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Présidentielle au Cameroun: à Douala, des familles endeuillées par les violences post-électorales

Sous un ciel gris, la cour d’une maison familiale du 3ème arrondissement de Douala s’est mué en lieu de recueillement: Achille Simo, 45 ans et père de cinq enfants, a été tué mercredi par balles en marge des violences qui secouent le Cameroun depuis la réélection contestée de Paul Biya.Des proches de la famille sont …

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Casse du musée du Louvre: des suspects interpellés mercredi en cours de défèrement

Des défèrements de suspects ayant été interpellés mercredi dans le cadre de l’enquête sur le casse du Louvre, dont le butin a été estimé à 88 millions d’euros, étaient en cours samedi devant des magistrats du tribunal judiciaire de Paris.”Il y a des défèrements sur commission rogatoire”, a indiqué le parquet de Paris sollicité par l’AFP, sans préciser le nombre de suspects déférés.Un des cinq suspects a en revanche été remis en liberté vendredi à l’issue de sa garde à vue, sans poursuites à son encontre, ont indiqué à l’AFP ses avocates, Mes Sofia Bougrine et Noémie Gorin.”Dans ces affaires de grande criminalité, nous constatons que les vagues d’interpellation ressemblent davantage à des filets dérivants”, ont-elles déploré.Ces cinq nouvelles interpellations liées à ce cambriolage spectaculaire avaient été annoncées jeudi matin par la procureure de Paris Laure Beccuau qui avait précisé que les bijoux volés restaient introuvables.Elles se sont ajoutées à celles de deux trentenaires arrêtés il y a une semaine et qui sont soupçonnés d’avoir fait partie du commando de quatre hommes sur place.Ces deux habitants d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), âgés de 34 et 39 ans, ont été mis en examen et placés en détention provisoire mercredi soir.En garde à vue, ces deux hommes – un arrêté à l’aéroport de Roissy alors qu’il tentait de rejoindre l’Algérie, l’autre à Aubervilliers – “se sont livrés à des déclarations (…) minimalistes par rapport à ce qui nous paraît être démontré par le dossier”, avait indiqué Laure Beccuau.Parmi les nouveaux interpellés se trouve un autre membre présumé du commando ayant commis le 19 octobre en moins de huit minutes ce casse qui a fait le tour de la planète, avait précisé la procureure. “Des traces ADN” le lient au vol, avait-elle noté.Les autres personnes interpellées “peuvent éventuellement nous renseigner sur le déroulement de ces faits”, avait éclairé la procureure, sans vouloir en dire plus sur leur profil.Ces nouvelles interpellations “n’ont pas été du tout liées aux déclarations” des deux mis en examen, mais “à d’autres éléments dont nous disposons au dossier”, les traces ADN, la vidéosurveillance ou encore l’examen de la téléphonie, avait-elle ajouté.Les nouvelles interpellations ont eu lieu à Paris et dans son agglomération, notamment en Seine-Saint-Denis, avait-elle indiqué.- “Faille sécuritaire majeure” -Mme Beccuau avait souligné sa “détermination”, comme celle de la centaine d’enquêteurs mobilisés, à retrouver le butin et l’ensemble des malfaiteurs impliqués.Concernant les bijoux, la procureure avait expliqué que l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC) explorait “un certain nombre de marchés parallèles” car ce n’est vraisemblablement pas sur le marché légal des œuvres d’art qu’ils surgiront.Parmi les hypothèses des enquêteurs: celle que ces joyaux puissent “être une marchandise de blanchiment, voire de négociation dans le milieu”, a-t-elle pointé.L’affaire a provoqué des débats-fleuves sur la sécurité du Louvre, musée d’art le plus visité du monde.La ministre de la Culture Rachida Dati a dévoilé vendredi les premières conclusions de l’enquête de l’Inspection générale des affaires culturelles, avec un bilan très critique: “une sous-estimation chronique, structurelle, du risque intrusion et vol” par le Louvre, “un sous-équipement des dispositifs de sécurité”, une gouvernance “pas adaptée” et des protocoles de réaction aux vols et intrusions “totalement obsolètes”.”On ne peut pas continuer comme ça”, a martelé Rachida Dati.Le jour du casse, les quatre malfaiteurs avaient pu garer un camion-élévateur au pied du musée, permettant à deux d’entre eux de se hisser avec une nacelle jusqu’à la galerie d’Apollon où sont conservés les joyaux de la Couronne.Tout en réaffirmant que les dispositifs de sécurité à l’intérieur du Louvre avaient fonctionné, Mme Dati a annoncé des mesures pour répondre à une “faille sécuritaire majeure” à l’extérieur du musée.”Nous allons mettre des dispositifs anti-voiture-béliers, anti-intrusion”, a-t-elle annoncé, assurant que ces nouvelles installations seraient en place “avant la fin de l’année”.

Présidentielle au Cameroun: à Douala, des familles endeuillées par les violences post-électorales

Sous un ciel gris, la cour d’une maison familiale du 3ème arrondissement de Douala s’est mué en lieu de recueillement: Achille Simo, 45 ans et père de cinq enfants, a été tué mercredi par balles en marge des violences qui secouent le Cameroun depuis la réélection contestée de Paul Biya.Des proches de la famille sont venus apporter leur soutien à Elodie Fougué, désormais veuve de 39 ans, qui reçoit les condoléances en silence. Depuis lundi et la réélection pour un huitième mandat de Paul Biya, 92 ans et au pouvoir depuis 1982 au Cameroun, les grandes villes du pays ont été secouées par des manifestations à l’appel du candidat autoproclamé victorieux Issa Tchiroma, mais réprimées dans le sang par le régime.  Achille Simo a été tué par balles mercredi alors qu’il se rendait dans une échoppe du quartier, selon des témoins.”Le militaire lui a demandé de dégager de la route. Achille a répondu : +Faites votre travail, nous ne vous dérangeons pas+. Le capitaine a tiré à bout portant alors qu’il avait le dos tourné”, raconte Basile Njeumeni Nana, son voisin de 40 ans. “Comment peut-on abattre un civil qui ne représentait aucun danger ? Son seul tort a été de sortir pour chercher à manger pour sa famille”, interroge le frère cadet de la victime, Christian Fokam. “Il ne manifestait même pas”. Non loin de l’endroit du tir, des habitants montrent des taches de sang encore visibles sur la chaussée malgré les récentes pluies. “Depuis, le quartier vit dans la peur”, raconte un voisin. Des militaires en patrouille passent sans un mot.Le gouverneur de la région du Littoral a déploré quatre morts dimanche à Douala en marge d’une manifestation organisée la veille de la proclamation des résultats. Le gouvernement camerounais a admis mardi “des morts” dans les troubles post-électoraux sans toutefois préciser le nombre, lieu ou dates des décès.Il y a “des centaines de morts et de blessés” selon un décompte du candidat Issa Tchiroma Bakary vendredi. Cet ancien ministre passé à l’opposition a crée un engouement inattendu chez les jeunes avides de changement. Il revendique la victoire à l’élection et a appelé à plusieurs reprises les Camerounais à sortir pour défendre sa victoire. – “Opération ville morte”À quelques rues de là, dans le quartier Newbell du 2ème arrondissement de Douala, une autre maison porte le deuil. Les portes sont closes : la famille est partie enterrer Mohamed Pouamou, un chauffeur de 22 ans, victime collatérale d’une manifestation dimanche, selon ses proches. Devant le portail, un groupe de jeunes discute à voix basse. “Il était assis, regardait un match dans une salle de projection. Une balle venue de nulle part l’a touché en pleine tête”, affirme Idriss Fifen, mécanicien de 29 ans, qui dit avoir vu la scène. Plusieurs villes ont été secouées par des manifestations sporadiques et limitées – quelques centaines de jeunes au maximum depuis l’annonce des résulats de l’élection. À Douala ou encore à Garoua, fief de Tchiroma dans le nord du Cameroun, des affrontements ont opposé manifestants et forces de sécurité. Des témoins affirment que des tirs ont été effectués à balles réelles dans certains quartiers.Paul Atanga Nji, ministre de l’Administration territoriale, a reconnu “des pertes en vie humaine” dans les affrontements et déploré “plusieurs édifices publics, commerces et bien privés”, “incendiés, saccagés et pillés”, à travers le pays. “Des scènes de pillages et de vandalisme”, ont notamment eu lieu à Douala, la capitale économique, a assuré le ministre.Depuis ces incidents, la ville tente de retrouver un semblant de normalité. Certaines boutiques ont rouvert, mais la tension et la peur restent perceptibles. Issa Tchiroma Bakary, qui était reclus à son domicile de Garoua depuis la proclamation des résultat, a assuré vendredi être sous la “protection” d’une partie de l’armée et a appelé à le soutenir via des “opérations ville morte” de lundi à mercredi.  “Gardons nos commerces fermés, suspendons nos activités, restons chez nous, en silence, pour montrer notre solidarité et rappeler à ce régime que la force d’une économie, c’est son peuple — et ce peuple ne le reconnaît plus comme son leader”, a-t-il détaillé. Dans plusieurs quartiers de Douala, des habitants disent faire des provisions en prévision de ces journées. L’Union européenne et l’Union Africaine ont déploré la violence de la répression du régime. Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme a appelé à l’ouverture d’une enquête. 

Tanzanie: la présidente proclamée gagnante après trois jours de violences

En Tanzanie, la cheffe de l’Etat sortante Samia Suluhu Hassan a été proclamée samedi vainqueur de la présidentielle avec près de 98% des voix, après trois jours de violences électorales dans lesquelles des centaines de personnes ont été tuées selon l’opposition. Le pays d’Afrique de l’Est a sombré dans la violence mercredi, jour d’élections présidentielle et législatives qui se sont déroulées sans opposition, les deux principaux adversaires de la cheffe de l’État ayant été soit emprisonné, soit disqualifié.Mme Hassan a remporté plus de 97,66% des voix, soit 31,9 millions de voix sur 32,7 millions recensées, selon la commission électorale, avec un taux de participation estimé à près de 87%, contrastant avec la faible affluence aux bureaux de vote constatée par l’AFP et d’autres observateurs. “C’est impossible”, a estimé auprès de l’AFP un porte-parole du principal parti d’opposition, Chadema, John  Kitoka. “Personne ne s’est rendu aux urnes pour voter, c’est tout simplement ridicule.”Chadema a été exclu des élections et avait appelé au boycott du scrutin. Son chef Tundu Lissu, arrêté en avril, est jugé pour trahison, une accusation passible de la peine capitale. Qualifiant la victoire écrasante de Mme Hassan de “parodie de démocratie”, M. Kitoka a indiqué que les observateurs du parti ont signalé qu'”au moins 800 personnes” avaient été tuées par les forces de l’ordre lors des manifestations contre le pouvoir cette semaine.Le jour du scrutin, l’AFP a entendu des tirs nourris alors que des centaines de personnes protestaient, incendiant notamment un commissariat. La contestation s’est étendue dans le pays et s’est poursuivie jusqu’à vendredi.Une cérémonie d’investiture va suivre dès samedi, a précisé la télévision d’Etat, selon des informations transmises par un journaliste de l’AFP par téléphone en raison de la coupure d’internet en vigueur dans le pays de 68 millions d’habitants. Samia Suluhu Hassan a été promue à la tête de la Tanzanie à la mort de son prédécesseur John Magufuli en 2021. Saluée dans un premier temps pour avoir assoupli les restrictions instaurées par son prédécesseur, elle a été accusée ensuite de mener une répression sévère contre ses détracteurs, notamment en amont du scrutin.Alors qu’elle ne s’était jusqu’ici pas encore exprimée sur les violences, la présidente sortante a déclaré samedi que son gouvernement “condamne fermement” les manifestations. “Nous remercions les forces de sécurité d’avoir veillé à ce que les violences n’empêchent pas le vote (…) Ces actes n’ont rien de patriotique”, a-t-elle ajouté lors d’une cérémonie retransmise à la télévision d’Etat. – “Centaines de morts” -Vendredi M. Kitoka avait estimé auprès de l’AFP que les violences électorales ont fait “environ 700 morts”, à partir d’informations récoltées par des membres qui font le tour des hôpitaux du pays. Un bilan qualifié de “plutôt crédible” par une source diplomatique, qui a fait état de “centaines de morts”. Une source sécuritaire interrogée par l’AFP a reçu des informations similaires. Mais ces bilans ont été démentis par les autorités.”Il n’y a eu aucun usage excessif de la force”, a réagi vendredi le ministre tanzanien des Affaires étrangères Mahmoud Thabit Kombo sur la chaîne Al-Jazeera, faisant état de “poches de violence” dans le pays. “Je n’ai pas vu ces 700 morts”.Plusieurs hôpitaux et centres de santé ont refusé de répondre aux questions de l’AFP. Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a réclamé vendredi dans un communiqué une “enquête minutieuse et impartiale sur les accusations d’utilisation excessive de la force”.- Perturbations -Les violences suscitent d’importantes perturbations. Le port de Dar es Salaam, l’un des plus importants du continent, était fermé vendredi, selon des informations du site de suivi Vessel Finder et de la société néerlandaise de transport maritime Steinweg. Des magasins manquent de nourriture, les stations-service ont cessé de fonctionner. Un résident a indiqué que les prix de la viande et du poisson ont doublé, voire triplé, et les transports publics sont à l’arrêt.”Je dors à la mosquée depuis mercredi, quand les violences ont éclaté”, raconte à l’AFP Mohamed Rajab, 52 ans, habitant de Dar es Salaam. “Il n’y a pas de transports. Je ne sais pas quand je rentrerai chez moi.” 

Gaza: nouveau déboire sur les dépouilles d’otages, frappes israéliennes

Le processus de restitution des dépouilles d’otages enlevés en Israël le 7 octobre 2023 a connu un nouveau déboire samedi avec la remise de trois corps par le Hamas qui ne sont pas ceux d’otages.Selon une source sécuritaire à Gaza, des tirs de l’armée israélienne et des frappes aériennes ont été entendus samedi autour de Khan Younès (sud).Au moment de la remise vendredi soir de trois corps non identifiés en provenance de Gaza via la Croix-Rouge, une source militaire israélienne avait indiqué qu’elle ne pensait pas qu’il s’agissait de ceux d’otages.Un laboratoire de recherche médico-légale a confirmé que les dépouilles n’étaient pas celles d’otages, a indiqué samedi à l’AFP un porte-parole de l’armée israélienne.Samedi, les Brigades Ezzedine al-Qassam, branche armée du Hamas, ont expliqué dans un communiqué avoir “proposé de remettre (à Israël) trois échantillons provenant d’un certain nombre de restes non identifiés. Cependant, l’ennemi a refusé d’accepter les échantillons et a exigé les corps pour examen. Nous les avons remis afin de prévenir toute revendication de l’ennemi”.-Enième péripétie-Cette énième péripétie depuis le cessez-le-feu en vigueur depuis le 10 octobre entre le Hamas et Israël, accompagnée de frappes israéliennes, intervient alors que les Israéliens ont déjà exprimé leur colère face aux retards successifs dans la remise des corps des otages.Aucune réaction politique israélienne n’a été publiée samedi, en plein shabbat, le repos hebdomadaire juif.A plusieurs reprises ces derniers jours, le gouvernement israélien a accusé le Hamas de violer l’accord de trêve. Et les familles des otages ont exigé des mesures plus sévères pour contraindre le groupe palestinien à se conformer à l’accord.Deux fois depuis le 10 octobre, Israël a mené des bombardements massifs sur Gaza en représailles à des tirs qui ont tué trois de ses soldats. Le 19 octobre, les bombardements israéliens avaient fait au moins 45 morts et mardi 104, selon des sources palestiniennes.Le mouvement islamiste palestinien a jusqu’à présent restitué les dépouilles de 17 des 28 otages décédés qu’il a accepté de remettre dans le cadre d’un accord de trêve négocié par les Etats-Unis avec Israël.Parmi les 17 dépouilles rendues figurent celles de 15 Israéliens, d’un Thaïlandais et d’un Népalais. Conformément aux termes de l’accord de cessez-le-feu négociés sous la houlette des Etats-Unis, pour chaque Israélien rendu, Israël a remis 15 corps de Palestiniens décédés pendant la guerre, soit un total de 225.-Situation critique-A Gaza, toujours régulièrement touchée par des frappes israéliennes, la situation humanitaire et sécuritaire reste alarmante.”La nuit dernière, j’ai entendu plusieurs fois des coups de feu provenant des forces d’occupation. Nous n’avons ni nourriture ni eau pour boire ou nous laver. La situation est critique. La trêve a commencé, mais la guerre n’est pas terminée”, a raconté à l’AFP Hisham al-Bardai, un père de famille de 37 ans.Pour Sumaya Daloul, 27 ans, qui vit avec ses parents, “la mort est préférable à la vie. “Nous n’avons ni argent, ni travail, ni nourriture, ni eau, ni électricité, ni internet”, raconte-t-elle.La Jordanie et l’Allemagne ont jugé samedi qu’une force internationale censée soutenir une future police palestinienne à Gaza dans le cadre du plan du président américain Donald Trump devrait bénéficier d’un mandat de l’ONU.La force dite “de stabilisation internationale” (ISF) doit former et soutenir les policiers palestiniens sélectionnés dans la bande de Gaza, avec le soutien de l’Égypte et de la Jordanie. Elle doit aussi sécuriser les zones frontalières et empêcher la contrebande d’armes vers le Hamas.La Turquie accueillera lundi à Istanbul une réunion des ministres des Affaires étrangères de pays musulmans en soutien au plan de paix.L’attaque du 7-Octobre a entraîné côté israélien la mort de 1.221 personnes, en majorité des civils, selon un bilan établi par l’AFP à partir de chiffres officiels.L’offensive israélienne menée en représailles a fait 68.531 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les chiffres du ministère de la Santé du Hamas.

Xi Jinping occupe le devant de la scène à l’Apec en l’absence de Trump

Le président chinois a resserré les liens avec ses partenaires et occupé le devant de la scène au sommet de l’Apec qui s’est clôturé samedi en Corée du Sud, la Chine s’imposant comme la principale puissance en l’absence de Donald Trump.Xi Jinping s’est entretenu jeudi avec le président américain – leur premier face à face …

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Aux Etats-Unis, la paralysie budgétaire met le parc de Yosemite “à rude épreuve”

Temple mondialement connu de l’escalade, le parc naturel de Yosemite traverse une de ses plus grandes épreuves à cause de la paralysie budgétaire qui règne aux Etats-Unis. Privé de ressources, il continue pourtant d’être fréquenté par des milliers d’accros à l’adrénaline.Depuis le 1er octobre, le personnel a été grandement réduit, la faute au tarissement des …

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