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Ligue des champions: pour le PSG, encore un petit effort
Sur la lancée de son succès majuscule face à Manchester City (4-2), le Paris SG doit tenir son rang mercredi (21h00) à Stuttgart, contre qui un match nul suffit pour se qualifier en barrages de la Ligue des champions.Avec un groupe quasiment au complet  — Nuno Mendes est suspendu et Khvicha Kvaratskhelia non-qualifié pour la compétition à ce stade — le PSG pourra compter sur ses hommes forts qui ont permis la semaine dernière de renverser les “Citizens”.Et en premier lieu le milieu Joao Neves, Ousmane Dembélé – encore buteur samedi en L1 lors du nul (1-1) contre Reims – et Bradley Barcola, enfin décisifs sur la scène européenne.Jusque-là uniquement forts en Ligue 1, les deux attaquants français ont haussé leur niveau en Ligue des champions, loin des tensions de l’automne entre Dembélé et son entraineur.Désormais à la 22e place, les Parisiens ont fait un grand pas vers les barrages tout en conjurant le sort de leur inefficacité offensive, qui était le maître mot du club de la capitale depuis le début de la saison en C1.Après avoir inscrit trois buts à Salzbourg (3-0), ils en ont marqué quatre mercredi dernier au Parc des princes, dont trois par trois attaquants différents (Barcola, Dembélé, Ramos).”Cela rajoute un peu de justice dans cette C1, on aurait dû avoir cinq points de plus, les entraîneurs adverses l’ont dit”, a lancé Luis Enrique, soulagé après avoir été frustré lors du nul contre le PSV Eindhoven (1-1) et la défaite contre l’Atletico Madrid (2-1 à la dernière seconde).- Hernandez, Beraldo ou Neves ? -Avant cette huitième et dernière journée, avec 10 points, Paris a son destin en main et doit assurer au minimum un match nul pour terminer dans les 24 premiers et valider son ticket pour les barrages, qui se joueront sur une double confrontation aller-retour.Les Parisiens échapperaient encore à une élimination au premier tour, jamais vue sous pavillon qatari.Si c’est le cas, les coéquipiers de Marquinhos connaîtront vendredi lors du tirage au sort effectué à Nyon (Suisse) le nom de leur futur adversaire.Pour cela, ils devront resserrer les rangs derrière car les Parisiens continuent d’avoir des errances défensives, qui leur compliquent la vie: ils n’ont obtenu qu’un seul “clean sheet” sur leurs neufs derniers matches.Avec l’absence de Nuno Mendes, un doute subsiste sur la ligne défensive probablement composée d’Achraf Hakimi à droite et de la charnière Marquinhos-Pacho: Luis Enrique devra choisir entre Lucas Beraldo, Lucas Hernandez, de retour depuis quelques semaines après une grave blessure à un genou, voire le milieu Joao Neves, qui serait repositionné au poste de latéral gauche.Frustrant et trop docile en début de saison contre des adversaires à sa portée, Paris doit tenir son rang car une élimination est encore possible à Stuttgart (24e, 10 pts), quatrième de Bundesliga et qui reste sur une défaite samedi.Ce qui serait à ce stade de la Ligue des champions un échec cuisant pour Luis Enrique, sa méthode et ses joueurs.
Crues: 600 personnes évacuées en Ille-et-Vilaine, vigilance rouge étendue au Morbihan et à la Loire-Atlantique
La Loire-Atlantique et le Morbihan, en plus de l’Ille-et-Vilaine où 600 personnes ont été évacuées depuis dimanche, sont placés mardi en vigilance rouge pour crues par Météo-France après le passage de la dépression Herminia. “C’est une situation tout à fait exceptionnelle qui manifestement, dépasse l’histoire connue, en tous les cas, en matière d’inondations sur le territoire”, a déclaré à la presse François-Noël Buffet, ministre auprès du ministre de l’Intérieur, en visite à Rennes.”La chance à ce stade, c’est qu’il n’y a pas de victimes physiques”, a dit le ministre, non loin des flots déchaînés de la Vilaine. “Le pic n’étant pas encore parfaitement connu, on attendra, la décrue arrivera, mais évidemment sur une période qui sera un peu longue”, a-t-il prévenu.Selon la préfecture d’Ille-et-Vilaine, “600 personnes” ont été évacuées (établissements sanitaires et sociaux compris)” sur le département depuis dimanche.A Bruz, ce sont notamment plus de 70 personnes d’un Ehpad qui ont été transférées “sans problème vers le centre hospitalier Guillaume Régnier, avec ambulance et pompiers” après avoir activé un “plan blanc” en raison de la montée des eaux, a déclaré à l’AFP le directeur du centre hospitalier, Pascal Bénard.”Mes équipes sur le terrain n’arrêtent pas, elles sont épuisées”, a déclaré le maire de Bruz, Philippe Salmon.La vigilance rouge sur les trois départements de l’ouest concerne “les cours d’eau de la Seiche et de la Vilaine”, a précisé l’institut météorologique dans son bulletin de 06H00.Le Calvados, l’Orne, la Mayenne et le Maine-et-Loire ont été maintenus en vigilance orange aux crues.- “Très traumatisant” -Ces crues compliquent toujours mardi les déplacements. Le trafic ferroviaire est perturbé “sur les lignes Rennes-Redon et Rennes-Saint-Malo dans les deux sens de circulation”, indique sur X le réseau ferroviaire régional BreizhGo. A Guichen, au sud de Rennes, le maire Dominique Delamarre a indiqué que la Vilaine a atteint 4,74 m après avoir dépassé son niveau historique de 4,71 m. “Ca ne monte plus ce (mardi) matin, tout en sachant qu’on reste prudent parce qu’on est très inquiet pour demain (mercredi), car on nous annonce encore une pluviométrie importante”, a déclaré mardi à l’AFP M. Delamarre. Le département breton et notamment sa préfecture, Rennes, traversée par deux rivières, l’Ille et la Vilaine, subit des crues inédites depuis plus de 40 ans depuis le passage dimanche de la dépression Herminia, qui a succédé à la tempête Eowyn.Selon la maire de Rennes, Nathalie Appéré, “une centaine de maisons sont sinistrées et “quelques dizaines d’immeubles collectifs”, soit “15.000 personnes impactées”, parfois indirectement comme des caves ou des sous-sols inondés.”On a des dégâts matériels importants et évidemment pour des personnes qui sont sinistrées lourdement, c’est très traumatisant”, a souligné Mme Appéré. D’après Météo-France, à Rennes, “il n’avait jamais autant plu en janvier sur cette station ouverte en 1944 (169,6 mm en janvier 1995). Depuis le début du mois, il a plu trois fois plus que la moyenne sur cette période”.Interrogé par l’AFP, la président du département d’Ille-et-Vilaine, Jean-Luc Chenut, a indiqué que “32 communes avaient déclenché leurs plans communaux de secours, chiffre qui va en augmentant très régulièrement”.”Des pluies vont être importantes entre 25 et 30 mm demain (mercredi), sur un territoire qui est totalement gorgé d’eau. Il y a des milliers et des milliers d’hectares de prairies inondées. Tous les ruisseaux débordent, tous les plans d’eau sont au maximum”, a-t-il dit, qualifiant la situation de “crise de grande ampleur par l’étendue du territoire concerné”.Selon Vigicrues, “sur la Vilaine aval, compte tenu de la propagation de la crue, des niveaux exceptionnels sont attendus à partir de la nuit de mardi à mercredi sur le secteur de Redon”, au sud de l’Ille-et-Vilaine.”La crue historique de 1936″, la “plus haute référence” pourrait être atteinte a souligné Julien Lemarié, chef du pôle Prévention des risques et Gestion de crises, lors de la visite des ministres François-Noël Buffet et Françoise Gatel au sein de la cellule de crise en préfecture.
RDC: Goma sous les tirs, ambassades attaquées à Kinshasa
Les tirs résonnent encore mardi dans certains quartiers de Goma, grande ville de l’est de la RDC livrée aux combats entre forces armées congolaises et combattants du M23 alliés à des troupes rwandaises, tandis que dans la capitale Kinshasa des manifestants en colère ont attaqué plusieurs ambassades, dont celles du Rwanda.Le M23 et les soldats rwandais …
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RDC: Goma sous les tirs, ambassades attaquées à Kinshasa
Les tirs résonnent encore mardi dans certains quartiers de Goma, grande ville de l’est de la RDC livrée aux combats entre forces armées congolaises et combattants du M23 alliés à des troupes rwandaises, tandis que dans la capitale Kinshasa des manifestants en colère ont attaqué plusieurs ambassades, dont celles du Rwanda.Le M23 et les soldats rwandais sont entrés dimanche soir dans la cité de plus d’un million d’habitants et presque autant de déplacés, au terme d’une progression éclair de quelques semaines, lancée après l’échec mi-décembre d’une médiation RDC-Rwanda sous l’égide de l’Angola.Il est encore difficile de dire quelles parties de la ville sont déjà tombées aux mains du M23 et de l’armée rwandaise. L’armée sud-africaine a par ailleurs annoncé quatre soldats supplémentaires tués en RDC, portant à 17 les membres de la force régionale d’Afrique australe (SAMIRDC) et de la mission onusienne (Monusco) morts ces derniers jours dans des combats contre le M23.A Kinshasa, des manifestants en colère ont attaqué mardi plusieurs ambassades, dont celles du Rwanda, accusé par les autorités congolaises de leur avoir “déclaré la guerre”, mais aussi de la France, de Belgique ainsi que des Etats-Unis, des pays critiqués pour leur inaction dans la crise actuelle. Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a qualifié d'”inadmissibles” les attaques visant l’ambassade de France.- Réunion du conseil de sécurité -C’est dans ce contexte particulièrement tendu qu’une nouvelle réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la RDC est prévue dans l’après-midi. Après une précédente réunion dimanche, le gouvernement congolais avait fustigé une déclaration “vague” de l’ONU sans exigence claire au Rwanda de quitter le sol congolais. Plusieurs milliers de troupes rwandaises sont présentes dans la région, selon l’ONU. A Goma, coincée entre le lac Kivu et la frontière avec le Rwanda, plusieurs dizaines de combattants du M23 reconnaissables à leurs tenues et équipements, ont été vus en train de remonter l’une des principales artères. Dans la matinée, des habitants ont bravé la peur et sont descendus vers le lac pour puiser de l’eau, ont constaté des journalistes de l’AFP. Les rafales ne sont pas bien loin. Mais pendant trois jours, la population est restée cloîtrée et il n’y a plus ni eau, ni électricité. Les installations ont été détruites dans les bombardements. Plusieurs disent avoir été braqués par des miliciens ou militaires congolais en débandade: “Ils nous ont tout volé, nos téléphones, même nos souliers. On les a vus se déshabiller et jeter leurs tenues et leurs armes”, raconte Jospin Nyolemwaka, qui a fui son quartier. “Nous commençons à sortir ici, mais il y a eu des pillages hier. Nous avons vu des corps sur la route”, a dit à l’AFP un habitant du quartier du marché de Kituku. – Pénurie de nourriture -Le Programme alimentaire mondial de l’ONU s’est dit mardi “préoccupé” par la pénurie de nourriture à Goma après l’interruption de ses activités.”En fonction de la durée des violences, l’approvisionnement en nourriture de la ville pourrait donc être gravement entravé. Les prochaines 24 heures seront cruciales car les gens commencent à manquer de provisions et devront voir ce qu’ils peuvent trouver pour survivre”, selon une porte-parole du PAM, Shelley Thakral.”Un demi-million de personnes de plus ont été déplacées rien que ce mois-ci”, a indiqué le Haut-Commissaire des Nations unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, mardi sur X.Dans l’est de la RDC, riche en ressources naturelles, les conflits et les rébellions s’enchaînent depuis plus de trente ans.Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a pour sa part alerté sur les risques de dissémination de virus, dont Ebola, à partir d’un laboratoire à Goma. Le président Félix Tshisekedi, qui ne s’est encore pas exprimé depuis le début de la crise, devrait s’adresser à la nation dans la journée. Le gouvernement congolais a assuré lundi vouloir “éviter le carnage”, selon son porte-parole Patrick Muyaya. Le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union africaine tiendra pour sa part à la mi-journée une “session d’urgence” sur cette crise.L’avancée rapide du M23 vers Goma, doublée d’une escalade diplomatique entre la RDC et le Rwanda, ont par ailleurs abouti à la convocation par Nairobi d’une rencontre, mercredi, entre le président de la RDC Félix Tshisekedi et son homologue rwandais Paul Kagame.La présidence sud-africaine a écrit sur X lundi en fin de journée que Cyril Ramaphosa et son homologue rwandais Paul Kagame avaient discuté de “l’escalade des combats qui ont entraîné la mort de soldats de la paix”.”Les deux chefs d’Etat ont convenu de la nécessité urgente d’un cessez-le-feu et de la reprise des pourparlers de paix par toutes les parties au conflit”, a indiqué la présidence.Au moins 17 personnes ont été tuées et 367 blessées dans ces combats au cours des deux derniers jours, selon les bilans en date de lundi de plusieurs hôpitaux de la ville. Goma avait été brièvement occupée fin 2012 par le M23, né cette année-là et vaincu militairement l’année suivante.burx-cld-cpy/lpt
RDC: Goma sous les tirs, ambassades attaquées à Kinshasa
Les tirs résonnent encore mardi dans certains quartiers de Goma, grande ville de l’est de la RDC livrée aux combats entre forces armées congolaises et combattants du M23 alliés à des troupes rwandaises, tandis que dans la capitale Kinshasa des manifestants en colère ont attaqué plusieurs ambassades, dont celles du Rwanda.Le M23 et les soldats rwandais sont entrés dimanche soir dans la cité de plus d’un million d’habitants et presque autant de déplacés, au terme d’une progression éclair de quelques semaines, lancée après l’échec mi-décembre d’une médiation RDC-Rwanda sous l’égide de l’Angola.Il est encore difficile de dire quelles parties de la ville sont déjà tombées aux mains du M23 et de l’armée rwandaise. L’armée sud-africaine a par ailleurs annoncé quatre soldats supplémentaires tués en RDC, portant à 17 les membres de la force régionale d’Afrique australe (SAMIRDC) et de la mission onusienne (Monusco) morts ces derniers jours dans des combats contre le M23.A Kinshasa, des manifestants en colère ont attaqué mardi plusieurs ambassades, dont celles du Rwanda, accusé par les autorités congolaises de leur avoir “déclaré la guerre”, mais aussi de la France, de Belgique ainsi que des Etats-Unis, des pays critiqués pour leur inaction dans la crise actuelle. Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a qualifié d'”inadmissibles” les attaques visant l’ambassade de France.- Réunion du conseil de sécurité -C’est dans ce contexte particulièrement tendu qu’une nouvelle réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la RDC est prévue dans l’après-midi. Après une précédente réunion dimanche, le gouvernement congolais avait fustigé une déclaration “vague” de l’ONU sans exigence claire au Rwanda de quitter le sol congolais. Plusieurs milliers de troupes rwandaises sont présentes dans la région, selon l’ONU. A Goma, coincée entre le lac Kivu et la frontière avec le Rwanda, plusieurs dizaines de combattants du M23 reconnaissables à leurs tenues et équipements, ont été vus en train de remonter l’une des principales artères. Dans la matinée, des habitants ont bravé la peur et sont descendus vers le lac pour puiser de l’eau, ont constaté des journalistes de l’AFP. Les rafales ne sont pas bien loin. Mais pendant trois jours, la population est restée cloîtrée et il n’y a plus ni eau, ni électricité. Les installations ont été détruites dans les bombardements. Plusieurs disent avoir été braqués par des miliciens ou militaires congolais en débandade: “Ils nous ont tout volé, nos téléphones, même nos souliers. On les a vus se déshabiller et jeter leurs tenues et leurs armes”, raconte Jospin Nyolemwaka, qui a fui son quartier. “Nous commençons à sortir ici, mais il y a eu des pillages hier. Nous avons vu des corps sur la route”, a dit à l’AFP un habitant du quartier du marché de Kituku. – Pénurie de nourriture -Le Programme alimentaire mondial de l’ONU s’est dit mardi “préoccupé” par la pénurie de nourriture à Goma après l’interruption de ses activités.”En fonction de la durée des violences, l’approvisionnement en nourriture de la ville pourrait donc être gravement entravé. Les prochaines 24 heures seront cruciales car les gens commencent à manquer de provisions et devront voir ce qu’ils peuvent trouver pour survivre”, selon une porte-parole du PAM, Shelley Thakral.”Un demi-million de personnes de plus ont été déplacées rien que ce mois-ci”, a indiqué le Haut-Commissaire des Nations unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, mardi sur X.Dans l’est de la RDC, riche en ressources naturelles, les conflits et les rébellions s’enchaînent depuis plus de trente ans.Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a pour sa part alerté sur les risques de dissémination de virus, dont Ebola, à partir d’un laboratoire à Goma. Le président Félix Tshisekedi, qui ne s’est encore pas exprimé depuis le début de la crise, devrait s’adresser à la nation dans la journée. Le gouvernement congolais a assuré lundi vouloir “éviter le carnage”, selon son porte-parole Patrick Muyaya. Le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union africaine tiendra pour sa part à la mi-journée une “session d’urgence” sur cette crise.L’avancée rapide du M23 vers Goma, doublée d’une escalade diplomatique entre la RDC et le Rwanda, ont par ailleurs abouti à la convocation par Nairobi d’une rencontre, mercredi, entre le président de la RDC Félix Tshisekedi et son homologue rwandais Paul Kagame.La présidence sud-africaine a écrit sur X lundi en fin de journée que Cyril Ramaphosa et son homologue rwandais Paul Kagame avaient discuté de “l’escalade des combats qui ont entraîné la mort de soldats de la paix”.”Les deux chefs d’Etat ont convenu de la nécessité urgente d’un cessez-le-feu et de la reprise des pourparlers de paix par toutes les parties au conflit”, a indiqué la présidence.Au moins 17 personnes ont été tuées et 367 blessées dans ces combats au cours des deux derniers jours, selon les bilans en date de lundi de plusieurs hôpitaux de la ville. Goma avait été brièvement occupée fin 2012 par le M23, né cette année-là et vaincu militairement l’année suivante.burx-cld-cpy/lpt
Tempête Eowyn: l’UE envoie des générateurs électriques à l’Irlande
L’Union européenne mobilise une aide d’urgence en faveur de l’Irlande afin de rétablir rapidement l’électricité après le passage de la tempête Eowyn, marquée par des vents d’une puissance inédite, a annoncé la Commission.L’UE va livrer 13 générateurs électriques provenant de la réserve stratégique de la Commission hébergée en Pologne. Quatre générateurs offerts par le Danemark …
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Tempête Eowyn: l’UE envoie des générateurs électriques à l’Irlande
L’Union européenne mobilise une aide d’urgence en faveur de l’Irlande afin de rétablir rapidement l’électricité après le passage de la tempête Eowyn, marquée par des vents d’une puissance inédite, a annoncé la Commission.L’UE va livrer 13 générateurs électriques provenant de la réserve stratégique de la Commission hébergée en Pologne. Quatre générateurs offerts par le Danemark devraient également bientôt arriver en Irlande et aider à fournir de l’électricité sur place, a annoncé l’exécutif européen dans un communiqué.Ce soutien a été mobilisé, à la demande de Dublin, grâce à l’activation du mécanisme européen de protection civile qui permet à l’UE de coordonner l’aide des pays membres face à une situation d’urgence.”Nos pensées vont à toutes les personnes touchées et aux premiers intervenants en Irlande qui font de leur mieux pour ramener la situation à la normale”, a déclaré Hadja Lahbib, commissaire européenne à la Gestion des crises.”Le Centre de coordination de la réaction d’urgence de l’UE continue de suivre de près la situation et reste en contact constant avec les autorités nationales, afin de garantir que de l’aide supplémentaire puisse être rapidement acheminée si nécessaire”, a précisé la Commission. Lundi soir, la société irlandaise ESB Networks estimait qu’environ 204.000 foyers restaient privés d’électricité.La tempête a battu des records historiques, avec des rafales mesurées à 183 km/h près de Galway, sur la côte ouest, au-delà du précédent record de 1945.Â