L1: Quel avenir pour Adrien Rabiot, poussé dehors par l’OM ?

En évoquant “un événement d’une gravité et d’une violence extrêmes” vendredi entre Adrien Rabiot et Jonathan Rowe, le président de l’OM Pablo Longoria a écarté mercredi toute possibilité de maintien à l’OM du milieu de terrain des Bleus, qui va devoir désormais trouver un nouveau club.”Oui, évidemment”, a simplement répondu Pablo Longoria à l’AFP, qui lui demandait si sa décision de placer Rabiot et Rowe sur la liste des transferts était définitive après la bagarre qui les a opposés vendredi à l’issue de la défaite concédée à Rennes (1-0).”Tu dois savoir quel type de club tu veux être. Tu peux être un club qui a des règles, ou être un club qui pense qu’on peut s’en sortir avec des comportements individualistes. Ça n’est pas négociable pour moi d’être le président d’un club sans règle”, a ajouté le dirigeant espagnol.L’aventure marseillaise de Rabiot, une réussite jusqu’ici avec une saison riche d’une qualification pour la Ligue des Champions et de dix buts et cinq passes décisives, va donc se terminer au bout d’un an à peine. Et alors que la saison est déjà lancée et qu’il reste moins de deux semaines avant la fin du mercato, l’ancien de la Juventus va devoir trouver un autre club.- vers l’Italie ? -La rapidité avec laquelle Rabiot (30 ans, 53 sélections) est passé d’exemple à suivre mis en avant par Longoria et son directeur du football Medhi Benatia à joueur sur le départ, a d’ailleurs pu faire penser à certains observateurs que l’OM cherchait en fait à réaliser une opération financière.”Insinuer ça, c’est aller contre la vérité et c’est manquer de respect à l’intelligence des gens. Je nie catégoriquement”, a répondu Longoria, qui ne s’est pas prononcé sur la valeur actuelle de son joueur, à qui il reste un an de contrat.”Ce sont des joueurs que tu dois remplacer et remplacer de très bons joueurs, ça a un coût. C’est une situation très particulière parce que c’est la première fois dans l’histoire du football que des joueurs font des actes d’une telle gravité à la première journée du championnat. Mais je crois que la valeur des joueurs, tout le monde la connait”, a-t-il estimé.Déjà apparus en début de mercato, de possibles intérêts de clubs italiens, notamment l’AC Milan, dont le coach Massimiliano Allegri a dirigé Rabiot à la Juventus, ont d’ailleurs resurgi ce mercredi.”Je ne pense pas qu’on va avoir du mal à trouver un top-club qui sera très content d’accueillir Adrien et un bon club qui sera content aussi d’accueillir Jonathan Rowe”, a estimé mercredi Medhi Benatia, interrogé par RMC.”Des coups de fil pour Adrien, on en a toute l’année”, assurait de son côté dès mardi à l’AFP une source dans l’entourage du milieu de terrain des Bleus.- inquiétude chez les Bleus -Au bout du compte, c’est peut-être d’ailleurs en équipe de France que l’épisode va le plus inquiéter dans les jours ou semaines à venir. Le staff des Bleus, qui a déjà échangé avec le joueur, suit en effet l’évolution de cette affaire de très près. D’abord parce que Rabiot, cadre en sélection, va forcément être touché émotionnellement et professionnellement par cette mise à la porte, mais aussi parce qu’il y a une qualification pour la prochaine Coupe du monde à aller chercher. Dès le 5 septembre, Didier Deschamps et ses hommes se déplacent à Wroclaw en Pologne pour y affronter l’Ukraine, avant de recevoir l’Islande le 9 septembre. Soit les deux adversaires les plus solides de la poule D, qui réunit seulement quatre équipes et où le moindre faux pas serait fâcheux.Dans l’esprit de Deschamps, Rabiot partait titulaire et aurait dû avoir trois journées de championnat dans les jambes avec l’OM. Or, il pourrait désormais se retrouver à devoir négocier un départ compliqué en dernière minute, sans avoir pris part au moindre entraînement collectif durant trois semaines. Une vraie grosse tuile pour le sélectionneur et l’équipe de France.

Trump raises pressure on central bank, calls for Fed governor to resign

President Donald Trump ramped up pressure on the US central bank Wednesday, calling for Federal Reserve Governor Lisa Cook to step down — after his recent criticism of Fed Chair Jerome Powell for not lowering interest rates sooner.”Cook must resign, now!!!” Trump wrote on his Truth Social platform, while sharing a Bloomberg news report on how the Federal Housing Finance Agency’s director has called for greater scrutiny of Cook over a pair of mortgages.FHFA director Bill Pulte — a staunch ally of Trump — had reportedly written a letter to the US attorney general calling for an investigation of Cook while suggesting that she might have committed a criminal offense.The Trump administration has pursued allegations of mortgage fraud against high-profile Democrats who are seen as political adversaries of the president.It was not immediately clear if such a probe will take place targeting Cook, the first Black woman to serve on the central bank’s board.The president is also limited in his ability to remove officials from the central bank.A Supreme Court order recently suggested that Fed officials cannot be taken out of their jobs over policy disagreements, meaning they have to be removed for “cause,” which could be interpreted to mean wrongdoing.- ‘A disaster’ -The US leader’s targeting of Cook, who sits on the Fed’s rate-setting committee, comes after his repeated broadsides against Powell while the central bank kept the benchmark lending rate unchanged this year.On Tuesday night, Trump again called for a “major rate cut,” saying there was “no inflation” and claiming that the Fed’s policymaking was harming the housing industry due to elevated mortgage rates.He called Powell “a disaster” in a social media post.Although the US consumer price index, a key inflation gauge, was steady at 2.7 percent in July, it remains higher than it was a few months earlier.Fed officials have been trying to ensure inflation is kept in check — despite the effects of Trump’s sweeping tariffs — while balancing risks to the labor market as they mull the right time for further rate cuts.Cook took office as a Fed governor in May 2022 and was reappointed to the board in September 2023. She was sworn in later that same month for a term ending in 2038.She has previously served on the Council of Economic Advisers under former president Barack Obama.Earlier this year, Trump suggested that what he called an overly costly renovation of the Fed’s headquarters could be a reason to oust Powell, before backing off the threat.Powell’s term as Fed chair ends in May 2026.

La Bourse de Paris termine à l’équilibre avant Jacskon Hole

La Bourse de Paris a terminé stable mercredi, dans l’attente de la réunion des banquiers centraux à Jackson Hole, sur fond de chute des valeurs technologiques en raison des doutes croissants sur la rentabilité des investissements dans l’IA.Le CAC 40 a cédé 0,08%, à 7.973,03 points, en recul de 6,05 points. Mardi, le CAC 40 avait terminé en hausse de 1,21%.”La séance est dominée par l’attentisme, on patiente avant la réunion de Jackson Hole”, explique Lionel Melka, gérant chez Swann Capital.Ce colloque dans le Wyoming rassemble plusieurs banquiers centraux des grandes économies mondiales à partir de jeudi. Le discours du président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Jerome Powell vendredi sera particulièrement scruté.Ce dernier fait en effet “face à la pression” de l’administration Trump “pour baisser les taux dans un contexte de marché du travail qui s’affaiblit”, signe que l’économie américaine pourrait s’essouffler, souligne Ipek Ozkardeskaya, analyste chez Swissquote Bank.Les marchés espèrent eux aussi “une baisse des taux dès septembre” mais ils “redoutent” que le patron de la Fed adopte un ton très prudent, selon Samy Chaar, chef économiste de la banque Lombard Odier.Jerome Powell a pour le moment déclaré attendre d’en savoir davantage sur les conséquences des droits de douane imposés par Donald Trump sur la première économie mondiale pour prendre une décision.Une hausse des prix trop importante, causée par ces taxes sur les produits importés, empêcherait la Fed de mener une politique d’assouplissement monétaire ambitieuse pour soutenir l’activité, car potentiellement inflationniste.Côté obligataire, le taux d’intérêt de l’emprunt français à dix ans a atteint 3,41%, contre 3,43% la veille en clôture.- Doutes sur l’IA -Les grands noms de la tech chutent sur les marchés depuis mardi, en raison de “doutes croissants sur la pérennité de la vague d’IA”, qui porte depuis plusieurs mois la hausse des indices boursiers, explique Ipek Ozkardeskaya.L’un des éléments déclencheurs a été la publication en début de semaine d’un rapport du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ayant relativisé la rentabilité pour les entreprises des investissements dans l’IA.Une interview vendredi de Sam Altman, patron d’OpenAI, dressant un parallèle entre l’engouement autour de l’intelligence artificielle en Bourse et l’explosion de la bulle internet en 2000, a elle aussi assombri l’humeur des investisseurs.A Paris, Soitec (-1,96% à 36,92 euros) et STMicroelectronics (-0,81% à 22,14 euros) ont cédé du terrain. Schneider Electric (-3,45% à 215,55 euros) et Legrand (-2,32% à 130,40 euros), dont les perspectives de croissance reposent en partie sur les centres de données destinés à l’intelligence artificielle, ont eux aussi cédé face à ces doutes.

La vigne, un coupe-feu naturel qui s’estompe dans les Corbières

Au fil des décennies, la vigne recule dans l’Aude, au gré des campagnes d’arrachage, privant d’un coupe-feu naturel des territoires comme les Corbières, ravagées par un gigantesque incendie début août. Au lendemain du départ du feu qui a parcouru 16.000 hectares de végétation et détruit 36 maisons aux alentours de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, Bastien Cabal, président de la cave coopérative Cellier des Demoiselles, a reçu un SMS d’une voisine reconnaissante, et le montre à qui-veut, fièrement.”Salut Baptiste, lui écrit-elle, je ne te remercierai jamais assez d’avoir une vigne derrière chez nous, elle a permis de sauver la maison (et d’autres) du feu qui la menaçait. Encore une fois merci. (…) Sans cette vigne, le lotissement brûlait”.”On a vu des flammes de dix mètres de haut, c’était impressionnant, mais on se sentait protégés par la vigne. La vigne, je la vénère”, confie un habitant de la commune de Tournissan, Pascal Pamart, un retraité de 71 ans.Un incendie de cette magnitude était “inimaginable il n’y a pas si longtemps”, tous les villages et les habitations isolées étaient “défendus” par la vigne qui les entourait, assure Fabien Vergnes, 52 ans, viticulteur à Tournissan.D’environ 100.000 hectares en 1980, la superficie des vignes dans l’Aude est désormais de 60.000 hectares.- “Inévitable” -Lors de sa venue le 6 août, le Premier ministre François Bayrou a remarqué le rempart dressé par la vigne.”Ce qu’on a vu là, et qui est très frappant, c’est que partout où il y avait des vignes, pour l’essentiel, le feu a été arrêté, a-t-il dit. Et là où il n’y avait plus de vignes, là où les taillis, les broussailles, les garrigues avaient pris la place (…) un accroissement de la catastrophe”.Élus locaux et viticulteurs s’alarment des conséquences de l’arrachage.”Le réchauffement climatique augmente considérablement le risque d’incendie. Les vignes bien entretenues peuvent jouer un rôle crucial en tant que coupe-feu naturel”, observe l’œnologue et expert de l’Organisation de la vigne et du vin, Joël Rochart.Comme la consommation chute, pour éviter une surproduction et soutenir le cours du vin, l’État a subventionné une campagne d’arrachage, qui s’est chiffré à 5.000 hectares dans l’Aude, dont 2.500 dans les Corbières.”La politique d’arrachage est inévitable, admet-il, mais il faudrait introduire une gouvernance territoriale, qui prend en compte le risque incendie pour qu’il y ait une réflexion à l’échelle du territoire, et sur les PLU, suivie d’actions opérationnelles”.Gorgé d’eau, le feuillage des vignes freine la propagation, “comme du bois humide”, précise-t-il. Si on arrache les vignes, “il n’y a plus l’effet d’écran et les anciennes vignes sont souvent en friche”, ce qui facilite la propagation du feu.- Double impact -Pour remédier à cette problématique, il cite l’initiative subventionnée par la commune de Banyuls, dans les Pyrénées-Orientales, “où des ceintures de vignes anti-feu ont été créées, elles constituent un écran” face aux flammes, sur des parcelles qui surplombent cette coquette station balnéaire méditerranéenne.”C’est un problème qui va s’aggraver, prévient l’œnologue. Qui dit élévation des températures, dit plus de sécheresse, donc des végétaux plus sensibles aux départs et à la transmission du feu”.Dans le paysage, aux abords des 16 villages parcourus par les flammes, des taches vertes formées par les vignes tranchent avec les terres cendrées, jonchées d’arbres calcinés.Pour Jean-Paul Baylac, chef du service Feux de forêt au Sdis de l’Aude, “l’impact de la disparition des vignes est double. D’une part, les discontinuités viticoles font que les feux peuvent passer d’un massif à l’autre, parcourir des surfaces beaucoup plus importantes”.”Et ensuite, ajoute-t-il, en périphérie de zones urbaines, où les vignes assuraient, jusque dans les années 80, une protection, parce qu’il y avait des ceintures viticoles pratiquement autour de toutes les villes du département.”Président de la chambre d’agriculture de l’Aude, Ludovic Roux tire la sonnette d’alarme. “Aujourd’hui, dit-il, il reste 60.000 hectares, il faut maintenir et sauver la viticulture et pourquoi pas un un jour réimplanter des vignes sur des zones stratégiques. La vigne est vitale”.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

La vigne, un coupe-feu naturel qui s’estompe dans les Corbières

Au fil des décennies, la vigne recule dans l’Aude, au gré des campagnes d’arrachage, privant d’un coupe-feu naturel des territoires comme les Corbières, ravagées par un gigantesque incendie début août. Au lendemain du départ du feu qui a parcouru 16.000 hectares de végétation et détruit 36 maisons aux alentours de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, Bastien Cabal, président de la cave coopérative Cellier des Demoiselles, a reçu un SMS d’une voisine reconnaissante, et le montre à qui-veut, fièrement.”Salut Baptiste, lui écrit-elle, je ne te remercierai jamais assez d’avoir une vigne derrière chez nous, elle a permis de sauver la maison (et d’autres) du feu qui la menaçait. Encore une fois merci. (…) Sans cette vigne, le lotissement brûlait”.”On a vu des flammes de dix mètres de haut, c’était impressionnant, mais on se sentait protégés par la vigne. La vigne, je la vénère”, confie un habitant de la commune de Tournissan, Pascal Pamart, un retraité de 71 ans.Un incendie de cette magnitude était “inimaginable il n’y a pas si longtemps”, tous les villages et les habitations isolées étaient “défendus” par la vigne qui les entourait, assure Fabien Vergnes, 52 ans, viticulteur à Tournissan.D’environ 100.000 hectares en 1980, la superficie des vignes dans l’Aude est désormais de 60.000 hectares.- “Inévitable” -Lors de sa venue le 6 août, le Premier ministre François Bayrou a remarqué le rempart dressé par la vigne.”Ce qu’on a vu là, et qui est très frappant, c’est que partout où il y avait des vignes, pour l’essentiel, le feu a été arrêté, a-t-il dit. Et là où il n’y avait plus de vignes, là où les taillis, les broussailles, les garrigues avaient pris la place (…) un accroissement de la catastrophe”.Élus locaux et viticulteurs s’alarment des conséquences de l’arrachage.”Le réchauffement climatique augmente considérablement le risque d’incendie. Les vignes bien entretenues peuvent jouer un rôle crucial en tant que coupe-feu naturel”, observe l’œnologue et expert de l’Organisation de la vigne et du vin, Joël Rochart.Comme la consommation chute, pour éviter une surproduction et soutenir le cours du vin, l’État a subventionné une campagne d’arrachage, qui s’est chiffré à 5.000 hectares dans l’Aude, dont 2.500 dans les Corbières.”La politique d’arrachage est inévitable, admet-il, mais il faudrait introduire une gouvernance territoriale, qui prend en compte le risque incendie pour qu’il y ait une réflexion à l’échelle du territoire, et sur les PLU, suivie d’actions opérationnelles”.Gorgé d’eau, le feuillage des vignes freine la propagation, “comme du bois humide”, précise-t-il. Si on arrache les vignes, “il n’y a plus l’effet d’écran et les anciennes vignes sont souvent en friche”, ce qui facilite la propagation du feu.- Double impact -Pour remédier à cette problématique, il cite l’initiative subventionnée par la commune de Banyuls, dans les Pyrénées-Orientales, “où des ceintures de vignes anti-feu ont été créées, elles constituent un écran” face aux flammes, sur des parcelles qui surplombent cette coquette station balnéaire méditerranéenne.”C’est un problème qui va s’aggraver, prévient l’œnologue. Qui dit élévation des températures, dit plus de sécheresse, donc des végétaux plus sensibles aux départs et à la transmission du feu”.Dans le paysage, aux abords des 16 villages parcourus par les flammes, des taches vertes formées par les vignes tranchent avec les terres cendrées, jonchées d’arbres calcinés.Pour Jean-Paul Baylac, chef du service Feux de forêt au Sdis de l’Aude, “l’impact de la disparition des vignes est double. D’une part, les discontinuités viticoles font que les feux peuvent passer d’un massif à l’autre, parcourir des surfaces beaucoup plus importantes”.”Et ensuite, ajoute-t-il, en périphérie de zones urbaines, où les vignes assuraient, jusque dans les années 80, une protection, parce qu’il y avait des ceintures viticoles pratiquement autour de toutes les villes du département.”Président de la chambre d’agriculture de l’Aude, Ludovic Roux tire la sonnette d’alarme. “Aujourd’hui, dit-il, il reste 60.000 hectares, il faut maintenir et sauver la viticulture et pourquoi pas un un jour réimplanter des vignes sur des zones stratégiques. La vigne est vitale”.

Judge blocks Texas law requiring Ten Commandments in classrooms

A US federal judge on Wednesday blocked a Texas law that would require public schools to display the Ten Commandments in every classroom.District Judge Fred Biery issued a preliminary injunction barring implementation of the law, which was to take effect on September 1 and was challenged by families of diverse faiths with children in public schools.The Texas state law, known as Senate Bill 10, is unconstitutional and “impermissibly takes sides on theological questions and officially favors Christian denominations over others,” Biery wrote in his 55-page ruling.”The displays are likely to send an exclusionary and spiritually burdensome message to the child-Plaintiffs — who do not subscribe to the approved version of the Ten Commandments –that they ‘are outsiders who do not belong in their own school community,'” he said.Rabbi Mara Nathan, one of the plaintiffs in the case, welcomed the ruling.”Children’s religious beliefs should be instilled by parents and faith communities, not politicians and public schools,” Nathan said in a statement.Rachel Laser, president of Americans United for Separation of Church and State, also welcomed the decision, saying it sends a “strong and resounding message across the country that the government respects the religious freedom of every student in our public schools.”Another federal judge blocked a Louisiana law in November that would require the display of the Ten Commandments in every public school classroom in the conservative southern state.District Judge John deGravelles said the law is unconstitutional and a violation of the First Amendment of the US Constitution.The separation of church and state is a founding US principle and the First Amendment forbids the establishment of a national religion or the preference of one religion over another.In a similar case in 1980, the US Supreme Court ruled that the display of the Ten Commandments in schools in Kentucky was unconstitutional.In Oklahoma, the highest education official in the conservative state recently ordered public schools to teach the Bible, a move that is also facing legal challenges.

Google packs new Pixel phones with AI

Google on Wednesday unveiled new Pixel 10 smartphones, showcasing artificial intelligence (AI) capabilities woven into its Android mobile operating system.The line-up of new products included a foldable phone, improved Pixel smartwatch, and ear buds all synced to work with AI and each other.”Pixel continues to be the best way for people to try out the latest bleeding-edge AI from Google,” product manager Tyler Kugler said during a briefing with journalists.Pixel phones claim a scant portion of a high-end smartphone market ruled by Apple, Samsung and Xiaomi, but custom Google hardware is an opportunity for the internet giant to highlight what is possible with its Android mobile operating system.And while Samsung routinely ranks as the world’s top smartphone seller, it powers handsets with Android software from Google.”Initially, Google Pixel devices were designed as a technological showcase to limit Android fragmentation and accelerate innovation,” said Forrester principal analyst Thomas Husson.”Ten years later, the strategic challenge is still not to become the market leader, but to demonstrate the value of Google’s integrated ecosystem.”The tactic promises to promote use of Google’s platform by handset makers and is a spin on the way Apple ties together its iPhones and other devices with its software.Meanwhile, with Apple seen as lagging in the fierce AI race, Google has touted all-out efforts to integrate advanced AI throughout its offerings as it competes with powerhouses such as Amazon, Meta, and Microsoft.”Its positioning remains premium and its market share is less than 5 percent, but in the age of AI, it is a true laboratory of innovation,” Husson said of the Pixel smartphone line.It is also “a means of countering Apple’s integrated hardware-software-services strategy while remaining a strategic partner for Samsung and the Android ecosystem,” Husson added.AI built into new Pixel phones lets Gemini AI assistant look through the cameras to “see” what users see, answering questions or providing tips about locations, objects or situations, according to Kugler.Google is not the only one putting AI in phones. South Korean consumer electronics giant Samsung has made AI a centerpiece of its Galaxy smartphone line and recently released a new Galaxy Z Fold7.Google’s product team described the new Pixel Watch 4 as a redesigned experience that marks the biggest update to the line.Features include smartwatch fitness tracking fine-tuned to distinguish between activities such as walking, bicycling, or tennis. The Pixel Watch also enables users to command Gemini AI assistant from one’s wrist.Gemini detects the mood of whoever is speaking to it and adjusts its responses accordingly, and can even “look” through the phone camera to offer photo suggestions, according to the Google team.