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Est de la RDC: l’ONU appelle au retrait des forces rwandaises, lourde offensive près de Goma

Le chef de l’ONU a appelé dimanche au retrait des forces rwandaises, qui combattent l’armée congolaise dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) avec le groupe armé du M23 et ont avancé avec lui jusqu’aux portes de la grande ville de Goma.Après l’échec d’une médiation RDC-Rwanda sous l’égide de l’Angola, le M23 et …

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Des centaines d’habitants du sud du Liban bravent l’armée israélienne, 15 morts

Des centaines d’habitants du sud du Liban ont bravé dimanche l’armée israélienne et tenté de retourner dans leurs villages, certains toujours occupés par les forces israéliennes qui ont ouvert le feu en leur direction, faisant 15 morts selon les autorités libanaises.Des correspondants de l’AFP ont vu des convois de dizaines de voitures, brandissant les drapeaux …

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L’Ouest encore sous la pluie et le vent avec la dépression Herminia

Une crue jamais vue depuis plus de 40 ans à Rennes, des rafales à plus de 100 km/h, le village du Vendée Globe fermé, la circulation: la dépression Herminia jouait les trouble-fête dimanche dans l’ouest du pays et la situation va se poursuivre lundi.Dans la capitale bretonne, traversée par deux rivières, l’Ille et la Vilaine, “nous sommes aujourd’hui (dimanche) à des valeurs qui sont supérieures à celles qu’on avait constatées en 1981″, année de référence pour les crues, a commenté la maire, Nathalie Appéré, lors d’un point presse dimanche matin.La montée des eaux du canal de l’Ille et Rance a conduit la mairie à prendre samedi soir un arrêté d’évacuation de quatre rues et à ouvrir trois gymnases pour accueillir les personnes ne pouvant rentrer ou rester chez elles.”On a pris un arrêté d’évacuation hier (samedi) soir sur quatre rues (…), des habitations qui sont derrière une digue qui les protège normalement, et là l’eau est passée au-dessus de la digue”, a précisé Mme Appéré.Le secteur compte une centaine d’habitations, selon la maire. Vingt-six personnes ont été accueillies dans un gymnase ouvert par la ville.Ce quartier coincé entre le canal d’Ille et Rance et l’Ille avait les pieds dans l’eau dimanche.”Ça fait 40 ans que j’habite le quartier, je n’ai jamais vu ça”, a expliqué à l’AFP Bruno Lorandel, 47 ans. Dans ses locaux professionnel, ce producteur en audiovisuel a “des dégâts depuis hier”, avec une partie du matériel perdu. “On est en train d’écoper l’eau dans les caves”, a-t-il raconté.”Je trouve ça assez impressionnant, assez inquiétant parce que ça a monté vite”, témoignait à l’AFP TV Sylvie Bannier, assistante commerciale, non loin de voitures à moitié sous l’eau.- Risque d’avalanches -Herminia succède à la tempête Eowyn, d’une violence exceptionnelle outre-Manche. Elle a entrainé des pluies et des coups de vent sur le nord-ouest de la France, dans des zones où les sols sont déjà saturés d’eau.Météo-France a placé en vigilance orange vents les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées et le Rhône jusqu’à lundi. A Yraty, station de ski pyrénéenne, le vent a soufflé jusqu’à 189,7 km/h.Le Morbihan passera en orange pour pluie-inondation à partir de 18H00 dimanche. Le Calvados, l’Ille-et-Vilaine, la Mayenne et l’Orne resteront en vigilance orange crues jusqu’à lundi. S’y ajoute le Maine-et-Loire pour dimanche et lundi.Le Finistère et le Morbihan seront en alerte orange vagues submersion lundi.En montagne, les Hautes-Alpes seront en alerte orange avalanches lundi.”Des nouvelles pluies sont attendues ce soir, notamment sur l’ouest du pays, avec des rafales pouvant ponctuellement atteindre les 100 km/h, mais pas de façon généralisée”, a fait savoir Météo-France dans son bulletin de 16H00.Dans le Morbihan, “les cumuls deviendront localement importants, jusqu’à 40 à 60 mm en 24 heures”.Pour Rennes, “c’est l’équivalent de 15 jours de précipitation” qui pourraient encore tomber, a indiqué la maire de la ville.Sur l’ensemble du département, 10 communes ont mis en place des plans de sauvegarde depuis vendredi, a fait savoir la préfecture.Plus généralement, “la tendance à la hausse va se poursuivre sur la plupart des cours d’eau placés en vigilance”, avertit Vigicrues.Plus au sud, aux Sables d’Olonne, le village du Vendée Globe, installé depuis le départ du tour du monde à la voile le 10 novembre dernier, a été fermé au public.Selon une source proche de la direction de course, les mauvaises conditions pourraient obliger les skippers Benjamin Dutreux et Clarisse Crémer, attendus dimanche, à s’abriter à La Rochelle (Charente-Maritime) ou Lorient (Morbihan) une fois la ligne passée au large de la citée vendéenne car l’entrée dans le port pourrait être trop dangereuse.La dépression Herminia pourrait perturber la circulation de trains “notamment sur les côtes de la Manche”, selon la SNCF.Dans les Pays de la Loire, la chute d’un arbre a perturbé la circulation entre Nantes et Angers.En Bretagne, l’impact  sur le trafic ferroviaire est moindre qu’annoncé. La circulation des trains entre Rennes et Saint-Malo sera normale et les trains Rennes Saint-Brieuc et Rennes Vannes circuleront à vitesse normale dimanche soir.

Open d’Australie: “juste trop fort”, le N.1 mondial Jannik Sinner réalise le doublé à Melbourne

Injouable: tenant du titre à Melbourne, le N.1 mondial Jannik Sinner a écÅ“uré son dauphin Alexander Zverev, dimanche en finale de l’Open d’Australie, pour décrocher un troisième sacre en Grand Chelem.L’Italien de 23 ans, désormais le joueur le plus titré de son pays dans les Majeurs, s’est imposé 6-3, 7-6 (7/4), 6-3 face à l’Allemand, 2e du classement ATP.”C’était une super performance de ma part”, a estimé le vainqueur en conférence de presse. Par rapport à sa première victoire, “il y avait peut-être un peu plus de pression et d’attention autour de moi. Mais d’un autre côté, je savais que j’en étais capable parce que je l’avais déjà fait une fois”, a-t-il ajouté.Sur le court de la Rod Laver Arena, théâtre samedi de la défaite surprise de la double tenante du titre Aryna Sabalenka contre l’Américaine Madison Keys, Sinner a remporté une 21e victoire de rang, la plus longue série de succès de sa carrière.Après le cri de surprise de Madison Keys pour célébrer sa victoire, Sinner a fêté son 3e titre majeur tout en sobriété, à l’image de sa personnalité discrète, se contentant de se prendre la tête à deux mains avant d’aller enlacer ses proches.Après ce troisième revers en autant de finales en Grand Chelem, Zverev est lui allé s’asseoir sur son banc les yeux humides, son regard se perdant dans le vide pendant quelques instants.”C’est nul d’être à côté de ce truc et de ne pas pouvoir le toucher”, a ri jaune l’Allemand en ouverture de son discours d’après-match, prononcé à quelques centimètres du trophée du vainqueur.”Jannik, tu es de loin le meilleur joueur au monde. J’espérais pouvoir te mener la vie plus dure aujourd’hui (dimanche), mais tu es juste trop fort”, a ajouté Zverev.- Sans pitié -Sinner a exhorté son adversaire malheureux à “continuer à croire” en lui. “Joueurs, entraîneurs… Tous les acteurs de ce sport sont convaincus que tu vas bientôt soulever” un trophée du Grand Chelem, a tenté de le consoler l’Italien.Sur le court, le champion aux boucles rousses s’était en revanche montré sans pitié, ne laissant pas la moindre balle de break à son adversaire et bénéficiant en outre d’un peu de réussite à un moment clé du 2e set.L’Italien, vainqueur de l’US Open en 2024 en plus de ses deux titres à Melbourne, n’a plus été vaincu depuis la finale du tournoi de Pékin en octobre, en dépit d’une affaire de dopage dans laquelle le Tribunal arbitral du sport (TSA) doit l’auditionner mi-avril. Après un contrôle positif à un anabolisant en mars 2024, une contamination que l’Italien présente comme accidentelle, l’Agence mondiale antidopage réclame une suspension d’un à deux ans à son encontre.”Actuellement, je ne pense pas à ça. Je viens d’achever un super tournoi, je veux profiter de ce moment”, a commenté Sinner, “la conscience tranquille sur ce qui s’est passé”.Le patron du circuit masculin a confirmé en Australie sa suprématie actuelle sur dur, une surface sur laquelle il avait remporté en novembre ses premières Finales ATP et une 2e Coupe Davis d’affilée avec l’Italie.Qu’il s’agisse du gazon ou de la terre battue, sur lesquels se jouent les Grands Chelems qu’il n’a pas encore remportés, Sinner a jugé qu’il devait “encore progresser sur les autres surfaces. Je vais investir beaucoup d’énergie là-dedans”, a-t-il promis.”Je pense qu’il peut atteindre le plus haut niveau, et quand je parle du plus haut niveau je veux dire celui de Novak (Djokovic), Roger (Federer) et Rafael (Nadal)”, a estimé après la finale son entraineur Simone Vagnozzi.A 27 ans, Zverev continue pour sa part à voir les Grands Chelems se refuser à lui, après deux défaites en cinq sets à l’US Open en 2020 et à Roland-Garros en 2024. Dernier Allemand sacré dans un Majeur chez les hommes, en 1996 à l’Open d’Australie, Boris Becker devra donc encore patienter pour trouver son successeur.

Bélarus: Loukachenko vers un 7e mandat présidentiel, l’opposition dénonce une “farce”

Les Bélarusses votent dimanche lors d’une élection présidentielle sans suspense qui doit assurer un septième mandat consécutif à l’autocrate assumé Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 1994, un scrutin qualifié de “farce” par l’opposition en exil. “Nous avons une démocratie brutale au Bélarus”, a lancé le président de 70 ans lors d’une conférence de presse à Minsk à laquelle assistait un journaliste de l’AFP, après avoir voté pour ce scrutin dénué d’enjeu.Le dirigeant a reconnu que les personnes qui avaient participé aux grandes manifestations inédites contre son pouvoir en 2020 avaient depuis été exclues de certains emplois, affirmant qu”ils pouvaient solliciter une grâce s’ils reconnaissent “qu’ils ont eu tort”.”Nous ne poursuivrons pas tout le monde, mais nous les surveillons”, a-t-il prévenu, alors qu’il s’appuie depuis trois décennies sur le tout-puissant KGB local.Assuré d’un nouveau scrutin de cinq ans dans cette ex-république soviétique frontalière de l’UE, de l’Ukraine et de la Russie, M. Loukachenko a aussi exclu tout dialogue avec l’opposition en exil, dont sa cheffe, Svetlana Tikhanovskaïa, l’a qualifié dimanche de “criminel”.”Ce qui se passe aujourd’hui est une farce”, a-t-elle dénoncé lors d’un rassemblement à Varsovie. Seuls quatre candidats triés sur le volet par le pouvoir font de la figuration au scrutin qui se terminera à 17H00 GMT.Elle a également appelé à la libération de tous les prisonniers politiques, dont le prix Nobel de la paix Ales Bialiatski, ainsi qu’à la tenue d’élections libres.L’UE et les ONG de défense des droits humains ont qualifié cette élection de mise en scène, la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas estimant samedi que M. Loukachenko “n’a aucune légitimité”.- “Je ne regrette rien” -Durant son sixième mandat, Alexandre Loukachenko a totalement étouffé toute dissidence après les grandes manifestations de 2020. Soutenu par son allié russe Vladimir Poutine, il avait réussi il y a près de cinq ans à consolider son pouvoir avec des arrestations, des violences et de longues peines de prison visant opposants, journalistes, employés d’ONG et simples manifestants.Selon l’ONU, plus de 300.000 Bélarusses, sur une population de neuf millions, ont fui leur pays pour des raisons politiques.Depuis, Alexandre Loukachenko s’est rapproché de Vladimir Poutine, qu’il a qualifié dimanche de “grand frère”, jusqu’à mettre à disposition de l’armée russe son territoire pour envahir l’Ukraine en 2022.Interrogé par l’AFP sur d’éventuels regrets au vu de l’ampleur du bilan humain de l’invasion russe en trois ans, il a répondu d’un ton ferme: “Je ne regrette rien”.A Minsk, Irina Lebedeva, une retraitée de 68 ans, dit à l’AFP avoir voté pour lui. “Grâce à notre président, il y a la paix dans le pays”, justifie-t-elle. Nadejda Goujalovskaïa, 74 ans, a aussi voté pour “batka”, le “père” en bélarusse. Mais elle reconnaît du bout des lèvres tant le sujet est tabou: “Peut-être que tout n’est pas parfait, que nous ne sommes pas en démocratie…”.M. Loukachenko, que certains soupçonnent de vouloir transférer le pouvoir à l’un de ses trois fils, a par ailleurs démenti la rumeur. Son plus jeune fils, Nikolaï, “ne rêverait pas dans son pire cauchemar” de devenir président et “aucun de mes fils ne le pourrait”, a-t-il assuré aux journalistes.- Alliance avec Poutine -Face à la répression, les Occidentaux ont imposé de lourdes sanctions au Bélarus, conduisant Alexandre Loukachenko à accélérer son rapprochement avec le Kremlin, abandonnant son jeu d’équilibriste entre Moscou et l’Occident.Illustration de cette alliance, l’armée russe a déployé au Bélarus à l’été 2023 des armes nucléaires tactiques, une menace pour Kiev mais également pour les membres de l’Otan bordant le pays (Lituanie, Lettonie, Pologne).M. Loukachenko, ancien directeur de ferme collective, a répété dimanche vouloir recevoir sur son sol les nouveaux missiles russes hypersoniques “Orechnik”, d’une portée de plusieurs milliers de kilomètres.Les organisations de défense des droits humains estiment que le pays compte toujours plus de 1.200 prisonniers politiques.

Bélarus: Loukachenko vers un 7e mandat présidentiel, l’opposition dénonce une “farce”

Les Bélarusses votent dimanche lors d’une élection présidentielle sans suspense qui doit assurer un septième mandat consécutif à l’autocrate assumé Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 1994, un scrutin qualifié de “farce” par l’opposition en exil. “Nous avons une démocratie brutale au Bélarus”, a lancé le président de 70 ans lors d’une conférence de presse à Minsk à laquelle assistait un journaliste de l’AFP, après avoir voté pour ce scrutin dénué d’enjeu.Le dirigeant a reconnu que les personnes qui avaient participé aux grandes manifestations inédites contre son pouvoir en 2020 avaient depuis été exclues de certains emplois, affirmant qu”ils pouvaient solliciter une grâce s’ils reconnaissent “qu’ils ont eu tort”.”Nous ne poursuivrons pas tout le monde, mais nous les surveillons”, a-t-il prévenu, alors qu’il s’appuie depuis trois décennies sur le tout-puissant KGB local.Assuré d’un nouveau scrutin de cinq ans dans cette ex-république soviétique frontalière de l’UE, de l’Ukraine et de la Russie, M. Loukachenko a aussi exclu tout dialogue avec l’opposition en exil, dont sa cheffe, Svetlana Tikhanovskaïa, l’a qualifié dimanche de “criminel”.”Ce qui se passe aujourd’hui est une farce”, a-t-elle dénoncé lors d’un rassemblement à Varsovie. Seuls quatre candidats triés sur le volet par le pouvoir font de la figuration au scrutin qui se terminera à 17H00 GMT.Elle a également appelé à la libération de tous les prisonniers politiques, dont le prix Nobel de la paix Ales Bialiatski, ainsi qu’à la tenue d’élections libres.L’UE et les ONG de défense des droits humains ont qualifié cette élection de mise en scène, la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas estimant samedi que M. Loukachenko “n’a aucune légitimité”.- “Je ne regrette rien” -Durant son sixième mandat, Alexandre Loukachenko a totalement étouffé toute dissidence après les grandes manifestations de 2020. Soutenu par son allié russe Vladimir Poutine, il avait réussi il y a près de cinq ans à consolider son pouvoir avec des arrestations, des violences et de longues peines de prison visant opposants, journalistes, employés d’ONG et simples manifestants.Selon l’ONU, plus de 300.000 Bélarusses, sur une population de neuf millions, ont fui leur pays pour des raisons politiques.Depuis, Alexandre Loukachenko s’est rapproché de Vladimir Poutine, qu’il a qualifié dimanche de “grand frère”, jusqu’à mettre à disposition de l’armée russe son territoire pour envahir l’Ukraine en 2022.Interrogé par l’AFP sur d’éventuels regrets au vu de l’ampleur du bilan humain de l’invasion russe en trois ans, il a répondu d’un ton ferme: “Je ne regrette rien”.A Minsk, Irina Lebedeva, une retraitée de 68 ans, dit à l’AFP avoir voté pour lui. “Grâce à notre président, il y a la paix dans le pays”, justifie-t-elle. Nadejda Goujalovskaïa, 74 ans, a aussi voté pour “batka”, le “père” en bélarusse. Mais elle reconnaît du bout des lèvres tant le sujet est tabou: “Peut-être que tout n’est pas parfait, que nous ne sommes pas en démocratie…”.M. Loukachenko, que certains soupçonnent de vouloir transférer le pouvoir à l’un de ses trois fils, a par ailleurs démenti la rumeur. Son plus jeune fils, Nikolaï, “ne rêverait pas dans son pire cauchemar” de devenir président et “aucun de mes fils ne le pourrait”, a-t-il assuré aux journalistes.- Alliance avec Poutine -Face à la répression, les Occidentaux ont imposé de lourdes sanctions au Bélarus, conduisant Alexandre Loukachenko à accélérer son rapprochement avec le Kremlin, abandonnant son jeu d’équilibriste entre Moscou et l’Occident.Illustration de cette alliance, l’armée russe a déployé au Bélarus à l’été 2023 des armes nucléaires tactiques, une menace pour Kiev mais également pour les membres de l’Otan bordant le pays (Lituanie, Lettonie, Pologne).M. Loukachenko, ancien directeur de ferme collective, a répété dimanche vouloir recevoir sur son sol les nouveaux missiles russes hypersoniques “Orechnik”, d’une portée de plusieurs milliers de kilomètres.Les organisations de défense des droits humains estiment que le pays compte toujours plus de 1.200 prisonniers politiques.

Bélarus: Loukachenko vers un 7e mandat présidentiel, l’opposition dénonce une “farce”

Les Bélarusses votent dimanche lors d’une élection présidentielle sans suspense qui doit assurer un septième mandat consécutif à l’autocrate assumé Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 1994, un scrutin qualifié de “farce” par l’opposition en exil. “Nous avons une démocratie brutale au Bélarus”, a lancé le président de 70 ans lors d’une conférence de presse à Minsk …

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Des centaines d’habitants du sud du Liban bravent l’armée israélienne, 15 morts

Des centaines d’habitants du sud du Liban ont bravé dimanche l’armée israélienne et tenté de retourner dans leurs villages, certains toujours occupés par les forces israéliennes qui ont ouvert le feu en leur direction, faisant 15 morts selon les autorités libanaises.Des correspondants de l’AFP ont vu des convois de dizaines de voitures, brandissant les drapeaux …

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