Foot: Rayan Cherki dans une nouvelle dimension à Manchester City

Rayan Cherki quitte l’OL et la France pour la première fois de sa jeune carrière et rejoint la riche armada de Pep Guardiola à Manchester City, un saut vertigineux vers l’élite du football européen pour le dribbleur de 21 ans pétri de talents.”C’est un rêve pour moi”, a-t-il déclaré dans un communiqué de sa nouvelle équipe. “Honnêtement, rejoindre un club comme Manchester City et avoir l’opportunité de franchir une nouvelle étape dans ma carrière ici, c’est quelque chose de très, très spécial.”En moins d’une année, le jeune attaquant est passé du “loft” de l’OL, où les indésirables sont placés en début de saison, à l’équipe de France et à Manchester City, deux poids lourd de l’élite continentale séduits par sa régularité et son efficacité nouvelles.Le club anglais a déboursé “42,5 millions d’euros dont 6 millions de bonus, auquel pourra s’ajouter un intéressement de 15% sur une éventuelle plus-value future”, a précisé l’OL dans un communiqué.Cet afflux d’argent tombe au meilleur moment pour Lyon, sous la menace d’une rétrogradation administrative en Ligue 2 prononcée “à titre  conservatoire” en novembre par le gendarme financier du football français.Cherki met derrière lui 185 matches et quinze ans de vie commune avec l’Olympique lyonnais, qu’il a rejoint en 2010 à l’âge de sept ans, et chez qui il a été lancé en équipe première à 16 ans seulement.L’ultime saison a débuté par une mise à l’écart pour le forcer à prolonger son contrat, ce qu’il a fait en septembre, et elle s’est terminée par une sortie de piste étoilée.”J’ai commencé la saison au loft alors que je n’ai jamais trahi le club”, avait-il lâché après son dernier match en Ligue 1, le 17 mai au soir. “J’ai tout donné pour ce blason. Ça n’a pas été facile, on m’a beaucoup craché dessus et on a mal parlé de mon entourage alors que le seul qui prend les décisions, c’est moi.”- Début au Mondial des clubs -Ce talent précoce a épuré son jeu et amélioré son repli défensif en réponse à deux axes de critiques régulièrement entendus, et terminé la saison comme meilleur passeur (onze passes décisives) de Ligue 1, avec huit buts en trente apparitions.Il s’est aussi distingué par des prestations remarquées en Ligue Europa, notamment contre Manchester United, le voisin et rival historique de City.En juin, Didier Deschamps a fini par ouvrir les portes de l’équipe de France au médaillé d’argent olympique 2024, dont il a loué la “créativité” et la “spontanéité”.Pour son baptême international, le joueur né à Pusignan, à l’est de Lyon, a fait étalage de son immense talent après une entrée tonitruante à la 63e minute contre l’Espagne en demi-finale de la Ligue des nations, marquée notamment par un but magnifique et une passe décisive qui n’ont pas empêché la défaite (5-4).Titulaire dimanche contre l’Allemagne (2-0) dans la “petite finale” de la compétition, il n’a pas brillé avec le même éclat mais a fait jouer ses attaquants. “Je suis là pour les servir”, a-t-il résumé.Chez Manchester City, il entre maintenant dans une nouvelle dimension, celle d’un candidat à la victoire en Premier League et en Ligue des champions, sous le patronage de Guardiola, entraîneur à succès réputé pour sa capacité à faire progresser les jeunes pousses.Il va devoir jouer des coudes pour s’imposer au sein du riche effectif citizen, sur l’aile droite ou au poste de meneur offensif, celui qu’il affectionne.Dans l’axe, il y a une place à prendre après le départ de Kevin De Bruyne, meneur de jeu des Mancuniens pendant une décennie, non retenu à l’issue de son contrat.L’équipe au maillot bleu ciel sort d’un exercice sans trophée, une première depuis la saison 2016-17, et s’apprête à disputer la Coupe du monde des clubs (14 juin-13 juillet) aux Etats-Unis.Cherki va plonger dans le grand bain directement, sans période d’essai.

US restores some medical research grants, says top Trump official

A senior US health official on Tuesday admitted President Donald Trump’s administration had gone too far in slashing biomedical research grants worth billions of dollars, and said efforts were underway to restore some of the funding.Jay Bhattacharya, director of the National Institutes of Health (NIH), made the remarks during a Senate committee hearing examining both recent cuts to his agency and deeper reductions proposed by the White House in next year’s budget. Bhattachartya said he had created an appeals process for scientists and laboratories whose research was impacted, and that the NIH had already “reversed many” of the cuts.”I didn’t take this job to terminate grants,” said the physician and health economist who left a professorship at Stanford University to join the Trump administration.”I took this job to make sure that we do the research that advances the health needs of the American people.”The hearing came a day after more than 60 NIH employees sent an open letter to Bhattacharya condemning policies they said undermined the agency’s mission and the health of Americans.They dubbed it the “Bethesda Declaration” — a nod both to the NIH’s suburban Washington headquarters and to Bhattacharya’s role as a prominent signatory of the 2020 “Great Barrington Declaration,” which opposed Covid lockdowns.Since Trump’s January 20 inauguration, the NIH has terminated 2,100 research grants totaling around $9.5 billion and $2.6 billion in contracts, according to an independent database called Grant Watch.Affected projects include studies on gender, the health effects of global warming, Alzheimer’s disease, and cancer.Trump has launched a sweeping overhaul of the US scientific establishment early in his second term — cutting billions in funding, attacking universities, and overseeing mass layoffs of scientists across federal agencies.

Face aux juges, Bolsonaro nie toute tentative de coup d’Etat

L’ex-président brésilien Jair Bolsonaro, qui encourt une lourde peine de prison pour tentative présumée de coup d’Etat, a réfuté mardi les accusations qui pèsent contre lui lors de son procès historique devant la Cour suprême.L’ancien dirigeant d’extrême droite est accusé d’être le “leader d’une organisation criminelle” ayant conspiré pour son maintien au pouvoir quel que soit le résultat de l’élection présidentielle d’octobre 2022, finalement remportée par le président actuel de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.Selon le parquet, ce projet de coup d’Etat présumé, qui prévoyait jusqu’à l’assassinat de Lula, n’a pas abouti faute de soutien du haut commandement militaire.Quand le juge Alexandre de Moraes, le puissant magistrat chargé du dossier, lui a demandé si les faits qui lui sont reprochés étaient véridiques, il a répondu : “Non, l’accusation ne tient pas”.Sur la table à laquelle il s’est assis pour son interrogatoire, face aux magistrats, l’ex-président a posé un exemplaire de la Constitution brésilienne. Jair Bolsonaro et ses sept coaccusés, notamment d’anciens ministres et des militaires de haut rang, encourent une peine pouvant aller jusqu’à 40 ans de prison.”Il n’y a aucune raison de me condamner, j’ai la conscience tranquille”, avait déclaré l’ex-président lors d’une pause durant la première audience d’interrogatoires, lundi.Les interrogatoires sont menés par le juge Moraes, considéré comme l’ennemi numéro un des bolsonaristes. – Fautes d’orthographe -Mardi, ils ont repris avec celui de l’amiral Almir Garnier Santos, qui, selon l’accusation, aurait déclaré que ses troupes seraient “à la disposition du président” lors d’une réunion traitant des projets putchistes.Il a nié toutes les accusations, affirmant n’avoir “jamais utilisé cette expression”.L’amiral a également affirmé n’avoir “vu aucun document” prévoyant de décréter l’état de siège ou de convoquer de nouvelles élections, lors de réunions avec l’ex-président après l’élection de Lula, récusant ainsi la version de l’accusation.Entendu par la suite, l’ancien ministre de la Justice du gouvernement Bolsonaro, Anderson Torres, comparaissait muni d’un bracelet électronique, qu’il porte depuis sa libération conditionnelle après quatre mois d’incarcération en 2023.La police a trouvé lors d’une perquisition au domicile de M. Torres une ébauche de décret pour annuler le résultat des élections, surnommée dans l’enquête “le brouillon du coup d’État”.Mardi, il a nié avoir participé à l’élaboration de ce document. “Je n’ai jamais pris part à cela. C’était mal écrit, plein de fautes d’orthographe, je ne sais pas qui a demandé à faire ça”, a-t-il argumenté au sujet de ce texte qu’il a qualifié de “brouillon de Google”.Le général Augusto Heleno Ribeiro, ex-ministre chargé de la Sécurité institutionnelle et un des plus proches conseillers de M. Bolsonaro, a préféré garder le silence face aux questions du juge Moraes, ne répondant qu’à celles posées par son avocat.- “Mémoire sélective” -Lundi, la série d’interrogatoires a débuté avec celui de Mauro Cid, ancien aide de camp de l’ex-président.Il est considéré comme un traître par les bolsonaristes pour avoir noué un accord de collaboration avec les autorités dans l’espoir d’une réduction de peine.Selon lui, Jair Bolsonaro a “reçu, lu” puis “retouché” un document pensé par de proches conseillers prévoyant l’instauration d’un “état de siège”, l'”arrestation d’autorités” et la création d’un “conseil électoral” pour réaliser un nouveau scrutin après la présidentielle d’octobre 2022 remportée par Lula.Durant son interrogatoire, qui a duré environ quatre heures, il s’est montré souvent hésitant, répondant à maintes reprises “je ne me souviens pas” aux questions sur les dates, horaires ou lieux où il aurait été témoin des supposées velléités putschistes de l’ex-président et son entourage.L’avocat de Jair Bolsonaro, Celso Vilardi, a souligné des “contradictions” dans les propos de M. Cid, estimant qu’il avait la “mémoire sélective”. Inéligible jusqu’en 2030 et interdit de quitter le territoire brésilien, Jair Bolsonaro se dit victime de “persécution politique” pour l’empêcher de se présenter à la présidentielle de l’an prochain.

Face aux juges, Bolsonaro nie toute tentative de coup d’Etat

L’ex-président brésilien Jair Bolsonaro, qui encourt une lourde peine de prison pour tentative présumée de coup d’Etat, a réfuté mardi les accusations qui pèsent contre lui lors de son procès historique devant la Cour suprême.L’ancien dirigeant d’extrême droite est accusé d’être le “leader d’une organisation criminelle” ayant conspiré pour son maintien au pouvoir quel que soit le résultat de l’élection présidentielle d’octobre 2022, finalement remportée par le président actuel de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.Selon le parquet, ce projet de coup d’Etat présumé, qui prévoyait jusqu’à l’assassinat de Lula, n’a pas abouti faute de soutien du haut commandement militaire.Quand le juge Alexandre de Moraes, le puissant magistrat chargé du dossier, lui a demandé si les faits qui lui sont reprochés étaient véridiques, il a répondu : “Non, l’accusation ne tient pas”.Sur la table à laquelle il s’est assis pour son interrogatoire, face aux magistrats, l’ex-président a posé un exemplaire de la Constitution brésilienne. Jair Bolsonaro et ses sept coaccusés, notamment d’anciens ministres et des militaires de haut rang, encourent une peine pouvant aller jusqu’à 40 ans de prison.”Il n’y a aucune raison de me condamner, j’ai la conscience tranquille”, avait déclaré l’ex-président lors d’une pause durant la première audience d’interrogatoires, lundi.Les interrogatoires sont menés par le juge Moraes, considéré comme l’ennemi numéro un des bolsonaristes. – Fautes d’orthographe -Mardi, ils ont repris avec celui de l’amiral Almir Garnier Santos, qui, selon l’accusation, aurait déclaré que ses troupes seraient “à la disposition du président” lors d’une réunion traitant des projets putchistes.Il a nié toutes les accusations, affirmant n’avoir “jamais utilisé cette expression”.L’amiral a également affirmé n’avoir “vu aucun document” prévoyant de décréter l’état de siège ou de convoquer de nouvelles élections, lors de réunions avec l’ex-président après l’élection de Lula, récusant ainsi la version de l’accusation.Entendu par la suite, l’ancien ministre de la Justice du gouvernement Bolsonaro, Anderson Torres, comparaissait muni d’un bracelet électronique, qu’il porte depuis sa libération conditionnelle après quatre mois d’incarcération en 2023.La police a trouvé lors d’une perquisition au domicile de M. Torres une ébauche de décret pour annuler le résultat des élections, surnommée dans l’enquête “le brouillon du coup d’État”.Mardi, il a nié avoir participé à l’élaboration de ce document. “Je n’ai jamais pris part à cela. C’était mal écrit, plein de fautes d’orthographe, je ne sais pas qui a demandé à faire ça”, a-t-il argumenté au sujet de ce texte qu’il a qualifié de “brouillon de Google”.Le général Augusto Heleno Ribeiro, ex-ministre chargé de la Sécurité institutionnelle et un des plus proches conseillers de M. Bolsonaro, a préféré garder le silence face aux questions du juge Moraes, ne répondant qu’à celles posées par son avocat.- “Mémoire sélective” -Lundi, la série d’interrogatoires a débuté avec celui de Mauro Cid, ancien aide de camp de l’ex-président.Il est considéré comme un traître par les bolsonaristes pour avoir noué un accord de collaboration avec les autorités dans l’espoir d’une réduction de peine.Selon lui, Jair Bolsonaro a “reçu, lu” puis “retouché” un document pensé par de proches conseillers prévoyant l’instauration d’un “état de siège”, l'”arrestation d’autorités” et la création d’un “conseil électoral” pour réaliser un nouveau scrutin après la présidentielle d’octobre 2022 remportée par Lula.Durant son interrogatoire, qui a duré environ quatre heures, il s’est montré souvent hésitant, répondant à maintes reprises “je ne me souviens pas” aux questions sur les dates, horaires ou lieux où il aurait été témoin des supposées velléités putschistes de l’ex-président et son entourage.L’avocat de Jair Bolsonaro, Celso Vilardi, a souligné des “contradictions” dans les propos de M. Cid, estimant qu’il avait la “mémoire sélective”. Inéligible jusqu’en 2030 et interdit de quitter le territoire brésilien, Jair Bolsonaro se dit victime de “persécution politique” pour l’empêcher de se présenter à la présidentielle de l’an prochain.

Indian coastguard battles blaze on container ship

India’s coastguard said Tuesday it was battling to stop a fierce blaze that has engulfed a Singapore-flagged container ship listing off the country’s southern coast.The 268-metre (879-foot) container vessel MV Wan Hai 503 carrying 22 crew members caught fire some 78 nautical miles off India’s Beypore port on Monday. Eighteen crew members were rescued by the Indian coastguard and navy, with four still missing, according to Singapore’s Maritime and Port Authority.China’s Xinhua state news agency reported, citing its embassy in India, that two of the missing people were from Taiwan.Indian Coast Guard said Tuesday that “fires and explosions persist” on the vessel, which was tilting at around “10–15 degrees”.They issued photographs that showed flames leaping from the stacked containers, with the ship surrounded by thick plumes of billowing black smoke.Initial images on Monday showed heavy containers that had seemingly been hurled up by a powerful explosion on board, with the coastguard saying that some were in the water.Singapore’s Maritime and Port Authority had said there were “some injuries” among the crew.Coastguard vessels alongside the blackened and burning ship poured jets of water onto the flames, video footage showed. The MV Wan Hai 503 container ship is the second to run into trouble off India’s southern coast within weeks.A Liberian-flagged container ship with hazardous cargo sank off the coast of Kerala on May 24. The Indian navy rescued all 24 crew members.

Supporters ask to visit deported Venezuelans in Salvadoran jail

Supporters of Venezuelans deported by the United States to El Salvador, including one of their relatives, appealed to President Nayib Bukele’s government Tuesday to let them see the migrants in prison.It was the first visit to the Central American nation by a family member since more than 250 Venezuelans were expelled by the United States in March, accused of belonging to the Tren de Aragua criminal gang.”We want to be allowed a visit, to check on their health, and to ask for their prompt release,” Jhoanna Sanguino, the aunt of Widmer Agelvis Sanguino, told AFP.Reina Cardenas, a friend of Andry Hernandez Romero’s family, said: “We want him to know he’s not alone.””We’re fighting for them,” she added.The two women were accompanied by Walter Marquez, president of the Amparo Foundation, a human rights NGO providing legal support to some of the deportees.”We want to urge the president to receive us so we can present all the documentation that proves they should be released,” Marquez told AFP after submitting a visit request.El Salvador has no international criminal jurisdiction to detain the Venezuelans, who have not been sentenced in the United States, he said.”Not one of them belongs to Tren de Aragua,” Marquez added.US President Donald Trump invoked rarely used wartime laws to fly many of the migrants to El Salvador without any court hearings.His administration struck a deal to pay the government of ally Bukele millions of dollars to hold the deportees in a maximum security prison.Washington has said the Venezuelans’ tattoos are evidence of their gang affiliation, though experts say that Tren de Aragua members do not commonly sport gang markings.Sanguino believes that her 24-year-old nephew was deported because of his tattoos of a clock, a rose and an owl.”It’s shocking not knowing anything about them,” she said. “We’ve put our personal lives on hold to demand justice.”A law firm hired by Caracas to represent some of the other detained Venezuelans says that it has been denied access to them.

Kenya pathologists say suicide unlikely in police custody deathTue, 10 Jun 2025 18:26:13 GMT

Kenyan medical examiners said Tuesday that suicide was unlikely in the death of a man while in police custody — a case that has sparked protests and widespread anger.Albert Ojwang, 31, was arrested over posts on social media accusing police deputy inspector-general Eliud Kipkoech Lagat of corruption. Police initially said he died over the weekend in …

Kenya pathologists say suicide unlikely in police custody deathTue, 10 Jun 2025 18:26:13 GMT Read More »