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Le Hamas va rendre dans la nuit de mercredi à jeudi quatre corps d’otages retenus à Gaza

Le Hamas va rendre dans la nuit de mercredi à jeudi quatre corps d’otages israéliens morts en captivité à Gaza, et a affirmé qu’Israël libérerait en contrepartie plus de 600 détenus palestiniens, ce qui mettrait fin aux échanges prévus par la première phase du fragile cessez-le-feu, qui s’achève samedi.Le bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a confirmé que, comme l’avait annoncé plus tôt le Hamas, Israël recevrait les corps de quatre otages de Gaza dans la nuit de mercredi à jeudi. “Conformément aux exigences israéliennes”, la remise se fera “sans cérémonies du Hamas”, a-t-il ajouté. Deux responsables du mouvement islamiste palestinien ont affirmé à l’AFP que seraient relâchés en échange 625 prisonniers palestiniens, dont la libération est bloquée depuis samedi par Israël, ce que le gouvernement israélien n’a jusque la pas confirmé.En Israël, des dizaines de milliers de personnes se sont massées dans la matinée le long des routes pour saluer le passage du cortège funéraire transportant les dépouilles de Shiri Bibas et ses deux petits garçons tués en captivité à Gaza, devenus le symbole de la tragédie des otages. Tous trois avaient été enlevés lors de l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza, et leurs corps ont été restitués à Israël en fin de semaine dernière.”Shiri, je vous demande pardon pour ne pas avoir pu vous protéger”, a lancé son époux, Yarden Bibas, libéré de Gaza le 1er février, dans son éloge funèbre empreint d’émotion, dans un cimetière près du kibboutz Nir Oz, dans le sud d’Israël, où la famille avait été enlevée.Lors des funérailles, la famille a demandé à tous les responsables israéliens d’assumer la responsabilité de la mort de leurs proches en captivité. “Ils auraient pu vous sauver mais ont préféré la vengeance”, a lancé Ofri Bibas, belle-soeur de Shiri.La première phase de la trêve en vigueur depuis le 19 janvier doit s’achever le 1er mars. Elle a jusque-là permis le retour en Israël de 29 otages, dont quatre décédés, sur un total de 33, dont huit morts, devant être remis jusqu’au 1er mars, en échange d’environ 1.100 Palestiniens, sur un total convenu de 1.900.Mais ce cessez-le-feu très fragile a plusieurs fois été mis en péril par des accusations mutuelles de violation, et sa suite reste incertaine. L’armée israélienne a indiqué mercredi avoir frappé des postes de lancement de projectiles à Gaza, après avoir identifié plus tôt un tir, retombé dans le territoire palestinien. – “Beaucoup de progrès” -Les termes de la deuxième étape, censée déboucher sur la fin définitive de la guerre et la libération de tous les captifs encore à Gaza, n’ont toujours pas été négociés.Mardi soir, l’émissaire du président américain Donald Trump pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, a cependant fait état de “beaucoup de progrès” en vue d’une reprise des pourparlers. Il a annoncé qu’Israël envoyait une équipe de négociateurs “soit à Doha soit au Caire, où les négociations vont commencer”.Israël n’a pas confirmé cette information.Sur les 251 otages enlevés le 7-Octobre en Israël, 62 sont toujours retenus à Gaza, dont 35 sont morts, selon l’armée israélienne.Plus de 600 Palestiniens auraient dû sortir de prison le 22 février, en échange de six Israéliens relâchés par le Hamas. Mais Israël avait annulé au dernier moment ces libérations, exigeant la fin des “cérémonies humiliantes” régulièrement organisées par le Hamas pour les remises d’otages.Après la suspension des libérations de prisonniers palestiniens, le mouvement islamiste avait accusé Israël de “mettre en grave danger tout l’accord de trêve”, et appelé les pays médiateurs – Etats-Unis, Qatar et Egypte – à intervenir.Les mises en scène par le Hamas des libérations d’otages, exhibés sur des podiums face à des foules de Gazaouis, ont été dénoncées à plusieurs reprises par Israël, l’ONU et la Croix-Rouge.- “Ils sont revenus, mais pas vivants” -La semaine dernière, le retour des dépouilles de Shiri Bibas et de ses enfants, Kfir et Ariel, âgés de huit mois et demi et quatre ans au moment de leur enlèvement, avait profondément ému le pays.Le cortège funéraire, où flottaient des ballons orange, hommage aux deux petits garçons aux cheveux roux, est parti mercredi matin de Rishon Letzion, au sud de Tel-Aviv, en direction de Nir Oz, à une centaine de kilomètres. “Quand je pense au 7 octobre”, dit à l’AFP Aviv Nahman, un habitant de Rishon Letzion, “c’est à cette famille que je pense en premier (…) Et malheureusement, ils sont revenus, mais pas vivants”.L’attaque du Hamas a entraîné la mort de 1.215 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles israéliennes et incluant les otages morts ou tués en captivité. Au total, 251 personnes avaient été enlevées.L’offensive israélienne menée en représailles à Gaza a fait au moins 48.319 morts, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Le Hamas va rendre dans la nuit de mercredi à jeudi quatre corps d’otages retenus à Gaza

Le Hamas va rendre dans la nuit de mercredi à jeudi quatre corps d’otages israéliens morts en captivité à Gaza, et a affirmé qu’Israël libérerait en contrepartie plus de 600 détenus palestiniens, ce qui mettrait fin aux échanges prévus par la première phase du fragile cessez-le-feu, qui s’achève samedi.Le bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a confirmé que, comme l’avait annoncé plus tôt le Hamas, Israël recevrait les corps de quatre otages de Gaza dans la nuit de mercredi à jeudi. “Conformément aux exigences israéliennes”, la remise se fera “sans cérémonies du Hamas”, a-t-il ajouté. Deux responsables du mouvement islamiste palestinien ont affirmé à l’AFP que seraient relâchés en échange 625 prisonniers palestiniens, dont la libération est bloquée depuis samedi par Israël, ce que le gouvernement israélien n’a jusque la pas confirmé.En Israël, des dizaines de milliers de personnes se sont massées dans la matinée le long des routes pour saluer le passage du cortège funéraire transportant les dépouilles de Shiri Bibas et ses deux petits garçons tués en captivité à Gaza, devenus le symbole de la tragédie des otages. Tous trois avaient été enlevés lors de l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza, et leurs corps ont été restitués à Israël en fin de semaine dernière.”Shiri, je vous demande pardon pour ne pas avoir pu vous protéger”, a lancé son époux, Yarden Bibas, libéré de Gaza le 1er février, dans son éloge funèbre empreint d’émotion, dans un cimetière près du kibboutz Nir Oz, dans le sud d’Israël, où la famille avait été enlevée.Lors des funérailles, la famille a demandé à tous les responsables israéliens d’assumer la responsabilité de la mort de leurs proches en captivité. “Ils auraient pu vous sauver mais ont préféré la vengeance”, a lancé Ofri Bibas, belle-soeur de Shiri.La première phase de la trêve en vigueur depuis le 19 janvier doit s’achever le 1er mars. Elle a jusque-là permis le retour en Israël de 29 otages, dont quatre décédés, sur un total de 33, dont huit morts, devant être remis jusqu’au 1er mars, en échange d’environ 1.100 Palestiniens, sur un total convenu de 1.900.Mais ce cessez-le-feu très fragile a plusieurs fois été mis en péril par des accusations mutuelles de violation, et sa suite reste incertaine. L’armée israélienne a indiqué mercredi avoir frappé des postes de lancement de projectiles à Gaza, après avoir identifié plus tôt un tir, retombé dans le territoire palestinien. – “Beaucoup de progrès” -Les termes de la deuxième étape, censée déboucher sur la fin définitive de la guerre et la libération de tous les captifs encore à Gaza, n’ont toujours pas été négociés.Mardi soir, l’émissaire du président américain Donald Trump pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, a cependant fait état de “beaucoup de progrès” en vue d’une reprise des pourparlers. Il a annoncé qu’Israël envoyait une équipe de négociateurs “soit à Doha soit au Caire, où les négociations vont commencer”.Israël n’a pas confirmé cette information.Sur les 251 otages enlevés le 7-Octobre en Israël, 62 sont toujours retenus à Gaza, dont 35 sont morts, selon l’armée israélienne.Plus de 600 Palestiniens auraient dû sortir de prison le 22 février, en échange de six Israéliens relâchés par le Hamas. Mais Israël avait annulé au dernier moment ces libérations, exigeant la fin des “cérémonies humiliantes” régulièrement organisées par le Hamas pour les remises d’otages.Après la suspension des libérations de prisonniers palestiniens, le mouvement islamiste avait accusé Israël de “mettre en grave danger tout l’accord de trêve”, et appelé les pays médiateurs – Etats-Unis, Qatar et Egypte – à intervenir.Les mises en scène par le Hamas des libérations d’otages, exhibés sur des podiums face à des foules de Gazaouis, ont été dénoncées à plusieurs reprises par Israël, l’ONU et la Croix-Rouge.- “Ils sont revenus, mais pas vivants” -La semaine dernière, le retour des dépouilles de Shiri Bibas et de ses enfants, Kfir et Ariel, âgés de huit mois et demi et quatre ans au moment de leur enlèvement, avait profondément ému le pays.Le cortège funéraire, où flottaient des ballons orange, hommage aux deux petits garçons aux cheveux roux, est parti mercredi matin de Rishon Letzion, au sud de Tel-Aviv, en direction de Nir Oz, à une centaine de kilomètres. “Quand je pense au 7 octobre”, dit à l’AFP Aviv Nahman, un habitant de Rishon Letzion, “c’est à cette famille que je pense en premier (…) Et malheureusement, ils sont revenus, mais pas vivants”.L’attaque du Hamas a entraîné la mort de 1.215 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles israéliennes et incluant les otages morts ou tués en captivité. Au total, 251 personnes avaient été enlevées.L’offensive israélienne menée en représailles à Gaza a fait au moins 48.319 morts, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Panne géante: le Chili aspire à une “journée normale” après la levée de l’état d’urgence

Le Chili devrait vivre “une journée normale” mercredi après la levée de l’état d’urgence et du couvre-feu qui avaient été décrétés mardi suite à une panne massive de courant qui a paralysé le pays.”L’état d’exception pour catastrophe est levé à partir de ce moment”, a déclaré en matinée la ministre chilienne de l’Intérieur, Carolina Toha, confirmant aussi la fin du couvre-feu qui avait été instauré dans la foulée. “Nous devrions aujourd’hui avoir un journée normale”, a-t-elle ajouté.Le pays latino-américain a vécu sa pire panne d’électricité depuis 2010 qui a affecté plus de 95% des 20 millions d’habitants.Les gens se rendent à leur travail et les voitures et les bus circulent de nouveau dans les rues de la capitale, Santiago, après la fin de l’interdiction intervenue à 09h00 GMT, a constaté un journaliste de l’AFP.Le métro de Santiago, emprunté quotidiennement par environ 2,3 millions d’usagers, fonctionne également normalement sur la plupart de ses lignes après avoir dû fermer en raison de la panne.”90% de la consommation a été rétablie” dans les logements, a annoncé mercredi dans un communiqué le gestionnaire de l’électricité.En plein été austral, 95% des 20 millions d’habitants du Chili ont été touchés par cette coupure générale d’électricité, intervenue à 15H16 (18H16 GMT) mardi et qui a mis le pays à l’arrêt.Elle a conduit le gouvernement à décréter l’état d’urgence et un couvre-feu pour la nuit dans une grande partie du pays, notamment à Santiago.Il s’agit pour le Chili, qui possède pourtant l’un des meilleurs réseaux électriques d’Amérique du Sud, d’une panne encore pire que celle de 2010, provoquée par une défaillance technique dans une centrale de la région du Biobio (sud). Des centaines de milliers de personnes s’étaient alors retrouvées sans électricité.- “Pas de signal” -“C’est scandaleux ! Ce n’est pas possible que la vie quotidienne de millions de Chiliens et de Chiliennes soit affectée de cette façon par des entreprises qui ne font pas bien leur travail”, a fustigé le président Gabriel Boric, s’en prenant, dans un communiqué, aux acteurs privés du secteur.M. Boric a également survolé la capitale en hélicoptère pour évaluer la situation.”Je ne sais pas comment rentrer chez moi parce que tous les bus sont pleins”, avait témoigné auprès de l’AFP Maria Angélica Roman, employée de 45 ans dans un bureau de recouvrement de la capitale.”A la banque où je travaille, toutes les opérations ont dû être arrêtées”, a de son côté rapporté Jonathan Macalupu, 25 ans.”J’ai entendu dire (que la coupure) avait touché plusieurs régions, ici et du nord au centre, plus ou moins, et je n’ai pas d’autres informations parce que nous n’avons pas non plus de réseau téléphonique. Il n’y a pas beaucoup de signal”, a déclaré à l’AFP Veronica Vasquez, une Espagnole venue pour le festival international de la chanson de Vina del Mar, également interrompu par la panne.Selon les médias chiliens, des personnes ont été piégées dans des ascenseurs et des manèges avant d’être secourues. Un photographe de l’AFP a ainsi vu des pompiers porter secours à une femme âgée restée coincée dans un ascenseur.Et la chaîne Chilevision a diffusé une vidéo montrant des personnes bloquées sur un manège mécanique de plusieurs mètres de haut dans un parc d’attractions de Santiago, avant d’être secourues.- Générateurs de secours -Le gouvernement a rapidement écarté la possibilité d’un sabotage.”Il n’y a aucune raison de supposer qu’il y a une attaque derrière tout cela. Il s’agirait d’un dysfonctionnement du système lui-même”, a avancé la ministre de l’Intérieur Carolina Toha.Elle a assuré que les hôpitaux et les prisons disposaient de générateurs de secours.La confusion s’est propagée de la capitale de sept millions d’habitants à diverses régions du pays.A Valparaiso, cité portuaire située à 120 kilomètres à l’ouest de Santiago, des témoins ont également rapporté mardi que des magasins avaient fermé dans le chaos.”Des policiers gèrent la circulation car il y a beaucoup d’embouteillages dans des rues habituellement peu fréquentées. Tous les magasins ferment”, avait raconté par téléphone à l’AFP Anadriel Hernandez, un étudiant de 20 ans.Cette panne s’est produite un mois après un violent tremblement de terre de magnitude 8,8 qui a tué plus de 500 personnes et ébranlé le réseau électrique national.

Panne géante: le Chili aspire à une “journée normale” après la levée de l’état d’urgence

Le Chili devrait vivre “une journée normale” mercredi après la levée de l’état d’urgence et du couvre-feu qui avaient été décrétés mardi suite à une panne massive de courant qui a paralysé le pays.”L’état d’exception pour catastrophe est levé à partir de ce moment”, a déclaré en matinée la ministre chilienne de l’Intérieur, Carolina Toha, confirmant aussi la fin du couvre-feu qui avait été instauré dans la foulée. “Nous devrions aujourd’hui avoir un journée normale”, a-t-elle ajouté.Le pays latino-américain a vécu sa pire panne d’électricité depuis 2010 qui a affecté plus de 95% des 20 millions d’habitants.Les gens se rendent à leur travail et les voitures et les bus circulent de nouveau dans les rues de la capitale, Santiago, après la fin de l’interdiction intervenue à 09h00 GMT, a constaté un journaliste de l’AFP.Le métro de Santiago, emprunté quotidiennement par environ 2,3 millions d’usagers, fonctionne également normalement sur la plupart de ses lignes après avoir dû fermer en raison de la panne.”90% de la consommation a été rétablie” dans les logements, a annoncé mercredi dans un communiqué le gestionnaire de l’électricité.En plein été austral, 95% des 20 millions d’habitants du Chili ont été touchés par cette coupure générale d’électricité, intervenue à 15H16 (18H16 GMT) mardi et qui a mis le pays à l’arrêt.Elle a conduit le gouvernement à décréter l’état d’urgence et un couvre-feu pour la nuit dans une grande partie du pays, notamment à Santiago.Il s’agit pour le Chili, qui possède pourtant l’un des meilleurs réseaux électriques d’Amérique du Sud, d’une panne encore pire que celle de 2010, provoquée par une défaillance technique dans une centrale de la région du Biobio (sud). Des centaines de milliers de personnes s’étaient alors retrouvées sans électricité.- “Pas de signal” -“C’est scandaleux ! Ce n’est pas possible que la vie quotidienne de millions de Chiliens et de Chiliennes soit affectée de cette façon par des entreprises qui ne font pas bien leur travail”, a fustigé le président Gabriel Boric, s’en prenant, dans un communiqué, aux acteurs privés du secteur.M. Boric a également survolé la capitale en hélicoptère pour évaluer la situation.”Je ne sais pas comment rentrer chez moi parce que tous les bus sont pleins”, avait témoigné auprès de l’AFP Maria Angélica Roman, employée de 45 ans dans un bureau de recouvrement de la capitale.”A la banque où je travaille, toutes les opérations ont dû être arrêtées”, a de son côté rapporté Jonathan Macalupu, 25 ans.”J’ai entendu dire (que la coupure) avait touché plusieurs régions, ici et du nord au centre, plus ou moins, et je n’ai pas d’autres informations parce que nous n’avons pas non plus de réseau téléphonique. Il n’y a pas beaucoup de signal”, a déclaré à l’AFP Veronica Vasquez, une Espagnole venue pour le festival international de la chanson de Vina del Mar, également interrompu par la panne.Selon les médias chiliens, des personnes ont été piégées dans des ascenseurs et des manèges avant d’être secourues. Un photographe de l’AFP a ainsi vu des pompiers porter secours à une femme âgée restée coincée dans un ascenseur.Et la chaîne Chilevision a diffusé une vidéo montrant des personnes bloquées sur un manège mécanique de plusieurs mètres de haut dans un parc d’attractions de Santiago, avant d’être secourues.- Générateurs de secours -Le gouvernement a rapidement écarté la possibilité d’un sabotage.”Il n’y a aucune raison de supposer qu’il y a une attaque derrière tout cela. Il s’agirait d’un dysfonctionnement du système lui-même”, a avancé la ministre de l’Intérieur Carolina Toha.Elle a assuré que les hôpitaux et les prisons disposaient de générateurs de secours.La confusion s’est propagée de la capitale de sept millions d’habitants à diverses régions du pays.A Valparaiso, cité portuaire située à 120 kilomètres à l’ouest de Santiago, des témoins ont également rapporté mardi que des magasins avaient fermé dans le chaos.”Des policiers gèrent la circulation car il y a beaucoup d’embouteillages dans des rues habituellement peu fréquentées. Tous les magasins ferment”, avait raconté par téléphone à l’AFP Anadriel Hernandez, un étudiant de 20 ans.Cette panne s’est produite un mois après un violent tremblement de terre de magnitude 8,8 qui a tué plus de 500 personnes et ébranlé le réseau électrique national.

Panne géante: le Chili aspire à une “journée normale” après la levée de l’état d’urgence

Le Chili devrait vivre “une journée normale” mercredi après la levée de l’état d’urgence et du couvre-feu qui avaient été décrétés mardi suite à une panne massive de courant qui a paralysé le pays.”L’état d’exception pour catastrophe est levé à partir de ce moment”, a déclaré en matinée la ministre chilienne de l’Intérieur, Carolina Toha, …

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