Stock markets fluctuate as investors weigh AI, politics

Wall Street rebounded, European stock markets steadied and oil prices fell Friday as investors weighed the US government shutdown, fears of an AI bubble and the Gaza ceasefire.The week was marked by a raft of new records in several markets, with the tech-heavy Nasdaq index, the Frankfurt stock exchange and gold prices reaching new heights. Silver also surged to a decades-long high.The Nasdaq, S&P 500 and the Dow opened higher on Friday, the 10th day of the US government shutdown, after retreating the previous day.”The stock market … has yet to show that it really cares about the shutdown,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare.Investors were focusing on third-quarter corporate results.Buying sentiment won a boost this week from news that ChatGPT-maker OpenAI had signed multi-billion-dollar chip deals with US firm AMD as well as South Korean titans Samsung and SK hynix.The spending added to the hundreds of billions already pumped into the sector as firms look to get ahead in the sphere of artificial intelligence.That in turn has seen investors flood into the tech sector, sending stock prices rocketing — with US chip leader Nvidia topping a $4 trillion market capitalisation.However, there are rumblings that the rally could run out of steam, causing jitters on trading floors.”The AI bubble debate remains a hot topic: some argue this is the new internet bubble 2.0 waiting to burst, others think it’s a bubble that still has room to inflate,” said Ipek Ozkardeskaya, senior analyst at Swissquote Bank.”And many point out that as long as earnings growth holds, the market can keep going,” she added.Such worries have been part of the reason behind the rally in gold to a record price above $4,000 an ounce Wednesday.Alexandra Symeonidi, corporate credit analyst at William Blair, said that “some market participants started to question the sustainability of the price momentum” and had begun to draw parallels with previous asset bubbles.”So, while the overall market has been healthy, investors have been adding hedges in what is broadly considered to be a safe haven asset.”In Europe, the Frankfurt DAX index and London’s FTSE 100 were flat in afternoon deals.Paris was down 0.1 percent as French President Emmanuel Macron was due to pick a head of government tasked with lifting the country out of political crisis following his last prime minister’s resignation.Oil prices, meanwhile, fell more than two percent as the Gaza ceasefire took effect, easing concerns about a wider regional conflict that could disrupt supply.The US benchmark oil contract, WTI, fell under $60 per barrel.- Key figures at around 1335 GMT -New York – Dow: UP 0.4 percent at 46,563.85 pointsNew York – S&P 500: UP 0.2 percent at 6,748.22New York – Nasdaq Composite: UP 0.2 percent at 23,064.70London – FTSE 100: FLAT at 9,507.77 Paris – CAC 40: DOWN 0.1 percent at 8,033.51Frankfurt – DAX: FLAT at 24,609.52Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.0 percent at 48,088.80 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.7 percent at 26,290.32 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.9 percent at 3,897.03 (close)Euro/dollar: UP at $1.1567 from $1.1558 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3275 from $1.3294Dollar/yen: DOWN at 152.62 yen from 153.14 yenEuro/pound: UP at 87.15 pence from 86.94 penceBrent North Sea Crude: DOWN 2.5 percent at $63.62 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 2.6 percent at $59.92 per barrel

Le Liban et la Syrie affirment ouvrir une nouvelle page dans leurs relations

Le Liban et la Syrie ont affirmé mardi ouvrir une nouvelle page dans leurs relations lors de la visite du chef de la diplomatie syrienne, auquel Beyrouth demande de faire la lumière sur les assassinats politiques dans le pays imputés au clan Assad.Le ministre des Affaires étrangères Assaad al-Chaibani est le premier haut responsable syrien à se rendre au Liban depuis la prise du pouvoir par une coalition islamiste qui a renversé Bachar al-Assad en décembre 2024.Sous le clan Assad, la Syrie avait exercé sa tutelle sur le Liban pendant des décennies et était accusée de l’assassinat de nombreux responsables libanais.”Nous avons ouvert aujourd’hui une nouvelle page dans les relations entre la Syrie et le Liban”, a déclaré le ministre syrien après un entretien avec le Premier ministre libanais Nawaf Salam.Il a qualifié sa visite d'”historique”, ajoutant que Damas s’engageait à “respecter la souveraineté du Liban” et le principe de “non-ingérence” dans les affaires de son voisin.Le président libanais Joseph Aoun, qui a également reçu le ministre syrien, a affirmé que cette visite visait à “renforcer les relations entre les deux pays frères sur la base du respect mutuel et de la non-ingérence”.Les entretiens ont porté sur un règlement de la question des prisonniers syriens au Liban, sur les moyens d’encourager le retour des réfugiés et le contrôle de la frontière commune pour empêcher la contrebande.- Progrès sur les détenus -Le ministre syrien a indiqué que les discussions avaient “grandement progressé” sur la question des prisonniers syriens au Liban, dont Damas réclame la libération. Un responsable judiciaire libanais qui a requis l’anonymat a indiqué à l’AFP qu’environ 2.250 Syriens étaient détenus dans les prisons surpeuplées du Liban.Le Liban affirme être prêt à remettre à la Syrie environ 700 d’entre eux, mais qu’il est nécessaire auparavant de conclure un nouvel accord judiciaire entre les deux pays.De son côté, le Liban demande aux nouvelles autorités syriennes des informations sur les nombreux assassinats politiques imputés à Damas, du temps de sa tutelle sur le Liban et après le départ de ses troupes en 2005, a indiqué à l’AFP le ministre libanais de la Justice Adel Nassar.”Nous avons demandé toutes les informations dont dispose la partie syrienne sur les assassinats qui ont eu lieu au Liban”, a-t-il dit, énumérant la liste des nombreuses personnalités tuées, dont l’ancien Premier ministre Rafic Hariri.Il a affirmé que la partie syrienne avait “fait preuve de coopération” à ce sujet.Les entretiens ont également abordé la question du retour des réfugiés syriens, dont le Liban accueille environ 1,3 million, qui ont fui la Syrie après la guerre civile déclenchée par la répression d’un soulèvement populaire contre le pouvoir Assad en 2011.Selon l’ONU, quelque 294.000 de ces réfugiés au Liban ont regagné leur pays depuis la chute d’Assad.M. Chaibani a affirmé que son pays étudiait actuellement “des plans avec un soutien international pour un retour digne” des réfugiés.Il a souligné par ailleurs “la nécessité de contrôler les frontières” poreuses entre les deux pays.Après la chute de Bachar al-Assad, les routes d’approvisionnement du Hezbollah pro-iranien, allié du pouvoir syrien déchu, ont été coupées et plusieurs tentatives de contrebande d’armes à destination du Liban ont été déjouées selon les autorités syriennes.

Foot: le Brésil écrase la Corée du Sud, avec un doublé de la pépite Estevao

Le Brésil a largement dominé la Corée du Sud 5-0 en match amical vendredi à Séoul, grâce notamment à un doublé de l’ailier de 18 ans de Chelsea, Estevao.A l’image d’un premier but issu d’un beau mouvement collectif, conclu par Estevao (13e minute) qui a récidivé à la 47e, la formation de Carlo Ancelotti a proposé un jeu séduisant porté vers l’avant. Aux côtés du nouveau joueur des Blues, les stars du Real Madrid ont aussi fait la différence: Rodrygo y est allé de son doublé (41e, 49e) et Vinicius Jr a enfoncé le clou en fin de match (77e).S’il n’a rien pu faire pour éviter la défaite, le capitaine de la Corée, Son Heung-min, a honoré sa 137e sélection et établi un nouveau record pour la sélection nationale. Le milieu du Paris SG, Lee Kang-in, était également aligné. Déjà qualifié pour la Coupe du monde 2026, le Brésil poursuit sa tournée amicale asiatique avec un match mardi au Japon, qui a fait nul (2-2) vendredi contre le Paraguay, un autre mondialiste.

Protection des mineurs: l’UE met la pression sur les plateformes

L’UE a mis vendredi la pression sur les entreprises de la tech en matière de protection des mineurs, en demandant des comptes à Apple, Google, Snapchat et YouTube, tandis que plusieurs Etats membres poussent en faveur d’une interdiction des réseaux sociaux aux enfants.La Commission européenne veut s’assurer que les magasins d’applications d’Apple et de Google (l’App Store et Google Play), le réseau social Snapchat, ainsi que YouTube (filiale de Google), sont bien en conformité avec les obligations découlant du règlement sur les contenus numériques, le DSA (Digital Services Act).Le DSA “prévoit clairement que lorsque les enfants utilisent des services en ligne, de très hauts niveaux de protection de la vie privée et de sécurité doivent s’appliquer, et ce n’est pas toujours le cas”, a regretté la commissaire européenne chargée du Numérique, Henna Virkkunen, avant une réunion des ministres européens des télécoms au Danemark.”C’est pourquoi la Commission durcit l’application de la loi, et nous avons envoyé des demandes d’information à quatre plateformes”, a ajouté la responsable.- Jeux d’argent et contenus sexuels -Dans le détail, la Commission s’inquiète de la possibilité pour des mineurs de télécharger des contenus potentiellement nuisibles ou illégaux sur l’App Store d’Apple ou Google Play. Comme des applications de paris ou des apps qui permettent de créer des contenus sexuels en dénudant des photos.Concernant Snapchat, la Commission a demandé à ce réseau comment il s’assure de l’âge de ses utilisateurs et quelles mesures il prend pour empêcher les enfants d’y recourir pour acheter des vapoteuses et autres “puffs” (cigarettes électroniques jetables), ou même des drogues.La plateforme vidéo de Google, YouTube, devra également expliquer comment elle s’assure de l’âge des internautes et dans quelle mesure il est pris en compte dans les recommandations de contenus. Elle a été épinglée à plusieurs reprises en raison de contenus inappropriés qui étaient proposés aux enfants.Interrogé par l’AFP, Snapchat a assuré agir pour offrir à ses utilisateurs “un environnement qui place en priorité leur sécurité et la réduction des risques et des dommages potentiels”.Google a rappelé de son côté “travailler depuis des années avec des experts en développement de l’enfant”, pour leur proposer des expériences adaptées dans ses services, y compris YouTube, “avec des contrôles parentaux solides, et des protections de pointe pour les jeunes utilisateurs”.Ces démarches, qui ne constituent pas encore des enquêtes formelles, s’appuient sur le vaste arsenal juridique dont l’Europe dispose pour réguler la tech à travers le DSA.Les manquements à cette loi peuvent valoir aux plateformes des amendes pesant jusqu’à 6% de leur chiffre d’affaires annuel mondial.- Interdictions -Bruxelles a déjà ouvert de nombreuses enquêtes dans le cadre du DSA, ciblant les plateformes de Meta, Facebook et Instagram, mais aussi TikTok, X, et le site chinois AliExpress.La Commission a annoncé ces nouvelles demandes d’information à l’occasion d’une réunion des ministres européens des télécoms, où la question de l’interdiction des réseaux sociaux aux enfants était au menu.Plusieurs pays membres sont ouvertement en faveur d’une telle mesure, à commencer par le Danemark, qui exerce la présidence tournante de l’UE et accueillait la réunion à Horsens.Le pays nordique a annoncé cette semaine vouloir interdire plusieurs réseaux “aux enfants et aux jeunes de moins de 15 ans”.Et, sous son impulsion, les ministres de 25 pays de l’UE, ainsi que la Norvège et l’Islande, ont signé vendredi une déclaration commune dans laquelle ils appellent à renforcer encore la protection des mineurs en ligne, notamment via les dispositifs de vérification d’âge, et apportent leur soutien à l’initiative de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.Celle-ci a lancé une réflexion sur l’éventuelle mise en place d’un âge de majorité numérique à l’échelle de l’UE, et a demandé à un panel d’experts de lui remettre des recommandations d’ici la fin de l’année. “Il est crucial d’approfondir notre connaissance des effets de l’environnement numérique sur la santé des enfants. Nous ne pouvons pas laisser les réseaux sociaux décider des limites d’âge”, souligne la déclaration commune.

Protection des mineurs: l’UE met la pression sur les plateformes

L’UE a mis vendredi la pression sur les entreprises de la tech en matière de protection des mineurs, en demandant des comptes à Apple, Google, Snapchat et YouTube, tandis que plusieurs Etats membres poussent en faveur d’une interdiction des réseaux sociaux aux enfants.La Commission européenne veut s’assurer que les magasins d’applications d’Apple et de Google (l’App Store et Google Play), le réseau social Snapchat, ainsi que YouTube (filiale de Google), sont bien en conformité avec les obligations découlant du règlement sur les contenus numériques, le DSA (Digital Services Act).Le DSA “prévoit clairement que lorsque les enfants utilisent des services en ligne, de très hauts niveaux de protection de la vie privée et de sécurité doivent s’appliquer, et ce n’est pas toujours le cas”, a regretté la commissaire européenne chargée du Numérique, Henna Virkkunen, avant une réunion des ministres européens des télécoms au Danemark.”C’est pourquoi la Commission durcit l’application de la loi, et nous avons envoyé des demandes d’information à quatre plateformes”, a ajouté la responsable.- Jeux d’argent et contenus sexuels -Dans le détail, la Commission s’inquiète de la possibilité pour des mineurs de télécharger des contenus potentiellement nuisibles ou illégaux sur l’App Store d’Apple ou Google Play. Comme des applications de paris ou des apps qui permettent de créer des contenus sexuels en dénudant des photos.Concernant Snapchat, la Commission a demandé à ce réseau comment il s’assure de l’âge de ses utilisateurs et quelles mesures il prend pour empêcher les enfants d’y recourir pour acheter des vapoteuses et autres “puffs” (cigarettes électroniques jetables), ou même des drogues.La plateforme vidéo de Google, YouTube, devra également expliquer comment elle s’assure de l’âge des internautes et dans quelle mesure il est pris en compte dans les recommandations de contenus. Elle a été épinglée à plusieurs reprises en raison de contenus inappropriés qui étaient proposés aux enfants.Interrogé par l’AFP, Snapchat a assuré agir pour offrir à ses utilisateurs “un environnement qui place en priorité leur sécurité et la réduction des risques et des dommages potentiels”.Google a rappelé de son côté “travailler depuis des années avec des experts en développement de l’enfant”, pour leur proposer des expériences adaptées dans ses services, y compris YouTube, “avec des contrôles parentaux solides, et des protections de pointe pour les jeunes utilisateurs”.Ces démarches, qui ne constituent pas encore des enquêtes formelles, s’appuient sur le vaste arsenal juridique dont l’Europe dispose pour réguler la tech à travers le DSA.Les manquements à cette loi peuvent valoir aux plateformes des amendes pesant jusqu’à 6% de leur chiffre d’affaires annuel mondial.- Interdictions -Bruxelles a déjà ouvert de nombreuses enquêtes dans le cadre du DSA, ciblant les plateformes de Meta, Facebook et Instagram, mais aussi TikTok, X, et le site chinois AliExpress.La Commission a annoncé ces nouvelles demandes d’information à l’occasion d’une réunion des ministres européens des télécoms, où la question de l’interdiction des réseaux sociaux aux enfants était au menu.Plusieurs pays membres sont ouvertement en faveur d’une telle mesure, à commencer par le Danemark, qui exerce la présidence tournante de l’UE et accueillait la réunion à Horsens.Le pays nordique a annoncé cette semaine vouloir interdire plusieurs réseaux “aux enfants et aux jeunes de moins de 15 ans”.Et, sous son impulsion, les ministres de 25 pays de l’UE, ainsi que la Norvège et l’Islande, ont signé vendredi une déclaration commune dans laquelle ils appellent à renforcer encore la protection des mineurs en ligne, notamment via les dispositifs de vérification d’âge, et apportent leur soutien à l’initiative de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.Celle-ci a lancé une réflexion sur l’éventuelle mise en place d’un âge de majorité numérique à l’échelle de l’UE, et a demandé à un panel d’experts de lui remettre des recommandations d’ici la fin de l’année. “Il est crucial d’approfondir notre connaissance des effets de l’environnement numérique sur la santé des enfants. Nous ne pouvons pas laisser les réseaux sociaux décider des limites d’âge”, souligne la déclaration commune.

Au Trocadéro, l'”impatience” avant la libération des otages du Hamas

“Entre l’euphorie et l’impatience”: répondant comme chaque semaine à l’appel d’institutions juives, plusieurs centaines de personnes se sont retrouvées vendredi midi place du Trocadéro, à Paris, pour dire leur “espoir” d’une libération prochaine des otages du Hamas.”On souhaite, on prie, on allume des bougies. Vous ne pouvez pas vous imaginer le nombre de bougies qu’on a allumées depuis deux ans!”, affirme à l’AFP Elisabeth, pharmacienne à la retraite de 75 ans (elle n’a pas souhaité donner son nom).Après la signature d’un accord de cessez-le-feu à Gaza et de libération des otages, la retraitée exprime de “la joie” même si “tant que nos otages ne sont pas là, je n’y crois pas”.Il y a plus de monde que d’habitude au rassemblement hebdomadaire avec, dans les rangs, des personnalités comme l’ancienne journaliste Anne Sinclair ou le Grand rabbin de France Haïm Korsia. “C’est un vendredi particulier parce que c’est un vendredi d’espoir”, affirme au micro Yonathan Arfi, le président du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) qui organise depuis deux ans le rassemblement, avec la branche française de l’association féminine Wizo.”Nous espérons de bonnes nouvelles lundi. Nous nous retrouverons quand même vendredi prochain pour, on l’espère, célébrer ce moment”, ajoute-t-il.De petits pots d’anémones ont été déposés par terre, en forme de ruban symbolisant le soutien aux victimes, et des manifestants distribuent des roses jaunes et du mimosa.”Le Hamas a jusqu’à lundi midi pour libérer les otages. On attend pour voir si ça sera effectivement le cas”, dit à l’AFP Raphaël Elgrishi, 74 ans.”J’ai quelques craintes que tous ne soient pas libérés, puisqu’ils ne savent pas où sont un certain nombre d’otages assassinés”, ajoute-t-il, en promettant de “ne rien lâcher tant que le dernier ne sera pas rentré”.Selon le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, sur les 48 otages détenus à Gaza – 47 enlevés durant l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023 et un soldat tué en 2014 dont le Hamas détient la dépouille – 20 sont vivants et 28 décédés.Au milieu de la cérémonie parisienne, un orateur annonce la nouvelle: “Le cessez-le-feu est entré en vigueur!” et des applaudissements retentissent.Viviane Cohen, 70 ans, se sent également “entre l’euphorie et l’impatience, avec de la nervosité aussi”. “Je me dis que s’il y a une liesse en Israël, ça n’est pas pour rien! Les familles d’otages doivent avoir des informations que nous n’avons pas. Donc j’ai confiance”, affirme-t-elle.

UN calls on Madagascar to avoid unnecessary force against protestersFri, 10 Oct 2025 13:40:28 GMT

The United Nations on Friday called on Madagascar authorities to avoid unnecessary force against protesters, a day after clashes with police at a youth-led rally in the capital, where deadly unrest has rumbled for two weeks.Antananarivo was calm on Friday, with parts of the city still cordoned off by security forces, AFP journalists saw.But a …

UN calls on Madagascar to avoid unnecessary force against protestersFri, 10 Oct 2025 13:40:28 GMT Read More »

Wall Street retrouve un peu de vigueur, le regard tourné vers les résultats

La Bourse de New York a ouvert en petite hausse vendredi, se reprenant après son recul de la veille, les investisseurs attendant avec optimisme le véritable coup d’envoi de la saison des résultats d’entreprises la semaine prochaine.Dans les premiers échanges, le Dow Jones prenait 0,25%, l’indice Nasdaq grappillait 0,08% et l’indice élargi S&P 500 gagnait 0,12%.