Le 8e sommet Choose France bat un record d’investissements et avance dans l’IA

Centres de données, banque en ligne, bateaux de croisière: le 8e sommet Choose France lundi, évènement destiné à attirer les investissements étrangers en France, a battu un nouveau record avec 20 milliards d’euros de projets annoncés sous les ors du château de Versailles.”C’est une édition très complète”, s’est réjoui Emmanuel Macron lundi devant un parterre de chefs d’entreprises rassemblés dans la galerie des batailles du musée parisien.Une cinquantaine de projets ont été dévoilés ou confirmés par la France qui a convié plus de 200 patrons à l’occasion d’un sommet baptisé “France, terre de créativité”.Après les 15 milliards d’euros de l’édition 2024, la moisson 2025 a été de 20 milliards d’euros d’investissements nouveaux. Et 20,8 milliards d’euros d’engagements sur l’intelligence artificielle (IA) pris en février ont été entérinés.Devant les patrons, le président de la République a cité ses réformes visant à simplifier le marché du travail et la baisse de la fiscalité parmi les raisons à cette attractivité économique retrouvée.Il a aussi appelé à poursuivre le mouvement de simplification, en proposant, comme son homologue allemand il y a dix jours, de supprimer la directive européenne sur le devoir de vigilance, qui impose aux entreprises des règles en matière de respect de l’environnement et des droits humains dans toute leur chaîne de production.- Attractivité discutée -La France peut se targuer d’avoir été consacrée premier pays européen en termes d’investissements étrangers par le baromètre du cabinet EY pour la 6e année de suite, qui prend en compte le nombre de projets d’investissements annoncés.Le sommet “participe du redéveloppement, du redéploiement d’une puissance industrielle française”, s’est félicité sur RTL le ministre de l’Economie Eric Lombard.”De la propagande”, a commenté sur X le député Insoumis Eric Coquerel, selon qui “le bilan macroniste c’est la désindustrialisation”.”C’est un fait que nous avons davantage ouvert d’usines que fermé d’usines ces dernières années”, a rétorqué le ministre délégué au Commerce extérieur Laurent Saint-Martin, interrogé à Versailles.”Les annonces du sommet Choose France ne devraient pas suffire à renverser l’essoufflement de l’investissement des entreprises en France”, tempère l’économiste en chef du cabinet Asterès, Sylvain Bersinger, dans une note.  Un autre baromètre dévoilé en avril par le cabinet international Kearney plaçait la France à la septième place mondiale de l’attractivité économique économique et à la troisième en Europe. Plusieurs chefs d’entreprises ont tout de même loué à Versailles une amélioration: il y a encore dix ans “la perception de la France n’était pas ce qu’elle est aujourd’hui”, a indiqué le patron de Snapchat, Evan Spiegel.”La France a beaucoup d’avantages, elle peut encore faire mieux”, a aussi dit le directeur général d’Amazon France Frédéric Duval, pointant les “restrictions administratives”. L’entreprise est venue annoncer 300 millions d’euros d’investissement.- Pluie de milliards -Parmi les autres projets annoncés lundi figurent un investissement de 6,4 milliards d’euros de l’américain Prologis, pour la construction de centres de données et d’entrepôts, et la confirmation par MSC Croisières d’une commande de deux navires aux chantiers de Saint-Nazaire pour 3,5 milliards d’euros.Des annonces bienvenues en pleines négociations sur les droits de douane avec Donald Trump qui tente lui-même d’attirer les investissements. L’autre volet des annonces attendues concerne les premières concrétisations des 109 milliards d’investissements en France dans le domaine de l’IA, promis en février lors d’un sommet.Le fonds d’investissement émirati MGX a confirmé son engagement pour l’établissement d’un campus IA en Ile-de-France, avec une première tranche de 8,5 milliards d’euros.Le canadien Brookfield devait confirmer l’investissement de 10 milliards d’euros pour un site à Cambrai (Nord). Et l’américain Digital Realty ses engagements pour des centres de données à Marseille et Dugny (Seine-Saint-Denis), pour 2,3 milliards.- Bureaux parisiens -La “fintech” britannique Revolut va consacrer un milliard d’euros d’investissement à la création de son nouveau siège social pour l’Europe de l’ouest à Paris.Le richissime fonds souverain saoudien PIF (Public investment fund) a aussi choisi Paris pour l’ouverture d’une filiale.Cette année, Choose France met aussi à l’honneur des capitaux pour l’économie circulaire, notamment le recyclage textile, la mobilité décarbonée ou le cinéma et l’audiovisuel, autour d’un invité d’honneur, le judoka multimédaillé Teddy Riner.Emmanuel Macron a aussi tenu une table ronde avec des chefs d’entreprises sud-coréens et deux autres sur l’intelligence artificielle et la transition énergétique.Il devait aussi recevoir Stella Li, vice-présidente exécutive du constructeur de voitures électriques chinois BYD, le magnat mexicain Carlos Slim et le directeur général du saoudien Qiddiya, avant un “dîner de travail”.bur-od-alb-jul/jbo/ktr

After Putin call, Trump says Ukraine talks to start ‘immediately’

US President Donald Trump said that Russia and Ukraine would immediately start ceasefire talks after he spoke with Russian counterpart Vladimir Putin Monday, but the Kremlin leader fell short of agreeing to the unconditional truce proposed by Washington.Trump painted a more upbeat picture of the situation after the two-hour call, as he desperately seeks a deal to end a grinding conflict that he had promised on the election trail to solve within 24 hours.Putin said he was ready to work with Kyiv on a memorandum towards a possible peace deal after the “useful” call — but insisted that more compromises were necessary to end the war Moscow launched in February 2022.”Just completed my two-hour call with President Vladimir Putin of Russia. I believe it went very well,” Trump said on his Truth Social network. “Russia and Ukraine will immediately start negotiations toward a Ceasefire and, more importantly, an END to the War.”Trump added that the “tone and spirit of the conversation were excellent,” after the US president had shown signs of increasing frustration with the Kremlin leader. Trump recently called for a 30-day unconditional ceasefire between Ukraine and Russia. Kyiv agreed, but Putin has so far held off on any such truce.The Vatican — where Pope Leo XIV was recently elected as the first American pontiff — would be “very interested” in hosting the Russia-Ukraine talks, Trump added.- ‘Very useful’ -Putin was more circumspect, even as he appeared to give one of the most concrete signs yet of being ready to discuss an end to Moscow’s invasion of its neighbor. “It was very informative and very open and overall, in my opinion, very useful,” Putin told Russian media after the call.He said that Russia would “propose and will be ready to work with the Ukrainian side on a memorandum on a possible future peace agreement defining a range of positions.”His comments left many details unclear, however, including on the timing and contents of the document.The Russian president added that while talks with Kyiv last week in Istanbul had put the world “on the right path” to resolving the conflict, more “compromises” were still needed.Trump, a former property tycoon who prides himself as a master of the “art of the deal,” has repeatedly signaled that he is losing patience with efforts to seal an agreement on Ukraine.After initially directing much of his frustration towards Zelensky, including during a blazing Oval Office row, he has recently said that the Russian president may be stringing him along.The US president briefly spoke to Zelensky before Putin, with the Ukrainian leader urging him to toughen sanctions against Russia if it did not agree to a ceasefire, a senior Ukrainian official told AFP.Trump added that he had “informed” Zelensky, European Commission President Ursula von Der Leyen and the leaders of France, Germany, Italy and Finland of the resumption of peace talks in a call immediately after his conversation with Putin.- Sanctions pressure -Germany said after the Trump-Putin call that key European allies of Ukraine had agreed to “increase pressure” on Russia with sanctions.But there were signs from Trump that he is more interested in resetting relations with Moscow than imposing sanctions.He held out the carrot that Russia could do “largescale TRADE with the United States when this catastrophic ‘bloodbath’ is over.”The Kremlin said that both Putin and Trump wanted the “normalization” of US-Russia ties.Still, Trump’s frustrations could yet boil over with either side if they fail to reach a deal.US Vice President JD Vance earlier said that if Russia proved unwilling to reach peace “then we’re eventually just going to have to say, this is not our war.” The White House had earlier said that Trump still hoped to meet Putin in person, after the Russian leader rebuffed his suggestion to meet at last week’s Russia-Ukraine talks in Istanbul.On the ground, the Russian army continued its attacks.Moscow claimed its forces had captured two villages in Ukraine’s eastern Sumy and Donetsk regions. Russia also fired 112 drones on Ukraine overnight, 76 of which were repelled, the Ukrainian air force said.burs-dk/aha

Le Sénat face à l’immense défi de “refonder” Mayotte

“Refonder” l’archipel meurtri de Mayotte en proie à une crise aussi durable que multidimensionnelle: c’est l’ambition d’un projet de loi gouvernemental dont le Sénat s’est saisi lundi, avant une adoption probable à la chambre haute malgré des désaccords sur un sensible volet migratoire.Plus de cinq mois après le passage dévastateur du cyclone Chido, la réponse du gouvernement entre dans une nouvelle phase, celle de la refondation à long terme du 101e département français, le plus pauvre d’entre eux. Car “si le cyclone a ravagé Mayotte, il a surtout révélé et exacerbé des difficultés qui existaient déjà”, a lancé le ministre des Outre-mer Manuel Valls en ouverture des débats.L’objectif du gouvernement, “reconstruire l’île sur des bases plus saines, plus claires, pour changer son visage et à travers elle, la vie des Mahorais”, a promis le ministre d’Etat devant les sénateurs.La “loi-programme” soumise aux sénateurs orchestre surtout une promesse financière d’Emmanuel Macron: déployer, d’ici 2031, 3,2 milliards d’euros d’investissements publics fléchés vers l’eau, l’éducation, la santé, les infrastructures ou la sécurité. Un chiffre que le ministre a promis de “hisser à quasiment quatre milliards d’euros” par voie d’amendement durant la discussion parlementaire, qui s’étirera jusqu’à un vote solennel prévu le mardi 27 mai.- “Echéancier” des investissements -Construite avec les élus locaux, cette loi sera particulièrement scrutée sur l’archipel, où les demandes des élus se font chaque semaine plus pressantes sur le logement, l’éducation ou encore l’immigration.”On ressent une vraie démarche d’engagement de l’Etat. Mais l’urgence pour nous, c’est d’avoir un échéancier, un calendrier précis des investissements”, pointe auprès de l’AFP la sénatrice de Mayotte Salama Ramia (groupe macroniste RDPI). Plus critique, l’autre sénateur de Mayotte Saïd Omar Oili, qui siège au groupe socialiste, a fait part des “craintes démesurées” des Mahorais, appelant à des “fonds publics à la hauteur des enjeux” sans quoi le plan “Mayotte debout !” du gouvernement pourrait rapidement devenir un “plan Mayotte débrouille-toi !”.Le gouvernement a partiellement répondu à cette demande en déposant un amendement qui détaille plus précisément les moyens alloués, leur fléchage et la période de leur décaissement.Les sénateurs proposent d’aller plus loin en instaurant un “comité de suivi”, pour que les promesses ne restent pas lettre morte.Mais ce projet de loi, l’une des très rares initiatives parlementaires émanant du gouvernement dans cette année politique mouvementée, dépasse largement le cadre de la programmation: de nombreuses mesures entendent réformer le contexte économique, social, institutionnel et sécuritaire de l’île.- Visas territorialisés -Le volet le plus sensible a trait à l’immigration, avec des conditions d’accès au séjour durcies, des peines pour reconnaissance frauduleuse de paternité augmentées et la possibilité de retirer des titres de séjour aux parents d’enfants considérés comme menaçant l’ordre public.Rien en revanche sur la suppression – demandée localement – des visas territorialisés qui empêchent les détenteurs d’un titre de séjour mahorais de venir dans l’Hexagone. Mesure qui permettrait selon ses défenseurs de “désengorger” hôpitaux et écoles face à l’afflux massif d’immigrés clandestins venus notamment des Comores voisines. Mais le gouvernement comme la majorité sénatoriale plaident pour son maintien, craignant de renforcer l’hypothèse d’un “appel d’air” migratoire.”Ce n’est pas seulement le destin de Mayotte” qui se joue là, a justifié le LR Stéphane Le Rudulier, mais “l’autorité de la République”. “Une République qui ne protège pas ses enfants, qui ne maîtrise pas ses frontières (…) cette République-là abdique”, a-t-il ajouté.A l’opposé, la gauche a émis de vives réserves: “80% de ce texte visent à rendre encore plus répressive et plus dérogatoire une politique migratoire déjà ultra répressive et ultra dérogatoire”, s’est agacée l’écologiste Mélanie Vogel, son groupe dénonçant un texte qui “criminalise au lieu de reconstruire”.Autre irritant probable, un article pour faciliter les expropriations en vue d’accélérer la reconstruction.Le projet contient aussi des dispositifs économiques et sociaux avec la création d’une zone franche globale avec des abattements fiscaux à 100%, et la perspective, d’ici 2031, d’une “convergence sociale” entre l’Hexagone et l’archipel où les minima sociaux, comme le RSA, sont aujourd’hui 50% inférieurs.

Guyane: Darmanin tente de calmer la polémique sur la future prison de Saint-Laurent

Le garde des Sceaux Gérald Darmanin, en déplacement en Guyane, a clarifié lundi le projet d’ouverture d’un quartier de haute sécurité dans la future prison de Saint-Laurent-du-Maroni, prévue d’ici 2028, qui a provoqué une levée de boucliers chez les élus locaux.Le JDD a révélé samedi que cet établissement de 500 places pourrait accueillir des narcotrafiquants, des fichés S et des détenus radicalisés, laissant entendre que certains pourraient être transférés depuis la France hexagonale. Le ministre de la Justice a dit au JDD souhaiter que cette prison “serve à éloigner durablement les têtes de réseau du narcotrafic” dans la mesure où “ils ne pourront plus avoir aucun contact avec leurs filières criminelles”.L’annonce a suscité de vives critiques à Saint-Laurent-du-Maroni, deuxième ville de Guyane et ex-colonie pénitentiaire, frontalière avec le Suriname. Plusieurs élus locaux et la Collectivité territoriale de Guyane ont dénoncé un projet évoquant un “retour du bagne”.En marge de sa visite du centre pénitentiaire de Rémire-Montjoly, seule prison de Guyane, Gérald Darmanin a assuré que ce quartier de haute sécurité – le troisième de ce type annoncé en France pour accueillir les prisonniers les plus dangereux – n’aurait pas vocation à accueillir des détenus venus de l’Hexagone.”Il y a très largement de quoi faire parmi la délinquance, la criminalité en Guyane et aux Antilles”, a-t-il affirmé aux journalistes.Ce quartier sécurisé comprendra “une soixantaine de places ” destinées à “ isoler totalement ces narcotrafiquants de Guyane et des Antilles ”, a-t-il encore précisé.La prison à Saint-Laurent-du-Maroni est un projet ancien en Guyane dont l’ouverture était initialement prévue en 2026. Présenté comme étant situé “au coeur de la jungle amazonienne”, le site retenu se situe en réalité à quelques kilomètres de Saint-Laurent, deuxième ville de Guyane avec plus de 50.000 habitants.A l’heure actuelle, “le permis de construire n’est même pas signé”, a rappelé Gérald Darmanin. L’établissement vise notamment à désengorger le centre pénitentiaire de Rémire-Montjoly, qui accueille environ 1.100 détenus pour 614 places, selon le syndicat UFAP-Unsa Justice.Saint-Laurent du Maroni, devenue la plaque tournante du trafic de drogue en Guyane, fut l’ancien port d’entrée du bagne où débarquaient les forçats venus de métropole, de 1850 à 1938.Département le plus criminogène de France en proportion, la Guyane a connu une année 2023 record en terme d’homicides, avec 20,6 tués pour 100.000 habitants, quand la moyenne nationale s’établissait à 1,5 pour 100.000.

How Biden cancer diagnosis could have gone undetected

Joe Biden’s diagnosis with an aggressive form of prostate cancer has spurred some prominent conservatives to accuse the former president of a cover-up, but oncologists told AFP that screening limitations could very well have left his condition undetected until now.The 82-year-old received the diagnosis last week after he experienced urinary issues and a prostate nodule was found, his office said Sunday. While President Donald Trump said he was “saddened” to learn of his rival’s condition, a chorus of Republicans led by Vice President JD Vance and Donald Trump Jr said or shared conspiratorial posts to the effect that Biden and his White House medical team had long concealed his illness for political purposes.Questions over Biden’s health dogged him throughout the waning months of his presidency and his short-lived reelection campaign. And they have been renewed in recent weeks ahead of the expected release of a book detailing what it calls his declining physical condition.Prostate cancer, the most common among men, is typically diagnosed much sooner than other kinds of cancer. It can be caught in its early stages using blood tests that measure for a protein called PSA.Medical experts interviewed by AFP said the late identification of an advanced cancer would not be unheard of, even for a former president receiving top-of-the-line medical care.”We can’t rule out the possibility that it was an aggressive form that developed quickly,” said Natacha Naoun, an oncologist with France’s Gustave-Roussy Institute.Annual PSA screening after the age of 70 is not universally recommended.The US Preventive Services Task Force advises against it, reasoning that the risk of false positives and the harms from biopsies and treatment outweigh the benefits.”It could be they decided to stop checking PSA annually, and then he had urinary symptoms,” said Russell Pachynski, an oncologist with Washington University in St. Louis, Missouri, who told AFP that prostate cancer patients do not always experience telltale pains or signs.It is also possible that Biden was undergoing routine screenings, but that those checks failed to turn up indications of cancer, Pachynski said.”Maybe it was just unlucky that his particular cancer didn’t express a lot of PSA and he still had a normal PSA. In that setting, you would not go checking the prostate or do a biopsy, etcetera, unless it was driven by symptoms.”Otis Brawley, an oncologist and epidemiologist at Johns Hopkins University, said studies have shown both PSA testing and rectal exams are imperfect.”It is not unusual for a man to be diagnosed with metastatic prostate disease despite normal annual screening,” he told AFP. “This is part of the limitations of prostate screening.”

Abhishek blitz knocks Lucknow out of IPL play-off race

Opener Abhishek Sharma struck 59 off 20 balls as Sunrisers Hyderabad beat Lucknow Super Giants by six wickets on Monday to end their opponents’ chances of reaching the IPL playoffs.Chasing 206 for victory, Abhishek set up the chase with his blitz laced with four fours and six sixes as Hyderabad achieved the target with 10 balls to spare in Lucknow.Abhishek departed in the eighth over before Heinrich Klaasen, who hit 47, and Kamindu Mendis, who retired hurt on 32, guided the team to the brink of victory with their fourth-wicket partnership of 55.Lucknow became the fifth team to bow out of the play-off contention leaving five-time champions Mumbai Indians and Delhi Capitals to battle for one remaining spot.”Definitely it could have been one of our best seasons but coming into the tournament we had a lot of gaps, injuries,” said disappointed Lucknow skipper Rishabh Pant.”As a team we decided to not talk about that but it became difficult to fill those gaps.”Gujarat Titans, Punjab Kings and Royal Challengers Bengaluru are already through to the playoffs starting May 29.It was a consolation win for Hyderabad, who were already out of the playoffs although captain Pat Cummins said the win “gives (us) a lot of confidence for next year”.The left-handed Abhishek took on the attack after he lost his opening partner Atharva Taide, who became New Zealand quick Will O’Rourke’s first wicket on his IPL debut.Abhishek hit five sixes, including three in succession off Ravi Bishnoi, to reach his fifty in 18 balls and followed it up with another hit over the fence.Leg-spinner Digvesh Rathi cut short Abhishek’s knock and Hyderabad lost another left-hander Ishan Kishan on 35 before South Africa’s Klaasen and Sri Lankan left-hander Mendis controlled the chase.Shardul Thakur denied Klaasen his fifty and Mendis hobbled off with a foot injury before Nitish Reddy and Aniket Verma sealed the win.- Pant’s flop and gaps -Earlier Mitchell Marsh and Aiden Markram laid the foundations for Lucknow’s 205-7 in their opening stand of 115.Marsh top-scored with 65 in a knock laced with six fours and four sixes and Markram hit 61 before Nicholas Pooran contributed with his 26-ball 45 to boost the total.The rest of the batters failed to get into double figures including another flop for Pant, who fell caught and bowled for seven off Sri Lanka seam bowler Eshan Malinga.Wicketkeeper-batsman Pant has failed to fire since Lucknow splashed a record $3.21 million on him at the November auction, scoring just 135 runs from 11 innings this IPL season.Lucknow pace bowlers including Avesh Khan and Mayank Yadav struggled with injuries leading into the tournament and during the season as well.Malinga stood out with figures of 2-28 in his four overs.Pooran missed out on his fifty in an attempt to steal a single in the 20th over which witnessed two run outs and another wicket.The IPL is into its final phase and restarted Saturday after it was paused due to a conflict between India and Pakistan.Since the pause in the IPL, the tournament has been rescheduled with the final now set to take place on June 3.

Trump admin to pay $5 mn to family of woman shot at US Capitol riot

The Trump administration has agreed to pay nearly $5 million to the family of a woman shot dead by a police officer during the January 6, 2021, attack on the US Capitol, The Washington Post reported on Monday.Ashli Babbitt, 35, was shot as she tried to climb through a window leading to the House Speaker’s lobby during the assault on Congress by a mob of Donald Trump supporters seeking to overturn the results of the 2020 presidential election.Babbitt’s estate filed a wrongful death suit last year seeking $30 million.The case had been scheduled to go on trial but the US Justice Department reversed course after Trump won the November 2024 election and entered into settlement talks.The Post, citing two people familiar with the matter, said a settlement had been reached under which the government would pay nearly $5 million to Babbitt’s family.The Capitol police officer who shot Babbitt was cleared of any wrongdoing but Trump has repeatedly claimed the shooting was unwarranted and she was an “innocent” woman.Babbitt has been cast as a “martyr” by Trump supporters and her estate was represented in the wrongful death suit by the conservative group Judicial Watch.Trump signed pardons on his first day in office for more than 1,500 participants in the attack on the Capitol by supporters seeking to block certification of Democrat Joe Biden’s election victory.The Capitol assault, which left more than 140 police officers injured, followed a fiery speech by then-president Trump to tens of thousands of his supporters near the White House in which he repeated his false claims that he won the 2020 race.He then encouraged the crowd to march on Congress.

Biden thanks supporters for ‘love’ after cancer diagnosis

Former US president Joe Biden expressed gratitude Monday for an outpouring of “love and support” following his cancer diagnosis, even as some in President Donald Trump’s orbit leveled fresh accusations of a health cover up.The 82-year-old ex-president’s shock announcement on Sunday that he had been diagnosed with an aggressive form of prostate cancer sparked an outpouring of good wishes, including from Trump himself, Biden’s vice president Kamala Harris and ordinary Americans.”Cancer touches us all. Like so many of you, Jill and I have learned that we are strongest in the broken places,” Biden said on social media, including a photo of him and former first lady Jill Biden.”Thank you for lifting us up with love and support.”Biden’s office said in a statement that he had been diagnosed Friday following the discovery of a prostate nodule, and that the cancer had spread to the bone.”While this represents a more aggressive form of the disease, the cancer appears to be hormone-sensitive which allows for effective management. The President and his family are reviewing treatment options with his physicians,” it added.Trump, who has long derided Biden over his cognitive abilities and his record in office, said Sunday he was “saddened” by the news and wished him a “fast and successful recovery.”But Trump’s son Don Jr. meanwhile questioned whether the cancer should have been detected earlier — and also boosted unfounded claims Biden had covered up a previous diagnosis.He posted a clip of Biden — whose son Beau died of cancer — saying in an apparent gaffe in 2022 that “I, and so damn many other people I grew up with, have cancer.”White House Press Secretary Karoline Leavitt swerved around questions Monday about whether presidential doctors may have missed Biden’s early cancer stages.Trump was not concerned about his standard of care, she said, adding that the current White House physician is “phenomenal.”The cancer diagnosis comes amid swirling new questions in recent weeks over Biden’s health while in office, with a new book by two journalists alleging his staff worked to conceal his decline.Biden’s team has consistently denied there was any effort to hide fears about his health.- ‘Personal’ -Prostate cancer is the most common form of cancer in men, with the American Cancer Society (ACS) reporting that one in eight men in the United States are diagnosed with it over their lifetime.While it is highly treatable if discovered early, it is the second leading cause of cancer death in men.Hormone therapy is a common treatment that can shrink tumors and slow cancer growth, but it is not a cure.Britain’s King Charles, 76, who himself is being treated for an undisclosed form of cancer, wrote to Biden over the weekend to express his well wishes, Buckingham Palace said.Biden’s cancer was found to have “a Gleason score of 9 (Grade Group 5),” on a 1-10 scale, his office’s statement said. Prostate cancer that looks “very abnormal” is assigned the highest rating, Grade 5, according to the ACS.The mental and physical health of Biden, the oldest person ever to hold the US presidency, was a dominant issue in the 2024 election.Trump and his conservative backers repeatedly attacked the incumbent over his cognitive abilities, and after a disastrous debate performance against Trump, Biden ended his campaign for a second term.Biden’s life has been marked by personal tragedy. In 1972, his first wife and baby daughter were killed in a car crash.  His son Beau died aged 46 of an aggressive form of brain cancer in 2015.In the wake of Beau’s death, then-president Barack Obama launched a “cancer moonshot” bid to corral the disease in the United States, tasking Biden, then his vice president, with leading the effort.”It’s personal for me,” Biden said at the time.

Trump dit que la Russie et l’Ukraine vont “démarrer immédiatement des négociations en vue d’un cessez-le-feu”

Donald Trump a affirmé lundi que la Russie et l’Ukraine allaient “démarrer immédiatement des négociations en vue d’un cessez-le-feu”, après son appel avec Vladimir Poutine, qui “s’est très bien passé” selon lui.Le président russe a qualifié de son côté la conversation d'”utile”. A la presse, il a ajouté que la Russie était prête à travailler avec l’Ukraine sur un “mémorandum” concernant un “possible traité de paix” et a souligné le besoin de “trouver des compromis” chez les deux parties au conflit.”La Russie et l’Ukraine vont démarrer immédiatement des négociations en vue d’un cessez-le-feu, et de manière plus importante, en vue d’une fin à la guerre”, a assuré le président américain.”Que le processus commence!”, a écrit sur sa plateforme Truth Social le président américain, qui n’est pas parvenu cependant à obtenir le cessez-le-feu immédiat auquel il exhortait Kiev et Moscou.Selon un haut responsable ukrainien, Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky se sont parlé avant l’appel avec Vladimir Poutine. Le président américain a précisé avoir de nouveau appelé dans la foulée son homologue ukrainien ainsi que plusieurs dirigeants européens pour les tenir informés de la teneur de la conversation avec Vladimir Poutine.Le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, et le président finlandais Alexander Stubb participaient à cet appel, a précisé Donald Trump, qui a aussi dit que le Vatican était prêt à accueillir les négociations russo-ukrainiennes.- “Compromis” -Les pourparlers de paix vendredi entre Ukrainiens et Russes, les premiers depuis 2022, n’ont pas abouti au cessez-le-feu réclamé par l’Ukraine et ses alliés, les attaques meurtrières se poursuivant sur le terrain. La Russie a ainsi envoyé dans la nuit de samedi à dimanche un nombre “record” de plus de 270 drones explosifs, selon Kiev.Après cette rencontre à Istanbul, Vladimir Poutine a cependant affirmé lundi que les discussions avec l’Ukraine allaient dans “la bonne voie”.”La question est bien sûr que les parties russe et ukrainienne fassent preuve d’un maximum de volonté de paix et trouvent des compromis qui satisfassent toutes les parties”, a-t-il lancé.Donald Trump avait déclaré samedi qu’il parlerait à son homologue russe “pour mettre fin au bain de sang”, disant espérer parvenir à un cessez-le-feu.En plus de trois ans depuis le début de l’invasion russe, au moins plusieurs dizaines de milliers de personnes sont mortes, civils et militaires confondus.Lors d’un point presse lundi avant l’appel, la porte-parole Karoline Leavitt a affirmé que le président américain était devenu “las et frustré” de l’attitude de Moscou et Kiev.Dans son avion de retour de Rome où il s’est entretenu avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le vice-président américain JD Vance a également évoqué les négociations et regretté une “impasse” dont l’Ukraine et la Russie devraient sortir.”Si la Russie n’est pas disposée à cela, nous devrons finir par dire à terme: +Ce n’est pas notre guerre+”, a averti JD Vance.- Sanctions -Volodymyr Zelensky a dit lundi vouloir lui aussi un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours, “suffisamment long” dans le temps pour permettre des discussions, et avec “la possibilité d’une prolongation”.Le président russe a repoussé jusque-là toutes les demandes de Kiev de trêve préalable à des discussions, estimant qu’une telle pause dans les combats permettrait aux forces ukrainiennes de se réarmer grâce à l’aide militaire occidentale.Avant l’entretien entre Donald Trump et Vladimir Poutine, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov avait dit s’attendre à un travail “laborieux” et “peut-être long” en vue d’un règlement du conflit.De leur côté, les Européens, soutiens de Kiev, tentent de faire bloc et de faire pression sur Moscou, menaçant de sanctions “massives” si le Kremlin ne finissait pas par accepter une trêve.Intransigeant, Vladimir Poutine a martelé dimanche vouloir “éliminer les causes” du conflit et “garantir la sécurité de l’État russe”, une référence à l’exigence de Moscou que l’Ukraine soit démilitarisée et ne rejoigne pas l’Otan, que le président russe considère comme une menace existentielle pour son pays.La Russie “tente de faire les mêmes demandes absurdes” qu’en 2022, a dénoncé lundi le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, sur les réseaux sociaux.A l’avantage sur le front face à des troupes ukrainiennes moins nombreuses, les forces russes ont revendiqué lundi la prise de deux localités, une dans la région de Soumy (nord-est) et l’autre dans celle de Donetsk (est), épicentre des combats.