Trêve à Gaza: Israël envoie une équipe de négociateurs au Qatar

Israël a annoncé samedi soir l’envoi d’une équipe de négociateurs au Qatar dimanche en vue d’aboutir à un accord de cessez-le-feu et de libération d’otages dans la bande de Gaza, où les opérations de l’armée israélienne ont fait 42 morts samedi, selon la Défense civile locale.Le mouvement islamiste palestinien Hamas avait annoncé vendredi soir être prêt à “engager immédiatement” des négociations sur une proposition de trêve parrainée par les Etats-Unis et transmise par la médiation du Qatar et de l’Egypte, à laquelle il avait dit avoir présenté “sa réponse”, sans plus de détail sur son contenu.Dans un communiqué publié peu avant minuit (21H00 GMT) samedi, le Bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a indiqué avoir été notifié des “changements que le Hamas cherche à apporter à la proposition” de trêve, et les a jugés “inacceptables”.M. Netanyahu a néanmoins “donné l’instruction de répondre à l’invitation pour des pourparlers indirects et de poursuivre les efforts en vue de récupérer nos otages sur la base de la proposition qatarie qu’Israël a acceptée”, ajoute le texte, précisant que “l’équipe de négociation se rendra demain (dimanche) pour des discussions au Qatar”.Deux sources palestiniennes proches des discussions ont indiqué à l’AFP que la proposition soumise au Hamas comprend une trêve de 60 jours, pendant laquelle le mouvement islamiste relâcherait 10 otages encore en vie, ainsi qu’un certain nombre de corps, en échange de la libération de Palestiniens détenus par Israël.- “Accord global” -Sur les 251 personnes enlevées au premier jour de la guerre déclenchée le 7 octobre 2023 par l’attaque du Hamas sur le sol israélien, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.Selon les deux sources palestiniennes, les changements demandés par le Hamas par rapport au document qui lui été remis portent sur les modalités du retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza, des garanties qu’il souhaite obtenir sur la poursuite de l’arrêt des combats après la période de  60 jours, et sur une reprise en main de la distribution de l’aide humanitaire par l’ONU et des organisations internationales reconnues.Le président américain Donald Trump, qui doit accueillir lundi à Washington le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, a estimé qu’un accord pourrait être conclu “la semaine prochaine”.Le chef de la diplomatie égyptienne, Badr Abdelatty, a, selon son ministère, discuté au téléphone avec l’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, des “préparatifs en vue de la tenue de réunions indirectes entre les deux parties concernées”.A l’occasion d’un rassemblement hebdomadaire à Tel-Aviv, le Forum des familles d’otages a de nouveau appelé les dirigeants israéliens à un “accord global” qui permettrait la libération de tous les captifs, d’un seul coup.”Il est temps de conclure un accord qui sauve tout le monde (…) sans sélection”, a déclaré à la tribune Macabit Mayer, la tante de deux otages, Gali et Ziv Berman. “Quel dieu peut composer une telle liste? Et qu’est-ce que ça veut dire pour nous: qu’un seul est sauvé et que l’autre reste captif?”Sur le terrain, l’armée israélienne étend son offensive militaire dans la bande de Gaza, plongée dans une situation humanitaire critique près de 21 mois après le début des hostilités.Selon Mahmoud Bassal, porte-parole de la Défense civile gazaouie, une organisation de premiers secours, 42 personnes y ont été tuées samedi.- “Saboter l’aide” -Contactée par l’AFP, l’armée israélienne a déclaré ne pas être en mesure de faire de commentaires sur des frappes en particulier en l’absence de coordonnées géographiques précises. Elle a par ailleurs indiqué avoir intercepté au-dessus du sol israélien deux “projectiles” en provenance du sud de Gaza. La Fondation humanitaire de Gaza (GHF), organisation soutenue par les Etats-Unis et Israël et avec laquelle les Nations unies refusent de travailler – a elle annoncé que deux de ses employés américains avaient été blessés dans un “attentat”, à la grenade, contre un de ses centres de distribution d’aide, sans que leur pronostic vital ne soit engagé.”Les organisations terroristes (…) poursuivent leurs efforts pour saboter la distribution de l’aide humanitaire”, a estimé l’armée israélienne.Compte tenu des restrictions imposées aux médias et des difficultés d’accès à Gaza, il est extrêmement difficile pour l’AFP de vérifier de manière indépendante les affirmations des différentes parties.L’attaque du 7-Octobre a fait 1.219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.Au moins 57.338 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne de représailles israéliennes à Gaza, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Trêve à Gaza: Israël envoie une équipe de négociateurs au Qatar

Israël a annoncé samedi soir l’envoi d’une équipe de négociateurs au Qatar dimanche en vue d’aboutir à un accord de cessez-le-feu et de libération d’otages dans la bande de Gaza, où les opérations de l’armée israélienne ont fait 42 morts samedi, selon la Défense civile locale.Le mouvement islamiste palestinien Hamas avait annoncé vendredi soir être prêt à “engager immédiatement” des négociations sur une proposition de trêve parrainée par les Etats-Unis et transmise par la médiation du Qatar et de l’Egypte, à laquelle il avait dit avoir présenté “sa réponse”, sans plus de détail sur son contenu.Dans un communiqué publié peu avant minuit (21H00 GMT) samedi, le Bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a indiqué avoir été notifié des “changements que le Hamas cherche à apporter à la proposition” de trêve, et les a jugés “inacceptables”.M. Netanyahu a néanmoins “donné l’instruction de répondre à l’invitation pour des pourparlers indirects et de poursuivre les efforts en vue de récupérer nos otages sur la base de la proposition qatarie qu’Israël a acceptée”, ajoute le texte, précisant que “l’équipe de négociation se rendra demain (dimanche) pour des discussions au Qatar”.Deux sources palestiniennes proches des discussions ont indiqué à l’AFP que la proposition soumise au Hamas comprend une trêve de 60 jours, pendant laquelle le mouvement islamiste relâcherait 10 otages encore en vie, ainsi qu’un certain nombre de corps, en échange de la libération de Palestiniens détenus par Israël.- “Accord global” -Sur les 251 personnes enlevées au premier jour de la guerre déclenchée le 7 octobre 2023 par l’attaque du Hamas sur le sol israélien, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.Selon les deux sources palestiniennes, les changements demandés par le Hamas par rapport au document qui lui été remis portent sur les modalités du retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza, des garanties qu’il souhaite obtenir sur la poursuite de l’arrêt des combats après la période de  60 jours, et sur une reprise en main de la distribution de l’aide humanitaire par l’ONU et des organisations internationales reconnues.Le président américain Donald Trump, qui doit accueillir lundi à Washington le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, a estimé qu’un accord pourrait être conclu “la semaine prochaine”.Le chef de la diplomatie égyptienne, Badr Abdelatty, a, selon son ministère, discuté au téléphone avec l’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, des “préparatifs en vue de la tenue de réunions indirectes entre les deux parties concernées”.A l’occasion d’un rassemblement hebdomadaire à Tel-Aviv, le Forum des familles d’otages a de nouveau appelé les dirigeants israéliens à un “accord global” qui permettrait la libération de tous les captifs, d’un seul coup.”Il est temps de conclure un accord qui sauve tout le monde (…) sans sélection”, a déclaré à la tribune Macabit Mayer, la tante de deux otages, Gali et Ziv Berman. “Quel dieu peut composer une telle liste? Et qu’est-ce que ça veut dire pour nous: qu’un seul est sauvé et que l’autre reste captif?”Sur le terrain, l’armée israélienne étend son offensive militaire dans la bande de Gaza, plongée dans une situation humanitaire critique près de 21 mois après le début des hostilités.Selon Mahmoud Bassal, porte-parole de la Défense civile gazaouie, une organisation de premiers secours, 42 personnes y ont été tuées samedi.- “Saboter l’aide” -Contactée par l’AFP, l’armée israélienne a déclaré ne pas être en mesure de faire de commentaires sur des frappes en particulier en l’absence de coordonnées géographiques précises. Elle a par ailleurs indiqué avoir intercepté au-dessus du sol israélien deux “projectiles” en provenance du sud de Gaza. La Fondation humanitaire de Gaza (GHF), organisation soutenue par les Etats-Unis et Israël et avec laquelle les Nations unies refusent de travailler – a elle annoncé que deux de ses employés américains avaient été blessés dans un “attentat”, à la grenade, contre un de ses centres de distribution d’aide, sans que leur pronostic vital ne soit engagé.”Les organisations terroristes (…) poursuivent leurs efforts pour saboter la distribution de l’aide humanitaire”, a estimé l’armée israélienne.Compte tenu des restrictions imposées aux médias et des difficultés d’accès à Gaza, il est extrêmement difficile pour l’AFP de vérifier de manière indépendante les affirmations des différentes parties.L’attaque du 7-Octobre a fait 1.219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.Au moins 57.338 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne de représailles israéliennes à Gaza, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Inondations au Texas: recherches sans relâche d’une trentaine d’enfants

Les secours recherchent sans relâche samedi une trentaine d’enfants portés disparus au Texas, dans le sud des Etats-Unis, au lendemain de violentes inondations qui ont fait au moins 32 morts selon un bilan encore provisoire.Ces inondations ont été provoquées la veille, jour de la fête nationale américaine, par des pluies diluviennes dans le centre du Texas. Des alertes aux précipitations et inondations ont été maintenues jusque dans la soirée.”Il y a 32 personnes décédées, 18 adultes et 14 enfants”, a déclaré le shérif du comté de Kerr, Larry Lethia.Parmi les quelque 750 enfants qui participaient à un camp d’été chrétien pour filles sur les rives du fleuve Guadalupe, 27 manquent toujours à l’appel, a-t-il précisé lors d’une conférence de presse.”Nous rechercherons inlassablement chaque personne victime de cette inondation. Nous ne nous arrêterons ni aujourd’hui ni demain, nous nous arrêterons quand le travail sera fini”, a assuré le gouverneur du Texas, Greg Abbott, lors de cette conférence de presse à laquelle participait la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.Sur le site du camp de vacances, l’eau s’était largement retirée samedi, laissant un paysage de dévastation de dizaines de voitures échouées, certaines coincées dans des arbres, et de végétation arrachée, ont constaté des journalistes de l’AFP.La désolation règne à l’intérieur des chalets qui accueillaient les fillettes, le sol est recouvert de boue et les fenêtres brisées témoignent de la violence des flots.Michael, 40 ans, explique être venu en voiture d’Austin, la capitale de l’Etat à environ 150 km à l’est, vendredi matin, dès qu’il a appris la nouvelle par courrier électronique, pour chercher sa fille de 8 ans, dont il a retrouvé quelques affaires.”Nous étions à Kerrville toute la journée d’hier dans les cellules de crise et ce matin quand nous avons entendu dire qu’il pourrait y avoir des gens ici, mon frère et moi sommes venus en camion aussi vite que possible pour voir si nous pouvions trouver quoi que ce soit”, explique-t-il.Plusieurs équipes de secours quadrillent le secteur à la recherche des disparus.- Centaines de secouristes -Environ 500 secouristes et 14 hélicoptères ont été déployés, tandis que la Garde nationale du Texas et les garde-côtes ont envoyé des renforts.Selon les autorités, le niveau du fleuve Guadalupe est monté vendredi d’environ huit mètres en 45 minutes, au cours desquelles il est tombé “près de 300 millimètres/heure” de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes.Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l’activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules.Des pluies et des alertes aux inondations persistent dans la région jusqu’à 22H00 locales (03H00 GMT dimanche), ont annoncé les services météorologiques dans un bulletin en fin d’après-midi.Mi-juin, 13 personnes avaient péri en raison d’inondations à San Antonio, non loin de la zone touchée vendredi, à la suite de pluies diluviennes.

Inondations au Texas: recherches sans relâche d’une trentaine d’enfants

Les secours recherchent sans relâche samedi une trentaine d’enfants portés disparus au Texas, dans le sud des Etats-Unis, au lendemain de violentes inondations qui ont fait au moins 32 morts selon un bilan encore provisoire.Ces inondations ont été provoquées la veille, jour de la fête nationale américaine, par des pluies diluviennes dans le centre du Texas. Des alertes aux précipitations et inondations ont été maintenues jusque dans la soirée.”Il y a 32 personnes décédées, 18 adultes et 14 enfants”, a déclaré le shérif du comté de Kerr, Larry Lethia.Parmi les quelque 750 enfants qui participaient à un camp d’été chrétien pour filles sur les rives du fleuve Guadalupe, 27 manquent toujours à l’appel, a-t-il précisé lors d’une conférence de presse.”Nous rechercherons inlassablement chaque personne victime de cette inondation. Nous ne nous arrêterons ni aujourd’hui ni demain, nous nous arrêterons quand le travail sera fini”, a assuré le gouverneur du Texas, Greg Abbott, lors de cette conférence de presse à laquelle participait la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.Sur le site du camp de vacances, l’eau s’était largement retirée samedi, laissant un paysage de dévastation de dizaines de voitures échouées, certaines coincées dans des arbres, et de végétation arrachée, ont constaté des journalistes de l’AFP.La désolation règne à l’intérieur des chalets qui accueillaient les fillettes, le sol est recouvert de boue et les fenêtres brisées témoignent de la violence des flots.Michael, 40 ans, explique être venu en voiture d’Austin, la capitale de l’Etat à environ 150 km à l’est, vendredi matin, dès qu’il a appris la nouvelle par courrier électronique, pour chercher sa fille de 8 ans, dont il a retrouvé quelques affaires.”Nous étions à Kerrville toute la journée d’hier dans les cellules de crise et ce matin quand nous avons entendu dire qu’il pourrait y avoir des gens ici, mon frère et moi sommes venus en camion aussi vite que possible pour voir si nous pouvions trouver quoi que ce soit”, explique-t-il.Plusieurs équipes de secours quadrillent le secteur à la recherche des disparus.- Centaines de secouristes -Environ 500 secouristes et 14 hélicoptères ont été déployés, tandis que la Garde nationale du Texas et les garde-côtes ont envoyé des renforts.Selon les autorités, le niveau du fleuve Guadalupe est monté vendredi d’environ huit mètres en 45 minutes, au cours desquelles il est tombé “près de 300 millimètres/heure” de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes.Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l’activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules.Des pluies et des alertes aux inondations persistent dans la région jusqu’à 22H00 locales (03H00 GMT dimanche), ont annoncé les services météorologiques dans un bulletin en fin d’après-midi.Mi-juin, 13 personnes avaient péri en raison d’inondations à San Antonio, non loin de la zone touchée vendredi, à la suite de pluies diluviennes.

Iran’s Khamenei makes first public appearance since Israel war: state media

Iran’s supreme leader Ayatollah Ali Khamenei on Saturday made his first public appearance since the outbreak of his country’s recent 12-day war with Israel, taking part in a religious ceremony in Tehran, state media reported.The octogenarian leader was shown in a video broadcast by state television greeting people and being cheered at a mosque as worshippers marked the anniversary of the martyrdom of Imam Hussein, an important date for Shia Muslims.Khamenei, 86, can be seen on stage dressed in black as the crowd before him, fists in the air, chants “The blood in our veins for our leader!”State TV said the clip was filmed at central Tehran’s Imam Khomeini Mosque, named for the founder of the Islamic republic.Khamenei, in power since 1989, spoke last week in a pre-recorded video, but had not been seen in public since before Israel initiated the conflict with a wave of surprise air strikes on June 13.His last public appearance was two days before that, when he met with members of parliament.Israel’s bombing campaign followed a decades-long shadow war with Iran, and was aimed at preventing it from developing a nuclear weapon — an ambition Tehran has consistently denied.The strikes killed more than 900 people in Iran, its judiciary has said, while retaliatory Iranian missile barrages aimed at Israeli cities killed at least 28 people there, according to official figures.

Modi and Milei meet in Argentina ahead of BRICS summit

Indian Prime Minister Narendra Modi met Argentine President Javier Milei in Buenos Aires on Saturday, urging the expansion of New Delhi’s preferential trade deal with South America’s Mercosur bloc.The bilateral talks with Milei are the latest in Modi’s whistle-stop diplomatic tour culminating in the summit of BRICS emerging economies starting on Sunday in Brazil.Diplomats from both countries at the meeting, which included a lunch, decided to “deepen bilateral relations and commercial ties,” according to a statement from the Argentine presidency.Indian foreign ministry diplomat Periasamy Kumaran told reporters Modi “requested Argentina’s support in expanding the India-Mercosur preferential trade agreement.”The Mercosur regional trade bloc, comprising Argentina, Brazil, Paraguay, Uruguay and Bolivia, is seeking closer ties with Asian economies in the face of Trump’s global trade war.”The two leaders discussed the necessity of diversifying and expanding bilateral trade” in sectors including defence, technology and health, said Kumaran.They also touched upon cooperation in the energy sector, including gas and petrol, as well as lithium, a key mineral for the clean energy transition. Argentina is the world’s fifth largest producer of lithium, according to the US Geological Survey.”Excellent meeting with President Javier Milei of Argentina,” Modi wrote on X of the leaders’ second bilateral talks.”We have covered significant ground in our bilateral relations, but we agree that the journey ahead is even more promising!”India was Argentina’s fifth largest trading partner in 2024, with bilateral trade up 33 percent, according to figures from the Indian external affairs ministry.