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Le Kremlin sceptique sur la volonté de Zelensky de négocier avec Poutine

Le Kremlin a jugé mercredi “vides de sens” les déclarations du président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui s’était dit prêt la veille à des négociations directes avec son homologue russe Vladimir Poutine et d’autres dirigeants pour mettre fin au conflit.Près de trois ans après le début de l’offensive russe en Ukraine, les appels à des pourparlers …

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L’Australie interdit DeepSeek sur les appareils gouvernementaux

L’Australie a décidé d’interdire l’utilisation des programmes d’intelligence artificielle de la start-up chinoise DeepSeek sur tous les appareils gouvernementaux, face à un “risque” sécuritaire jugé “inacceptable”, une décision dénoncée par Pékin.”Après une analyse des risques et des menaces, j’ai considéré que l’utilisation des produits, des applications et des services internet de DeepSeek représentait un niveau …

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L’Australie interdit DeepSeek sur les appareils gouvernementaux

L’Australie a décidé d’interdire l’utilisation des programmes d’intelligence artificielle de la start-up chinoise DeepSeek sur tous les appareils gouvernementaux, face à un “risque” sécuritaire jugé “inacceptable”, une décision dénoncée par Pékin.”Après une analyse des risques et des menaces, j’ai considéré que l’utilisation des produits, des applications et des services internet de DeepSeek représentait un niveau de risque inacceptable en matière de sécurité pour le gouvernement australien”, a écrit la ministre de l’Intérieur, Stephanie Foster, dans une directive publiée mardi.Les programmes de DeepSeek vont donc être “retirés” mercredi de “tous les équipements fixes et mobiles du gouvernement australien”, a-t-elle ajouté.La Chine a dénoncé cette décision, soulignant qu’elle s’opposait à la “politisation des questions économiques, commerciales et technologiques”.”Le gouvernement chinois (…) n’a jamais exigé et n’exigera jamais des entreprises ou des individus qu’ils collectent ou stockent illégalement des données”, a affirmé le ministère chinois des Affaires étrangères dans un communiqué. L’irruption en janvier du robot conversationnel R1 de la start-up chinoise a stupéfié par sa capacité à égaler ses concurrents américains à un coût bien moindre, selon l’entreprise, ce qui remet en question le modèle économique du secteur de l’IA.- Craintes à travers le monde -DeepSeek a aussi très vite commencé à susciter les inquiétudes des autorités à travers le monde.Avant l’Australie, Taïwan avait déjà annoncé la semaine dernière interdire à ses fonctionnaires et des infrastructures-clés d’utiliser les applications de la start-up chinoise, invoquant des risques pour “la sécurité nationale de l’information”.En Corée du Sud, le régulateur chargé de la protection des données personnelles a annoncé vendredi demander des explications à DeepSeek concernant son traitement des informations fournies par les utilisateurs, suivant l’exemple d’autres pays dont la France et l’Irlande.Les géants technologiques sud-coréens comme Samsung Electronics ou son rival SK hynix sont des fournisseurs majeurs des microprocesseurs avancés utilisés pour les serveurs d’IA.L’autorité italienne de protection des données personnelles a elle lancé jeudi dernier une enquête sur le robot conversationnel de DeepSeek, à qui elle a interdit de traiter les données des utilisateurs italiens. Elle a justifié sa décision par les réponses “totalement insuffisantes” apportées par DeepSeek à ses questions sur l’utilisation des données personnelles. – “Logiciels malveillants” -Dès l’irruption de DeepSeek sur la scène IA, le ministre australien de l’Industrie et des Sciences avait invité les utilisateurs à la prudence.”Il y a beaucoup de questions auxquelles il faudra répondre sur la qualité, les préférences des consommateurs, la gestion des données et de la vie privée”, a déclaré Ed Husic à la télévision nationale ABC, insistant sur la nécessité d'”être très prudent” face au chatbot chinois.”Les Chinois sont très doués pour développer des produits qui fonctionnent très bien” et le marché chinois “est habitué à leur approche des données et de la vie privée”, avait-il développé. Mais, “dès que vous exportez vos produits vers des marchés où les consommateurs ont des attentes différentes en matière de protection de la vie privée et de gestion des données, la question qui se pose est de savoir si ces produits seront adoptés de la même manière”.”Il s’agit d’une mesure prise par le gouvernement sur les conseils des agences de sécurité. Il ne s’agit absolument pas d’une mesure symbolique”, a commenté Andrew Charlton, émissaire du gouvernement chargé de la cybersécurité.”Nous ne voulons pas exposer les systèmes gouvernementaux à ces applications”, a-t-il poursuivi, interrogé par la chaîne ABC. Les informations téléchargées “pourraient ne pas rester privées” et des applications telles que DeepSeek “pourraient vous exposer à des logiciels malveillants”.Pour la chercheuse en cybersécurité Dana Mckay, DeepSeek présente un véritable risque car “toutes les entreprises chinoises doivent stocker leurs données en Chine. Et toutes ces données sont susceptibles de faire l’objet d’une inspection par le gouvernement chinois”, explique à l’AFP l’experte de l’Institut royal de technologie de Melbourne (sud-est).En 2018, l’Australie avait exclu de son réseau 5G le géant chinois des télécommunications Huawei, pour des raisons de sécurité nationale. Cette interdiction avait déclenché la colère de Pékin qui a longtemps été engagé dans une guerre commerciale avec l’Australie.Sur recommandation des services de renseignement australiens, TikTok a aussi été interdit sur les appareils gouvernementaux en 2023.

L’Australie interdit DeepSeek sur les appareils gouvernementaux

L’Australie a décidé d’interdire l’utilisation des programmes d’intelligence artificielle de la start-up chinoise DeepSeek sur tous les appareils gouvernementaux, face à un “risque” sécuritaire jugé “inacceptable”, une décision dénoncée par Pékin.”Après une analyse des risques et des menaces, j’ai considéré que l’utilisation des produits, des applications et des services internet de DeepSeek représentait un niveau de risque inacceptable en matière de sécurité pour le gouvernement australien”, a écrit la ministre de l’Intérieur, Stephanie Foster, dans une directive publiée mardi.Les programmes de DeepSeek vont donc être “retirés” mercredi de “tous les équipements fixes et mobiles du gouvernement australien”, a-t-elle ajouté.La Chine a dénoncé cette décision, soulignant qu’elle s’opposait à la “politisation des questions économiques, commerciales et technologiques”.”Le gouvernement chinois (…) n’a jamais exigé et n’exigera jamais des entreprises ou des individus qu’ils collectent ou stockent illégalement des données”, a affirmé le ministère chinois des Affaires étrangères dans un communiqué. L’irruption en janvier du robot conversationnel R1 de la start-up chinoise a stupéfié par sa capacité à égaler ses concurrents américains à un coût bien moindre, selon l’entreprise, ce qui remet en question le modèle économique du secteur de l’IA.- Craintes à travers le monde -DeepSeek a aussi très vite commencé à susciter les inquiétudes des autorités à travers le monde.Avant l’Australie, Taïwan avait déjà annoncé la semaine dernière interdire à ses fonctionnaires et des infrastructures-clés d’utiliser les applications de la start-up chinoise, invoquant des risques pour “la sécurité nationale de l’information”.En Corée du Sud, le régulateur chargé de la protection des données personnelles a annoncé vendredi demander des explications à DeepSeek concernant son traitement des informations fournies par les utilisateurs, suivant l’exemple d’autres pays dont la France et l’Irlande.Les géants technologiques sud-coréens comme Samsung Electronics ou son rival SK hynix sont des fournisseurs majeurs des microprocesseurs avancés utilisés pour les serveurs d’IA.L’autorité italienne de protection des données personnelles a elle lancé jeudi dernier une enquête sur le robot conversationnel de DeepSeek, à qui elle a interdit de traiter les données des utilisateurs italiens. Elle a justifié sa décision par les réponses “totalement insuffisantes” apportées par DeepSeek à ses questions sur l’utilisation des données personnelles. – “Logiciels malveillants” -Dès l’irruption de DeepSeek sur la scène IA, le ministre australien de l’Industrie et des Sciences avait invité les utilisateurs à la prudence.”Il y a beaucoup de questions auxquelles il faudra répondre sur la qualité, les préférences des consommateurs, la gestion des données et de la vie privée”, a déclaré Ed Husic à la télévision nationale ABC, insistant sur la nécessité d'”être très prudent” face au chatbot chinois.”Les Chinois sont très doués pour développer des produits qui fonctionnent très bien” et le marché chinois “est habitué à leur approche des données et de la vie privée”, avait-il développé. Mais, “dès que vous exportez vos produits vers des marchés où les consommateurs ont des attentes différentes en matière de protection de la vie privée et de gestion des données, la question qui se pose est de savoir si ces produits seront adoptés de la même manière”.”Il s’agit d’une mesure prise par le gouvernement sur les conseils des agences de sécurité. Il ne s’agit absolument pas d’une mesure symbolique”, a commenté Andrew Charlton, émissaire du gouvernement chargé de la cybersécurité.”Nous ne voulons pas exposer les systèmes gouvernementaux à ces applications”, a-t-il poursuivi, interrogé par la chaîne ABC. Les informations téléchargées “pourraient ne pas rester privées” et des applications telles que DeepSeek “pourraient vous exposer à des logiciels malveillants”.Pour la chercheuse en cybersécurité Dana Mckay, DeepSeek présente un véritable risque car “toutes les entreprises chinoises doivent stocker leurs données en Chine. Et toutes ces données sont susceptibles de faire l’objet d’une inspection par le gouvernement chinois”, explique à l’AFP l’experte de l’Institut royal de technologie de Melbourne (sud-est).En 2018, l’Australie avait exclu de son réseau 5G le géant chinois des télécommunications Huawei, pour des raisons de sécurité nationale. Cette interdiction avait déclenché la colère de Pékin qui a longtemps été engagé dans une guerre commerciale avec l’Australie.Sur recommandation des services de renseignement australiens, TikTok a aussi été interdit sur les appareils gouvernementaux en 2023.

Le nom du successeur de l’Aga Khan, décédé à Lisbonne, prochainement dévoilé

Le nom du successeur de l’Aga Khan IV, imam des ismaéliens nizârites, une branche de l’islam chiite, et philanthrope à la fortune colossale, sera annoncé prochainement à Lisbonne, où il est mort mardi à 88 ans, et où auront lieu ses funérailles.Dans le centre de Lisbonne, le drapeau vert barré d’une bande rouge des ismaéliens était en berne mercredi matin au-dessus du palais Mendonça, vaste hôtel particulier que l’Aga Khan avait rénové pour en faire le siège mondial de sa communauté il y a dix ans.Seul devant l’entrée, Muzaffar Akdodov, 50 ans, un réfugié du Tadjikistan au Portugal depuis 3 mois, souhaitait lui rendre un dernier hommage. “Je suis triste car c’était notre chef spirituel”, a-t-il témoigné auprès de l’AFP, emmitouflé dans une doudoune bleu marine.Le décès de l’Aga Khan, “49e Imam héréditaire des musulmans chiites ismaéliens et descendant direct du prophète Mahomet”, a été annoncé par sa fondation, le Réseau Aga Khan de développement (AKDN), qui a précisé dans un communiqué qu’il était mort “paisiblement” à Lisbonne mardi, “entouré de sa famille”.Le nom de son successeur sera annoncé “dans les prochains jours” dans la capitale portugaise, où l’Aga Khan avait établi son siège mondial en 2015, une fois que sa famille et les dirigeants de la communauté ismaélienne s’y seront rassemblés pour la lecture de son testament, a précisé mercredi l’imamat ismaélien.- Immense fortune -Avant sa mort, l’Aga Khan avait désigné son successeur dans ses dernières volontés, selon la pratique chiite du “nass” (transfert de l’imamat d’un imam à l’autre par le biais d’une désignation explicite, de la même façon que le prophète Mahomet a été désigné par Dieu, selon la tradition).L’annonce du nom de ce successeur aura lieu avant les funérailles, lesquelles se dérouleront “dès que possible” à Lisbonne, selon les ismaéliens nizârites.Né le 13 décembre 1936 à Genève, Karim Al-Hussaini avait été intronisé en 1957 49e imam des ismaéliens nizârites, le deuxième groupe musulman chiite le plus important numériquement avec entre 12 et 15 millions de membres répartis à travers le monde, notamment en Asie centrale et du Sud, en Afrique et au Moyen-Orient.A moins de 21 ans, il succédait ainsi à son grand-père Mahomed Shah. Son père, Ali, s’était vu écarter de la succession après son mariage tumultueux avec l’actrice américaine Rita Hayworth.Le prince Karim s’était donné pour mission de développer l’œuvre déjà considérable de son grand-père qui créa hôpitaux, logements, ou coopératives bancaires dans les pays en développement.L’héritier avait investi une vaste partie de l’immense fortune familiale, dont le montant n’est pas connu, dans les pays les plus démunis, alliant philanthropie et sens des affaires, grâce notamment à la création de l’AKDN, une gigantesque fondation qui revendique 96.000 employés dans le monde.Depuis 1984, ce réseau comprend une branche dédiée au développement économique, le Fonds Aga Khan pour le développement économique (AKFED), qui génère des recettes annuelles de 4,5 milliards de dollars.- “Symbole de paix” -Milliardaire possédant yachts et jets, familier des champs de course, il a aussi perpétué la tradition familiale d’élevage de pur-sangs en France et en Irlande et a contribué à la vaste rénovation du domaine de Chantilly, au nord de Paris.Le monarque britannique Charles III, cité par l’agence PA, s’est dit “profondément attristé”, évoquant “un ami personnel depuis de nombreuses années”.”Il était un symbole de paix, de tolérance et de compassion dans notre monde troublé”, a réagi sur X le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, la Nobel de la paix pakistanaise Malala Yousafzai évoquant de son côté “son héritage (qui) se perpétuera à travers l’incroyable travail qu’il a mené en faveur de l’éducation, de la santé et du développement dans le monde”.”Sur tous les continents et auprès de toutes les cultures, il s’est employé à relever les plus grands défis humanitaires au monde: la pauvreté, l’éducation, les inégalités entre les sexes”, a aussi réagi sur X le Premier ministre canadien démissionnaire Justin Trudeau.L’Aga Khan a eu quatre enfants : Zahra, Rahim et Hussain, nés de son premier mariage avec le mannequin britannique Sally Crocker-Poole, puis Aly, né en 2000 d’une seconde union avec la juriste allemande Gabriele zu Leiningen, dont il a divorcé en 2004.

Le nom du successeur de l’Aga Khan, décédé à Lisbonne, prochainement dévoilé

Le nom du successeur de l’Aga Khan IV, imam des ismaéliens nizârites, une branche de l’islam chiite, et philanthrope à la fortune colossale, sera annoncé prochainement à Lisbonne, où il est mort mardi à 88 ans, et où auront lieu ses funérailles.Dans le centre de Lisbonne, le drapeau vert barré d’une bande rouge des ismaéliens était en berne mercredi matin au-dessus du palais Mendonça, vaste hôtel particulier que l’Aga Khan avait rénové pour en faire le siège mondial de sa communauté il y a dix ans.Seul devant l’entrée, Muzaffar Akdodov, 50 ans, un réfugié du Tadjikistan au Portugal depuis 3 mois, souhaitait lui rendre un dernier hommage. “Je suis triste car c’était notre chef spirituel”, a-t-il témoigné auprès de l’AFP, emmitouflé dans une doudoune bleu marine.Le décès de l’Aga Khan, “49e Imam héréditaire des musulmans chiites ismaéliens et descendant direct du prophète Mahomet”, a été annoncé par sa fondation, le Réseau Aga Khan de développement (AKDN), qui a précisé dans un communiqué qu’il était mort “paisiblement” à Lisbonne mardi, “entouré de sa famille”.Le nom de son successeur sera annoncé “dans les prochains jours” dans la capitale portugaise, où l’Aga Khan avait établi son siège mondial en 2015, une fois que sa famille et les dirigeants de la communauté ismaélienne s’y seront rassemblés pour la lecture de son testament, a précisé mercredi l’imamat ismaélien.- Immense fortune -Avant sa mort, l’Aga Khan avait désigné son successeur dans ses dernières volontés, selon la pratique chiite du “nass” (transfert de l’imamat d’un imam à l’autre par le biais d’une désignation explicite, de la même façon que le prophète Mahomet a été désigné par Dieu, selon la tradition).L’annonce du nom de ce successeur aura lieu avant les funérailles, lesquelles se dérouleront “dès que possible” à Lisbonne, selon les ismaéliens nizârites.Né le 13 décembre 1936 à Genève, Karim Al-Hussaini avait été intronisé en 1957 49e imam des ismaéliens nizârites, le deuxième groupe musulman chiite le plus important numériquement avec entre 12 et 15 millions de membres répartis à travers le monde, notamment en Asie centrale et du Sud, en Afrique et au Moyen-Orient.A moins de 21 ans, il succédait ainsi à son grand-père Mahomed Shah. Son père, Ali, s’était vu écarter de la succession après son mariage tumultueux avec l’actrice américaine Rita Hayworth.Le prince Karim s’était donné pour mission de développer l’œuvre déjà considérable de son grand-père qui créa hôpitaux, logements, ou coopératives bancaires dans les pays en développement.L’héritier avait investi une vaste partie de l’immense fortune familiale, dont le montant n’est pas connu, dans les pays les plus démunis, alliant philanthropie et sens des affaires, grâce notamment à la création de l’AKDN, une gigantesque fondation qui revendique 96.000 employés dans le monde.Depuis 1984, ce réseau comprend une branche dédiée au développement économique, le Fonds Aga Khan pour le développement économique (AKFED), qui génère des recettes annuelles de 4,5 milliards de dollars.- “Symbole de paix” -Milliardaire possédant yachts et jets, familier des champs de course, il a aussi perpétué la tradition familiale d’élevage de pur-sangs en France et en Irlande et a contribué à la vaste rénovation du domaine de Chantilly, au nord de Paris.Le monarque britannique Charles III, cité par l’agence PA, s’est dit “profondément attristé”, évoquant “un ami personnel depuis de nombreuses années”.”Il était un symbole de paix, de tolérance et de compassion dans notre monde troublé”, a réagi sur X le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, la Nobel de la paix pakistanaise Malala Yousafzai évoquant de son côté “son héritage (qui) se perpétuera à travers l’incroyable travail qu’il a mené en faveur de l’éducation, de la santé et du développement dans le monde”.”Sur tous les continents et auprès de toutes les cultures, il s’est employé à relever les plus grands défis humanitaires au monde: la pauvreté, l’éducation, les inégalités entre les sexes”, a aussi réagi sur X le Premier ministre canadien démissionnaire Justin Trudeau.L’Aga Khan a eu quatre enfants : Zahra, Rahim et Hussain, nés de son premier mariage avec le mannequin britannique Sally Crocker-Poole, puis Aly, né en 2000 d’une seconde union avec la juriste allemande Gabriele zu Leiningen, dont il a divorcé en 2004.

Le nom du successeur de l’Aga Khan, décédé à Lisbonne, prochainement dévoilé

Le nom du successeur de l’Aga Khan IV, imam des ismaéliens nizârites, une branche de l’islam chiite, et philanthrope à la fortune colossale, sera annoncé prochainement à Lisbonne, où il est mort mardi à 88 ans, et où auront lieu ses funérailles.Dans le centre de Lisbonne, le drapeau vert barré d’une bande rouge des ismaéliens …

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