Kenyan street style snappers reclaim the heart of NairobiFri, 22 Nov 2024 11:08:58 GMT

Alex Okwomi trains his lens on his latest clients: two young women whose identical crimson dresses will make a striking photo as they pose and pout against the photogenic skyline of Nairobi’s central business district.”You must have that good language to convince them,” the 27-year-old street photographer told AFP, explaining how he approaches stylish people …

Kenyan street style snappers reclaim the heart of NairobiFri, 22 Nov 2024 11:08:58 GMT Read More »

François Ruffin, une tournée des salles obscures pour enfin jouer le premier rôle?

Après le divorce, la reconstruction. La rupture avec La France insoumise consommée, l’électron libre de la gauche François Ruffin surfe sur la sortie de son nouveau film et tente en parallèle de structurer son micro-parti Picardie Debout pour charpenter sa candidature à la présidentielle.C’était un secret de polichinelle, mais l’élu de Picardie l’a reconnu dans Le Monde: il pense “bien sûr” à la prochaine élection présidentielle.”2027 est une carte qui est sur la table”, a expliqué celui qui, d’habitude, rechigne à parler explicitement de ses ambitions personnelles. “Ruffin pense que la politique c’est sale, comme les écolos”, sourit un député écologiste, qui a accueilli dans son groupe parlementaire – et a appris à découvrir – l’ancien journaliste, qui ne pouvait plus siéger avec les Insoumis.Une des raisons, peut-être, qui l’a poussé à se réfugier ces dernières semaines dans les pages culture des journaux.   Amiens, Melle, Pessac, Sarlat… Pour la promotion de son dernier documentaire, “Au boulot!”, vu par plus de 100.000 personnes, il a réalisé un tour de France et enchaîné les débats avec les spectateurs, notamment dans les sous-préfectures si chères à son combat politique.”C’est l’occasion de se construire un réseau et de rencontrer les élus locaux. Ce sont des relais importants”, explique un de ses proches.Car des relais, François Ruffin – connu pour avoir dit “dans un couple, j’ai l’impression qu’il y a déjà une personne en trop” – en a bien besoin.Sur la grande scène politique, celui qui a pourtant longtemps représenté un des plus petits dénominateurs communs de la gauche, apparaît bien esseulé depuis sa rupture avec les Insoumis – même si la patronne des Ecologistes Marine Tondelier était présente à une projection de son film. “Il ne veut pas travailler avec les autres. Il ne construit pas, il est dans une phase d’affirmation”, soupire un parlementaire socialiste. “Il est seul. Il s’est tiré une balle dans le pied”, tacle le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard, y voyant la preuve que “c’est compliqué d’incarner une ligne politique de rupture radicale en dehors de LFI”. – Vers un vrai parti? – Reste que cette tournée des cinémas, s’ajoute à un contexte social (fermetures d’usine, grogne des agriculteurs), qui résonne avec les combats portés de longue date par le réalisateur de “Merci Patron!”. Parallèlement, ce chantre de la lutte des classes essaie de structurer son micro-parti Picardie Debout, officiellement créé en 2019 et qui compte depuis l’année dernière un local à Paris.Cette semaine, le directeur du parti Guillaume Ancelet a envoyé un courrier aux adhérents pour annoncer qu’il laissait sa place à Mathieu Bosque, un proche du député depuis 2017.”On a une demande des militants qui est de se structurer. On veut être un parti moderne et national, comme les autres à gauche”, assure à l’AFP cet ancien militant insoumis, qui dit avoir été choisi pour “préparer la croissance de Picardie Debout”.Une aspiration cohérente avec le discours de l’ancien journaliste qui rappelle souvent avec humour qu’il se considère comme “pan-picard”, en faveur de “l’expansionnisme picard”. Actuellement, le parti compte une demi-douzaine de salariés selon Mathieu Bosque, qui refuse de préciser le nombre de militants.- “Disponibilité électorale” -Selon un sondage Ifop/Fiducial pour Paris Match et Sud Radio paru cette semaine, François Ruffin est l’une des personnalités politiques les plus appréciées, avec 48% d’opinions favorables, soit six points de plus qu’en octobre.  Et sa déclaration de début septembre – quand il a reconnu avoir distribué des tracts différents en fonction de s’il s’adressait à “un Noir ou un Arabe” ou pas – lui est moins reprochée maintenant.”Ruffin a fait une sortie de route, maintenant il passe par les chemins de traverse. Il va prendre du temps avant de retrouver l’autoroute”, diagnostiquait alors un élu insoumis, pourtant resté en bons termes avec lui.”C’était un épiphénomène, c’est oublié depuis belle lurette”, balaie le proche du réalisateur.”Avec sa sortie, il a brisé six mois de capital politique. Mais il lui reste une disponibilité électorale dans le pays”, estime le député écologiste.

South Sudan probes shootout at sacked spy chief’s homeFri, 22 Nov 2024 10:35:16 GMT

South Sudan security forces were investigating Friday a shootout at the home of the troubled nation’s powerful former spy chief Akol Koor, who was sacked almost two months ago amid rumours of a coup plot.Gunfire erupted on Thursday evening in Juba, the capital of the world’s youngest country that is plagued by power struggles, ethnic …

South Sudan probes shootout at sacked spy chief’s homeFri, 22 Nov 2024 10:35:16 GMT Read More »

France: le Premier ministre Barnier en Italie “dans 15 jours” pour voir Meloni

Le Premier ministre français Michel Barnier a annoncé vendredi qu’il se rendrait “dans 15 jours” en Italie pour y rencontrer notamment la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni.”J’ai beaucoup de respect pour l’Italie. Je vais d’ailleurs lui rendre une visite officielle dans quinze jours pour rencontrer Madame Meloni (…) et puis je vais visiter les pays européens un par un prochainement, enfin dans le temps que j’aurai devant moi”, a affirmé le chef du gouvernement français.Les dates précises de ce déplacement n’ont pas encore été fixées, selon Matignon.Michel Barnier est menacé en France de censure par la gauche et l’extrême droite sur son projet de budget, dont l’adoption finale est attendue avant la fin de l’année.Il s’exprimait devant le 6e Forum économique trilatéral France-Allemagne-Italie, qui réunit jusqu’à vendredi le patronat français Medef et ses homologues allemand et italien, le BDI et la Confindustria.”Nous avons des raisons de travailler ensemble (avec l’Italie) plus étroitement et c’est pour ça que ce que fait depuis maintenant six-sept ans le patronat français” avec ses homologues “est extrêmement important”, a souligné le Premier ministre.Evoquant le “tandem” franco-allemand, qui a actuellement du plomb dans l’aile, il a estimé que “la coopération franco-allemande est de plus en plus nécessaire et de moins en moins suffisante”.Par conséquent, “il faut qu’on ouvre et on ne doit pas être exclusif. Et l’Italie est un très grand pays que la France a souvent négligée”, a-t-il poursuivi.Michel Barnier s’était rendu, pour son premier déplacement hors de France, à Bruxelles pour une réunion du PPE, sa famille politique au Parlement européen. Il s’était ensuite déplacé à la frontière franco-italienne pour saluer la “coopération efficace” entre les deux pays en matière migratoire. Il avait rencontré à cette occasion deux ministres du gouvernement de Giorgia Meloni, qui associe la droite et l’extrême droite, Antonio Tajani (Affaires étrangères), qu’il connaît bien, et Matteo Piantedosi (Intérieur).

Japan government approves $140bn stimulus

Japan’s minority government signed off Friday on a $140-billion stimulus drive aimed at putting more money in consumers’ pockets after the ruling party’s worst election result in 15 years.The October 27 contest saw voters — angry over corruption in the Liberal Democratic Party (LDP) and inflation — deprive new Prime Minister Shigeru Ishiba’s coalition of a majority in parliament’s lower house.The package worth 21.9 trillion yen ($141.8 billion) includes handouts of around 30,000 yen for low-income households, fuel and energy subsidies, and assistance to small businesses, according to the government.The overall business impact was expected to be 39 trillion yen.”To enhance the vitality of Japan as a whole, we will strengthen the growth of the national and regional economies and raise wages for all people, of all generations,” top government spokesman Yoshimasa Hayashi told reporters.To pay for the package, the second in as many years, the government will table a supplementary budget by the end of the year in the lower house.But views about the move among people on the streets were mixed.Voter Katsuhiro Hirakawa, 63, accused politicians of making “whatever decisions they want without listening to the voices of us ordinary citizens”.Authorities should “think carefully about why they need more tax revenue, or how they can reduce wasteful spending, before making decisions on budgets”, he told AFP in Tokyo.And Hisaki Sato, 46, wanted more help for the middle class, adding: “We’re now living in an age when not only low-income households but middle-income families are in need of more stimulus measures.”The middle class is “home to many people who are contributing directly to the economy, so I want the government to cherish them as well”.- Debt mountain -To win enough lawmakers’ support, Ishiba agreed to include the lifting of an income tax threshold pushed by the opposition Democratic Party for the People (DPP).The smaller party says this will ease labour shortages and boost consumer spending by encouraging part-time staff to work longer hours and earn more.But critics worry that this will reduce tax revenues by trillions of yen and increase Japan’s huge debt pile, which equates to more than 200 percent of gross domestic product.With the Bank of Japan expected to keep hiking interest rates, this debt mountain will also cost more and more, SMBC Nikko Securities economist Yoshimasa Maruyama said.Tax cuts “must be accompanied by a permanent source of revenue to fill the gap”, Maruyama wrote in a research note.Ishiba, 67, has promised to revitalise depressed rural regions and to address the “quiet emergency” of Japan’s shrinking population with measures to support families such as flexible working hours.Going forward, businesses worry that the need to curry favour with opposition parties means Ishiba will avoid reforms needed to improve Japan’s competitiveness.There are also concerns that the government may pressure the Bank of Japan to go slow on raising interest rates, even if this leads to a weaker yen.- Rice prices soar -Government data Friday put headline inflation last month at a modest 2.3 percent, but it showed rice up nearly 60 percent year-on-year, revealing the pain for ordinary Japanese.The price of the staple rocketed because of hot weather and water shortages and after a “megaquake” warning in August led to hoarding. Record inflows of hungry tourists were also blamed.Separately, Ishiba has promised to spend 10 trillion yen through 2030 to boost Japan’s semiconductor and artificial intelligence sectors and help the nation regain its tech edge.After dominating tech in the 1980s, “Japan had quite a long period of almost just sitting back and observing a lot of this innovation,” particularly in artificial intelligence, said Kelly Forbes at the AI Asia Pacific Institute.”What we have seen in the last maybe two to three years is Japan really waking up to the potential” of such developments, she told AFP.