Tesla en difficulté à Wall Street avec le recul des ventes en Europe

Le pionnier des véhicules électriques Tesla a dévissé en Bourse mardi, laissant s’envoler 89 milliards de dollars de valorisation, après l’annonce de ventes en chute libre en Europe, à cause d’un renouvellement de gamme et possiblement des prises de position de son patron Elon Musk.Mardi, le cours de l’entreprise cotée à New York a dégringolé de 8,39% à 302,80 dollars, et sa capitalisation boursière passait en conséquence sous la barre des 1.000 milliards de dollars.Depuis mi-décembre, le constructeur a perdu un tiers de sa valorisation en Bourse et a effacé mardi 89 milliards de capitalisation boursière.Le cours de l’action Tesla avait bondi après l’élection présidentielle américaine de 2024, les investisseurs pariant que la proximité d’Elon Musk avec Donald Trump pourrait être favorable à ses entreprises.Désormais, “nous pensons que Tesla est clairement confronté à des défis en Europe et que les problèmes liés à l’image de Musk accentuent les vents contraires”, estime auprès de l’AFP Dan Ives, de Wedbush Securities.Malgré un bond des immatriculations de véhicules électriques en Europe (+34% sur un an), les ventes de Tesla ont été en chute libre en début d’année, selon des données publiées mardi par l’Association des constructeurs européens (ACEA).D’après l’ACEA, il y a eu 7.517 immatriculations de véhicules Tesla en janvier 2025 dans l’Union européenne, contre plus de 15.000 un an plus tôt.L’entreprise avait annoncé fin janvier une baisse de 1% de ses livraisons en 2024, le premier recul de son histoire, alors qu’il anticipait “une légère augmentation”.- Anti-Musk -Les ventes du groupe patinent à cause d’un changement de gamme, avec notamment l’arrivée de modèles à bas coût, dont la production devrait commencer au premier semestre, a assuré fin janvier Tesla.Le groupe s’est aussi fait grignoter des parts de marché par des constructeurs traditionnels comme General Motors, Ford ou Toyota, et par des startups comme Rivian, désormais soutenue par le géant allemand Volkswagen.Mais selon Dan Ives, les “vents contraires” auxquels fait face Tesla sont aussi liés, de “10 à 15%”, aux comportements anti-Musk des consommateurs.Proche allié de Donald Trump, Elon Musk dirige la “commission pour l’efficacité gouvernementale” (Doge), dont les équipes vont de service en service pour tailler dans les dépenses et licencier du personnel de la bureaucratie fédérale, jugée trop lourde et coûteuse par le président américain et ses soutiens.Mardi, M. Musk a donné une nouvelle chance aux fonctionnaires fédéraux américains de justifier de leur activité professionnelle sous peine d’être renvoyés, en repoussant sine die l’échéance de son ultimatum.Le milliardaire a aussi affiché son soutien au parti d’extrême droite allemand AfD après son résultat record aux législatives.Les opinions politiques d’Elon Musk en Europe et en Allemagne ne sont “pas la meilleure chose pour les ventes de Tesla”, a déclaré l’analyste Dan Ives.

Ligue des nations féminine: les Bleues enchaînent contre l’Islande

L’équipe de France féminine a enchaîné mardi une seconde victoire en Ligue des nations, aux dépens de l’Islande (3-2), en se montrant davantage offensivement mais toujours sur un fil en défense.Elle garde la tête de son groupe avec six points devant la Norvège (3 pts).Après avoir eu du mal s’en sortir face aux Norvégiennes (16e Fifa) vendredi à Toulouse (1-0), les Bleues (11e Fifa) ont montré leur force offensive contre les Islandaises (14e Fifa), qui avaient tenu tête à la Suisse (0-0).Avec 9 tirs dont 4 cadrés et deux buts dès les première période, elles ont montré beaucoup plus de facilité à se trouver que face aux Scandinaves contre qui elles avaient attendu l’heure de jeu pour frapper au but.Devant 8.500 supporters dont François Hollande et sur une pelouse abîmée, Laurent Bonadei a décidé d’aligner la capitaine Wendie Renard, qui était restée sur le banc à Toulouse et Marie-Antoinette Katoto, déjà buteuse il y a quatre jours. Pour son retour dans le 11, la capitaine a repris sa place de leader, comme sur le tacle défensif à l’origine du 3e but qui a donné un peu d’air aux Françaises (65e). Son intervention défensive a lancé les Bleues en contre-attaque, qui ont basculé vers la gauche et Sandy Baltimore qui a inscrit son 5e but en Bleues d’une frappe croisée (3-1, 65e). Juste avant, Diani avait touché la barre transversale (61e).Grâce à un pressing haut et intense, les Bleues ont bien bloqué les relances islandaise à l’image du premier but. La milieu Grace Geyoro a intercepté un dégagement de la gardienne adverse avant de dribbler grâce à une roulette. Dans la foulée de son tir contré, Kadidiatou Diani a ouvert le score d’une frappe enroulée du gauche (23e), son 30e but en sélection.- Record de sélection pour Le Sommer -Cinq minutes plus tard, sur un beau mouvement et servie par une talonnade de Sakina Karchaoui – repositionnée au milieu -, Katoto a marqué son deuxième but en deux matches (28e), son 37e chez les Tricolores.Elle devient la 5e meilleure buteuse des Bleues, à égalité avec Camille Abily.Toujours en 4-3-3, elles ont mieux combiné entre elles notamment dans l’entrejeu où Grace Geyoro s’est illustrée. En défense, sans faire d’erreurs grossières, elles se sont faite prendre trop facilement sur coups de pied arrêté, d’abord sur un coup franc provoqué par Karchaoui frappé plein axe et dévié par Selma Bacha (2-1, 37e). Puis sur un corner, la gardienne Pauline Peyraud-Magnin et est gênée lors de sa retombée (3-2, 68e). La France a encaissé 15 buts lors de ses 10 derniers matches en compétition officielle, autant que lors des 28 précédents entre octobre 2021 et avril 2024, illustrant ses problèmes défensifs du moment. Au delà de cette victoire, le match a été marqué par le record de sélection d’Eugénie Le Sommer avec 199 sélections, rentrée à la 78e minute avec le brassard, pour remplacer Marie-Antoinette Katoto.L’attaquante de l’OL, 94 buts inscrits avec les Bleues, cumule désormais 199 sélections dont 143 titularisations, soit plus de 13.000 minutes jouées: bien loin de Lilian Thuram et ses 142 sélections, son pendant chez les Bleus.Elle a été portée en triomphe par ses coéquipières à la fin de la rencontre.

Stocks slide as US consumer confidence tumbles, tech slumps

Global stock indices slid on Tuesday, with tech shares especially weak, after data showed US consumer confidence slumped amid unease over President Trump’s tariff plans. US consumer confidence in February saw its largest monthly decline since August 2021, according to a Conference Board survey that comes on the heels of other lackluster US reports.”Consumers’ confidence has deteriorated sharply in the face of threats to impose large tariffs and to slash federal spending and employment,” Pantheon Macroeconomics chief US economist Samuel Tombs wrote in a note to clients. The so-called Magnificent Seven stocks, which helped drive US stocks to records at the end of last year, mostly fell Tuesday, weighing especially on the Nasdaq.The worst hit among them was Tesla, which suffered an 8.4 percent drop as investors digested disappointing European sales and chief executive Elon Musk’s aggressive foray into politics.”The once mighty tech sector in the US is no more,” said Kathleen Brooks, research director at XTB.She noted that the best performing sectors in 2025 do not include tech, but rather transport, tobacco, healthcare and gold.Meanwhile shares in Nvidia, whose chips are prized for generative AI applications, fell nearly three percent ahead of it releasing quarterly results on Wednesday. Traders will be keenly awaiting its outlook on AI chip sales.It will be Nvidia’s first earnings release since DeepSeek upended the AI industry at the start of this year by unveiling a high-performing chatbot that it reportedly developed at a fraction of the cost of its Western rivals and with less powerful chips.The US consumer confidence report deepened a recent drop in optimism in Trump’s second month back in office.In recent days Trump has reiterated his intention to slap import tariffs on key US trading partners Canada and Mexico.Over the weekend he signed a memo calling for curbs on Chinese investments in industries including technology and critical infrastructure, healthcare and energy.Tariffs would likely cause a surge in inflation, slowing growth and reducing the chances of further interest rate cuts.Europe’s main indices finished mixed after having been solidly higher earlier in the session.Asian markets ended lower.Bitcoin fell back below $90,000 as the optimism over expected Trump deregulation for the crypto market ebbs away.The sector has also been hit by the recent $1.5 billion hack of Dubai-based cryptocurrency exchange Bybit, representing the biggest crypto theft in history, as well as a memecoin scandal in Argentina.- Key figures around 2140 GMT -New York – Dow: UP 0.4 percent at 43,621.16 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.5 percent at 5,955.25 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 1.4 percent at 19,026.39 (close)London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 8,668.67 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.5 at 8,051.07 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.1 percent at 22,410.27 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.4 percent at 38,237.79 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.3 percent at 23,034.02 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.8 percent at 3,346.04 (close)Euro/dollar: UP at $1.0517 from $1.0468 on MondayPound/dollar: UP at $1.2668 from $1.2625Dollar/yen: DOWN at 149.00 from 149.72 yenEuro/pound: UP at 83.00 pence from 82.91 pence West Texas Intermediate: DOWN 2.5 percent at $68.93 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 2.4 percent at $73.02 per barrelburs-jmb/jgc

Coupe de France: Cannes s’offre une demi-finale en battant Guingamp

Après avoir éliminé Grenoble et Lorient, Cannes, qui évolue en National 2, s’est offert Guingamp (3-1), une troisième équipe de Ligue 2, pour se qualifier mardi en demi-finale de la Coupe de France.Cannes ne s’arrête donc plus. L’histoire est exceptionnelle pour Damien Ott et ses joueurs, invaincus depuis le 19 octobre dernier, leaders de leur poule de National 2 (équivalent de la 4e division), et protagonistes majeurs de cette Coupe de France, dont ils vont jouer les demi-finales, les 1er et 2 avril prochains.D’entrée, la formation guingampaise, 5e en L2, a pourtant pris possession du terrain cannois. Avec Hugo Picard, virevoltant sur le côté gauche et un milieu très physique, les joueurs de Sylvain Rippoll ont dominé le début de rencontre. D’ailleurs, la frappe du gauche de Amine Hemia a heurté la barre transversale de Fabio Vanni, le gardien cannois (10e). Malgré ce début de match compliqué, les Cannois ne sont pas sortis de leur match. Et progressivement, sous les coup de boutoir de l’avant-centre Julien Domingues, et surtout du feu follet Chafik Abbas, ils ont même fait reculer des Bretons, rapidement saoulés de coup. Après un déboulé de Abbas, le gardien guingampais, Babacar Niasse, a détourné en corner (21e). Mais dans la foulée, l’attaquant cannois est encore allé provoquer son vis-à-vis Dylan Ourega. Mais cett fois, il a repiqué dans l’axe pour décocher une frappe soudaine et victorieuse au premier poteau (1-0, 23e).- 11e but de Domingues -Fidèles à leurs principes, les Azuréens ont continué d’attaquer. Et comme ils maîtrisent l’art du contre à merveille, à chaque fois, ça a été dangereux. D’abord Matthis Riou a sauvé les siens en dégageant sur sa ligne un tir de Jonathan Mambu (28e). Et si Hemia s’est encore illustré par une tentative déviée que Vanni a tout juste détournée (29e), les 8.000 spectateurs ont hurlé de plaisir une minute plus tard. Face à Dives-Cabourg (5-3) au tour précédent, Domingues avait inscrit une ciseau de haut-vol. Face à Guingamp, son partenaire Cédric Goncalves a eu une inspiration de génie. Après une relance mal assurée de Niasse et une récupération cannoise haute, il a tenté et réussi un lob de plus de 50 mètres un gardien breton encore très mal inspiré (2-0, 30e). Mais il s’est parfaitement repris sur une nouvelle vague azuréenne et une reprise à bout portant de Domingues (34e). Cet arrêt aurait d’ailleurs pu être le tournant de la rencontre.Car après la pause, et deux changements effectués par Ripoll, Guingamp a rapidement marqué. Jacques Siwe a repris le centre de Ourega, lâché par Abbas (2-1, 46e). Guingamp a poussé 20 minutes. Sans réussite. Et le meilleur buteur de la compétition, Julien Domingues, a inscrit son 11e but en neuf tours de Coupe de France avec Cannes. Après avoir été servi par Moussa Ndiaye, il a qualifié son équipe d’un malin ballon piqué (3-1, 69e) et ainsi écrit l’histoire du club, vainqueur de la compétition en 1932.

Foot: Le Sommer rentre un peu plus dans la légende des Bleues

Avec 199 sélections, l’attaquante des Bleues Eugénie Le Sommer, 35 ans, est devenue mardi la joueuse la plus capée de l’histoire de l’équipe de France, dépassant Sandrine Soubeyrand.Elle a atteint ce record mardi en rentrant en jeu à la place de Marie-Antoinette Katoto, et en prenant le brassard en fin de match face à l’Islande en Ligue des nations au Mans (78).”C’est une fierté, un moment particulier, c’est quelque chose de grand: j’ai connu Sandrine Soubeyrand quand elle a battu le record de Lilian Thuram ; j’étais là aussi quand elle a arrêté sa carrière, c’est un honneur pour moi de l’égaler”, a commenté lundi celle qui est également meilleure buteuse de l’histoire des Bleues.Surnommée “le dinosaure” ou la “syndicaliste” par ses jeunes coéquipières qui la chambrent sur son ancienneté en Bleues, Le Sommer est surtout un modèle qui a “permis que la discipline évolue”, disent-elles d’une seule voix.L’attaquante de l’OL, 94 buts inscrits avec les Bleues, cumule désormais 199 sélections dont 143 titularisations, soit plus de 13.000 minutes jouées: bien loin de Lilian Thuram et ses 142 sélections, son pendant chez les Bleus.Sa première sélection remonte à février 2009, il y a 16 ans: “Je n’ai pas vu le temps passer”, s’est étonnée l’avant-centre, dont la longévité au plus haut niveau “n’est pas le fruit du hasard” pour Laurent Bonadei le sélectionneur français.”A mon arrivée, je voulais disputer mon premier match. Après j’ai voulu m’installer, revenir au rassemblement suivant, je ne me suis jamais dit que j’allais atteindre tous ces chiffres”, a-t-elle expliqué. En se retournant sur sa carrière, Le Sommer se remémore sa première apparition, le 12 février 2009 face à l’Irlande, et son retour chez les Bleues en 2023 après avoir été écartée pendant deux ans par Corinne Diacre, la sélectionneuse de l’époque.”Ma carrière aurait pu s’arrêter en 2021, mon histoire est particulière aussi, je n’aurais jamais imaginé tout cela, ce sont des moments clés”, a-t-elle souligné. “Je m’étais dit que c’était peut-être la fin, on ne sait jamais ce qu’il va se passer, j’en suis la preuve”. Le Sommer a participé à trois Jeux olympiques (2012, 2016, 2024) et quatre Coupes du monde (2011, 2015, 2019, 2023). Elle a atteint le dernier carré lors de son premier Mondial en 2011 (4e place) et des JO en 2012, mais a échoué le plus souvent en quart de finale dans les grandes compétitions, le plafond de verre des Bleues de sa génération.- “Une joueuse intemporelle” -Si Amandine Henry, 35 ans elle aussi, a pris sa retraite internationale l’été dernier après l’échec des JO, Le Sommer, comme Wendie Renard (34 ans, 168 sélections) sa capitaine à l’OL et en Bleue, a choisi de continuer au moins jusqu’à l’Euro, cet été en Suisse, qui pourrait être sa dernière grande compétition.”J’adore jouer avec elle car elle possède une intelligence de jeu au-dessus de la moyenne. Techniquement, elle est capable d’effectuer des gestes incroyables”, a dit la défenseuse, auprès de la FFF.Pour la milieu Kenza Dali, “Eugénie c’est l’instinct, c’est une légende, c’est quelqu’un qui sait transformer de mauvais ballons, de mauvaises passes en bons ballons et c’est comme ça qu’on reconnaît les très bonnes joueuses”.”Dans toutes les écoles de foot, il faut montrer ses appels, sa finition, sa vision du jeu”, affirme de son côté Amel Majri, “elle bonifie toutes les joueuses qui jouent à ses côtés” et “c’est une joueuse intemporelle qui s’adapte à toutes les générations”.Selon Delphine Cascarino, “Eugénie, c’est la syndicaliste (rires). Elle fait avancer par ses engagements et c’est positif pour nous et pour les joueuses des générations futures”.

Wall Street s’inquiète de la chute de la confiance des consommateurs

La Bourse de New York a évolué sans direction claire mardi, la publication d’un indice de confiance des consommateurs américains en deçà des attentes ayant été accueillie avec pessimisme par les investisseurs.Le Dow Jones, seul indice dans le vert, a gagné 0,37% tandis que l’indice Nasdaq a lâché 1,35% et l’indice élargi S&P 500 a reculé de 0,47%.Selon des données partagées par l’association professionnelle Conference Board, la confiance des consommateurs a fondu en février, perdant sept points en un mois, bien plus que les attentes.Depuis le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, il s’agit du second indice soulignant des inquiétudes chez les consommateurs américains, notamment à propos d’une reprise de l’inflation.Cette fébrilité est “liée aux inquiétudes sur l’économie et aux perspectives de droits de douane”, relève auprès de l’AFP Peter Cardillo, de Spartan Capital Securities.Donald Trump a confirmé lundi que les États-Unis allaient relever leurs droits de douane contre le Canada et le Mexique “à la date prévue”, soit le 1er mars, après un sursis d’un mois et en dépit des gages apportés par ces deux pays.Le président américain avait annoncé la mise en place de droits de douane de 25% sur tous les produits canadiens et mexicains avant de faire volte-face début février, quelques heures avant leur entrée en vigueur, en accordant un sursis de 30 jours aux deux pays.De telles annonces “érodent fondamentalement la confiance des investisseurs”, souligne M. Cardillo.En conséquence, “les investisseurs ont recours à la stratégie de réduction des risques (…), recherchant une protection contre la volatilité des actions” en se tournant vers le marché obligataire, a relevé dans une note Jose Torres, d’Interactive Brokers.Le rendement des emprunts d’Etat américains à dix ans se détendait très franchement, à 4,30% contre 4,40% lundi en clôture.Les valeurs associées aux cryptomonnaies ont elles subi la lourde chute du bitcoin: les plateformes d’échanges Coinbase et Robinhood ont respectivement chuté de 6,42% et 8,03% tandis que l’éditeur de logiciels MicroStrategy, plus grand détenteur privé de monnaies numériques, a reculé de 11,42%.Le bitcoin est tombé en dessous de 88.000 dollars mardi, à cause du climat incertain engendré par les déclarations de Donald Trump.Avant la publication de ses résultats mercredi, le géant du secteur des semi-conducteurs Nvidia a lâché 2,80%.L’action du pionnier des véhicules électriques Tesla a chuté de plus de 8% après l’annonce de ventes divisées par deux en Europe à cause d’un changement de gamme et possiblement des prises de position de son patron Elon Musk qui rebuteraient les acheteurs.