Retailleau et Wauquiez affichent leur bonne entente en Haute-Loire

“Un ami”, “une chance pour le pays”, “un vrai patron de groupe” : les ténors de LR Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez ont affiché vendredi leur unité lors d’une visite du ministre de l’Intérieur dans le fief de Haute-Loire du chef des députés LR.Les deux hommes, à qui l’on prête une rivalité feutrée, ont fait assaut d’amabilité, répondant côte à côte aux questions des journalistes à Monistrol-sur-Loire et multipliant les marques de sympathie.Le ministre était venu prendre acte du “bouclier de sécurité”, un dispositif de lutte contre la délinquance qui mise sur la vidéoprotection, mis en place par Laurent Wauquiez.”On a la chance d’avoir un ministre de l’Intérieur qui a des valeurs fortes, des idées claires et qui n’a pas la main qui tremble”, a loué le député de Haute-Loire, présentant Bruno Retailleau comme “un ami”.”J’ai une immense confiance dans le travail qu’il fait. Et c’est une chance pour notre pays de l’avoir comme ministre de l’Intérieur”, a poursuivi l’ancien président de la région Auvergne-Rhône-Alpes. “On a besoin que Bruno réussisse, a-t-il encore dit. On a besoin qu’il réussisse pour notre pays. On a besoin qu’il réussisse pour la sécurité des Français. Et nous aussi, pour notre famille politique.”L’ancien sénateur, dont la popularité est en hausse selon un sondage Elabe/Les Echos, a pour sa part loué l’initiative “remarquable” de Laurent Wauquiez en Haute-Loire, tout en admettant que leurs relations avaient pu être conflictuelles.”Ce lien entre nous n’a pas toujours été un lien évident. On s’est parfois affronté. Ça n’a pas toujours été facile”, a-t-il déclaré, soulignant le caractère “parfois rugueux” des Vendéens (comme lui) et des habitants du Puy-en-Velay (le bastion de Laurent Wauquiez). “Quand on arrive dans des vies personnelles, politiques aussi, à surmonter ces difficultés, ça permet de renforcer les liens”, a poursuivi Bruno Retailleau, en assurant que le fait de partager les mêmes “convictions” cimentait ce rapprochement.”Et moi, je ne peux pas réussir – je le dis devant Laurent – sans avoir un président qui est un vrai patron de son groupe parlementaire”, a-t-il assuré.Après avoir visité une nouvelle brigade de gendarmerie, M. Retailleau s’est rendu au Puy-en-Velay dans les locaux du quotidien l’Eveil, où doit être installé le futur commissariat, avant de se rendre à Brives-Charensac, une commune sinistrée par l’épisode cévenol du mois d’octobre.

Tanzania opposition leader arrested ahead of local pollsFri, 22 Nov 2024 15:24:49 GMT

One of Tanzania’s main opposition leaders, Freeman Mbowe, was detained by police on Friday, his Chadema party said, after officers dispersed an opposition rally with tear gas just days before local elections.Chadema had protested earlier this week that many of its candidates had been “unfairly” disqualified from running in the November 27 polls in towns …

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Stock markets diverge, dollar gains amid escalating geopolitical tensions

Global stocks diverged and the dollar gained Friday following a bounce on Wall Street as traders weighed weak European economic data and concerns over escalating tensions in the Russia-Ukraine war.Bitcoin pushed on further with its march towards the $100,000 mark, as the cryptocurrency benefits from US president-elect Donald Trump’s pledge to ease regulation around digital tokens.The euro hit a two-year-low against the dollar and the pound retreated after a closely watched survey showed a contraction in business activity in November in the eurozone and the UK. The dollar, considered a safe haven asset, was also bolstered by geopolitical uncertainty after Russia said the conflict in Ukraine had the characteristics of a “global” war and did not rule out strikes on Western countries.Paris and Frankfurt stocks fell as the survey showed that Germany and France, the eurozone’s two biggest economies, were once again driving the weakness, with the latter posting the fastest fall in activity since January. “Businesses across Europe seem to be acutely concerned about the risks posed by president-elect Trump’s radical tariff proposals”, said Matthew Ryan, head of market strategy at financial technology firm Ebury.Germany’s third-quarter growth was also downgraded Friday with official data showing it expanded even more weakly than previously thought.London managed to gain around 0.7 percent despite data showing that retail sales figures for October undershot forecasts.All three main indexes on Wall Street ended Thursday on a positive note with observers saying traders had dialled back their gloom over Nvidia’s huge earnings that fell short of the highest expectations.In Asia, Tokyo climbed as the government prepared to announce a $140 billion stimulus package to kickstart the country’s stuttering economy.However, Hong Kong and Shanghai sank on a sell-off in tech firms caused by weak earnings from firms including Temu-owner PDD Holdings and internet giant Baidu.Bitcoin set a new record high of $99,505.45 Friday morning before easing back slightly.It is broadly expected to soon burst through $100,000 as investors grow increasingly hopeful that Trump will pass measures to deregulate the crypto sector.Bitcoin has soared more than 40 percent since his election victory this month and it has more than doubled since the turn of the year.The recent surge has also been “driven by news that Trump could set up an official crypto department that would sit in the heart of US government”, said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.In a further boost, the top US securities regulator Gary Gensler, who oversaw measures to rein in cryptocurrencies, announced Thursday that he intends to step down when Trump takes office in January.The move clears the way for the president-elect to pick Gensler’s successor.- Key figures around 1115 GMT -London – FTSE 100: UP 0.7 percent at 8,203.26Paris – CAC 40: DOWN 0.3 percent at 7,192.43Frankfurt – DAX: DOWN 0.1 percent at 19,120.91Tokyo – Nikkei 225: UP 0.7 percent at 38,283.85 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.9 percent at 19,229.97 (close)Shanghai – Composite: DOWN 3.1 percent at 3,267.19 (close)New York – Dow: UP 1.1 percent at 43,870.35 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0420 from $1.0476 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.2515 from $1.2587Dollar/yen: DOWN at 154.43 yen from 154.54 yenEuro/pound: UP at 83.23 pence from 83.20 penceWest Texas Intermediate: FLAT percent at $70.12 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.1 percent at $74.28 per barrel

Kenyan street style snappers reclaim the heart of NairobiFri, 22 Nov 2024 11:08:58 GMT

Alex Okwomi trains his lens on his latest clients: two young women whose identical crimson dresses will make a striking photo as they pose and pout against the photogenic skyline of Nairobi’s central business district.”You must have that good language to convince them,” the 27-year-old street photographer told AFP, explaining how he approaches stylish people …

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François Ruffin, une tournée des salles obscures pour enfin jouer le premier rôle?

Après le divorce, la reconstruction. La rupture avec La France insoumise consommée, l’électron libre de la gauche François Ruffin surfe sur la sortie de son nouveau film et tente en parallèle de structurer son micro-parti Picardie Debout pour charpenter sa candidature à la présidentielle.C’était un secret de polichinelle, mais l’élu de Picardie l’a reconnu dans Le Monde: il pense “bien sûr” à la prochaine élection présidentielle.”2027 est une carte qui est sur la table”, a expliqué celui qui, d’habitude, rechigne à parler explicitement de ses ambitions personnelles. “Ruffin pense que la politique c’est sale, comme les écolos”, sourit un député écologiste, qui a accueilli dans son groupe parlementaire – et a appris à découvrir – l’ancien journaliste, qui ne pouvait plus siéger avec les Insoumis.Une des raisons, peut-être, qui l’a poussé à se réfugier ces dernières semaines dans les pages culture des journaux.   Amiens, Melle, Pessac, Sarlat… Pour la promotion de son dernier documentaire, “Au boulot!”, vu par plus de 100.000 personnes, il a réalisé un tour de France et enchaîné les débats avec les spectateurs, notamment dans les sous-préfectures si chères à son combat politique.”C’est l’occasion de se construire un réseau et de rencontrer les élus locaux. Ce sont des relais importants”, explique un de ses proches.Car des relais, François Ruffin – connu pour avoir dit “dans un couple, j’ai l’impression qu’il y a déjà une personne en trop” – en a bien besoin.Sur la grande scène politique, celui qui a pourtant longtemps représenté un des plus petits dénominateurs communs de la gauche, apparaît bien esseulé depuis sa rupture avec les Insoumis – même si la patronne des Ecologistes Marine Tondelier était présente à une projection de son film. “Il ne veut pas travailler avec les autres. Il ne construit pas, il est dans une phase d’affirmation”, soupire un parlementaire socialiste. “Il est seul. Il s’est tiré une balle dans le pied”, tacle le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard, y voyant la preuve que “c’est compliqué d’incarner une ligne politique de rupture radicale en dehors de LFI”. – Vers un vrai parti? – Reste que cette tournée des cinémas, s’ajoute à un contexte social (fermetures d’usine, grogne des agriculteurs), qui résonne avec les combats portés de longue date par le réalisateur de “Merci Patron!”. Parallèlement, ce chantre de la lutte des classes essaie de structurer son micro-parti Picardie Debout, officiellement créé en 2019 et qui compte depuis l’année dernière un local à Paris.Cette semaine, le directeur du parti Guillaume Ancelet a envoyé un courrier aux adhérents pour annoncer qu’il laissait sa place à Mathieu Bosque, un proche du député depuis 2017.”On a une demande des militants qui est de se structurer. On veut être un parti moderne et national, comme les autres à gauche”, assure à l’AFP cet ancien militant insoumis, qui dit avoir été choisi pour “préparer la croissance de Picardie Debout”.Une aspiration cohérente avec le discours de l’ancien journaliste qui rappelle souvent avec humour qu’il se considère comme “pan-picard”, en faveur de “l’expansionnisme picard”. Actuellement, le parti compte une demi-douzaine de salariés selon Mathieu Bosque, qui refuse de préciser le nombre de militants.- “Disponibilité électorale” -Selon un sondage Ifop/Fiducial pour Paris Match et Sud Radio paru cette semaine, François Ruffin est l’une des personnalités politiques les plus appréciées, avec 48% d’opinions favorables, soit six points de plus qu’en octobre.  Et sa déclaration de début septembre – quand il a reconnu avoir distribué des tracts différents en fonction de s’il s’adressait à “un Noir ou un Arabe” ou pas – lui est moins reprochée maintenant.”Ruffin a fait une sortie de route, maintenant il passe par les chemins de traverse. Il va prendre du temps avant de retrouver l’autoroute”, diagnostiquait alors un élu insoumis, pourtant resté en bons termes avec lui.”C’était un épiphénomène, c’est oublié depuis belle lurette”, balaie le proche du réalisateur.”Avec sa sortie, il a brisé six mois de capital politique. Mais il lui reste une disponibilité électorale dans le pays”, estime le député écologiste.

South Sudan probes shootout at sacked spy chief’s homeFri, 22 Nov 2024 10:35:16 GMT

South Sudan security forces were investigating Friday a shootout at the home of the troubled nation’s powerful former spy chief Akol Koor, who was sacked almost two months ago amid rumours of a coup plot.Gunfire erupted on Thursday evening in Juba, the capital of the world’s youngest country that is plagued by power struggles, ethnic …

South Sudan probes shootout at sacked spy chief’s homeFri, 22 Nov 2024 10:35:16 GMT Read More »

France: le Premier ministre Barnier en Italie “dans 15 jours” pour voir Meloni

Le Premier ministre français Michel Barnier a annoncé vendredi qu’il se rendrait “dans 15 jours” en Italie pour y rencontrer notamment la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni.”J’ai beaucoup de respect pour l’Italie. Je vais d’ailleurs lui rendre une visite officielle dans quinze jours pour rencontrer Madame Meloni (…) et puis je vais visiter les pays européens un par un prochainement, enfin dans le temps que j’aurai devant moi”, a affirmé le chef du gouvernement français.Les dates précises de ce déplacement n’ont pas encore été fixées, selon Matignon.Michel Barnier est menacé en France de censure par la gauche et l’extrême droite sur son projet de budget, dont l’adoption finale est attendue avant la fin de l’année.Il s’exprimait devant le 6e Forum économique trilatéral France-Allemagne-Italie, qui réunit jusqu’à vendredi le patronat français Medef et ses homologues allemand et italien, le BDI et la Confindustria.”Nous avons des raisons de travailler ensemble (avec l’Italie) plus étroitement et c’est pour ça que ce que fait depuis maintenant six-sept ans le patronat français” avec ses homologues “est extrêmement important”, a souligné le Premier ministre.Evoquant le “tandem” franco-allemand, qui a actuellement du plomb dans l’aile, il a estimé que “la coopération franco-allemande est de plus en plus nécessaire et de moins en moins suffisante”.Par conséquent, “il faut qu’on ouvre et on ne doit pas être exclusif. Et l’Italie est un très grand pays que la France a souvent négligée”, a-t-il poursuivi.Michel Barnier s’était rendu, pour son premier déplacement hors de France, à Bruxelles pour une réunion du PPE, sa famille politique au Parlement européen. Il s’était ensuite déplacé à la frontière franco-italienne pour saluer la “coopération efficace” entre les deux pays en matière migratoire. Il avait rencontré à cette occasion deux ministres du gouvernement de Giorgia Meloni, qui associe la droite et l’extrême droite, Antonio Tajani (Affaires étrangères), qu’il connaît bien, et Matteo Piantedosi (Intérieur).