Budget: objectif 4,6% de déficit pour 2026, “des efforts” mais pas d’augmentation d’impôts généralisée

François Bayrou a assuré jeudi que son objectif était de ramener le déficit à 4,6% en 2026, évoquant “ici ou là des efforts particuliers”, mais sans augmentation d’impôts généralisée, dans un entretien sur LCI.Le déficit est “à 5,8%” du produit intérieur brut, “nous allons cette année passer à 5,4% et l’année prochaine, (…) nous allons aller vers 4,6%”, a-t-il affirmé, en soulignant que “le gouvernement va dire ce que sont les contraintes, les efforts nécessaires, les décisions à prendre pour qu’on se tire de ce piège mortel”, sans vouloir dévoiler ses pistes.”Je veux que tout le monde participe” à l’effort d’économie d’environ 40 milliards d’euros pour le prochain budget de la France, a expliqué le chef du gouvernement, en disant ne pas vouloir “qu’il y ait des catégories ciblées et d’autres qui ne le sont pas”, mais “avec un effort de justice qu’il va falloir évidemment mettre en place”.A quelques jours de la présentation d’un plan de redressement des finances publiques, “il peut y avoir ici ou là des efforts particuliers, mais je ne crois pas que ce soit par l’impôt qu’on résout des problèmes”, a en outre fait valoir M. Bayrou, mais par la baisse de “la dépense publique”.”Si la prospérité venait des impôts, puisque nous avons les impôts les plus importants du monde, nous serions les plus riches du monde”, a-t-il ajouté, en appelant au “bon sens”.

Accord franco-britannique sur un échange de migrants au dernier jour de la visite d’Etat de Macron

La France et le Royaume-Uni se sont mis d’accord jeudi sur un “projet pilote” d’échange de migrants à l’issue de la visite d’Etat du président français Emmanuel Macron, alors que les traversées de la Manche atteignent des chiffres record.Cet accord, qui doit encore être soumis à la Commission européenne avant d’être signé, repose sur le principe de “un pour un”. Il prévoit le renvoi en France d’un migrant arrivant au Royaume-Uni par petit bateau, en échange de quoi Londres s’engage à accepter un migrant se trouvant en France et exprimant sa volonté, via une plateforme en ligne, de s’installer au Royaume-Uni et justifiant de liens avec ce pays.”Pour la première fois, les migrants arrivant par petits bateaux seront arrêtés puis renvoyés rapidement en France”, a déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer, lors d’une conférence de presse sur la base militaire de Northwood (nord-ouest de Londres), se réjouissant d’un accord “révolutionnaire” sur un projet susceptible de démarrer “dans les prochaines semaines”.Plus de 21.000 migrants ont traversé la Manche depuis le début de l’année, un niveau record qui accroît la pression sur le dirigeant travailliste, au moment où le parti anti-immigration Reform UK de Nigel Farage monte en puissance dans l’opinion.Emmanuel Macron a quant à lui mis en cause le Brexit, soulignant qu’il n’existait plus depuis lors “aucun accord migratoire avec l’Union européenne” et que cela créait une “incitation” à traverser la Manche. Il a estimé que ce projet pilote “exercera un effet très dissuasif sur le modèle des passeurs et sur les traversées”.Aucune précision chiffrée n’a été apportée sur cet accord, trouvé après d’intenses négociations lors d’un sommet bilatéral en conclusion d’une visite d’Etat de trois jours du président français, la première pour un chef d’Etat de l’UE depuis le Brexit en 2020.Le chiffre évoqué dans la presse de 50 migrants par semaine échangés – jugé insuffisant par l’opposition conservatrice – n’a pas été confirmé.- Dissuasion nucléaire -“Cet accord est une humiliation”, a fustigé Nigel Farage. “Nous avons agi comme un membre de l’Union européenne et nous sommes inclinés devant un président français arrogant”, a-t-il écrit sur X. L’ONG Médecins sans frontières a de son côté jugé que ce projet n’était “pas seulement absurde”, mais “aussi extrêmement dangereux”.Pour sa part, le Haut Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) a salué un projet qui, “s’il est mis en œuvre de manière appropriée”, pourrait “offrir un accès à la protection aux demandeurs d’asile et réfugiés des deux côtés de la Manche”.Reste que cinq pays de l’UE -Espagne, Grèce, Italie, Malte et Chypre- avaient exprimé en juin leur “préoccupation”, craignant que la France ne renvoie ensuite les migrants vers le premier pays de l’UE dans lequel ils sont arrivés.La France et le Royaume-Uni ont aussi acté un rapprochement d’ampleur en matière de dissuasion nucléaire, en signant une déclaration stipulant que leurs moyens respectifs pourront “être coordonnés”.La souveraineté des deux pays – seuls à disposer du feu nucléaire en Europe – restera entière, mais “tout adversaire menaçant les intérêts vitaux du Royaume-Uni ou de la France pourrait être confronté à la puissance des forces nucléaires des deux nations”.Les deux Etats stipulent aussi “qu’il n’existe aucune menace extrême sur l’Europe qui ne susciterait une réponse des deux pays”.Un message à destination de Moscou, quand plusieurs pays de l’est de l’Europe craignent de possibles velléités expansionnistes russes.- Satellites -Outre le volet nucléaire, le Royaume-Uni et la France doivent accélérer le programme conjoint de missiles de croisière Scalp/Storm Shadow, et lanceront une nouvelle phase du projet de futurs missiles de croisière et de missiles antinavires, dont le développement s’était quelque peu enlisé.Les accords de Lancaster House encadrant la coopération militaire bilatérale depuis 2010 avaient entériné la création d’une force expéditionnaire conjointe franco-britannique. Cette force, qui pourrait servir de socle à une future force internationale de garantie d’un cessez-le-feu en Ukraine, va voir ses effectifs renforcés pour atteindre “jusqu’à 50.000 hommes” mobilisables “dans un engagement majeur”, a indiqué Emmanuel Macron.Les deux dirigeants ont assuré que les plans de la coalition des pays volontaires pour garantir un futur cessez-le-feu entre Kiev et Moscou étaient “prêts”, à l’occasion d’une réunion en visioconférence de représentants de ces pays, à laquelle ont également pris part l’émissaire américain Keith Kellogg, ainsi que le sénateur républicain Lindsay Graham et le sénateur démocrate Richard Blumenthal qui prônent des sanctions drastiques contre la Russie.Cette coalition a un nouveau quartier général à Paris, coprésidé par le Royaume-Uni et la France, qui sera transféré à Londres au bout de douze mois.Sur le Proche-Orient, le chef de l’Etat français a appelé à une reconnaissance commune de l’Etat de Palestine par la France et le Royaume-Uni, pour “initier (une) dynamique politique qui est la seule conforme à une perspective de paix”.Mais Keir Starmer a semblé peu convaincu de l’urgence d’une telle décision, estimant que “l’accent doit maintenant être mis sans relâche sur l’obtention d’un cessez-le-feu”.vl-ctx-alm-adm/lpt

Accord franco-britannique sur un échange de migrants au dernier jour de la visite d’Etat de Macron

La France et le Royaume-Uni se sont mis d’accord jeudi sur un “projet pilote” d’échange de migrants à l’issue de la visite d’Etat du président français Emmanuel Macron, alors que les traversées de la Manche atteignent des chiffres record.Cet accord, qui doit encore être soumis à la Commission européenne avant d’être signé, repose sur le principe de “un pour un”. Il prévoit le renvoi en France d’un migrant arrivant au Royaume-Uni par petit bateau, en échange de quoi Londres s’engage à accepter un migrant se trouvant en France et exprimant sa volonté, via une plateforme en ligne, de s’installer au Royaume-Uni et justifiant de liens avec ce pays.”Pour la première fois, les migrants arrivant par petits bateaux seront arrêtés puis renvoyés rapidement en France”, a déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer, lors d’une conférence de presse sur la base militaire de Northwood (nord-ouest de Londres), se réjouissant d’un accord “révolutionnaire” sur un projet susceptible de démarrer “dans les prochaines semaines”.Plus de 21.000 migrants ont traversé la Manche depuis le début de l’année, un niveau record qui accroît la pression sur le dirigeant travailliste, au moment où le parti anti-immigration Reform UK de Nigel Farage monte en puissance dans l’opinion.Emmanuel Macron a quant à lui mis en cause le Brexit, soulignant qu’il n’existait plus depuis lors “aucun accord migratoire avec l’Union européenne” et que cela créait une “incitation” à traverser la Manche. Il a estimé que ce projet pilote “exercera un effet très dissuasif sur le modèle des passeurs et sur les traversées”.Aucune précision chiffrée n’a été apportée sur cet accord, trouvé après d’intenses négociations lors d’un sommet bilatéral en conclusion d’une visite d’Etat de trois jours du président français, la première pour un chef d’Etat de l’UE depuis le Brexit en 2020.Le chiffre évoqué dans la presse de 50 migrants par semaine échangés – jugé insuffisant par l’opposition conservatrice – n’a pas été confirmé.- Dissuasion nucléaire -“Cet accord est une humiliation”, a fustigé Nigel Farage. “Nous avons agi comme un membre de l’Union européenne et nous sommes inclinés devant un président français arrogant”, a-t-il écrit sur X. L’ONG Médecins sans frontières a de son côté jugé que ce projet n’était “pas seulement absurde”, mais “aussi extrêmement dangereux”.Pour sa part, le Haut Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) a salué un projet qui, “s’il est mis en œuvre de manière appropriée”, pourrait “offrir un accès à la protection aux demandeurs d’asile et réfugiés des deux côtés de la Manche”.Reste que cinq pays de l’UE -Espagne, Grèce, Italie, Malte et Chypre- avaient exprimé en juin leur “préoccupation”, craignant que la France ne renvoie ensuite les migrants vers le premier pays de l’UE dans lequel ils sont arrivés.La France et le Royaume-Uni ont aussi acté un rapprochement d’ampleur en matière de dissuasion nucléaire, en signant une déclaration stipulant que leurs moyens respectifs pourront “être coordonnés”.La souveraineté des deux pays – seuls à disposer du feu nucléaire en Europe – restera entière, mais “tout adversaire menaçant les intérêts vitaux du Royaume-Uni ou de la France pourrait être confronté à la puissance des forces nucléaires des deux nations”.Les deux Etats stipulent aussi “qu’il n’existe aucune menace extrême sur l’Europe qui ne susciterait une réponse des deux pays”.Un message à destination de Moscou, quand plusieurs pays de l’est de l’Europe craignent de possibles velléités expansionnistes russes.- Satellites -Outre le volet nucléaire, le Royaume-Uni et la France doivent accélérer le programme conjoint de missiles de croisière Scalp/Storm Shadow, et lanceront une nouvelle phase du projet de futurs missiles de croisière et de missiles antinavires, dont le développement s’était quelque peu enlisé.Les accords de Lancaster House encadrant la coopération militaire bilatérale depuis 2010 avaient entériné la création d’une force expéditionnaire conjointe franco-britannique. Cette force, qui pourrait servir de socle à une future force internationale de garantie d’un cessez-le-feu en Ukraine, va voir ses effectifs renforcés pour atteindre “jusqu’à 50.000 hommes” mobilisables “dans un engagement majeur”, a indiqué Emmanuel Macron.Les deux dirigeants ont assuré que les plans de la coalition des pays volontaires pour garantir un futur cessez-le-feu entre Kiev et Moscou étaient “prêts”, à l’occasion d’une réunion en visioconférence de représentants de ces pays, à laquelle ont également pris part l’émissaire américain Keith Kellogg, ainsi que le sénateur républicain Lindsay Graham et le sénateur démocrate Richard Blumenthal qui prônent des sanctions drastiques contre la Russie.Cette coalition a un nouveau quartier général à Paris, coprésidé par le Royaume-Uni et la France, qui sera transféré à Londres au bout de douze mois.Sur le Proche-Orient, le chef de l’Etat français a appelé à une reconnaissance commune de l’Etat de Palestine par la France et le Royaume-Uni, pour “initier (une) dynamique politique qui est la seule conforme à une perspective de paix”.Mais Keir Starmer a semblé peu convaincu de l’urgence d’une telle décision, estimant que “l’accent doit maintenant être mis sans relâche sur l’obtention d’un cessez-le-feu”.vl-ctx-alm-adm/lpt

Accord franco-britannique sur un échange de migrants au dernier jour de la visite d’Etat de Macron

La France et le Royaume-Uni se sont mis d’accord jeudi sur un “projet pilote” d’échange de migrants à l’issue de la visite d’Etat du président français Emmanuel Macron, alors que les traversées de la Manche atteignent des chiffres record.Cet accord, qui doit encore être soumis à la Commission européenne avant d’être signé, repose sur le principe de “un pour un”. Il prévoit le renvoi en France d’un migrant arrivant au Royaume-Uni par petit bateau, en échange de quoi Londres s’engage à accepter un migrant se trouvant en France et exprimant sa volonté, via une plateforme en ligne, de s’installer au Royaume-Uni et justifiant de liens avec ce pays.”Pour la première fois, les migrants arrivant par petits bateaux seront arrêtés puis renvoyés rapidement en France”, a déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer, lors d’une conférence de presse sur la base militaire de Northwood (nord-ouest de Londres), se réjouissant d’un accord “révolutionnaire” sur un projet susceptible de démarrer “dans les prochaines semaines”.Plus de 21.000 migrants ont traversé la Manche depuis le début de l’année, un niveau record qui accroît la pression sur le dirigeant travailliste, au moment où le parti anti-immigration Reform UK de Nigel Farage monte en puissance dans l’opinion.Emmanuel Macron a quant à lui mis en cause le Brexit, soulignant qu’il n’existait plus depuis lors “aucun accord migratoire avec l’Union européenne” et que cela créait une “incitation” à traverser la Manche. Il a estimé que ce projet pilote “exercera un effet très dissuasif sur le modèle des passeurs et sur les traversées”.Aucune précision chiffrée n’a été apportée sur cet accord, trouvé après d’intenses négociations lors d’un sommet bilatéral en conclusion d’une visite d’Etat de trois jours du président français, la première pour un chef d’Etat de l’UE depuis le Brexit en 2020.Le chiffre évoqué dans la presse de 50 migrants par semaine échangés – jugé insuffisant par l’opposition conservatrice – n’a pas été confirmé.- Dissuasion nucléaire -“Cet accord est une humiliation”, a fustigé Nigel Farage. “Nous avons agi comme un membre de l’Union européenne et nous sommes inclinés devant un président français arrogant”, a-t-il écrit sur X. L’ONG Médecins sans frontières a de son côté jugé que ce projet n’était “pas seulement absurde”, mais “aussi extrêmement dangereux”.Pour sa part, le Haut Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) a salué un projet qui, “s’il est mis en œuvre de manière appropriée”, pourrait “offrir un accès à la protection aux demandeurs d’asile et réfugiés des deux côtés de la Manche”.Reste que cinq pays de l’UE -Espagne, Grèce, Italie, Malte et Chypre- avaient exprimé en juin leur “préoccupation”, craignant que la France ne renvoie ensuite les migrants vers le premier pays de l’UE dans lequel ils sont arrivés.La France et le Royaume-Uni ont aussi acté un rapprochement d’ampleur en matière de dissuasion nucléaire, en signant une déclaration stipulant que leurs moyens respectifs pourront “être coordonnés”.La souveraineté des deux pays – seuls à disposer du feu nucléaire en Europe – restera entière, mais “tout adversaire menaçant les intérêts vitaux du Royaume-Uni ou de la France pourrait être confronté à la puissance des forces nucléaires des deux nations”.Les deux Etats stipulent aussi “qu’il n’existe aucune menace extrême sur l’Europe qui ne susciterait une réponse des deux pays”.Un message à destination de Moscou, quand plusieurs pays de l’est de l’Europe craignent de possibles velléités expansionnistes russes.- Satellites -Outre le volet nucléaire, le Royaume-Uni et la France doivent accélérer le programme conjoint de missiles de croisière Scalp/Storm Shadow, et lanceront une nouvelle phase du projet de futurs missiles de croisière et de missiles antinavires, dont le développement s’était quelque peu enlisé.Les accords de Lancaster House encadrant la coopération militaire bilatérale depuis 2010 avaient entériné la création d’une force expéditionnaire conjointe franco-britannique. Cette force, qui pourrait servir de socle à une future force internationale de garantie d’un cessez-le-feu en Ukraine, va voir ses effectifs renforcés pour atteindre “jusqu’à 50.000 hommes” mobilisables “dans un engagement majeur”, a indiqué Emmanuel Macron.Les deux dirigeants ont assuré que les plans de la coalition des pays volontaires pour garantir un futur cessez-le-feu entre Kiev et Moscou étaient “prêts”, à l’occasion d’une réunion en visioconférence de représentants de ces pays, à laquelle ont également pris part l’émissaire américain Keith Kellogg, ainsi que le sénateur républicain Lindsay Graham et le sénateur démocrate Richard Blumenthal qui prônent des sanctions drastiques contre la Russie.Cette coalition a un nouveau quartier général à Paris, coprésidé par le Royaume-Uni et la France, qui sera transféré à Londres au bout de douze mois.Sur le Proche-Orient, le chef de l’Etat français a appelé à une reconnaissance commune de l’Etat de Palestine par la France et le Royaume-Uni, pour “initier (une) dynamique politique qui est la seule conforme à une perspective de paix”.Mais Keir Starmer a semblé peu convaincu de l’urgence d’une telle décision, estimant que “l’accent doit maintenant être mis sans relâche sur l’obtention d’un cessez-le-feu”.vl-ctx-alm-adm/lpt

Trump birthright citizenship order halted in class-action suit

A federal judge on Thursday halted President Donald Trump’s order restricting birthright citizenship, as opponents of the policy pursue a new legal avenue following the US Supreme Court’s overturning of a previous block.The high court’s conservative majority delivered a landmark decision in late June that limits the ability of individual judges to issue nationwide injunctions against presidents’ policies.Several such judges had in fact blocked Trump’s attempt to end the longstanding rule, guaranteed in the US Constitution, that anyone born on US soil is automatically an American citizen.However, the Supreme Court left open the possibility that orders could be blocked via broad class-action suits against the government.Trump’s opponents quickly filed new class-action suits seeking to block again the executive order.On Thursday, Judge Joseph Laplante of the US District of New Hampshire granted class-action status to any child who would potentially be denied citizenship under Trump’s order. The judge ordered a preliminary halt to it as legal proceedings carry on.The judge delayed his ruling for seven days to permit the Trump administration to appeal.Cody Wofsy, a lawyer with the American Civil Liberties Union (ACLU) who argued the case, called the ruling a “huge victory” that “will help protect the citizenship of all children born in the United States, as the Constitution intended.”Trump’s executive order decrees that children born to parents in the United States illegally or on temporary visas would not automatically become citizens — a radical reinterpretation of the 14th Amendment to the US Constitution.His administration has argued that the 14th Amendment, passed in the wake of the Civil War, addresses the rights of former slaves and not the children of undocumented migrants or temporary US visitors.The Supreme Court rejected such a narrow definition in a landmark 1898 case.The current high court, with a 6-3 conservative majority, avoided ruling last month on the constitutionality of Trump’s executive order and only addressed the issue of nationwide injunctions.It nonetheless permitted the order to go ahead but delayed its ruling from taking effect until late July to allow for new court challenges.Several lower courts, in issuing their previous injunctions, had ruled that the executive order violated the Constitution.

Root’s 99 not out keeps India at bay in third Test

Joe Root’s unbeaten 99 checked India’s progress on Thursday’s opening day of the third Test against England at Lord’s.England were 251-4 at stumps, with Root coming in when they were faltering at 44-2 after paceman Nitish Kumar Reddy struck twice in his first over to remove openers Ben Duckett and Zak Crawley.But not for the first time in his 156 Test-career, the 34-year-old Root bailed England out of trouble.England captain Ben Stokes, who won the toss at a sun-drenched Lord’s, was 39 not out after helping Root, his predecessor as skipper, add an unbroken 79 for the fifth wicket.Root also shared a grinding partnership of 109 in 35 overs with Ollie Pope, who made 44 after almost being out for a golden duck.Much of the pre-match talk had focused on the return of Jasprit Bumrah, the world’s top-ranked Test bowler, after he was rested for India’s 336-run thrashing of England at Edgbaston last week that levelled the five-match series at 1-1.But it was Reddy, the fourth seamer deployed by India captain Shubman Gill on Thursday, who struck twice in four balls on the way to figures of 2-46 in 14 overs.With his third ball, the 22-year-old had left-hander Duckett (23) well caught down the legside by diving wicketkeeper Rishabh Pant off a gloved pull.Next ball, the often skittish Pope almost fell for a duck when he threw his bat at an outswinger, with Gill just unable to hold a tough chance low to his right in the gully.But with the last ball of the over, Reddy produced a superb full-length delivery that swung late and straightened off the pitch before taking Crawley’s outside edge to give Pant a simple catch as the Kent batsman fell for 18.- Root masterclass -Pope, following his first-ball reprieve, had several more nervy moments, chasing a wide delivery from Bumrah he could have left alone before a loose shot off Reddy fell just short of third slip.Root, second behind England team-mate Harry Brook in the Test batting rankings, was far more assured as he went to fifty with a glance through fine leg off Reddy — his seventh four in 102 balls faced. England were 153-2 at tea with Root unbeaten on 54 and Pope 44 not out.But the very first ball after the interval saw Pope drive loosely at left-arm spinner Ravindra Jadeja, with reserve wicketkeeper Dhruv Jurel, on the field after Pant suffered a finger injury in the second session, holding an excellent shoulder-high catch off a fast-travelling edge.New batsman Brook only managed 11 before he was bowled between bat and pad by Bumrah after failing to get forward to a nip-back ball. Bumrah ended the day with a miserly return of 1-35 in 18 overs.England were now 172-4 as Stokes, without a Test hundred since an Ashes century against Australia at Lord’s two years ago, walked out to bat.The left-hander had made 27 when Reddy had a tight lbw review turned down on umpire’s call. He then called for the England physio after suffering what appeared to be a groin injury. Root, however, continued to bat with his customary class, an on-driven four off Reddy taking the former England captain to 80. But with play held up by a swarm of flying ants, and Stokes unable to get off strike as he defended Akash Deep’s final two balls of the day, Root was left one run shy of what would be his 37th Test hundred and a record-extending eighth century at Lord’s.

Delta offers upbeat outlook on travel demand, lifting shares

Shares of Delta Air Lines rocketed higher Thursday after the carrier reported better-than-expected profits and reinstated its full-year forecast based on a reassuring travel outlook.The big US airline, which had withdrawn its forecast in April amid a weakening outlook at the time, characterized travel demand as “stabilized” and the US economy as “solid,” according to Chief Executive Officer Ed Bastian.”Our core consumer is in good shape and continues to prioritize travel and affinity for Delta’s brand has never been stronger,” he said on a conference call with analysts.For the quarter ending June 30, Delta reported profits of $2.1 billion, up 63 percent from the year-ago period. Revenues were flat at $16.6 billion.The company projected 2025 profits of between $5.25 and $6.25 a share. Delta had withdrawn its full-year earnings forecast on April 9, which was near the stock market’s nadir following President Donald Trump’s aggressive “Liberation Day” tariff announcement in early April.Trump in recent days has announces a slew of new tariff actions. But stock markets have lingered at or near records as investors bet the president won’t execute the most onerous levies. Bastian on Thursday pointed to “continued progress on trade negotiations, predicting consumer and corporate confidence would improve in the second half of 2025, “creating the environment for travel demand to accelerate.”Delta executives said the company enjoyed a five percent growth in revenues from premium seats, offsetting lackluster demand for lower-priced tickets. Executives described as “very weak” demand for travel on off-peak periods, leading the industry to slash flights at odd times on less-traveled days such as Tuesday and Wednesday.Shares of Delta soared 13.6 percent in afternoon trading.jmb /mlm

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Interdiction des paquebots géants à Nice: le préfet saisit le tribunal administratif

Le préfet des Alpes-Maritimes a annoncé jeudi saisir le tribunal administratif pour contester un arrêté pris par la Métropole de Nice interdisant les escales des paquebots géants, qu’il juge “illégal”.Après avoir assoupli une première interdiction prise fin janvier, le maire de Nice et président de la métropole, Christian Estrosi, a pris mercredi un nouvel arrêté interdisant les escales de paquebot de plus de 450 passagers à Nice, et limitant le nombre de navires transportant plus de 2.500 passagers à Villefranche-sur-mer à 65 par an et pas plus d’un par jour.Le maire de Nice justifie cet arrêté au nom de “l’urgence climatique, la protection de la biodiversité marine, la promotion d’un tourisme raisonné et la protection du patrimoine”.Selon la Métropole, cet arrêté, qui doit entrer en vigueur ce vendredi 11 juillet, affectera d’ici la fin de l’année cinq escales prévues dans le port de Nice, et 15 en 2026 sur un total de 176 déjà réservées. Concernant la gare maritime de Villefranche-sur-mer, l’arrêté concerne d’ici la fin de l’année 12 escales de navires d’une capacité cumulée de plus de 38.000 passagers, et pour 2026, 53 escales d’une capacité totale cumulée de plus de 200.000 passagers, sur un total de 131 escales déjà réservées.Dans un communiqué, le préfet des Alpes-Maritimes dit avoir “décidé de saisir le tribunal administratif de Nice pour obtenir la suspension et l’annulation de cet arrêté au motif qu’il est entaché de plusieurs illégalités et de nature à compromettre l’exercice d’une liberté publique ou individuelle”.Le préfet annonce par ailleurs réunir vendredi avec le préfet maritime une “table-ronde sur la régulation des navires de croisière réunissant l’ensemble des acteurs concernés”.En janvier, l’annonce du maire de Nice, interdisant les escales de navires de plus de 900 passagers en rade de Villefranche-sur-mer, avait provoqué la “stupéfaction” de l’association internationale des compagnies de croisières (CLIA) mais aussi un tollé parmi les élus des communes de la rade, les professionnels de la mer, les commerçants ou les taxis.Après Nice, la ville de Cannes a elle aussi décidé de limiter à partir de 2026 les paquebots géants dans sa baie en n’autorisant qu’un seul navire de plus de 3.000 passagers à y mouiller chaque jour.

Interdiction des paquebots géants à Nice: le préfet saisit le tribunal administratif

Le préfet des Alpes-Maritimes a annoncé jeudi saisir le tribunal administratif pour contester un arrêté pris par la Métropole de Nice interdisant les escales des paquebots géants, qu’il juge “illégal”.Après avoir assoupli une première interdiction prise fin janvier, le maire de Nice et président de la métropole, Christian Estrosi, a pris mercredi un nouvel arrêté interdisant les escales de paquebot de plus de 450 passagers à Nice, et limitant le nombre de navires transportant plus de 2.500 passagers à Villefranche-sur-mer à 65 par an et pas plus d’un par jour.Le maire de Nice justifie cet arrêté au nom de “l’urgence climatique, la protection de la biodiversité marine, la promotion d’un tourisme raisonné et la protection du patrimoine”.Selon la Métropole, cet arrêté, qui doit entrer en vigueur ce vendredi 11 juillet, affectera d’ici la fin de l’année cinq escales prévues dans le port de Nice, et 15 en 2026 sur un total de 176 déjà réservées. Concernant la gare maritime de Villefranche-sur-mer, l’arrêté concerne d’ici la fin de l’année 12 escales de navires d’une capacité cumulée de plus de 38.000 passagers, et pour 2026, 53 escales d’une capacité totale cumulée de plus de 200.000 passagers, sur un total de 131 escales déjà réservées.Dans un communiqué, le préfet des Alpes-Maritimes dit avoir “décidé de saisir le tribunal administratif de Nice pour obtenir la suspension et l’annulation de cet arrêté au motif qu’il est entaché de plusieurs illégalités et de nature à compromettre l’exercice d’une liberté publique ou individuelle”.Le préfet annonce par ailleurs réunir vendredi avec le préfet maritime une “table-ronde sur la régulation des navires de croisière réunissant l’ensemble des acteurs concernés”.En janvier, l’annonce du maire de Nice, interdisant les escales de navires de plus de 900 passagers en rade de Villefranche-sur-mer, avait provoqué la “stupéfaction” de l’association internationale des compagnies de croisières (CLIA) mais aussi un tollé parmi les élus des communes de la rade, les professionnels de la mer, les commerçants ou les taxis.Après Nice, la ville de Cannes a elle aussi décidé de limiter à partir de 2026 les paquebots géants dans sa baie en n’autorisant qu’un seul navire de plus de 3.000 passagers à y mouiller chaque jour.