au conseil des ministres, sur la pelouse de la Maison Blanche pour une incroyable opération de promotion de Tesla… La haute silhouette d’Elon Musk, invariablement vêtu de noir et d’une casquette sur la tête, a été omniprésente, tandis que se succédaient les annonces de suppression d’aide internationale, de fermetures d’agences fédérales, de renvois massifs de fonctionnaires voulus par l’homme le plus riche du monde.- Frictions -Assez rapidement toutefois, des articles de presse ont fait état de frictions entre le protégé de Donald Trump et des ministres, excédés par ses méthodes jugées brutales ou son attitude perçue comme cassante.Sa mission était depuis le début conçue comme temporaire, son statut d'”employé spécial du gouvernement” étant limité à 130 jours.Elon Musk avait annoncé fin avril se mettre en retrait pour s’occuper davantage de ses entreprises, notamment Tesla, dont les ventes ont chuté au fur et à mesure que son patron devenait l’une des personnalités les plus clivantes du monde.Samedi, après une brève panne du réseau X, dont il est aussi propriétaire, il a écrit: “De retour à passer 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 au travail et à dormir dans des salles de conférence/serveur/usine”.Son immixtion dans les affaires de l’Etat fédéral a soulevé de nombreuses questions sur de potentiels conflits d’intérêt, en raison des importants contrats conclus entre l’administration et ses entreprises, ainsi que d’éventuelles régulations qui toucheraient ses secteurs d’activité.