US Supreme Court to hear Trump tariff case in November

The US Supreme Court on Tuesday agreed to hear arguments in November on the legality of President Donald Trump’s sweeping tariffs, after his administration asked for an expedited ruling on the issue.A lower court found that Trump exceeded his authority in tapping emergency economic powers to impose wide-ranging duties but allowed them to temporarily stay in place, giving the Republican leader time to take the fight to the top court.Since returning to the presidency in January, Trump has invoked the International Emergency Economic Powers Act to impose “reciprocal” tariffs on almost all US trading partners, with a 10-percent baseline level and higher rates for dozens of economies including the European Union and Japan.He tapped similar powers to slap separate tariffs on Mexico, Canada and China over what he said was the flow of deadly drugs into the United States.But several legal challenges have been filed against the tariffs, and the US Court of Appeals for the Federal Circuit ruled 7-4 last month that many of the levies were illegal, affirming a lower court’s finding.The appeals court ruling also cast doubt over deals Trump has struck with key trade partners such as the EU — raising the question of what would happen to the billions of dollars in tariffs already collected by the United States if the conservative-majority Supreme Court does not side with him.Trump’s administration asked the top court last week for an expedited ruling preserving the tariffs, saying the lower court decision has already damaged trade negotiations.In a sign of Trump’s ongoing efforts to strike trade deals, the president said Tuesday that talks with India would continue, despite strained ties since his imposition of 50-percent tariffs over New Delhi’s purchases of Russian oil.”I am pleased to announce that India, and the United States of America, are continuing negotiations to address the Trade Barriers between our two Nations,” Trump wrote on his Truth Social platform, adding he feels “certain that there will be no difficulty in coming to a successful conclusion” for both countries.Trump also said he would be speaking with India’s Prime Minister Narendra Modi “in the upcoming weeks.”

Macron nomme un proche, Sébastien Lecornu, à Matignon, un pari à haut risque

Emmanuel Macron a nommé mardi le ministre des Armées Sébastien Lecornu à Matignon, charge revenant à ce fidèle issu de la droite de trouver des “accords” avec les forces politiques avant de “proposer” un gouvernement. Une mission à haut risque face à la menace permanente d’une censure.A 39 ans, l’ex-sénateur normand, de tous les gouvernements d’Emmanuel Macron depuis 2017, devient son septième Premier ministre, et le quatrième en un an. Du jamais-vu dans une Ve République longtemps réputée pour sa stabilité mais entrée dans une crise sans précédent depuis la dissolution de l’Assemblée en juin 2024.Le président de la République, qui a reçu son nouveau chef de gouvernement mardi soir, l’a “chargé de consulter les forces politiques représentées au Parlement en vue d’adopter un budget pour la Nation et bâtir les accords indispensables aux décisions des prochains mois”, a annoncé l’Elysée. Le nouveau pensionnaire de Matignon a déjà entamé ses consultations, selon un conseiller de l’exécutif. “A la suite de ces discussions, il appartiendra au nouveau Premier ministre de proposer un gouvernement”, a ajouté la présidence, qui inverse donc la méthode.    Le chef de l’Etat lui a fixé comme priorités “la défense de notre indépendance et de notre puissance, le service des Français et la stabilité politique et institutionnelle pour l’unité du pays”, se disant “convaincu” qu’une entente est “possible” malgré une majorité introuvable depuis la dissolution ratée de 2024.”Nous sommes au travail, avec humilité, et nous allons tout faire pour y arriver”, a tweeté peu après Sébastien Lecornu sur X, assurant “mesurer les attentes” des Français et “les difficultés” qui l’attendent.La passation de pouvoir avec François Bayrou, qui a perdu son pari de la confiance lundi à l’Assemblée pour redresser les finances du pays, aura lieu mercredi à midi à Matignon. Elle va coïncider avec une journée de mobilisation pour bloquer le pays initiée par divers mouvements, avant une mobilisation syndicale le 18 septembre.Le chef des Républicains et ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau s’est aussitôt dit prêt à “trouver des accords” avec M. Lecornu afin de bâtir une “majorité nationale”, signifiant ainsi sa volonté de rester au gouvernement.- “Dernière cartouche”-Sébastien Lecornu “a les qualités” pour “discuter” et “trouver un accord” avec les autres partis, a jugé l’ex-Premier ministre Édouard Philippe, sur TF1.Le Rassemblement national et les Insoumis ont pour leur part dénoncé la proximité entre le président et son nouveau chef du gouvernement, promettant de continuer à manier la censure faute de changement de cap politique. “Le président tire la dernière cartouche du macronisme”, a ironisé Marine Le Pen sur X. Jean-Luc Mélenchon, dénonçant “une triste comédie de mépris du Parlement”, a de nouveau appelé au “départ de Macron”. Une “provocation” et “un non respect total des Français”, a renchéri la patronne des Ecologistes Marine Tondelier.Les socialistes, possibles interlocuteurs pour un accord de non-censure, seule voie de passage susceptible de garantir un minimum de stabilité, ont dans l’immédiat jugé que le chef de l’Etat prenait “le risque de la colère sociale” et “du blocage institutionnel”. Ils s’étaient eux-mêmes portés en vain candidats pour Matignon. Après avoir reconnu la défaite de son camp aux législatives post-dissolution, tenté une semi-cohabitation avec l’opposant Les Républicains Michel Barnier puis avec le centriste Bayrou, Emmanuel Macron s’en remet donc à un macroniste pur sucre qui a grimpé les échelons jusqu’à devenir ministre des Armées en 2022.Déjà en décembre dernier, il avait voulu le nommer à Matignon, mais son allié historique François Bayrou avait fini par s’imposer à lui.Cette fois, le président n’a pas tergiversé malgré une offre de service de la présidente de l’Assemblée Yaël Braun-Pivet, cette nomination express semblant indiquer que le scénario avait été soigneusement préparé en amont.A Sébastien Lecornu de résoudre désormais le casse-tête d’une Assemblée plus fragmentée que jamais, en suivant la demande du président de “travailler avec les socialistes” pour “élargir” l’assise de la fragile coalition avec la droite.- Concessions -Pour tenir, le futur gouvernement devra quoi qu’il en soit obtenir, a minima, une non-censure du PS, indispensable pour doter la France d’un budget pour 2026, dont la préparation vient de faire tomber le gouvernement sortant qui avait présenté un effort de 44 milliards d’euros. Le calendrier budgétaire menace déjà de dérailler en raison de cet énième soubresaut de la crise politique, après le retard inédit de l’an dernier.Et l’impasse politique risque d’agiter les marchés financiers, en attendant la décision de l’agence Fitch qui pourrait dégrader vendredi la note de la dette française. Mardi, la France a emprunté à échéance dix ans aussi cher que l’Italie, longtemps classée parmi les mauvais élèves en Europe. Selon un interlocuteur régulier d’Emmanuel Macron, ce dernier pourrait cette fois accepter que le Premier ministre fasse de réelles concessions aux socialistes, par exemple sur la taxation des plus riches, jusqu’ici un tabou pour lui.Emmanuel Macron le sait: s’il n’a que des cartes imparfaites entre les mains, l’atout qu’il a abattu risque d’être le dernier avant de devoir, en cas de nouvel échec, redissoudre l’Assemblée, comme l’y invite le Rassemblement national. En cas d’impasse prolongée, la pression monterait sur une démission d’Emmanuel Macron, espérée par l’extrême droite comme par La France insoumise.

Macron nomme un proche, Sébastien Lecornu, à Matignon, un pari à haut risque

Emmanuel Macron a nommé mardi le ministre des Armées Sébastien Lecornu à Matignon, charge revenant à ce fidèle issu de la droite de trouver des “accords” avec les forces politiques avant de “proposer” un gouvernement. Une mission à haut risque face à la menace permanente d’une censure.A 39 ans, l’ex-sénateur normand, de tous les gouvernements d’Emmanuel Macron depuis 2017, devient son septième Premier ministre, et le quatrième en un an. Du jamais-vu dans une Ve République longtemps réputée pour sa stabilité mais entrée dans une crise sans précédent depuis la dissolution de l’Assemblée en juin 2024.Le président de la République, qui a reçu son nouveau chef de gouvernement mardi soir, l’a “chargé de consulter les forces politiques représentées au Parlement en vue d’adopter un budget pour la Nation et bâtir les accords indispensables aux décisions des prochains mois”, a annoncé l’Elysée. Le nouveau pensionnaire de Matignon a déjà entamé ses consultations, selon un conseiller de l’exécutif. “A la suite de ces discussions, il appartiendra au nouveau Premier ministre de proposer un gouvernement”, a ajouté la présidence, qui inverse donc la méthode.    Le chef de l’Etat lui a fixé comme priorités “la défense de notre indépendance et de notre puissance, le service des Français et la stabilité politique et institutionnelle pour l’unité du pays”, se disant “convaincu” qu’une entente est “possible” malgré une majorité introuvable depuis la dissolution ratée de 2024.”Nous sommes au travail, avec humilité, et nous allons tout faire pour y arriver”, a tweeté peu après Sébastien Lecornu sur X, assurant “mesurer les attentes” des Français et “les difficultés” qui l’attendent.La passation de pouvoir avec François Bayrou, qui a perdu son pari de la confiance lundi à l’Assemblée pour redresser les finances du pays, aura lieu mercredi à midi à Matignon. Elle va coïncider avec une journée de mobilisation pour bloquer le pays initiée par divers mouvements, avant une mobilisation syndicale le 18 septembre.Le chef des Républicains et ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau s’est aussitôt dit prêt à “trouver des accords” avec M. Lecornu afin de bâtir une “majorité nationale”, signifiant ainsi sa volonté de rester au gouvernement.- “Dernière cartouche”-Sébastien Lecornu “a les qualités” pour “discuter” et “trouver un accord” avec les autres partis, a jugé l’ex-Premier ministre Édouard Philippe, sur TF1.Le Rassemblement national et les Insoumis ont pour leur part dénoncé la proximité entre le président et son nouveau chef du gouvernement, promettant de continuer à manier la censure faute de changement de cap politique. “Le président tire la dernière cartouche du macronisme”, a ironisé Marine Le Pen sur X. Jean-Luc Mélenchon, dénonçant “une triste comédie de mépris du Parlement”, a de nouveau appelé au “départ de Macron”. Une “provocation” et “un non respect total des Français”, a renchéri la patronne des Ecologistes Marine Tondelier.Les socialistes, possibles interlocuteurs pour un accord de non-censure, seule voie de passage susceptible de garantir un minimum de stabilité, ont dans l’immédiat jugé que le chef de l’Etat prenait “le risque de la colère sociale” et “du blocage institutionnel”. Ils s’étaient eux-mêmes portés en vain candidats pour Matignon. Après avoir reconnu la défaite de son camp aux législatives post-dissolution, tenté une semi-cohabitation avec l’opposant Les Républicains Michel Barnier puis avec le centriste Bayrou, Emmanuel Macron s’en remet donc à un macroniste pur sucre qui a grimpé les échelons jusqu’à devenir ministre des Armées en 2022.Déjà en décembre dernier, il avait voulu le nommer à Matignon, mais son allié historique François Bayrou avait fini par s’imposer à lui.Cette fois, le président n’a pas tergiversé malgré une offre de service de la présidente de l’Assemblée Yaël Braun-Pivet, cette nomination express semblant indiquer que le scénario avait été soigneusement préparé en amont.A Sébastien Lecornu de résoudre désormais le casse-tête d’une Assemblée plus fragmentée que jamais, en suivant la demande du président de “travailler avec les socialistes” pour “élargir” l’assise de la fragile coalition avec la droite.- Concessions -Pour tenir, le futur gouvernement devra quoi qu’il en soit obtenir, a minima, une non-censure du PS, indispensable pour doter la France d’un budget pour 2026, dont la préparation vient de faire tomber le gouvernement sortant qui avait présenté un effort de 44 milliards d’euros. Le calendrier budgétaire menace déjà de dérailler en raison de cet énième soubresaut de la crise politique, après le retard inédit de l’an dernier.Et l’impasse politique risque d’agiter les marchés financiers, en attendant la décision de l’agence Fitch qui pourrait dégrader vendredi la note de la dette française. Mardi, la France a emprunté à échéance dix ans aussi cher que l’Italie, longtemps classée parmi les mauvais élèves en Europe. Selon un interlocuteur régulier d’Emmanuel Macron, ce dernier pourrait cette fois accepter que le Premier ministre fasse de réelles concessions aux socialistes, par exemple sur la taxation des plus riches, jusqu’ici un tabou pour lui.Emmanuel Macron le sait: s’il n’a que des cartes imparfaites entre les mains, l’atout qu’il a abattu risque d’être le dernier avant de devoir, en cas de nouvel échec, redissoudre l’Assemblée, comme l’y invite le Rassemblement national. En cas d’impasse prolongée, la pression monterait sur une démission d’Emmanuel Macron, espérée par l’extrême droite comme par La France insoumise.

Macron nomme un proche, Sébastien Lecornu, à Matignon, un pari à haut risque

Emmanuel Macron a nommé mardi le ministre des Armées Sébastien Lecornu à Matignon, charge revenant à ce fidèle issu de la droite de trouver des “accords” avec les forces politiques avant de “proposer” un gouvernement. Une mission à haut risque face à la menace permanente d’une censure.A 39 ans, l’ex-sénateur normand, de tous les gouvernements d’Emmanuel Macron depuis 2017, devient son septième Premier ministre, et le quatrième en un an. Du jamais-vu dans une Ve République longtemps réputée pour sa stabilité mais entrée dans une crise sans précédent depuis la dissolution de l’Assemblée en juin 2024.Le président de la République, qui a reçu son nouveau chef de gouvernement mardi soir, l’a “chargé de consulter les forces politiques représentées au Parlement en vue d’adopter un budget pour la Nation et bâtir les accords indispensables aux décisions des prochains mois”, a annoncé l’Elysée. Le nouveau pensionnaire de Matignon a déjà entamé ses consultations, selon un conseiller de l’exécutif. “A la suite de ces discussions, il appartiendra au nouveau Premier ministre de proposer un gouvernement”, a ajouté la présidence, qui inverse donc la méthode.    Le chef de l’Etat lui a fixé comme priorités “la défense de notre indépendance et de notre puissance, le service des Français et la stabilité politique et institutionnelle pour l’unité du pays”, se disant “convaincu” qu’une entente est “possible” malgré une majorité introuvable depuis la dissolution ratée de 2024.”Nous sommes au travail, avec humilité, et nous allons tout faire pour y arriver”, a tweeté peu après Sébastien Lecornu sur X, assurant “mesurer les attentes” des Français et “les difficultés” qui l’attendent.La passation de pouvoir avec François Bayrou, qui a perdu son pari de la confiance lundi à l’Assemblée pour redresser les finances du pays, aura lieu mercredi à midi à Matignon. Elle va coïncider avec une journée de mobilisation pour bloquer le pays initiée par divers mouvements, avant une mobilisation syndicale le 18 septembre.Le chef des Républicains et ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau s’est aussitôt dit prêt à “trouver des accords” avec M. Lecornu afin de bâtir une “majorité nationale”, signifiant ainsi sa volonté de rester au gouvernement.- “Dernière cartouche”-Sébastien Lecornu “a les qualités” pour “discuter” et “trouver un accord” avec les autres partis, a jugé l’ex-Premier ministre Édouard Philippe, sur TF1.Le Rassemblement national et les Insoumis ont pour leur part dénoncé la proximité entre le président et son nouveau chef du gouvernement, promettant de continuer à manier la censure faute de changement de cap politique. “Le président tire la dernière cartouche du macronisme”, a ironisé Marine Le Pen sur X. Jean-Luc Mélenchon, dénonçant “une triste comédie de mépris du Parlement”, a de nouveau appelé au “départ de Macron”. Une “provocation” et “un non respect total des Français”, a renchéri la patronne des Ecologistes Marine Tondelier.Les socialistes, possibles interlocuteurs pour un accord de non-censure, seule voie de passage susceptible de garantir un minimum de stabilité, ont dans l’immédiat jugé que le chef de l’Etat prenait “le risque de la colère sociale” et “du blocage institutionnel”. Ils s’étaient eux-mêmes portés en vain candidats pour Matignon. Après avoir reconnu la défaite de son camp aux législatives post-dissolution, tenté une semi-cohabitation avec l’opposant Les Républicains Michel Barnier puis avec le centriste Bayrou, Emmanuel Macron s’en remet donc à un macroniste pur sucre qui a grimpé les échelons jusqu’à devenir ministre des Armées en 2022.Déjà en décembre dernier, il avait voulu le nommer à Matignon, mais son allié historique François Bayrou avait fini par s’imposer à lui.Cette fois, le président n’a pas tergiversé malgré une offre de service de la présidente de l’Assemblée Yaël Braun-Pivet, cette nomination express semblant indiquer que le scénario avait été soigneusement préparé en amont.A Sébastien Lecornu de résoudre désormais le casse-tête d’une Assemblée plus fragmentée que jamais, en suivant la demande du président de “travailler avec les socialistes” pour “élargir” l’assise de la fragile coalition avec la droite.- Concessions -Pour tenir, le futur gouvernement devra quoi qu’il en soit obtenir, a minima, une non-censure du PS, indispensable pour doter la France d’un budget pour 2026, dont la préparation vient de faire tomber le gouvernement sortant qui avait présenté un effort de 44 milliards d’euros. Le calendrier budgétaire menace déjà de dérailler en raison de cet énième soubresaut de la crise politique, après le retard inédit de l’an dernier.Et l’impasse politique risque d’agiter les marchés financiers, en attendant la décision de l’agence Fitch qui pourrait dégrader vendredi la note de la dette française. Mardi, la France a emprunté à échéance dix ans aussi cher que l’Italie, longtemps classée parmi les mauvais élèves en Europe. Selon un interlocuteur régulier d’Emmanuel Macron, ce dernier pourrait cette fois accepter que le Premier ministre fasse de réelles concessions aux socialistes, par exemple sur la taxation des plus riches, jusqu’ici un tabou pour lui.Emmanuel Macron le sait: s’il n’a que des cartes imparfaites entre les mains, l’atout qu’il a abattu risque d’être le dernier avant de devoir, en cas de nouvel échec, redissoudre l’Assemblée, comme l’y invite le Rassemblement national. En cas d’impasse prolongée, la pression monterait sur une démission d’Emmanuel Macron, espérée par l’extrême droite comme par La France insoumise.

Former Meta researchers testify company buried child safety studies

Meta systematically suppressed internal research highlighting serious child safety risks on its virtual reality platforms, according to allegations from current and former employees who testified to Congress on Tuesday.The social media giant deployed lawyers to screen, edit and sometimes veto sensitive safety research after facing congressional scrutiny in 2021, six researchers alleged. In their allegations, first revealed in the Washington Post, the whistleblowers claim Meta’s legal team sought to “establish plausible deniability” about negative effects of the company’s VR products on young users.Though a major money loser for the company that owns Facebook and Instagram, Meta is a leading force in the VR industry, primarily through its Quest lineup of devices, including the successful Quest 3.”Meta is aware that its VR platform is full of underage children. Meta purposely turns a blind eye to this knowledge, despite it being obvious to anyone using their products,” said former Meta researcher Cayce Savage at the US Senate hearing.According to the Post, internal documents show that after former Meta product manager Frances Haugen leaked damaging information about the company’s policies on content issues, the company imposed new rules on any research into “sensitive” topics including children, gender, race and harassment.This included advice to researchers to “be mindful” about how they framed studies, avoiding terms like “illegal” or saying something “violates” specific laws.But the documents reveal employees repeatedly warned that children under 13 were bypassing age restrictions to use Meta’s VR services, despite terms of service limiting access to users 13 and older.As early as 2017, one employee estimated that in some virtual rooms as many as 80 to 90 percent of users were underage, warning: “This is the kind of thing that eventually makes headlines — in a really bad way.”Speaking to the Post, Meta vehemently denied the allegations, with spokeswoman Dani Lever calling them a “predetermined and false narrative” based on cherry-picked examples.”We stand by our research team’s excellent work and are dismayed by these mischaracterizations of the team’s efforts,” Lever said, noting the company has developed various safety protections for young users.Researcher Jason Sattizahn told the Senate hearing that it was “very clear that Meta is incapable of change without being forced by Congress.””Whether it’s engagement or profits at any cost, they have, frankly, had unearned opportunities to correct their behavior, and they have not,” Sattizahn told senators.

US woman charged with registering her dog to vote

A US woman charged with registering her dog to vote appeared in court Tuesday facing charges that could see her jailed for six years.Laura Yourex, 62, posted a photograph on social media showing her dog Maya Jean wearing an “I voted” sticker after California’s 2021 gubernatorial election.Another post from October 2024 showed a photograph of Maya’s dog tag and a vote-by-mail ballot with the caption “maya is still getting her ballot” even though the dog had died.Yourex, of Costa Mesa, south of Los Angeles, reported herself to authorities over the alleged voter fraud last year.The local district attorney investigated and she was charged with multiple felonies including perjury, procuring or offering a false or forged document, casting a ballot when not entitled to vote, and registering a non-existent person to vote.After a brief court appearance Tuesday, in which she did not enter a plea, Yourex’s lawyer said his client had sought to highlight what she saw as defects in the system.”Laura Yourex sincerely regrets her unwise attempt to expose flaws in our state voting system, intending to improve it by demonstrating that even a dog can be registered to vote,” Jaime Coulter told reporters.Coulter said Yourex’s intention was “to have them investigate and ultimately improve our voting registration system.”Under California election law, citizens can be registered to vote if they submit an affidavit — signed under penalty of perjury — detailing their name, residence, mailing address, date of birth and political party preference.”Proof of residence or identification is not required for citizens to register to vote in state elections nor is it required to cast a ballot in state elections,” the Orange County District Attorney’s office said in a statement.Proof of residence and registration is required for first-time voters in a federal election, it said.”As a result, the 2022 primary ballot cast in Maya Jean’s name was challenged and rejected.”US voter roll security has become a huge issue in recent decades, with a constant drum beat from a swathe of the Republican Party charging — without evidence — that they are filled with non-citizens and dead people.

US stocks close at fresh records, digesting weak jobs data

US stock indices rocketed to fresh records as markets digested disappointing US jobs data, while political upheaval in France lifted the European country’s borrowing rate.The US Labor Department estimated that 911,000 fewer jobs were created in the United States than previously reported in a revision to data for the 12 months ending in March.The figures suggest the job market has been slowing for longer than previously thought, further bolstering the odds of Federal Reserve interest rate cuts following poor monthly reports for July and August.After last month’s big miss on US jobs creation, “these revisions suggest that jobs momentum is being lost from an even weaker position than originally thought,” said analysts at ING.Investors are now looking to consumer inflation data coming Thursday, since a hot reading could keep the Fed from cutting further as it looks to curb price increases.After sluggish trading early in the day, US indices picked up momentum throughout the session. The Dow, S&P 500 and Nasdaq all finished at records.In Asia, Tokyo’s Nikkei briefly spiked to a new record before ending lower amid hopes that whoever replaces Shigeru Ishiba as prime minister will unveil a fresh round of economic stimulus.Japan’s ruling Liberal Democratic Party will pick its new leader on October 4 to replace Ishiba, who resigned at the weekend after huge election setbacks.In Paris, the CAC 40 index moved higher after French Prime Minister Francois Bayrou submitted his resignation to President Emmanuel Macron in the wake of his government’s ousting.Bayrou on Monday suffered a crushing loss in a confidence vote he called in parliament, seeking support for more than 40 billion euros ($47 billion) in budget cuts to rein in France’s debt.France’s borrowing costs briefly exceeded those of traditional European debt-laggard Italy on Tuesday, ahead of an update on the country’s credit rating from Fitch on Friday. However, “for now, the market impact seems limited”, said Ipek Ozkardeskaya, a senior analyst at Swissquote Bank.Holger Schmieding, chief economist at Berenberg Bank, agreed that “a genuine financial crisis with a self-reinforcing doom loop (higher yields = bigger deficits = even higher yields…) remains quite unlikely for the time being”. Gold, an investment haven in uncertain times, extended its record run, hitting an all-time high of over $3,680 an ounce. Oil prices moved higher after Israel’s strikes on Qatar added to worries of a broadening of the Middle East conflict.- Mining merger -On the corporate front, British mining group Anglo American and its Canadian peer Teck Resources announced plans for a multi-billion-dollar merger, creating a behemoth of copper production and of other critical minerals.Anglo American shares ended nine percent higher in London, while Teck’s stock jumped 11.3 percent on the New York Stock Exchange. Shares in rival miners jumped on their coattails.Indonesian stocks and the rupiah tumbled after President Prabowo Subianto removed Finance Minister Sri Mulyani Indrawati in a cabinet reshuffle following fatal anti-government protests across the country.- Key figures at around 2110 GMT -New York – Dow: UP 0.4 percent at 45,711.34 (close)New York – S&P 500: UP 0.3 percent at 6,512.61 (close)New York – Nasdaq: UP 0.4 percent at 21,879.49 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,242.53 (close)Paris – CAC 40: UP 0.2 percent at 7,749.39 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.4 percent at 23,718.45 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.4 percent at 43,459.29 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.2 percent at 25,938.13 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.5 percent at 3,807.29 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1707 from $1.1763 on MondayPound/dollar: DOWN at $1.3527 from $1.3545 Dollar/yen: DOWN at 147.42 from 147.50 yen Euro/pound: DOWN at 86.57 pence from 86.84 penceBrent North Sea Crude: UP 0.6 percent at $66.39 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.6 percent at $62.63 per barrelburs-jmb/arp

Mondial-2026: la Norvège écrase la Moldavie 11-1, quintuplé d’Haaland

La Norvège d’Erling Haaland, auteur d’un quintuplé, a étrillé la Moldavie 11-1, mardi à Oslo, lors de son cinquième match de qualification au Mondial-2026.Déjà victorieux 5-0 face aux Moldaves à Chisinau en mars, les Norvégiens ont été plus impitoyables encore à domicile, porté par les cinq buts de leur star Haaland mais aussi les quatre réalisations de Thelo Aasgaard, le jeune milieu offensif des Rangers (23 ans).Felix Horn Myhre et Martin Odegaard sont les deux autres buteurs norvégiens alors que l’unique but de la  Moldavie a été inscrit par un… Norvégien, Leo Ostigard, contre son camp.Après cette démonstration, la Norvège conforte un peu plus sa place de leader du groupe I avec 15 points, soit six de plus que l’Italie (2e), victorieuse la veille 5-4 d’Israël (3e), mais qui compte un match en moins.L’Estonie est 4e du groupe devant la Moldavie, dernière en raison de ses cinq défaites en autant de matches et ses 25 buts encaissés.