US-S.Africa relations at ‘a low’ as US interferes with domestic issues: FMTue, 05 Aug 2025 16:28:08 GMT

US attempts to interfere with South Africa’s domestic issues have brought relations between the nations to “a low”, Foreign Minister Ronald Lamola told AFP in an interview Tuesday.Tariffs of 30 percent — the highest on any sub-Saharan African country — are set to hit certain South African exports Friday in the absence of a trade …

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US House panel subpoenas Clintons in Epstein probe

US lawmakers on Tuesday subpoenaed former president Bill Clinton and former secretary of state Hillary Clinton for testimony on Jeffrey Epstein, in a major escalation of the controversy surrounding the investigation into the notorious sex offender.The Clintons were among multiple former Democratic and Republican government officials — as well as the Justice Department — targeted by investigators reviewing the handling of the disgraced financier’s case after he died in 2019 while awaiting trial for sex trafficking.The White House has been facing increasingly intense demands to be more transparent after the Justice Department angered Trump supporters — many of whom believe Epstein was murdered in a cover-up — when it confirmed last month that he had died by suicide in his prison cell and that his case was effectively closed.The department also said Epstein had no secret “client list” — rebuffing conspiracy theories held by Trump’s far-right supporters about supposedly high-level Democratic complicity.Trump has urged his supporters to drop demands for the Epstein files, but Democrats in the Republican-led Congress — with some support from majority lawmakers — have also been seeking a floor vote to force their release.”By your own admission, you flew on Jeffrey Epstein’s private plane four separate times in 2002 and 2003,” House Oversight Committee Chairman James Comer wrote to former president Clinton.”During one of these trips, you were even pictured receiving a ‘massage’ from one of Mr. Epstein’s victims.”The White House has been seeking to redirect public attention from uproar over its handling of the affair with a series of headline-grabbing announcements including baseless claims that former president Barack Obama headed a “treasonous conspiracy” against Trump.Epstein was for years a friend and associate of Trump and numerous high-profile people before he was convicted of sex crimes and then imprisoned pending trial for allegedly trafficking underage girls.His death supercharged a conspiracy theory long promoted by Trump supporters that Epstein had run an international pedophile ring and that elites wanted to make sure he never revealed their secrets.After Trump returned to power in January, his administration promised to release Epstein case files.- Past relationship -When Attorney General Pam Bondi announced on July 7 that she had nothing to release, Republicans were furious — and Trump has attempted to control the scandal ever since.The case got even more complicated for the president after a Wall Street Journal report that he had written a lewd birthday letter to Epstein in 2003. Trump denies this and has sued the Journal.The Journal then dropped a separate story, saying Bondi had informed Trump in May that his name appeared several times in the Epstein files, even if there was no indication of wrongdoing.Other officials targeted by the Oversight Committee include former FBI director James Comey, former special counsel Robert Mueller and ex-attorney generals Loretta Lynch, Eric Holder, Merrick Garland, Bill Barr, Jeff Sessions, and Alberto Gonzales. Their depositions will take place between mid-August and mid-October.Comer also issued a subpoena to the Justice Department for records related to Epstein — including its communications with Trump’s predecessor Joe Biden and his officials.Lawmakers have also been seeking testimony from Epstein’s accomplice Ghislaine Maxwell, who is serving 20 years in prison for her role in his alleged crimes — although her cooperation is considered unlikely.The latest move from Comer comes after Democrats on the oversight panel forced a vote to issue a subpoena just before the August recess, with three House Republicans backing the effort.”Justice must apply to everyone, no matter how rich, powerful, or well-connected they are,” said Summer Lee, the Democratic congresswoman who introduced the motion.

Contre la prédation du loup, des bénévoles montent la garde en estive

Bâton en main comme des bergers, Sophie et Geoffroy inspectent les filets d’un parc de moutons sur une pente raide du massif des Baronnies, une mission quotidienne et volontaire pour “marquer leur présence” et “empêcher le loup de rentrer”.Les deux Bretons surveillent le troupeau de Nathalie Welker, éleveuse d’une centaine de brebis et de chèvres dans la Drôme provençale, où la présence du prédateur est marquée et les attaques sur les ovins récurrentes, une “pression” supplémentaire sur son métier.”Le loup est là, il faut faire avec, donc trouver des parades”, estime l’éleveuse de 57 ans, longue tresse poivre et sel et tee-shirt “Paysan et fier de l’être”, observant son vallon sec et sauvage baigné de lumière.Or “la meilleure prévention” contre les attaques, “c’est la présence humaine”, assure celle qui “vit avec le loup depuis presque 20 ans”.Avec deux troupeaux à surveiller, dont un en altitude, et sans moyen de payer un berger, l’éleveuse s’est tournée il y a trois ans vers Pastoraloup, un dispositif chapeauté par l’association de protection des grands prédateurs Ferus, qui envoie des volontaires formés, pour épauler les éleveurs.Et ainsi permettre à Nathalie “de dormir la nuit et d’être beaucoup moins stressée”, mais aussi de faire des rencontres et partager son métier.Le dispositif gagne du terrain : 35 éleveurs participent cette année, dans les Alpes, le Jura et la Bretagne, contre une vingtaine en 2023.- “Difficulté de trop” -Sophie Morice-Couteau, 45 ans, et Geoffroy Galliot, 48 ans, comptent parmi les 63 nouveaux bénévoles formés l’été dernier pour des missions d’une semaine par élevage.”Je suis solidaire du loup, mais je suis solidaire de l’éleveur” pour qui le prédateur est parfois “la difficulté de trop”, confie Sophie, venue pour “mettre les mains dans le tas” et “sortir de cette image de l’écolo qui fait la leçon aux autres”.Derrière ce paysage bucolique perché à 1.000 m d’altitude donnant vue sur les Alpes, les crottes de loup retrouvées à quelques centaines de mètres du troupeau et les vidéos des pièges photographiques montrant les canidés longer les filets, jouer et marquer leur territoire, “stressent” Nathalie.Elle redoute les “grosses attaques”, notamment à l’automne, quand les jeunes loups apprennent à chasser. En octobre 2023, 17 de ses bêtes ont été tuées par une attaque après le départ impromptu d’une bénévole qui a laissé le troupeau sans surveillance.A l’instar de Sophie et Geoffroy, nombre des 189 volontaires formés “se rendent compte de leurs responsabilités, de la nécessité d’être là”, mais d’autres “ne savent pas vraiment ce qui les attend”, constate l’éleveuse.Au coucher du soleil, les deux bénévoles rentrent la cinquantaine d’animaux, méticuleusement comptés, dans un parc de nuit électrifié haut de 1,40 m.- “Pas là pour débattre”-Une fois le vallon plongé dans l’obscurité et bercé par les grillons et les cloches des ovins, Sophie, frontale sur la tête, fait un dernier tour avant d’aller se coucher dans son tipi posé à quelques mètres.”C’est la nuit”, seul avec le troupeau, “qu’on comprend son rôle”, glisse-t-elle. Mais “le loup n’a pas d’heure : à partir du moment où il a une opportunité, il y va”.Passionnée d’animaux, cette médiatrice de cinéma “croit” à la cohabitation entre l’homme et le prédateur, mais admet ne voir qu’un “extrait” de la vie “compliquée” d’un éleveur. Le canidé, elle aimerait le voir “loin du troupeau”, redoutant ce face-à-face que plusieurs volontaires ont déjà vécu, ou pire, une attaque.La bénévole dit comprendre désormais “la violence que certains éleveurs peuvent parfois avoir vis-à-vis du loup”.Cette violence se traduit par une “très forte pression sociale” sur ceux qui font appel à Pastoraloup et freine d’autres à en bénéficier, regrette l’éleveuse Nathalie Welker, car le dispositif est “étiqueté écologiste”.”On n’est pas du tout là pour débattre, mais pour aider”, insiste Sophie.Au petit matin, moutons et chèvres, au complet, attendent impatients qu’elle et Geoffroy les relâchent dans leur parc de jour. Bientôt, d’autres volontaires viendront assurer cette tâche en relais jusqu’à fin octobre.Les deux amis partiront, eux, aider un autre éleveur en itinérance dans le Mercantour.L’Union européenne a récemment déclassé le loup d'”espèce strictement protégée” à “protégée”, facilitant ainsi les tirs sur le prédateur malgré les protestations des défenseurs de la biodiversité. Pour 2025, l’État a autorisé l’abattage de 192 des 1.013 loups décomptés sur le territoire français. 

Trump prêt à aller plus loin sur les droits de douane contre l’Inde et l’industrie pharmaceutique

Pression sur l’Inde et le secteur pharmaceutique, négociations de la dernière chance avec la Suisse, les droits de douane supplémentaires voulus par Donald Trump et prévus pour jeudi pourraient encore évoluer d’ici là, alors que le président américain souffle le chaud et le froid avec ses interlocuteurs.Interviewé sur la chaîne CNBC, M. Trump a focalisé son attention sur l’Inde puis l’industrie pharmaceutique, un secteur déjà sous pression car le locataire de la Maison Blanche souhaite faire baisser le prix des médicaments dans son pays.Le président américain avait déjà exprimé son mécontentement vis-à-vis de New Delhi, lui reprochant notamment d’acheter du pétrole russe et de ne pas faire ce qu’il faut pour ouvrir l’économie indienne aux produits américains.Des accusations réitérées mardi et qui pourraient le pousser à aller plus loin que la surtaxe déjà annoncée de 25%, prévue pour le 7 août.”L’Inde n’a pas été un bon partenaire commercial, car elle fait beaucoup d’affaires avec nous, mais nous n’en faisons pas avec elle. Donc nous nous sommes mis d’accord sur 25%, mais je pense que je vais augmenter ce chiffre de manière significative dans les prochaines 24 heures, car ils achètent du pétrole russe”, a-t-il insisté.Donald Trump a fait plusieurs fois référence, ces dernières semaines, à une “pénalité” visant l’Inde à cause du pétrole russe, suscitant des inquiétudes parmi les industriels indiens.Une inquiétude qui pourrait se renforcer alors que le président américain a donné une idée de ce qu’il envisageait concernant les droits de douane sectoriels appliqués au secteur pharmaceutique, l’un des principaux en Inde.Début juillet, Donald Trump avait affirmé qu’il imposerait une surtaxe de 200% sur les produits pharmaceutiques importés aux Etats-Unis si la production n’était pas rapidement rapatriée sur le sol américain.Désormais, il anticipe dans un premier temps “un droit de douane bas” sur ces produits, mais “dans un an, un an et demi maximum, cela sera 150% et ensuite 250%, parce que l’on veut des médicaments fabriqués dans notre pays”.- La Suisse négocie encore -L’annonce devrait intervenir, comme pour ceux prévus sur les semiconducteurs, “dans le courant de la semaine prochaine”, a-t-il précisé.Le président américain souhaite par ailleurs abaisser les prix des médicaments, plus chers aux Etats-Unis que dans la grande majorité des autres pays industrialisés.Dans des courriers adressés la semaine dernière à 17 entreprises du secteur, il leur demandait d’abaisser les prix de leurs produits sous peine de représailles.Les droits de douane sur l’industrie pharmaceutique devraient être au menu des discussions entre la Suisse et les Etats-Unis, alors que la présidente de la Confédération, Karin Keller-Sutter, et son ministre de l’Economie, Guy Parmelin, doivent arriver dans la journée.Ils espèrent parvenir à réduire la surtaxe de 39% sur les produits suisses prévue pour le 7 août, un niveau bien supérieur à celui appliqué à ceux provenant de l’Union européenne (15%).Reste à voir si Donald Trump se montrera réceptif, alors qu’il a jugé les échanges précédents infructueux.”La dame (Mme Keller-Sutter) est très gentille, mais elle ne voulait pas écouter. Ils ne payaient quasi pas de droits de douane jusqu’ici. Nous avons 41 milliards de dollars de déficit et ils veulent payer 1%”, a-t-il insisté à sur l’antenne de CNBC.Les signes de détente apparaissent cependant avec certains partenaires commerciaux. L’UE a ainsi annoncé suspendre ses mesures de représailles, après l’accord annoncé avec Washington limitant à 15% la majorité des droits de douane sur les produits européens.Parmi les hausses de surtaxes prévues, celle visant les produits brésiliens va ouvrir le bal, à partir de 00H01 mercredi (04H01 GMT), avec des droits de douane qui atteindront désormais 50%, mais de nombreux secteurs, tels que l’aviation, l’énergie ou les jus d’orange, sont exemptés.Au total, selon Brasilia, 36% des exportations brésiliennes vers les Etats-Unis seront concernées par ces taxes.

Trump prêt à aller plus loin sur les droits de douane contre l’Inde et l’industrie pharmaceutique

Pression sur l’Inde et le secteur pharmaceutique, négociations de la dernière chance avec la Suisse, les droits de douane supplémentaires voulus par Donald Trump et prévus pour jeudi pourraient encore évoluer d’ici là, alors que le président américain souffle le chaud et le froid avec ses interlocuteurs.Interviewé sur la chaîne CNBC, M. Trump a focalisé son attention sur l’Inde puis l’industrie pharmaceutique, un secteur déjà sous pression car le locataire de la Maison Blanche souhaite faire baisser le prix des médicaments dans son pays.Le président américain avait déjà exprimé son mécontentement vis-à-vis de New Delhi, lui reprochant notamment d’acheter du pétrole russe et de ne pas faire ce qu’il faut pour ouvrir l’économie indienne aux produits américains.Des accusations réitérées mardi et qui pourraient le pousser à aller plus loin que la surtaxe déjà annoncée de 25%, prévue pour le 7 août.”L’Inde n’a pas été un bon partenaire commercial, car elle fait beaucoup d’affaires avec nous, mais nous n’en faisons pas avec elle. Donc nous nous sommes mis d’accord sur 25%, mais je pense que je vais augmenter ce chiffre de manière significative dans les prochaines 24 heures, car ils achètent du pétrole russe”, a-t-il insisté.Donald Trump a fait plusieurs fois référence, ces dernières semaines, à une “pénalité” visant l’Inde à cause du pétrole russe, suscitant des inquiétudes parmi les industriels indiens.Une inquiétude qui pourrait se renforcer alors que le président américain a donné une idée de ce qu’il envisageait concernant les droits de douane sectoriels appliqués au secteur pharmaceutique, l’un des principaux en Inde.Début juillet, Donald Trump avait affirmé qu’il imposerait une surtaxe de 200% sur les produits pharmaceutiques importés aux Etats-Unis si la production n’était pas rapidement rapatriée sur le sol américain.Désormais, il anticipe dans un premier temps “un droit de douane bas” sur ces produits, mais “dans un an, un an et demi maximum, cela sera 150% et ensuite 250%, parce que l’on veut des médicaments fabriqués dans notre pays”.- La Suisse négocie encore -L’annonce devrait intervenir, comme pour ceux prévus sur les semiconducteurs, “dans le courant de la semaine prochaine”, a-t-il précisé.Le président américain souhaite par ailleurs abaisser les prix des médicaments, plus chers aux Etats-Unis que dans la grande majorité des autres pays industrialisés.Dans des courriers adressés la semaine dernière à 17 entreprises du secteur, il leur demandait d’abaisser les prix de leurs produits sous peine de représailles.Les droits de douane sur l’industrie pharmaceutique devraient être au menu des discussions entre la Suisse et les Etats-Unis, alors que la présidente de la Confédération, Karin Keller-Sutter, et son ministre de l’Economie, Guy Parmelin, doivent arriver dans la journée.Ils espèrent parvenir à réduire la surtaxe de 39% sur les produits suisses prévue pour le 7 août, un niveau bien supérieur à celui appliqué à ceux provenant de l’Union européenne (15%).Reste à voir si Donald Trump se montrera réceptif, alors qu’il a jugé les échanges précédents infructueux.”La dame (Mme Keller-Sutter) est très gentille, mais elle ne voulait pas écouter. Ils ne payaient quasi pas de droits de douane jusqu’ici. Nous avons 41 milliards de dollars de déficit et ils veulent payer 1%”, a-t-il insisté à sur l’antenne de CNBC.Les signes de détente apparaissent cependant avec certains partenaires commerciaux. L’UE a ainsi annoncé suspendre ses mesures de représailles, après l’accord annoncé avec Washington limitant à 15% la majorité des droits de douane sur les produits européens.Parmi les hausses de surtaxes prévues, celle visant les produits brésiliens va ouvrir le bal, à partir de 00H01 mercredi (04H01 GMT), avec des droits de douane qui atteindront désormais 50%, mais de nombreux secteurs, tels que l’aviation, l’énergie ou les jus d’orange, sont exemptés.Au total, selon Brasilia, 36% des exportations brésiliennes vers les Etats-Unis seront concernées par ces taxes.

Trump prêt à aller plus loin sur les droits de douane contre l’Inde et l’industrie pharmaceutique

Pression sur l’Inde et le secteur pharmaceutique, négociations de la dernière chance avec la Suisse, les droits de douane supplémentaires voulus par Donald Trump et prévus pour jeudi pourraient encore évoluer d’ici là, alors que le président américain souffle le chaud et le froid avec ses interlocuteurs.Interviewé sur la chaîne CNBC, M. Trump a focalisé son attention sur l’Inde puis l’industrie pharmaceutique, un secteur déjà sous pression car le locataire de la Maison Blanche souhaite faire baisser le prix des médicaments dans son pays.Le président américain avait déjà exprimé son mécontentement vis-à-vis de New Delhi, lui reprochant notamment d’acheter du pétrole russe et de ne pas faire ce qu’il faut pour ouvrir l’économie indienne aux produits américains.Des accusations réitérées mardi et qui pourraient le pousser à aller plus loin que la surtaxe déjà annoncée de 25%, prévue pour le 7 août.”L’Inde n’a pas été un bon partenaire commercial, car elle fait beaucoup d’affaires avec nous, mais nous n’en faisons pas avec elle. Donc nous nous sommes mis d’accord sur 25%, mais je pense que je vais augmenter ce chiffre de manière significative dans les prochaines 24 heures, car ils achètent du pétrole russe”, a-t-il insisté.Donald Trump a fait plusieurs fois référence, ces dernières semaines, à une “pénalité” visant l’Inde à cause du pétrole russe, suscitant des inquiétudes parmi les industriels indiens.Une inquiétude qui pourrait se renforcer alors que le président américain a donné une idée de ce qu’il envisageait concernant les droits de douane sectoriels appliqués au secteur pharmaceutique, l’un des principaux en Inde.Début juillet, Donald Trump avait affirmé qu’il imposerait une surtaxe de 200% sur les produits pharmaceutiques importés aux Etats-Unis si la production n’était pas rapidement rapatriée sur le sol américain.Désormais, il anticipe dans un premier temps “un droit de douane bas” sur ces produits, mais “dans un an, un an et demi maximum, cela sera 150% et ensuite 250%, parce que l’on veut des médicaments fabriqués dans notre pays”.- La Suisse négocie encore -L’annonce devrait intervenir, comme pour ceux prévus sur les semiconducteurs, “dans le courant de la semaine prochaine”, a-t-il précisé.Le président américain souhaite par ailleurs abaisser les prix des médicaments, plus chers aux Etats-Unis que dans la grande majorité des autres pays industrialisés.Dans des courriers adressés la semaine dernière à 17 entreprises du secteur, il leur demandait d’abaisser les prix de leurs produits sous peine de représailles.Les droits de douane sur l’industrie pharmaceutique devraient être au menu des discussions entre la Suisse et les Etats-Unis, alors que la présidente de la Confédération, Karin Keller-Sutter, et son ministre de l’Economie, Guy Parmelin, doivent arriver dans la journée.Ils espèrent parvenir à réduire la surtaxe de 39% sur les produits suisses prévue pour le 7 août, un niveau bien supérieur à celui appliqué à ceux provenant de l’Union européenne (15%).Reste à voir si Donald Trump se montrera réceptif, alors qu’il a jugé les échanges précédents infructueux.”La dame (Mme Keller-Sutter) est très gentille, mais elle ne voulait pas écouter. Ils ne payaient quasi pas de droits de douane jusqu’ici. Nous avons 41 milliards de dollars de déficit et ils veulent payer 1%”, a-t-il insisté à sur l’antenne de CNBC.Les signes de détente apparaissent cependant avec certains partenaires commerciaux. L’UE a ainsi annoncé suspendre ses mesures de représailles, après l’accord annoncé avec Washington limitant à 15% la majorité des droits de douane sur les produits européens.Parmi les hausses de surtaxes prévues, celle visant les produits brésiliens va ouvrir le bal, à partir de 00H01 mercredi (04H01 GMT), avec des droits de douane qui atteindront désormais 50%, mais de nombreux secteurs, tels que l’aviation, l’énergie ou les jus d’orange, sont exemptés.Au total, selon Brasilia, 36% des exportations brésiliennes vers les Etats-Unis seront concernées par ces taxes.

La Bourse de Paris en léger recul après un indicateur d’activité décevant aux Etats-Unis

La Bourse de Paris a terminé en léger recul mardi, après un indicateur d’activité inférieur aux attentes en juillet aux Etats-Unis qui fait craindre un potentiel ralentissement dans la première économie mondiale en raison de la politique douanière de Donald Trump.Le CAC 40 a perdu 0,14% à 7.621,04 points, en recul de 10,97 points. La veille, le CAC 40 avait terminé en hausse de 1,14%.Selon l’enquête mensuelle de la fédération professionnelle ISM, l’indice mesurant l’activité dans les services s’est établi à 50,1% en juillet, contre 50,8% au mois de juin, flirtant avec la limite des 50% qui marque une contraction de l’activité.”L’indice continue de refléter une croissance faible” et les répondants continuent de s’inquiéter de “l’impact lié aux droits de douane, avec une hausse notable des prix des matières premières”, selon l’organisation.Une mauvaise nouvelle pour les investisseurs qui scrutent depuis plusieurs mois les signes du ralentissement de la première économie mondiale, en raison de la politique de droits de douane de Donald Trump. Cet indicateur est “particulièrement important et suivi” car “l’économie américaine est principalement une économie de services”, précise Alexandre Baradez, responsable de l’analyse marchés chez IG France.D’autant que les indices boursiers restent toujours sous la pression des droits de douane de Donald Trump, avant leur entrée en vigueur prévue au 7 août aux Etats-Unis.”Certains secteurs, comme l’industrie pharmaceutique ou les spiritueux sont encore dans le flou. Et on sait aussi que des rebondissements sont toujours possibles, malgré les accords conclus”, explique à l’AFP Amélie Derambure, gérante de portefeuille diversifié chez Amundi.Le président américain a d’ailleurs accentué la pression mardi tant sur l’Inde que sur le secteur pharmaceutique, assurant que de nouveaux droits de douane pourraient être annoncés rapidement, à un niveau plus élevé qu’anticipé jusqu’ici.Du côté du marché obligataire, le taux d’intérêt de l’emprunt à dix ans français a atteint 3,28%, au même niveau que la veille en clôture.Eutelsat s’envoleL’opérateur européen Eutelsat, concurrent de l’américain SpaceX et de ses satellites Starlink, a creusé sa perte nette lors de son exercice 2024/2025, pénalisé par d’importantes dépréciations d’actifs. Mais les résultats annuels sont “conformes à nos objectifs”, a souligné dans un communiqué le nouveau directeur général du groupe, Jean-François Fallacher, arrivé en mai.De quoi satisfaire les investisseurs: l’action du groupe a bondi de 12,05% à 3,30 euros.

US data deflates stocks rebound

A stock market rebound  lost traction on Tuesday after data showed inflation gathering steam in the US, complicating the picture for interest rate cuts.Meanwhile oil prices retreated further after US President Donald Trump renewed his threat to raise tariffs on India over its purchases of Russian crude.Wall Street’s main stock indices had opened higher Tuesday before turning lower. European markets ended mixed, with Paris dipping into the red.Global stocks had jumped on Monday, recovering ground lost after data released on Friday showed weakness in the US jobs market, raising concerns that the world’s biggest economy is in worse shape than previously thought.The rebound was fuelled by healthy company earnings and by bets that a slowing US economy would prompt the Federal Reserve to cut interest rates in September.Lower interest rates are positive for stocks as companies can borrow at better rates, as can consumers.Despite pressure from Trump, the Fed has said it will rely on the latest data on the inflation outlook to make its decision.Data released Tuesday showed that modest growth in the US services sector pretty much evaporated in July, with companies reporting increases in prices due to tariffs that Trump has imposed on US trading partners.”The 50.1 headline reading was more than one whole point below 51.5 expected and suggests growth in the dominant services sector is stalling,” said City Index and FOREX.com analyst Fawad Razaqzada.A reading above 50 percent indicates growth.He pointed to “alarming” details in the report, such as an unexpected rise in prices paid by companies.This “points to inflationary pressures building into the dominant services sector of the economy, making it difficult for the Fed to justify cutting rates,” said Razaqzada.CME Group’s FedWatch tool still showed investors have largely priced in two interest rate cuts — in September and October — and see another one as possible in the third and final Fed meeting this year in December.Some analysts were sceptical of the chances of  rate cut, however.”I continue to believe the Fed will not reduce rates at all this year given rising inflation caused by tariffs and a relatively stable unemployment rate,” said Lazard chief market strategist Ronald Temple.Trump’s fresh tariffs on dozens of US trade partners are set to kick in on August 7, almost one week later than planned.Swiss leaders flew to Washington on Tuesday in a last-ditch effort to avoid a hefty 39-percent tariff.Meanwhile, the European Union on Tuesday announced the suspension of its retaliatory tariffs on US goods worth 93 billion euros ($107 billion) after Brussels struck a deal with Washington last month.Trump on Tuesday renewed his threat to impose tariffs on imported pharmaceuticals of up to 250 percent, although he said the tariff would initially start small to allow companies time to move production to the United States.Investors shrugged off the threat, with share prices of European pharmaceuticals, which have announced major investments to build manufacturing sites in the US, mostly higher.Trump also indicated that an announcement of tariffs on semiconductors — key to all electronics from smartphones to AI datacentres — could come as soon as next week.Shares in AI chipmaker NVIDIA were down 1.9 percent in midday trading.- Key figures at around 1530 GMT -New York – Dow: DOWN 0.3 percent at 44,034.25 pointsNew York – S&P 500: DOWN 0.5 percent at 6,298.16 New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.5 percent at 20,941.95London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,142.73 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.1 percent at 7,621.04 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.4 percent at 23,846.07 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.6 percent at 40,549.54 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 24,902.53 (close)Shanghai – Composite: UP 1.0 percent at 3,617.60 (close)Euro/dollar: UP at $1.1581 from $1.1573 on MondayPound/dollar: UP at $1.3300 from $1.3285Dollar/yen: UP at 147.41 yen from 147.08 yenEuro/pound: DOWN at 87.05 pence from 87.11 penceWest Texas Intermediate: DOWN 1.4 percent at $65.34 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 1.4 percent at $67.83 per barrelburs-rl/gv

S.Africa urges more countries to stand up to Israel’s ‘genocidal activities’

More countries must recognise a Palestinian state and stand up to Israel to stop its “genocidal activities”, South Africa’s Foreign Minister Ronald Lamola told AFP in an interview Tuesday. Pretoria has been a leading critic of Israel’s actions in Gaza, bringing a case before the UN’s top court in December 2023 arguing that its war in the Palestinian territory amounted to genocide.As some of Israel’s allies “are now also saying, no, this can’t continue, it means that it is bringing us closer and closer to the Israel regime to stop the genocidal activities”, Lamola said. This will also boost efforts to “allow humanitarian access to the people of Gaza” and “to agree to go into a negotiation table to cease the fire”, he said.”We really welcome this development, and we call for more countries to continue to recognise Palestine.””We welcome the intention to recognise by France, Canada, and all countries of the world. This will put the pressure so that we can end up with ceasefire,” Lamola said.South Africa’s case before the International Court of Justice argues that the war in Gaza, which began with the militant group Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel, breached the 1948 United Nations Genocide Convention. Israel has strongly denied that accusation.Several nations have added their weight to the proceedings, including Spain, Bolivia, Colombia, Mexico, Turkey, Chile and Libya.The leaders of France, the United Kingdom and Canada have meanwhile said they plan to recognise a Palestinian state in September, and urged other nations to do so.The announcements by some of Washington’s closest allies have displeased US President Donald Trump.Lamola said that had the world acted when South Africa made its case at the ICJ, “we would not be where we are”.”It’s clear starvation is emerging, famine, and all these are things we warned about in our ICJ case — that this will lead to famine, will lead to complete cleansing of the population,” he said.”It’s rather late, yes, but it’s better than never. So let them act, let them support, let them put the pressure.”