Senegal’s key construction sector flounders despite govt reform pledgesFri, 28 Mar 2025 07:21:00 GMT

Machines stand inert at a unit of construction firm CSE in Senegal’s capital, Dakar, due to plummeting orders and unpaid government bills that have almost halved its workforce.A year after the west African country’s new president took power promising economic and political sovereignty and sweeping reforms, his ambitious pledges have not helped the sector.A worker …

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China’s Xi vows deeper cooperation in meeting with Bangladesh leader

Chinese President Xi Jinping on Friday pledged deeper cooperation with Bangladeshi counterpart Muhammad Yunus in a meeting that came as Dhaka seeks new friends to offset frosty ties with India.Yunus took charge of Bangladesh last August after the toppling of autocratic ex-premier Sheikh Hasina, who fled to New Delhi after a student-led uprising.India was the biggest benefactor of Hasina’s government, and her ouster sent cross-border relations into a tailspin, culminating in Yunus choosing to make his first state visit to China — India’s biggest Asian rival.Xi told Yunus on Friday that Beijing was “willing to work with Bangladesh to push bilateral cooperation to a new level,” Chinese state broadcaster CCTV said.”China… insists on remaining a good neighbour, good friend and good partner to Bangladesh, based on mutual trust,” Xi said, according to CCTV.The Chinese leader said Beijing and Dhaka should “firmly support each other” on core interests and backed Bangladesh on issues including safeguarding national sovereignty, independence and territorial integrity.He added that the two countries would explore cooperation in infrastructure construction, water conservancy and the digital, marine and environmental sectors.Yunus’s chief press secretary Shafiqul Alam called the meeting a “great success” and hailed Xi’s “warmth and cordiality” as well as his promise to encourage Chinese investment in Bangladesh.”We are optimistic about seeing significant Chinese investment this time,” Alam said, adding: “we hope this marks the beginning of a new era in Sino-Bangladeshi relations”.Dhaka said this week that Yunus’s China visit showed that Bangladesh was “sending a message”.The 84-year-old Nobel laureate is expected to return home on Saturday after holding several other high-level meetings in the Chinese capital.Several agreements are expected to be signed on economic and technical assistance, cultural and sports cooperation, and media collaboration between the two countries, according to the Bangladeshi administration.Talks are also expected to touch on Bangladesh’s immense population of Rohingya refugees, most of whom fled a violent military crackdown in neighbouring Myanmar in 2017.China has acted as a mediator between Bangladesh and Myanmar in the past to broker the repatriation of the persecuted minority, although efforts stalled because of the ruling junta’s unwillingness to have them returned.- India tensions -Senior figures in the Indian and Bangladeshi governments have traded barbs ahead of Yunus’s sojourn to Beijing.Those tensions have almost fully halted travel by Bangladeshis to India for medical tourism, thousands of whom crossed the border each year to seek care in their larger neighbour.Dhaka’s top foreign ministry bureaucrat said this week that talks in Beijing would touch on the establishment of a Chinese “Friendship Hospital” in Bangladesh.Yunus’s caretaker administration has the unenviable task of instilling democratic reforms ahead of new elections expected by mid-2026.It has requested — so far unsuccessfully — that India allow Hasina’s extradition to face charges of crimes against humanity for the killing of hundreds of protesters during the unrest that toppled her government.Yunus has also sought a meeting with Indian Prime Minister Narendra Modi in a bid to reset relations, with both expected to be at the same regional summit in Bangkok next month. His government has yet to receive a response, with Indian foreign minister S. Jaishankar saying the request was “under review”. 

Poutine évoque l’idée d’une “administration transitoire” sous l’égide de l’ONU pour l’Ukraine

Le président russe Vladimir Poutine a évoqué vendredi l’idée d’une “administration transitoire” pour l’Ukraine, sous l’égide de l’ONU, afin d’organiser une élection présidentielle “démocratique” dans ce pays avant toute négociation sur un accord de paix.Cette déclaration intervient alors que les alliés européens de l’Ukraine réunis la veille à Paris ont discuté des “garanties” de sécurité pour Kiev, le Royaume-Uni et la France avançant le projet de déploiement futur d’une “force de réassurance” dans le pays qui fait face à un assaut russe depuis plus de trois ans.Une mission franco-britannique doit ainsi se rendre “dans les prochains jours en Ukraine”, selon le président français Emmanuel Macron, pour préparer notamment “ce que sera le format de l’armée ukrainienne”, qui reste, selon lui, “la principale garantie de sécurité” du pays.”On pourrait bien sûr discuter avec les Etats-Unis, même avec les pays européens, et bien évidemment avec nos partenaires et amis, sous l’égide de l’ONU, une possibilité de mettre en place en Ukraine une administration transitoire”, a déclaré Vladimir Poutine lors d’une rencontre avec des marins russes, tard dans la nuit, à Mourmansk (nord-ouest).”Pour quoi faire? Pour organiser une élection présidentielle démocratique qui se solderait par l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement compétent et qui aurait la confiance du peuple, puis commencer avec ces autorités des négociations sur un accord de paix et signer des documents légitimes”, a-t-il expliqué.La Russie a affirmé à plusieurs reprises ne pas considérer Volodymyr Zelensky, dont le mandat a officiellement expiré en mai 2024, comme président légitime d’Ukraine.”Dans le cadre des activités de maintien de la paix de l’ONU, on a déjà recouru plusieurs fois ce qu’on appelle une administration transitoire”, a rappelé le maître du Kremlin, en citant notamment le cas de Timor oriental en 1999.- “initiative stratégique” -Le maître du Kremlin a par ailleurs assuré que les forces russes avaient “l’initiative stratégique” sur toute la ligne de front en Ukraine, en estimant que “le peuple ukrainien lui-même devrait comprendre ce qui passe”.”Sur toute la ligne de front, nos forces ont l’initiative stratégique (…). Il y a des raisons qui portent à croire que nous allons les achever”, a affirmé M. Poutine, dont l’armée annonce quasi-quotidiennement la prise de nouvelles localités en Ukraine.”Nous nous dirigeons progressivement, peut-être pas aussi rapidement quelqu’un aimerait, mais avec insistance et certitude, pour atteindre tous les objectifs annoncés” au début de l’offensive en Ukraine, a-t-il ajouté.La Russie, qui a lancé en 2022 ses troupes à l’assaut de son voisin ukrainien, a affirmé vouloir la “démilitarisation” et la “dénazification” de l’Ukraine, en réclamant que celle-ci renonce à ses aspirations à rejoindre l’Otan, considérées comme menace par Moscou. Une condition rejetée comme inacceptable par Kiev.Alors que le président américain Donald Trump prône la fin du conflit en Ukraine le plus vite possible depuis son arrivée au pouvoir en janvier, la Russie est accusée par Kiev de jouer la montre en refusant un cessez-le-feu afin de pousser son avantage militaire sur le terrain.- renforcer les sanctions -Washington, qui veut obtenir à tout prix un cessez-le-feu en Ukraine, a effectué un rapprochement spectaculaire avec Moscou ces dernières semaines.Sous pression américaine, Kiev avait accepté le 11 mars une cessation de 30 jours des combats. Mardi, à l’issue de pourparlers en Arabie saoudite par l’intermédiaire de Washington, un accord a été annoncé pour déboucher, sous conditions, sur une trêve en mer Noire et un moratoire sur les frappes contre les sites énergétiques.Mais Moscou a réclamé la levée des restrictions sur les exportations agricoles russes, une idée soutenue par la Maison Blanche.Au cours du sommet d’une trentaine de pays européens, ces alliés de Kiev se sont pour leur part prononcés à l’unanimité contre toute levée des sanctions imposées à la Russie.”Il y a un consensus sur le fait que ce n’est pas le moment de lever les sanctions”, a martelé le Premier ministre britannique Keir Starmer. “Au contraire, nous avons discuté de la façon de les renforcer”, a-t-il ajouté. Ce serait “une grave erreur” de les supprimer, a renchéri le chancelier allemand Olaf Scholz.

Poutine évoque l’idée d’une “administration transitoire” sous l’égide de l’ONU pour l’Ukraine

Le président russe Vladimir Poutine a évoqué vendredi l’idée d’une “administration transitoire” pour l’Ukraine, sous l’égide de l’ONU, afin d’organiser une élection présidentielle “démocratique” dans ce pays avant toute négociation sur un accord de paix.Cette déclaration intervient alors que les alliés européens de l’Ukraine réunis la veille à Paris ont discuté des “garanties” de sécurité pour Kiev, le Royaume-Uni et la France avançant le projet de déploiement futur d’une “force de réassurance” dans le pays qui fait face à un assaut russe depuis plus de trois ans.Une mission franco-britannique doit ainsi se rendre “dans les prochains jours en Ukraine”, selon le président français Emmanuel Macron, pour préparer notamment “ce que sera le format de l’armée ukrainienne”, qui reste, selon lui, “la principale garantie de sécurité” du pays.”On pourrait bien sûr discuter avec les Etats-Unis, même avec les pays européens, et bien évidemment avec nos partenaires et amis, sous l’égide de l’ONU, une possibilité de mettre en place en Ukraine une administration transitoire”, a déclaré Vladimir Poutine lors d’une rencontre avec des marins russes, tard dans la nuit, à Mourmansk (nord-ouest).”Pour quoi faire? Pour organiser une élection présidentielle démocratique qui se solderait par l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement compétent et qui aurait la confiance du peuple, puis commencer avec ces autorités des négociations sur un accord de paix et signer des documents légitimes”, a-t-il expliqué.La Russie a affirmé à plusieurs reprises ne pas considérer Volodymyr Zelensky, dont le mandat a officiellement expiré en mai 2024, comme président légitime d’Ukraine.”Dans le cadre des activités de maintien de la paix de l’ONU, on a déjà recouru plusieurs fois ce qu’on appelle une administration transitoire”, a rappelé le maître du Kremlin, en citant notamment le cas de Timor oriental en 1999.- “initiative stratégique” -Le maître du Kremlin a par ailleurs assuré que les forces russes avaient “l’initiative stratégique” sur toute la ligne de front en Ukraine, en estimant que “le peuple ukrainien lui-même devrait comprendre ce qui passe”.”Sur toute la ligne de front, nos forces ont l’initiative stratégique (…). Il y a des raisons qui portent à croire que nous allons les achever”, a affirmé M. Poutine, dont l’armée annonce quasi-quotidiennement la prise de nouvelles localités en Ukraine.”Nous nous dirigeons progressivement, peut-être pas aussi rapidement quelqu’un aimerait, mais avec insistance et certitude, pour atteindre tous les objectifs annoncés” au début de l’offensive en Ukraine, a-t-il ajouté.La Russie, qui a lancé en 2022 ses troupes à l’assaut de son voisin ukrainien, a affirmé vouloir la “démilitarisation” et la “dénazification” de l’Ukraine, en réclamant que celle-ci renonce à ses aspirations à rejoindre l’Otan, considérées comme menace par Moscou. Une condition rejetée comme inacceptable par Kiev.Alors que le président américain Donald Trump prône la fin du conflit en Ukraine le plus vite possible depuis son arrivée au pouvoir en janvier, la Russie est accusée par Kiev de jouer la montre en refusant un cessez-le-feu afin de pousser son avantage militaire sur le terrain.- renforcer les sanctions -Washington, qui veut obtenir à tout prix un cessez-le-feu en Ukraine, a effectué un rapprochement spectaculaire avec Moscou ces dernières semaines.Sous pression américaine, Kiev avait accepté le 11 mars une cessation de 30 jours des combats. Mardi, à l’issue de pourparlers en Arabie saoudite par l’intermédiaire de Washington, un accord a été annoncé pour déboucher, sous conditions, sur une trêve en mer Noire et un moratoire sur les frappes contre les sites énergétiques.Mais Moscou a réclamé la levée des restrictions sur les exportations agricoles russes, une idée soutenue par la Maison Blanche.Au cours du sommet d’une trentaine de pays européens, ces alliés de Kiev se sont pour leur part prononcés à l’unanimité contre toute levée des sanctions imposées à la Russie.”Il y a un consensus sur le fait que ce n’est pas le moment de lever les sanctions”, a martelé le Premier ministre britannique Keir Starmer. “Au contraire, nous avons discuté de la façon de les renforcer”, a-t-il ajouté. Ce serait “une grave erreur” de les supprimer, a renchéri le chancelier allemand Olaf Scholz.