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Une série de négligences pointées du doigt en Turquie après l’incendie d’un hôtel d’altitude

La Turquie a commencé mercredi à enterrer ses morts, au lendemain d’un incendie qui a tué au moins 76 personnes en pleine nuit dans un luxueux hôtel de la station de ski de Kartalkaya, dans le centre du pays.Le président turc Recep Tayyip Erdogan a laissé transparaître son émotion aux funérailles de huit membres de …

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Open d’Australie: Sinner rassurant, Swiatek implacable sur la route du dernier carré

Le N.1 mondial Jannik Sinner a rassuré et la Polonaise Iga Swiatek (2e) impressionné mercredi en quarts de finale de l’Open d’Australie, pour filer dans le dernier carré avec Ben Shelton (20e) et Madison Keys (14e).- Sinner dévore De Minaur, 2e demi-finale pour Shelton -Tenant du titre à Melbourne, le N.1 mondial Jannik Sinner s’est imposé avec autorité contre l’Australien Alex De Minaur en quart de finale.Vainqueur 6-3, 6-2, 6-1 contre le 8e mondial, l’Italien de 23 ans a rassuré après un huitième de finale où il avait lâché un set à Holger Rune (13e) et semblé surchauffer dans la fournaise de Melbourne. Vendredi, il se mesurera à l’Américain Ben Shelton (20e) pour tenter de se hisser en finale pour la deuxième année de suite, tandis que Novak Djokovic (7e) défiera Alexander Zverev (2e) dans l’autre demi-finale.Se sentant de son propre aveu “beaucoup mieux”, Sinner a dit mercredi s’attendre à un match “difficile” contre Shelton, “l’un des plus gros serveurs du circuit et un joueur très complet”, qu’il a vaincu quatre fois en cinq duels.Pour Alex De Minaur, “si on avait joué en milieu de journée par une température caniculaire, on l’aurait peut-être vu commettre des fautes”, a-t-il dit en référence à Sinner.”Mais dans des conditions comme celles d’aujourd’hui (mercredi, NDLR), c’est difficile de le déstabiliser. Je dois trouver un moyen de faire mal à Jannik sur le court”, a affirmé devant la presse le “Demon”, battu dix fois en autant de duels avec l’Italien.Plus tôt dans la journée, Ben Shelton a passé près de quatre heures sur le court de la Rod Laver Arena pour se défaire en quatre sets de l’Italien Lorenzo Sonego (55e) et rallier sa deuxième finale en Grand Chelem, après celle de 2023 à l’US Open.- Swiatek enchaîne, Keys stoppe Svitolina -Les tours se suivent et se ressemblent pour Iga Swiatek: lauréate en deux sets de ses matches depuis le début du tournoi, la Polonaise a poursuivi sur sa lancée en quarts contre l’Américaine Emma Navarro, spécialiste pour sa part des matches marathon mais vaincue 6-1, 6-2.”C’était beaucoup plus difficile que ce que le score suggère”, a commenté Swiatek qui a dû s’employer au début du second set pour rester aux commandes. “Emma est une battante. Je suis heureuse d’avoir gagné ces jeux serrés, c’est ce qui a fait la différence”, a-t-elle estimé.Swiatek “continue de tenter, même quand elle rate un coup. Elle est impitoyable”, a souligné Navarro.Contre la N.8 mondiale, la Polonaise s’avançait d’autant plus confiante que l’Agence mondiale antidopage (AMA) a annoncé lundi qu’elle ne ferait pas appel de la suspension d’un mois (déjà purgée) infligée à la N.2 mondiale par l’Agence internationale pour l’intégrité du tennis (Itia) après un contrôle positif à la trimétazidine, un produit interdit.Iga Swiatek, qui soutenait que sa contamination était accidentelle, s’est déclarée “satisfaite” de la décision de l’AMA.Elle atteint le dernier carré à Melbourne pour la deuxième fois de sa carrière, trois ans après sa première demi-finale.Elle sera opposée jeudi à l’Américaine Madison Keys, qui s’est qualifiée en battant plus tôt dans la journée l’Ukrainienne Elina Svitolina (27e).La finaliste de l’US Open 2017, désormais triple demi-finaliste à Melbourne (2015, 2022, 2025), s’est imposée 3-6, 6-3, 6-4 en un peu moins de deux heures, face à une joueuse qu’elle a battue quatre fois en six duels.Après la perte du premier set, “j’ai senti que je devais jouer de façon un peu plus agressive. Elle contrôlait beaucoup de points et me faisait courir”, a constaté Keys.”Heureusement (…), je joue de manière un peu plus intelligente” qu’en 2015, année de sa première demie, a-t-elle conclu.Mardi, la double tenante du titre à Melbourne Aryna Sabalenka s’était qualifiée pour les demi-finales. Elle défiera jeudi l’Espagnole Paula Badosa (12e), qui a battu l’Américaine Coco Gauff (3e) pour s’offrir à 27 ans sa première demi-finale en Grand Chelem.

Macron reçoit Scholz pour un déjeuner en forme d’au revoir

Une visite de courtoisie en forme d’adieux ? Emmanuel Macron reçoit mercredi le chancelier Olaf Scholz à l’Elysée, à un mois des législatives allemandes, avec déjà en tête le nom de son probable successeur à Berlin et l’espoir d’une relation plus prometteuse.Les deux dirigeants vont se retrouver pour un déjeuner – précédé de déclarations à 13H15 (12H15 GMT) – l’un de leurs derniers grands rendez-vous bilatéraux avant les élections du 23 février, pour lesquelles le chrétien-démocrate Friedrich Merz part favori dans les sondages.Avec au menu l’Europe et l’Ukraine, deux jours après le retour de Donald Trump à la Maison blanche et une probable recomposition de la relation transatlantique.”Ils vont mettre en avant l’importance du travail franco-allemand pour consolider une Europe unie, forte et souveraine, attachée au lien transatlantique et qui sache affirmer ses intérêts propres, ses valeurs et les défendre”, a souligné l’Elysée mardi.Le président français et le chancelier allemand devraient notamment discuter des garanties de sécurité à apporter à l’Ukraine alors que le nouveau président américain promet de faire la paix au plus vite entre Kiev et Moscou, sans dire comment.La rencontre est organisée le jour du 62ème anniversaire du Traité de l’Elysée, signé en 1963, qui avait scellé la réconciliation des deux pays après la Seconde Guerre mondiale.- “Au travail” -A Paris, tous les yeux sont désormais tournés vers le chef de l’opposition allemande, Friedrich Merz, alors que le couple franco-allemand est quasiment à l’arrêt.En coulisses, la diplomatie française fait le pari d’une relation moins laborieuse qu’avec Olaf Scholz même si les deux capitales ont continué à travailler de façon étroite ces trois dernières années sur tous les grands sujets européens.”Le couple franco-allemand doit vraiment se reconstituer et redonner à l’Europe un élan aux côtés de sa présidente” de la Commission européenne Ursula von der Leyen, a insisté la porte-parole du gouvernement français Sophie Primas.Le candidat conservateur s’est lui-même dit “très proche” du président français mardi, lors du Forum économique de Davos, ajoutant le rencontrer “régulièrement”.Les attentes restent toutefois prudentes. “Ca va un peu soulager tout le monde même si Merz n’est pas facile non plus et si tout ne va pas changer de manière radicale avec lui”, relève Hélène Miard-Delacroix, spécialiste de l’Allemagne à La Sorbonne.”La façon qu’a Scholz d’être buté, c’est de ne rien dire. Merz, s’il est buté, on va l’entendre. Il est un peu colérique”, pointe-t-elle.Avec le probable futur chancelier, l’exécutif français espère enfin avancer sur les sujets qui fâchent. “Je voudrais qu’on se mette vite au travail”, lâche le ministre français aux Affaires européennes Benjamin Haddad, interrogé par l’AFP, citant la relance de la compétitivité et de l’investissement en Europe ou la défense.- “Des coups” -De l’avis général, les torts sont partagés dans le rendez-vous manqué entre Emmanuel Macron et Olaf Scholz, deux tempéraments aux antipodes, omniprésent pour l’un, taiseux pour l’autre.L’ex-ministre des Finances d’Angela Merkel est arrivé à la chancellerie avec une vision peu enthousiaste de la France et de ses dérapages budgétaires à répétition.”Scholz n’a jamais été sur les questions européennes, de défense et de sécurité un partenaire rêvé pour la France”, souligne Hans Stark, conseiller pour les relations franco-allemandes à l’Institut français de relations internationales (Ifri).Les désaccords sont nombreux, sur le projet de bouclier antimissile européen, la livraison de missiles longue portée à l’Ukraine ou la mise en oeuvre de l’accord de libre-échange entre l’UE et les pays du Mercosur, réclamée par Berlin contre l’avis de Paris.Emmanuel Macron, qui se pose volontiers en chef de file de l’UE, suscite aussi beaucoup d’incompréhension outre-Rhin.”Il a une façon d’être, de se comporter, de faire des coups, de lancer des phrases, de provoquer le destin qui est orthogonale à ce qu’est Scholz”, observe Hélène Miard-Delacroix.”Certaines de ses décisions, dont la dissolution de l’Assemblée, n’ont pas été comprises, comme le fait que la France s’assoie littéralement sur les critères de convergence” de la zone euro, renchérit le conseiller de l’Ifri. Vu d’Allemagne, il passe pour “un président très affaibli et isolé”, esquisse-t-il aussi.

Trump suspend les employés des programmes de diversité aux Etats-Unis

Le président américain Donald Trump a suspendu les employés des programmes de diversité en les mettant en congé forcé d’ici mercredi soir, tout en se lançant dans une charge violente contre l’évêque de Washington pour son sermon en faveur des migrants et des transgenres.Les employés travaillant dans les programmes de diversité, dont Trump a ordonné la fermeture, seront suspendus d’ici mercredi soir, a confirmé la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, sur le réseau social X.Elle a confirmé un message du Bureau fédéral de la gestion du personnel qui demande d’informer “tous les employés des bureaux DEIA (Diversité, Équité, Inclusion et Accessibilité) qu’ils sont placés en congé administratif payé avec effet immédiat”. L’administration “prend des mesures pour fermer/mettre fin à toutes les initiatives, bureaux et programmes DEIA”, poursuit le message, publié sur X mardi soir, alors que par ailleurs Trump a demandé la destitution de plus d’un millier de responsables de l’ancienne administration démocrate. Peu avant, c’est l’évêque épiscopalienne de Washington, Mariann Budde, qui était dans le collimateur, au lendemain d’un sermon dans lequel elle s’était inquiétée de la peur semée par le président américain chez les immigrants et les membres de la communauté LGBTQ.”Cette pseudo-évêque (…) était une radicale de gauche, qui déteste Trump avec acharnement”, a écrit celui-ci tôt mercredi sur sa plateforme Truth Social. “Elle a introduit son église dans le monde de la politique de manière très ingrate. Elle était méchante par son ton et ce n’était ni convaincant ni intelligent… Elle et son église doivent des excuses au public !”, poursuit-il.Lors du service religieux à la cathédrale nationale de Washington, l’évêque avait exhorté Trump, assis au premier rang à côté de son épouse Melania, à la “miséricorde”.”Il y a des enfants gays, lesbiennes, transgenres de familles démocrates, républicaines ou indépendantes, dont certains craignent pour leurs vies”, avait-elle lancé, ajoutant que “la grande majorité des immigrants ne sont pas des criminels”.Investi lundi pour la deuxième fois président des Etats-Unis, Donald Trump avait aussitôt pris des décrets visant l’immigration clandestine et niant l’existence de personnes transgenres.Si le républicain était resté impassible durant le service religieux, sur Truth Social, il s’est lâché:  “Le service était très ennuyeux et sans inspiration. Elle n’est pas très douée dans son travail !”.- “Pas alignées” -Dans le même élan, Donald Trump a pris l’engagement de venger la “trahison” qu’a constituée, selon lui, l’élection en 2020 à la Maison Blanche du démocrate Joe Biden. Il a ainsi déclaré avoir enjoint à son équipe “d’identifier activement et de destituer plus de 1.000 personnes nommées par la précédente administration”.Des personnes “qui ne sont pas alignées avec notre vision pour rendre sa grandeur à l’Amérique”, a-t-il précisé sur Truth Social. Il a assuré que quatre personnes avaient déjà été “virées” – dont l’ancien chef d’état-major des armées Mark Milley, l’une de ses bêtes noires, démis d’une fonction de conseil. L’amirale Linda Fagan, nommée par Joe Biden à la tête des Gardes-côtes américains et première femme à diriger l’une des six branches de l’armée, a par ailleurs été limogée. La nouvelle administration a aussi retiré la protection policière dont jouissait John Bolton, ex-conseiller à la Sécurité nationale de la Maison Blanche sous le premier mandat du républicain, devenu un féroce critique.Interrogé à ce sujet, Donald Trump a lancé que son ancien conseiller était un homme “stupide”.Il a aussi défendu sa décision de gracier 1.500 personnes condamnées pour avoir attaqué le 6 janvier 2021 le Capitole afin d’empêcher l’arrivée au pouvoir de Joe Biden, ou de commuer leurs peines pour certains.Parmi les bénéficiaires de cette clémence, figurent les meneurs de deux milices d’extrême droite, les Oath Keepers et les Proud Boys. “Leurs peines étaient ridicules et excessives”, a lancé Donald Trump, qui juste avant cette attaque avait chauffé à blanc ses partisans par un discours sur une élection “truquée” – une affirmation mensongère qu’il maintient.- Investissements massifs dans l’IA -Mardi, le président républicain, soucieux de rendre à l’Amérique son “âge d’or”, a vanté devant la presse le projet “Stargate”, promettant des investissements d'”au moins 500 milliards de dollars” dans des infrastructures technologiques aux Etats-Unis.Il doit générer “quasi-immédiatement plus de 100.000 emplois”, a assuré le milliardaire.Stargate réunit le spécialiste du “cloud” (informatique à distance) Oracle, la société d’investissement japonaise SoftBank, et la start-up d’IA générative OpenAI, dont les dirigeants étaient présents à la Maison Blanche.Le patron de SoftBank, Masayoshi Son, a précisé que la coentreprise allait “commencer à déployer immédiatement 100 milliards de dollars”, avec l’objectif d’atteindre un total de 500 sur quatre ans.”Nous n’aurions pas pu faire ça sans vous”, a déclaré Masayoshi Son, dont le titre de la compagnie s’est envolé de plus de 10% en clôture à la Bourse de Tokyo. 

Trump suspend les employés des programmes de diversité aux Etats-Unis

Le président américain Donald Trump a suspendu les employés des programmes de diversité en les mettant en congé forcé d’ici mercredi soir, tout en se lançant dans une charge violente contre l’évêque de Washington pour son sermon en faveur des migrants et des transgenres.Les employés travaillant dans les programmes de diversité, dont Trump a ordonné la fermeture, seront suspendus d’ici mercredi soir, a confirmé la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, sur le réseau social X.Elle a confirmé un message du Bureau fédéral de la gestion du personnel qui demande d’informer “tous les employés des bureaux DEIA (Diversité, Équité, Inclusion et Accessibilité) qu’ils sont placés en congé administratif payé avec effet immédiat”. L’administration “prend des mesures pour fermer/mettre fin à toutes les initiatives, bureaux et programmes DEIA”, poursuit le message, publié sur X mardi soir, alors que par ailleurs Trump a demandé la destitution de plus d’un millier de responsables de l’ancienne administration démocrate. Peu avant, c’est l’évêque épiscopalienne de Washington, Mariann Budde, qui était dans le collimateur, au lendemain d’un sermon dans lequel elle s’était inquiétée de la peur semée par le président américain chez les immigrants et les membres de la communauté LGBTQ.”Cette pseudo-évêque (…) était une radicale de gauche, qui déteste Trump avec acharnement”, a écrit celui-ci tôt mercredi sur sa plateforme Truth Social. “Elle a introduit son église dans le monde de la politique de manière très ingrate. Elle était méchante par son ton et ce n’était ni convaincant ni intelligent… Elle et son église doivent des excuses au public !”, poursuit-il.Lors du service religieux à la cathédrale nationale de Washington, l’évêque avait exhorté Trump, assis au premier rang à côté de son épouse Melania, à la “miséricorde”.”Il y a des enfants gays, lesbiennes, transgenres de familles démocrates, républicaines ou indépendantes, dont certains craignent pour leurs vies”, avait-elle lancé, ajoutant que “la grande majorité des immigrants ne sont pas des criminels”.Investi lundi pour la deuxième fois président des Etats-Unis, Donald Trump avait aussitôt pris des décrets visant l’immigration clandestine et niant l’existence de personnes transgenres.Si le républicain était resté impassible durant le service religieux, sur Truth Social, il s’est lâché:  “Le service était très ennuyeux et sans inspiration. Elle n’est pas très douée dans son travail !”.- “Pas alignées” -Dans le même élan, Donald Trump a pris l’engagement de venger la “trahison” qu’a constituée, selon lui, l’élection en 2020 à la Maison Blanche du démocrate Joe Biden. Il a ainsi déclaré avoir enjoint à son équipe “d’identifier activement et de destituer plus de 1.000 personnes nommées par la précédente administration”.Des personnes “qui ne sont pas alignées avec notre vision pour rendre sa grandeur à l’Amérique”, a-t-il précisé sur Truth Social. Il a assuré que quatre personnes avaient déjà été “virées” – dont l’ancien chef d’état-major des armées Mark Milley, l’une de ses bêtes noires, démis d’une fonction de conseil. L’amirale Linda Fagan, nommée par Joe Biden à la tête des Gardes-côtes américains et première femme à diriger l’une des six branches de l’armée, a par ailleurs été limogée. La nouvelle administration a aussi retiré la protection policière dont jouissait John Bolton, ex-conseiller à la Sécurité nationale de la Maison Blanche sous le premier mandat du républicain, devenu un féroce critique.Interrogé à ce sujet, Donald Trump a lancé que son ancien conseiller était un homme “stupide”.Il a aussi défendu sa décision de gracier 1.500 personnes condamnées pour avoir attaqué le 6 janvier 2021 le Capitole afin d’empêcher l’arrivée au pouvoir de Joe Biden, ou de commuer leurs peines pour certains.Parmi les bénéficiaires de cette clémence, figurent les meneurs de deux milices d’extrême droite, les Oath Keepers et les Proud Boys. “Leurs peines étaient ridicules et excessives”, a lancé Donald Trump, qui juste avant cette attaque avait chauffé à blanc ses partisans par un discours sur une élection “truquée” – une affirmation mensongère qu’il maintient.- Investissements massifs dans l’IA -Mardi, le président républicain, soucieux de rendre à l’Amérique son “âge d’or”, a vanté devant la presse le projet “Stargate”, promettant des investissements d'”au moins 500 milliards de dollars” dans des infrastructures technologiques aux Etats-Unis.Il doit générer “quasi-immédiatement plus de 100.000 emplois”, a assuré le milliardaire.Stargate réunit le spécialiste du “cloud” (informatique à distance) Oracle, la société d’investissement japonaise SoftBank, et la start-up d’IA générative OpenAI, dont les dirigeants étaient présents à la Maison Blanche.Le patron de SoftBank, Masayoshi Son, a précisé que la coentreprise allait “commencer à déployer immédiatement 100 milliards de dollars”, avec l’objectif d’atteindre un total de 500 sur quatre ans.”Nous n’aurions pas pu faire ça sans vous”, a déclaré Masayoshi Son, dont le titre de la compagnie s’est envolé de plus de 10% en clôture à la Bourse de Tokyo.Â