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Pourparlers sur l’Ukraine: pour le chef de l’Otan, Poutine a fait une “énorme erreur”

Le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte, a estimé vendredi que le président russe Vladimir Poutine avait fait une “énorme erreur” en envoyant une équipe de “second rang” pour les pourparlers avec l’Ukraine à Istanbul, en Turquie.”Je pense que Poutine a fait une énorme erreur”, a déclaré M. Rutte depuis Tirana, quelques heures avant le début des premières négociations directes entre Moscou et Kiev depuis les premières semaines de la guerre, déclenchée par l’invasion russe en février 2022.”Il sait très bien que la balle est dans son camp, qu’il est en difficulté et qu’il a fait une énorme erreur”, a poursuivi M. Rutte, à son arrivée au sommet de la Communauté politique européenne (CPE) dans la capitale albanaise. “Je pense que toute la pression est désormais sur Poutine”, a-t-il encore dit.Vladimir Poutine avait proposé des négociations directes entre les deux pays. Mais, mis au défi par le président ukrainien Volodymyr Zelensky de se rendre “en personne” à Istanbul pour négocier avec lui, le président russe n’a pas fait le déplacement.La délégation russe est emmenée par un conseiller de second plan de Vladimir Poutine, Vladimir Medinski, ex-ministre de la Culture.Pour le secrétaire général de l’Otan, Kiev a, à l’inverse de Moscou, adopté une attitude constructive.”Je pense que c’est une très bonne chose que les Ukrainiens soient à la table des négociations”, a souligné M. Rutte. “Ils ont envoyé une délégation qui est vraiment prête à négocier un cessez-le-feu”.Arrivé jeudi soir à Tirana, Volodymyr Zelensky doit lui aussi participer au sommet de la CPE, qui rassemble les dirigeants des 27 pays membres de l’UE et d’une vingtaine d’autres pays européens.Derrière cet acronyme, on trouve des pays aux trajectoires radicalement différentes vis-à-vis de l’UE : des candidats déclarés (et impatients) à l’adhésion, des pays qui savent que la porte leur est fermée pour longtemps, ou encore le Royaume-Uni, qui a choisi il y a neuf ans ans de quitter l’UE avec fracas.

Le président Trump s’émeut de la faim à Gaza, où Israël poursuit ses frappes meurtrières

Le président américain Donald Trump s’est engagé vendredi à “régler” la situation dans la bande de Gaza “affamée”, la Défense civile recensant pour sa part plus de 70 personnes tuées dans un intense pilonnage israélien du territoire dévasté par 19 mois de guerre.”Nous nous intéressons à Gaza. Et nous allons faire en sorte que cela soit réglé. Beaucoup de gens sont affamés”, a déclaré M. Trump, dans un contexte de pressions internationales pour qu’Israël cesse de bloquer l’entrée de l’aide humanitaire dans le territoire exsangue. La principale association israélienne de familles d’otages a elle appelé vendredi le Premier ministre israélien à ne pas manquer une “occasion historique” pour la libération de leurs proches, détenus à Gaza depuis l’attaque sans précédent du mouvement islamiste Hamas en Israël le 7 octobre 2023. Elle a exhorté Benjamin Netanyahu “à unir ses efforts à ceux du président Trump”, qui conclut à Abou Dhabi une tournée dans le Golfe. Après un bilan de plus de 100 morts jeudi, la Défense civile de Gaza a fait état d’au moins 74  personnes tuées “à la suite des bombardements israéliens continus” depuis minuit, “dont 67 dans le nord”. “,”Des dizaines d’autres restent piégées sous les décombres” et les frappes “se poursuivent”, a déclaré à l’AFP en début d’après-midi Mahmoud Bassal, porte-parole de cette organisation de premiers secours.L’armée israélienne a affirmé poursuivre ses opérations, sans plus de détails, indiquant avoir frappé ces derniers jours “plus de 150 cibles terroristes”, dont des postes de tirs de missiles. – “Comme la fin du monde” -A l’hôpital indonésien de Beit Lahia (nord), des images de l’AFP montrent des habitants, dont des enfants ayant perdu leur mère, se lamenter sur le corps de leurs proches, et des blessés soignés à même le sol au milieu des cris et pleurs. “Nous dormions quand soudain tout a explosé autour de nous (…) Il y avait du sang partout. Nous ne savions pas qui était mort et qui était encore en vie”, relate Oum Mohamed al-Tatari, 57 ans du secteur de Tel al-Zaatar. A Beit Lahia, Said Hamouda, 41 ans, témoigne d’une “scène indescriptible, comme si c’était la fin du monde”. “Ils ont ciblé des habitations pleines de civils alors qu’ils dormaient”. A pied, entassés avec quelques biens dans des camionnettes ou sur des charettes, de nombreux habitants fuient la ville de Gaza, principale localité du nord, ont constaté vendredi des photographes de l’AFP. En dépit de son isolement croissant pour sa conduite de la guerre, déclenchée par l’attaque du 7-Octobre, M. Netanyahu a averti lundi d’une prochaine entrée “en force” de l’armée à Gaza pour “achever l’opération et vaincre le Hamas”. Rompant une trêve de deux mois, le pays a repris son offensive le 18 mars avec l’objectif déclaré d’obtenir la libération de tous les otages encore retenus à Gaza. Il s’est emparé de larges pans du territoire et annoncé un plan pour sa “conquête”. Depuis le 2 mars, les forces israéliennes bloquent aussi toute entrée d’aide humanitaire dans Gaza, vitale pour les 2,4 millions d’habitants. – Le blocus comme “outil d’extermination” -L’ONG Human Rights Watch a accusé Israël de faire de son blocus “un outil d’extermination”.Après une relance des efforts de médiation en amont de la tournée de Donald Trump, le Hamas a de son côté posé comme “exigence minimale pour instaurer un environnement propice et constructif aux négociations” la reprise de l’aide humanitaire. Le mouvement islamiste a aussi rétorqué que Gaza n’était “pas à vendre” au président américain, après qu’il a affirmé vouloir que les Etats-Unis “prennent” la bande de Gaza pour “en faire une zone de liberté”. L’ONU a pour sa part indiqué qu’elle ne participerait pas à des distributions d’aide par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une ONG créée de toutes pièces et soutenue par Washington, qui a annoncé se préparer à livrer des repas à Gaza d’ici fin mai. L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles.Sur les 251 personnes alors enlevées, 57 restent retenues à Gaza, dont 34 déclarées mortes par l’armée israélienne. Les représailles israéliennes ont fait au moins 53.010 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les dernières données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Le président Trump s’émeut de la faim à Gaza, où Israël poursuit ses frappes meurtrières

Le président américain Donald Trump s’est engagé vendredi à “régler” la situation dans la bande de Gaza “affamée”, la Défense civile recensant pour sa part plus de 70 personnes tuées dans un intense pilonnage israélien du territoire dévasté par 19 mois de guerre.”Nous nous intéressons à Gaza. Et nous allons faire en sorte que cela soit réglé. Beaucoup de gens sont affamés”, a déclaré M. Trump, dans un contexte de pressions internationales pour qu’Israël cesse de bloquer l’entrée de l’aide humanitaire dans le territoire exsangue. La principale association israélienne de familles d’otages a elle appelé vendredi le Premier ministre israélien à ne pas manquer une “occasion historique” pour la libération de leurs proches, détenus à Gaza depuis l’attaque sans précédent du mouvement islamiste Hamas en Israël le 7 octobre 2023. Elle a exhorté Benjamin Netanyahu “à unir ses efforts à ceux du président Trump”, qui conclut à Abou Dhabi une tournée dans le Golfe. Après un bilan de plus de 100 morts jeudi, la Défense civile de Gaza a fait état d’au moins 74  personnes tuées “à la suite des bombardements israéliens continus” depuis minuit, “dont 67 dans le nord”. “,”Des dizaines d’autres restent piégées sous les décombres” et les frappes “se poursuivent”, a déclaré à l’AFP en début d’après-midi Mahmoud Bassal, porte-parole de cette organisation de premiers secours.L’armée israélienne a affirmé poursuivre ses opérations, sans plus de détails, indiquant avoir frappé ces derniers jours “plus de 150 cibles terroristes”, dont des postes de tirs de missiles. – “Comme la fin du monde” -A l’hôpital indonésien de Beit Lahia (nord), des images de l’AFP montrent des habitants, dont des enfants ayant perdu leur mère, se lamenter sur le corps de leurs proches, et des blessés soignés à même le sol au milieu des cris et pleurs. “Nous dormions quand soudain tout a explosé autour de nous (…) Il y avait du sang partout. Nous ne savions pas qui était mort et qui était encore en vie”, relate Oum Mohamed al-Tatari, 57 ans du secteur de Tel al-Zaatar. A Beit Lahia, Said Hamouda, 41 ans, témoigne d’une “scène indescriptible, comme si c’était la fin du monde”. “Ils ont ciblé des habitations pleines de civils alors qu’ils dormaient”. A pied, entassés avec quelques biens dans des camionnettes ou sur des charettes, de nombreux habitants fuient la ville de Gaza, principale localité du nord, ont constaté vendredi des photographes de l’AFP. En dépit de son isolement croissant pour sa conduite de la guerre, déclenchée par l’attaque du 7-Octobre, M. Netanyahu a averti lundi d’une prochaine entrée “en force” de l’armée à Gaza pour “achever l’opération et vaincre le Hamas”. Rompant une trêve de deux mois, le pays a repris son offensive le 18 mars avec l’objectif déclaré d’obtenir la libération de tous les otages encore retenus à Gaza. Il s’est emparé de larges pans du territoire et annoncé un plan pour sa “conquête”. Depuis le 2 mars, les forces israéliennes bloquent aussi toute entrée d’aide humanitaire dans Gaza, vitale pour les 2,4 millions d’habitants. – Le blocus comme “outil d’extermination” -L’ONG Human Rights Watch a accusé Israël de faire de son blocus “un outil d’extermination”.Après une relance des efforts de médiation en amont de la tournée de Donald Trump, le Hamas a de son côté posé comme “exigence minimale pour instaurer un environnement propice et constructif aux négociations” la reprise de l’aide humanitaire. Le mouvement islamiste a aussi rétorqué que Gaza n’était “pas à vendre” au président américain, après qu’il a affirmé vouloir que les Etats-Unis “prennent” la bande de Gaza pour “en faire une zone de liberté”. L’ONU a pour sa part indiqué qu’elle ne participerait pas à des distributions d’aide par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une ONG créée de toutes pièces et soutenue par Washington, qui a annoncé se préparer à livrer des repas à Gaza d’ici fin mai. L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles.Sur les 251 personnes alors enlevées, 57 restent retenues à Gaza, dont 34 déclarées mortes par l’armée israélienne. Les représailles israéliennes ont fait au moins 53.010 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les dernières données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Donald Trump conclut une fastueuse tournée du Golfe

Donald Trump a conclu vendredi en quittant les Emirats arabes unis une fastueuse tournée du Golfe, où il a glané de nouvelles promesses d’investissements mirobolantes. Le premier déplacement international majeur du président américain a également été ponctué de déclarations choc sur les crises qui secouent la région.  Donald Trump a affirmé vendredi avoir passé quatre journée “fantastiques” en Arabie saoudite, au Qatar et enfin aux Emirats arabes unis. Dans chaque pays, Air Force One a été escorté par des avions de combat avant d’atterrir. A chaque fois, les monarchies pétrolières et gazières ont déployé leur opulence pour le milliardaire républicain, conquis par le marbre des palais et par la promesse d’investissements faramineux en Amérique.Le président américain, qui applique à la diplomatie ses méthodes d’ancien promoteur immobilier, a assumé sans complexe de “faire de la vente”.Après avoir récolté 600 milliards de dollars en Arabie saoudite et un contrat de 200 milliards de dollars pour Boeing au Qatar, il s’est vu promettre jeudi à Abou Dhabi 1.400 milliards de dollars d’investissements sur dix ans.- Gaza “affamée” -Mais Donald Trump, qui se targue d’être aussi habile pour conclure des “deals” diplomatiques que des contrats économiques, a montré une volonté d’intervenir avec énergie dans les crises de la région.Il a brièvement abordé vendredi la situation dans la bande de Gaza, assiégée et ravagée par 19 mois de guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien. “Nous nous intéressons à Gaza. Et nous allons faire en sorte que cela soit réglé. Beaucoup de gens sont affamés”, a-t-il affirmé.Jeudi au Qatar, il avait dit vouloir le contrôle de ce territoire palestinien et en faire “une zone de liberté”, ce à quoi le Hamas a rétorqué que Gaza n’était “pas à vendre”. Sur le dossier iranien, Donald Trump a quitté Abou Dhabi sur une menace à peine voilée pour Téhéran.”Ils ont une proposition, mais surtout, ils savent qu’ils doivent bouger rapidement ou que quelque chose de mauvais arrivera”, a déclaré le président américain avant son départ.Jeudi, il avait affirmé depuis Doha que Washington et Téhéran se rapprochaient d’un accord, faisant reculer les cours du pétrole. En Arabie saoudite, il avait créé la surprise en annonçant la levée des sanctions américaines visant la Syrie. Il a ensuite rencontré le président syrien Ahmad al-Chareh, ancien jihadiste qui a renversé Bachar al-Assad, et qui a fait forte impression sur lui.Donald Trump l’a trouvé “séduisant” et jugé qu’il fallait donner une “chance de grandeur” à la Syrie – référence à son célèbre slogan “Rendre sa grandeur à l’Amérique”, “Make America Great again”.Le président républicain de 78 ans  a été tout aussi dithyrambique pour les dirigeants rencontrés à Abou Dhabi, à Doha et Ryad. “Vous êtes un pays extraordinaire. Vous êtes un pays riche. Vous pouvez choisir, mais je sais que vous serez toujours à mes côtés”, a-t-il par exemple dit jeudi au président émirati, cheikh Mohamed ben Zayed, en lui promettant: “Et nous allons vous traiter comme vous devez l’être, de façon magnifique”. – Intelligence artificielle -Selon la Maison Blanche, les Emirats et les Etats-Unis ont signé un accord sur l’Intelligence artificielle (IA), un domaine dans lequel le pays du Golfe cherche à s’imposer en s’assurant un accès aux technologies américaines de pointe. Le président américain a qualifié sa tournée dans le Golfe d'”historique” en affirmant qu’elle pourrait “rapporter, au total, 3.500 à 4.000 milliards de dollars”, un chiffre qu’il sera très difficile de vérifier sur le long terme.Il a par ailleurs clairement confirmé la rupture avec la diplomatie de l’ancien président démocrate Joe Biden, faite en partie d’appels au respect des droits humains.Ces notions n’ont pas du tout été mises en avant dans le Golfe par le président républicain.Sous sa houlette, les Etats-Unis se garderont de dire à d’autres pays “comment vivre ou gouverner”, a-t-il promis dans un discours très remarqué à Ryad.

Donald Trump conclut une fastueuse tournée du Golfe

Donald Trump a conclu vendredi en quittant les Emirats arabes unis une fastueuse tournée du Golfe, où il a glané de nouvelles promesses d’investissements mirobolantes. Le premier déplacement international majeur du président américain a également été ponctué de déclarations choc sur les crises qui secouent la région.  Donald Trump a affirmé vendredi avoir passé quatre journée “fantastiques” en Arabie saoudite, au Qatar et enfin aux Emirats arabes unis. Dans chaque pays, Air Force One a été escorté par des avions de combat avant d’atterrir. A chaque fois, les monarchies pétrolières et gazières ont déployé leur opulence pour le milliardaire républicain, conquis par le marbre des palais et par la promesse d’investissements faramineux en Amérique.Le président américain, qui applique à la diplomatie ses méthodes d’ancien promoteur immobilier, a assumé sans complexe de “faire de la vente”.Après avoir récolté 600 milliards de dollars en Arabie saoudite et un contrat de 200 milliards de dollars pour Boeing au Qatar, il s’est vu promettre jeudi à Abou Dhabi 1.400 milliards de dollars d’investissements sur dix ans.- Gaza “affamée” -Mais Donald Trump, qui se targue d’être aussi habile pour conclure des “deals” diplomatiques que des contrats économiques, a montré une volonté d’intervenir avec énergie dans les crises de la région.Il a brièvement abordé vendredi la situation dans la bande de Gaza, assiégée et ravagée par 19 mois de guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien. “Nous nous intéressons à Gaza. Et nous allons faire en sorte que cela soit réglé. Beaucoup de gens sont affamés”, a-t-il affirmé.Jeudi au Qatar, il avait dit vouloir le contrôle de ce territoire palestinien et en faire “une zone de liberté”, ce à quoi le Hamas a rétorqué que Gaza n’était “pas à vendre”. Sur le dossier iranien, Donald Trump a quitté Abou Dhabi sur une menace à peine voilée pour Téhéran.”Ils ont une proposition, mais surtout, ils savent qu’ils doivent bouger rapidement ou que quelque chose de mauvais arrivera”, a déclaré le président américain avant son départ.Jeudi, il avait affirmé depuis Doha que Washington et Téhéran se rapprochaient d’un accord, faisant reculer les cours du pétrole. En Arabie saoudite, il avait créé la surprise en annonçant la levée des sanctions américaines visant la Syrie. Il a ensuite rencontré le président syrien Ahmad al-Chareh, ancien jihadiste qui a renversé Bachar al-Assad, et qui a fait forte impression sur lui.Donald Trump l’a trouvé “séduisant” et jugé qu’il fallait donner une “chance de grandeur” à la Syrie – référence à son célèbre slogan “Rendre sa grandeur à l’Amérique”, “Make America Great again”.Le président républicain de 78 ans  a été tout aussi dithyrambique pour les dirigeants rencontrés à Abou Dhabi, à Doha et Ryad. “Vous êtes un pays extraordinaire. Vous êtes un pays riche. Vous pouvez choisir, mais je sais que vous serez toujours à mes côtés”, a-t-il par exemple dit jeudi au président émirati, cheikh Mohamed ben Zayed, en lui promettant: “Et nous allons vous traiter comme vous devez l’être, de façon magnifique”. – Intelligence artificielle -Selon la Maison Blanche, les Emirats et les Etats-Unis ont signé un accord sur l’Intelligence artificielle (IA), un domaine dans lequel le pays du Golfe cherche à s’imposer en s’assurant un accès aux technologies américaines de pointe. Le président américain a qualifié sa tournée dans le Golfe d'”historique” en affirmant qu’elle pourrait “rapporter, au total, 3.500 à 4.000 milliards de dollars”, un chiffre qu’il sera très difficile de vérifier sur le long terme.Il a par ailleurs clairement confirmé la rupture avec la diplomatie de l’ancien président démocrate Joe Biden, faite en partie d’appels au respect des droits humains.Ces notions n’ont pas du tout été mises en avant dans le Golfe par le président républicain.Sous sa houlette, les Etats-Unis se garderont de dire à d’autres pays “comment vivre ou gouverner”, a-t-il promis dans un discours très remarqué à Ryad.