Brazilian ‘Superman’ cheers child cancer patients in GhanaSat, 15 Nov 2025 11:53:18 GMT

The three-storey Child Health Department of the Korle Bu Teaching Hospital in Ghana’s capital Accra is a place with hushed corridors, laboured breathing and parents clutching on to hope.But on Friday, the gloom gave way to shrieks of joy as children with drips taped to their arms sat upright for the first time in days.Others, …

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Verdun: messe à huis clos en hommage à Pétain

L’hommage “au maréchal Pétain et à ses soldats” a démarré samedi à Verdun dans une église strictement réservée aux membres de l’association organisatrice, a indiqué le préfet de la Meuse, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient devant le bâtiment religieux.”Un tout petit nombre” de personnes, “une vingtaine au maximum”, assistait à cet office en l’église Saint-Jean-Baptiste, a déclaré à l’AFP le préfet Xavier Delarue.”Les choses sont organisées de façon à ce que l’église soit fermée et réservée aux membres de l’association”, a-t-il expliqué.Le maire de la ville, Samuel Hazard, avait pris un arrêté interdisant cette messe par crainte de “trouble à l’ordre public”, qui a été retoqué vendredi par le tribunal administratif de Nancy.Le préfet a précisé s’être entretenu avant la cérémonie avec le prêtre célébrant la messe, afin de s’assurer que les règles découlant de la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat soient respectées, à savoir qu’aucune prise de parole ou de distribution de tracts de nature politique n’ait lieu.A l’extérieur, un photographe de l’AFP a dénombré une vingtaine de policiers et gendarmes, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient dans le calme, entonnant la Marseillaise.”J’ai mis en place un dispositif visant à éviter les contacts” entre les manifestants et les personnes venues assister à la messe, a indiqué le préfet.Plusieurs élus étaient présents à la manifestation avec leur écharpe tricolore.”Je suis profondément heurté, parce que je pense à toutes les victimes de la barbarie nazie et de la révolution nationale, l’idéologie du maréchal Pétain”, a déclaré à la presse Samuel Hazard (divers gauche).”C’est pas possible qu’on dérive comme cela”, a déclaré une paroissienne, Mariette Descamps, portant une pancarte où l’on pouvait lire “Catho pas facho”. “Je suis désolée de ce qui se passe aujourd’hui”, a-t-elle dit.L’office à l’origine de la polémique était organisé par l’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (ADMP).Cette association avait été autorisée par l’archevêque-évêque de Metz, administrateur apostolique de Verdun, à célébrer la messe pour le repos de l’âme du maréchal Pétain et des victimes de toutes les guerres.Philippe Pétain, héros de la Première Guerre mondiale puis chef du régime de Vichy qui collabora avec l’Allemagne nazie, a été frappé d’indignité nationale en 1945.

Verdun: messe à huis clos en hommage à Pétain

L’hommage “au maréchal Pétain et à ses soldats” a démarré samedi à Verdun dans une église strictement réservée aux membres de l’association organisatrice, a indiqué le préfet de la Meuse, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient devant le bâtiment religieux.”Un tout petit nombre” de personnes, “une vingtaine au maximum”, assistait à cet office en l’église Saint-Jean-Baptiste, a déclaré à l’AFP le préfet Xavier Delarue.”Les choses sont organisées de façon à ce que l’église soit fermée et réservée aux membres de l’association”, a-t-il expliqué.Le maire de la ville, Samuel Hazard, avait pris un arrêté interdisant cette messe par crainte de “trouble à l’ordre public”, qui a été retoqué vendredi par le tribunal administratif de Nancy.Le préfet a précisé s’être entretenu avant la cérémonie avec le prêtre célébrant la messe, afin de s’assurer que les règles découlant de la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat soient respectées, à savoir qu’aucune prise de parole ou de distribution de tracts de nature politique n’ait lieu.A l’extérieur, un photographe de l’AFP a dénombré une vingtaine de policiers et gendarmes, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient dans le calme, entonnant la Marseillaise.”J’ai mis en place un dispositif visant à éviter les contacts” entre les manifestants et les personnes venues assister à la messe, a indiqué le préfet.Plusieurs élus étaient présents à la manifestation avec leur écharpe tricolore.”Je suis profondément heurté, parce que je pense à toutes les victimes de la barbarie nazie et de la révolution nationale, l’idéologie du maréchal Pétain”, a déclaré à la presse Samuel Hazard (divers gauche).”C’est pas possible qu’on dérive comme cela”, a déclaré une paroissienne, Mariette Descamps, portant une pancarte où l’on pouvait lire “Catho pas facho”. “Je suis désolée de ce qui se passe aujourd’hui”, a-t-elle dit.L’office à l’origine de la polémique était organisé par l’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (ADMP).Cette association avait été autorisée par l’archevêque-évêque de Metz, administrateur apostolique de Verdun, à célébrer la messe pour le repos de l’âme du maréchal Pétain et des victimes de toutes les guerres.Philippe Pétain, héros de la Première Guerre mondiale puis chef du régime de Vichy qui collabora avec l’Allemagne nazie, a été frappé d’indignité nationale en 1945.

Verdun: messe à huis clos en hommage à Pétain

L’hommage “au maréchal Pétain et à ses soldats” a démarré samedi à Verdun dans une église strictement réservée aux membres de l’association organisatrice, a indiqué le préfet de la Meuse, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient devant le bâtiment religieux.”Un tout petit nombre” de personnes, “une vingtaine au maximum”, assistait à cet office en l’église Saint-Jean-Baptiste, a déclaré à l’AFP le préfet Xavier Delarue.”Les choses sont organisées de façon à ce que l’église soit fermée et réservée aux membres de l’association”, a-t-il expliqué.Le maire de la ville, Samuel Hazard, avait pris un arrêté interdisant cette messe par crainte de “trouble à l’ordre public”, qui a été retoqué vendredi par le tribunal administratif de Nancy.Le préfet a précisé s’être entretenu avant la cérémonie avec le prêtre célébrant la messe, afin de s’assurer que les règles découlant de la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat soient respectées, à savoir qu’aucune prise de parole ou de distribution de tracts de nature politique n’ait lieu.A l’extérieur, un photographe de l’AFP a dénombré une vingtaine de policiers et gendarmes, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient dans le calme, entonnant la Marseillaise.”J’ai mis en place un dispositif visant à éviter les contacts” entre les manifestants et les personnes venues assister à la messe, a indiqué le préfet.Plusieurs élus étaient présents à la manifestation avec leur écharpe tricolore.”Je suis profondément heurté, parce que je pense à toutes les victimes de la barbarie nazie et de la révolution nationale, l’idéologie du maréchal Pétain”, a déclaré à la presse Samuel Hazard (divers gauche).”C’est pas possible qu’on dérive comme cela”, a déclaré une paroissienne, Mariette Descamps, portant une pancarte où l’on pouvait lire “Catho pas facho”. “Je suis désolée de ce qui se passe aujourd’hui”, a-t-elle dit.L’office à l’origine de la polémique était organisé par l’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (ADMP).Cette association avait été autorisée par l’archevêque-évêque de Metz, administrateur apostolique de Verdun, à célébrer la messe pour le repos de l’âme du maréchal Pétain et des victimes de toutes les guerres.Philippe Pétain, héros de la Première Guerre mondiale puis chef du régime de Vichy qui collabora avec l’Allemagne nazie, a été frappé d’indignité nationale en 1945.

Nine killed in accidental explosion at Indian Kashmir police station

Nine people were killed and 31 injured when confiscated explosives accidentally blew up at a police station in Indian-administered Kashmir, police said Saturday, just days after a car blast in Delhi killed a dozen people.The incident happened in Nowgam and the explosives at the police station were recovered from Faridabad in the northern state of Haryana earlier this week, just hours before the powerful blast in Delhi that killed 12 people.Samples from the recovered material were being sent for further forensic examination since Thursday, the region’s director general of police Nalin Prabhat said, and the procedure was being handled with “utmost caution” due to its “unstable and sensitive nature”.”However, unfortunately during this course (on Friday) around 11:20 pm, an accidental explosion has taken place. Any other speculation into the cause of this incident is unnecessary,” he told reporters.The victims included police personnel, forensic team members and two crime photographers and other members from the local administration.”The building of the police station has been severely damaged and the adjacent buildings have been affected,” he added.Local media reported that the militant organisation People’s Anti-Fascist Front (PAFF), said to be close to the Jaish-e-Mohammed (JeM) group, had taken responsibility for the explosion, but the region’s police dismissed the claims.Attacks blamed on JeM include the 2001 assault on India’s parliament, and the 2019 Pulwama suicide bombing, which killed 40 security personnel.”The claim of PAFF or any other Pakistani terrorist group is patently false, baseless and mischievous!” the Jammu and Kashmir police said in a post on X. The explosion comes just days after powerful blast on Monday killed at least 12 people and wounded 30 others in the Indian capital New Delhi.It was the most significant security incident since April 22, when 26 mainly Hindu civilians were killed at the tourist site of Pahalgam in Indian-administered Kashmir, triggering clashes with Pakistan.India’s government on Wednesday vowed to bring the “perpetrators, their collaborators, and their sponsors” of the deadly car blast in the heart of the capital to justice and called it an act of terrorism.

La gauche unitaire espère se rendre incontournable pour 2027

La gauche unitaire, qui défend une candidature commune pour la présidentielle de 2027, se réunit samedi à Trappes (Yvelines) afin d’avancer sur son programme et faire la démonstration d’une union incontournable, malgré des positions très divergentes à l’Assemblée.Ils avaient fait “le serment”, en juillet dernier à Bagneux (Hauts-de-Seine), d’avoir un “candidat commun” pour 2027: le patron du PS Olivier Faure, la cheffe des Ecologistes Marine Tondelier, les ex-députés LFI Clémentine Autain (L’après) et François Ruffin (Debout!) ainsi que le coordinateur de Génération.s Benjamin Lucas se retrouvent avec l’égérie de l’union de la gauche en 2024, Lucie Castets, pour donner un aspect plus concret à cette promesse.Première manifestation du “Front populaire 2027”, comme ils se nomment, la convention organisée à Trappes porte sur le thème de l’éducation, pour faire la démonstration que le processus d’union existe, “dans un moment où on a l’impression que les voix de gauche sont chaotiques”, explique le secrétaire général du PS Pierre Jouvet. Depuis juillet, les unitaires ont surtout échangé lors de réunions de travail hebdomadaires, pour avancer sur les questions programmatiques mais aussi sur les modalités de désignation du candidat commun – possiblement via une primaire – pour un choix “entre mai et octobre 2026″ de candidat à la présidentielle.”On annoncera des petites précisions sur le calendrier de cette primaire”, a promis samedi matin sur France 2 Marine Tondelier, en assurant que “toutes les modalités” seront connues “d’ici la fin de l’année”.Mais les deux candidats de gauche les mieux placés dans les sondages, le leader de LFI Jean-Luc Mélenchon et le dirigeant de Place publique Raphaël Glucksmann, sur deux lignes antagonistes, refusent toute participation à ce processus, persuadés de pouvoir s’imposer dans les sondages pour incarner le vote utile.Le PCF n’a pas non plus souhaité à ce stade s’intégrer à cette volonté d’union, même si les communistes “ne sont pas loin”, veut croire le sénateur écologiste Thomas Dossus. “La gauche ne peut pas se payer le luxe de la division en ce moment”, assure-t-il.Le sujet est d’avancer sur le processus, pour que, “une fois la date fixée”, il devienne “incontournable pour tous, y compris pour Glucksmann et LFI”, ajoute Thomas Dossus, espérant atteindre “le niveau de mobilisation de la primaire de François Hollande en 2011, c’est-à-dire entre un et deux millions de personnes”.- “Jospin 2002” -A ce stade, trois candidats sont déjà déclarés pour cette primaire: François Ruffin, Clémentine Autain et Marine Tondelier, qui devrait officiellement être désignée par son parti début décembre. Le PS devrait aussi présenter un candidat, mais le processus n’a pas le soutien de tout le parti. “Pour que Faure y aille, il faudrait que son parti soit d’accord pour se ranger derrière Tondelier si elle gagne, ça n’arrivera pas”, pressent un responsable de Place publique.”C’est avoir assez peu confiance en notre capacité de gagner”, regrette Pierre Jouvet. “Moi, je n’ai pas peur de me confronter au peuple de gauche”, dit-il.   “La primaire se fera”, assure un député socialiste, et le processus sera soumis à l’avis des adhérents du PS, mais “le vrai sujet c’est: est-ce qu’elle a du sens si Raphaël Glucksmann ne vient pas dedans?””On tient nos promesses. Je le dis à celles et ceux qui s’inquiètent qu’on n’y arrive pas: on ne va pas vous lâcher”, a lancé Marine Tondelier sur France 2.Il reste aussi difficile de pousser la stratégie d’union, quand les différents partenaires ont défendu des positions très différentes dans l’hémicycle sur le budget.Il faut montrer “qu’en dehors du bocal de l’Assemblée et les psychodrames de certains amendements, il y a quand même une gauche qui se met en ordre de bataille”, insiste Thomas Dossus, pour qui les différences de positions seront tranchées par la primaire.Cet événement intervient la veille d’un rassemblement d’une autre partie de la gauche, celle représentant la social-démocratie, réunie dimanche à Pontoise autour de l’ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve. Raphaël Glucksmann y sera présent. Pas de quoi inquiéter les unitaires. “Si Raphaël Glucksmann zappe la primaire, il n’échappera pas à la fragmentation de la gauche. Il aura face à lui Ruffin, Tondelier et Roussel, voire plus”, estime un député socialiste: “Ce sera Jospin 2002.”