Les Bourses européennes terminent sans direction claire, Francfort en hausse

Les Bourses européennes ont terminé sans direction claire lundi, emportées par un mouvement de prises de bénéfices, à l’exception de Francfort qui s’est maintenue après les élections législatives en Allemagne.Francfort s’est ainsi octroyée 0,62%, quand la Bourse de Paris a perdu 0,78% et Londres a terminé à l’équilibre (0,00%).

Foot: Pour Longoria, l’heure du mea culpa et de la sanction

La colère est retombée: dans une interview lundi avec l’AFP, le président de l’OM Pablo Longoria est revenu sur les mots très forts lâchés après la défaite à Auxerre, qui pourraient lui valoir une lourde sanction, et a admis qu’il n’y avait “pas de corruption dans le foot français”.”Je tiens à dire qu’il n’y a pas de corruption dans le foot français”, a clairement assuré Longoria dans cette interview. “La forme n’était pas appropriée et ce mot, je le regrette”, a-t-il ajouté.Car depuis son accès de colère à l’issue de la nette défaite 3-0 de son équipe au stade Abbé-Deschamps, Longoria était en pleine tempête, pointé par les dirigeants de l’arbitrage français comme par ceux de la fédération.Furieux de l’arbitrage de Jérémy Stinat à Auxerre, les dirigeants marseillais ont en effet parlé très fort samedi soir, évoquant tour à tour un arbitrage “scandaleux” ou “honteux”.”Dites-le bien que Pablo Longoria le dit: c’est de la vraie corruption !”, a même lâché le président de l’OM, que des images du diffuseur DAZN ont montré manifestement fou de rage dans les couloirs du stade.- Des choses “pas claires” -“Je suis très autocritique, je ne peux pas accepter de donner ce type d’image. Un président de club ne peut pas se comporter comme ça. Rien ne justifie la forme et je ne suis pas content de moi-même”, a déclaré Pablo Longoria à l’AFP.Une fois le mea culpa prononcé, Longoria a tout de même présenté quelques explications. “Même si rien ne la justifie, il faut comprendre comment tu arrives à cette colère. Ma première responsabilité, c’est de défendre mon club. Il y a eu cette saison beaucoup de décisions arbitrales sur lesquelles je considère que l’OM a été défavorisé”, a ainsi estimé le président marseillais.”Aujourd’hui en L1, il y a un manque de cohérence totale d’un match à l’autre. Mais plus on dit les choses, plus on a l’impression que rien n’avance”, a-t-il ajouté, évoquant sa “frustration” et sa “colère” face à ce qu’il perçoit comme de l’immobilisme.Le dirigeant espagnol, inquiet de “toute la situation actuelle du foot français”, enlisé dans ses difficultés financières et le dossier des droits TV, a aussi estimé qu’il y avait “des choses qui ne sont pas claires et qu’il faut améliorer, pour tout le monde”.Mais alors qu’il est l’un des vice-présidents de la Ligue de football professionnel, Longoria sait aussi qu’il s’expose à une sanction, qui pourrait être lourde. “Je me dois d’assumer ce que j’ai fait. Ne pas le faire serait hypocrite”, a-t-il assuré lundi.- En commission dès mercredi -Saisie par le Conseil national de l’éthique, la commission de discipline va ainsi traiter son dossier dès ce mercredi et la gamme des punitions possibles est assez large.Selon le barème disciplinaire de la FFF, un comportement “excessif ou déplacé” doit être sanctionné de trois matches de suspension, ce qui semble être le scénario le plus favorable pour Longoria.Car si la commission pointe un “comportement blessant”, la sanction peut passer à quatre matches. Plus grave encore, un “comportement grossier ou injurieux” peut entraîner jusqu’à 12 matches de suspension et un “comportement “intimidant ou menaçant” peut être puni de six mois de suspension. La fin de saison de l’OM pourrait donc s’écrire avec un président suspendu et un directeur du football suspendu, puisque Medhi Benatia purge actuellement une sanction de trois mois après un incident qui impliquait déjà Jérémy Stinat. Sur un autre front, Longoria pourrait aussi devoir répondre à des plaintes pour diffamation, les arbitres de Ligue 1 ayant annoncé dimanche de façon solidaire qu’ils comptaient tous “saisir le procureur de leur région”.

Greenpeace trial begins in North Dakota in key free speech case

A US oil pipeline operator’s lawsuit seeking millions of dollars from Greenpeace for allegedly orchestrating a campaign of violence and defamation begins Monday in a North Dakota court, in a case with broad free speech implications.At the heart of the case is the Dakota Access Pipeline, where nearly a decade ago, the Standing Rock Sioux tribe led one of the largest anti-fossil fuel protests in US history. Hundreds were arrested and injured, prompting concerns from the United Nations over violations of Indigenous sovereignty.The pipeline, which transports fracked crude oil to refineries and global markets, has been operational since 2017.But its operator, Energy Transfer, has continued pursuing legal action against Greenpeace — first in a federal lawsuit seeking $300 million, which was dismissed, and now in a state court in Mandan, North Dakota, where jury selection began Monday.Critics call the case a clear example of a Strategic Lawsuit Against Public Participation (SLAPP), designed to silence dissent and drain financial resources. Notably, North Dakota is among the minority of US states without anti-SLAPP protections.”Big Oil is trying to send a message to us, and they’re trying to silence Greenpeace as well as the wider movement,” said Sushma Raman, Greenpeace’s interim executive director, in a statement to AFP.”But let us be clear: the limited actions Greenpeace took related to Standing Rock were peaceful, lawful, and in line with our values of non-violence and our work for a green and peaceful future.”Waniya Locke, a member of Standing Rock Grassroots, rejected the idea that Greenpeace led the movement.”I want it to be very clear that no NGOs started or organized our resistance. It was matriarch-led. It was led by women who stood strong, who stood on the riverbanks unarmed,” she said in a statement.Energy Transfer for its part denies attempting to suppress free speech.”Our lawsuit against Greenpeace is about them not following the law,” the company said in a statement to AFP.”We support the rights of all Americans to express their opinions and lawfully protest. However, when it is not done in accordance with our laws, we have a legal system to address that. Beyond that, we will let our case speak for itself.”Greenpeace is fighting back. This month, it became the first group to test the European Union’s anti-SLAPP directive by suing Energy Transfer in The Netherlands. The group is seeking damages with interest and demanding that Energy Transfer publish the court’s findings on its website.More than 400 organizations, along with public figures such as singer Billie Eilish and actors Jane Fonda and Susan Sarandon have signed an open letter in support of Greenpeace, as have hundreds of thousands of individuals globally.The trial is expected to last up to five weeks.

E.Guinea president urges Gabonese to back Oligui as poll loomsMon, 24 Feb 2025 16:12:17 GMT

Equatorial Guinea President Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, who also heads the Economic Community of Central African States, urged Gabonese voters Monday to back their leader General Brice Oligui Nguema seven weeks before presidential polls.Former head of the presidential guard, Oligui has been in power since an August 30, 2023 coup, which ended decades-long rule by …

E.Guinea president urges Gabonese to back Oligui as poll loomsMon, 24 Feb 2025 16:12:17 GMT Read More »