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Le taux du Livret A va baisser à 2,4% au 1er février

Le taux du livret A va baisser à 2,4% le 1er février, contre 3% actuellement, sur décision mercredi du ministère de l’Economie, qui a en revanche accordé un “coup de pouce” aux douze millions d’épargnants les plus modestes détenteurs d’un Livret d’épargne populaire, qui leur rapportera 3,5%.”Après la baisse de l’inflation, ces nouveaux taux protègent l’épargne des Français”, a déclaré le ministre Eric Lombard, cité dans un communiqué.Le locataire de Bercy, comme plus tôt dans la journée le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau, a choisi de s’en tenir pour la fixation du taux du Livret A au strict calcul de la formule, intégrant pour moitié l’inflation relevée ces six derniers mois.Il avait préparé les esprits en évoquant la semaine dernière un taux “autour de 2,5%”.La baisse, inédite depuis début 2020 et par son ampleur depuis 2009, reflète le ralentissement de la hausse des prix l’an dernier.”Offrir un meilleur taux que ce qu’implique la formule se justifiait surtout quand l’inflation était forte”, a cependant observé dans une note le directeur des études économiques à l’IESEG School of Management Eric Dor.Le taux du Livret A, revu deux fois par an et aussi valable pour le Livret de développement durable et solidaire (LDDS), est éminemment politique et a fait l’objet de fréquentes dérogations ces dernières années.- Consommer plutôt qu’épargner -La baisse du taux du Livret A offre un bol d’air aux acteurs qui le rémunèrent : les banques (les analystes de Jefferies ont d’ailleurs salué une “bonne surprise” pour la marge de ces dernières) et la Caisse des dépôts (CDC) qu’Éric Lombard dirigeait jusqu’à sa nomination en tant que ministre fin décembre.”Cette baisse de taux est une bonne nouvelle pour le logement, car elle va stimuler la construction de logements sociaux, ce qui est une priorité pour ce gouvernement”, a affirmé M. Lombard.Les sommes déposées sur les Livrets A et les LDDS sont pour majorité destinées au financement du logement social et à la politique de la ville, via la “Caisse”.”Cette baisse permettra de soutenir l’investissement, enjeu majeur dans un contexte de crise du logement sans précédent”, s’est félicitée dans un communiqué la fédération des entreprises sociales pour l’habitat (ESH).”Les bailleurs qui font face à la hausse des coûts de production et aux enjeux majeurs de rénovation, en ont besoin”, a abondé Emmanuelle Cosse, présidente de l’Union sociale pour l’habitat (USH).Cette baisse du taux sera aussi vue d’un bon Å“il par les assureurs, qui vendent un produit d’épargne concurrent, l’assurance-vie.Le gouvernement “souhaite (…) favoriser la consommation des ménages qui est atone depuis des mois”, analyse de son côté Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’épargne.”Pour autant, la baisse du taux du Livret A ne fait pas toujours le printemps de la consommation, qui obéit à des facteurs psychologiques”, pointe-t-il.Les Livrets A et les LDDS se sont garnis de 17,5 milliards d’euros supplémentaires entre janvier et novembre 2024, pour atteindre un encours de 582,3 milliards d’euros, selon les dernières données de la CDC.- Coup de pouce pour le LEP -Si la formule de calcul a été strictement appliquée pour le taux du Livret A, le Livret d’épargne populaire (LEP) a bénéficié d’un “coup de pouce” : il descendra de 4% à 3,5% au lieu des 2,9% théoriquement prévus.”Il est essentiel de poursuivre cet élan en faveur de l’épargne populaire”, a justifié mercredi M. Villeroy de Galhau devant la commission des finances du Sénat.Le nombre de détenteurs de ce livret, accessible sous conditions de revenus, a tendance à plafonner : il s’élevait à 11,8 millions fin 2024, loin des 19 millions de ménages qui pourraient y prétendre. La Banque de France a pour objectif d’en ouvrir un million de plus cette année.  “Les banques peuvent et doivent faire encore mieux” pour commercialiser ce produit, a souligné le gouverneur devant les sénateurs. D’eux-mêmes, les établissements bancaires ne participent que timidement à l’essor du LEP.

Cuba: la libération de prisonniers a commencé après l’allègement des sanctions par Washington

Le gouvernement cubain a commencé à libérer des prisonniers mercredi matin, ont indiqué à l’AFP des proches de personnes libérées, comme il l’avait annoncé la veille après le retrait par Washington de l’île de la liste des pays soutenant le terrorisme. “Nous avons reçu hier soir un appel” des autorités “pour nous rendre aujourd’hui (mercredi) à …

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Cuba: la libération de prisonniers a commencé après l’allègement des sanctions par Washington

Le gouvernement cubain a commencé à libérer des prisonniers mercredi matin, ont indiqué à l’AFP des proches de personnes libérées, comme il l’avait annoncé la veille après le retrait par Washington de l’île de la liste des pays soutenant le terrorisme. “Nous avons reçu hier soir un appel” des autorités “pour nous rendre aujourd’hui (mercredi) à la prison”, a déclaré à l’AFP Rosabel Loreto, qui a indiqué qu’à 07H30 du matin, sa belle-mère Donaida Perez Paseiro, 53 ans, “a été libérée” dans la province de Villa Clara (centre). Cette dernière, déclarée “prisonnière d’opinion” par Amnesty international pour sa participation aux manifestations antigouvernementales de juillet 2021, a pris peu après la parole dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux. “Afin que Cuba soit retirée de la liste des pays terroristes, nous avons été leur monnaie d’échange”, a-t-elle dénoncé. “J’espère avoir bientôt mon mari et mes frères de lutte dans la rue. Nous sommes ici, nous continuerons à nous battre pour la liberté de Cuba”.La mère et épouse de deux autres manifestants emprisonnés a indiqué à l’AFP, sous condition d’anonymat, avoir reçu un “appel de la sécurité de l’Etat” et que sa fille, condamnée à dix ans de prison pour avoir manifesté en juillet 2021, avait été libérée mercredi matin à La Havane. Cuba a annoncé mardi que 553 prisonniers allaient être libérés, sans préciser la date de ces libérations, ni fournir de liste des prisonniers concernés par cette annonce. Aucune information officielle n’a été communiquée mercredi sur le début du processus de libération. En début de matinée, des proches ont commencé à publier les noms de prisonniers libérés sur les réseaux sociaux. A la mi-journée, une dizaine de détenus avaient été libérés, selon ces proches.La plupart sont des manifestants condamnés pour leur participation aux manifestations des 11 et 12 juillet 2021, les plus importantes depuis l’avènement de la révolution castriste en 1959.L’ONG Justicia11J, dont le siège est au Mexique, a annoncé sur X la libération d’une autre prisonnière. “La prisonnière politique Reyna Yacnara Barreto Batista a été libérée ce mercredi 15 janvier 2025, après l’annonce du régime de Cuba concernant la +remise en liberté de 553 personnes condamnées pour divers délits, réalisée dans le cadre des négociations avec les États-Unis+”, a indiqué l’ONG.- “Longue nuit” -Mardi, Joe Biden a annoncé le retrait de l’île communiste de la liste noire des Etats soutenant le terrorisme. Un haut responsable américain avait indiqué que parmi les personnes libérées devaient figurer des “défenseurs des droits humains”, dont des manifestants emprisonnés et que la libération “interviendrait dans un délai relativement court”. L’accord a été négocié avec l’aide de l’église catholique.La décision du président américain intervient avant la prestation de serment lundi de Donald Trump, dont le parti soutient une ligne dure contre les autorités communistes cubaines. Il est possible que Donald Trump décide de remettre Cuba sur la liste noire après son arrivée au pouvoir.Quelques jours avant de céder le pouvoir à Joe Biden en janvier 2021, l’ancien et désormais futur président républicain avait en effet pris la décision exactement inverse à celle du président démocrate, celle de placer Cuba sur cette liste où figurent aussi la Corée du nord, l’Iran et la Syrie.D’autres familles attendaient toujours mercredi des nouvelles de leurs proches emprisonnés. “Cette nuit a été longue (…) Beaucoup de nervosité, en attendant que le téléphone sonne et qu’ils nous appellent et me disent d’aller le chercher”, a expliqué à l’AFP Liset Fonseca, mère de Roberto Pérez, 41 ans, condamné à dix ans de prison. “Je suis toujours dans l’attente, attendre, attendre, c’est-à-dire, en clair, nous n’avons toujours rien”, se désespérait-elle mercredi matin, dans sa maison de San José de las Lajas, à 32 km au sud-est de La Havane. Selon des chiffres officiels, quelque 500 personnes ont été condamnées à des peines allant jusqu’à 25 ans de prison pour leur participation aux manifestations des 11 et 12 juillet 2021.Des ONG et l’ambassade des Etats-Unis à Cuba comptabilisent au total un millier de “prisonniers politiques” sur l’île.La Havane nie l’existence de prisonniers politiques et accuse les opposants d’être des “mercenaires” à la solde de Washington.

Retraites, Éducation: Bayrou fait deux concessions au PS

François Bayrou a fait deux gestes mercredi envers les socialistes, promettant de soumettre au Parlement un accord, même partiel, des partenaires sociaux sur les retraites, et renonçant aux 4.000 suppressions de postes dans l’Éducation nationale.Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure demandait, pour ne pas voter la motion de censure qui sera examinée jeudi, que le Parlement soit saisi, quelles que soient les conclusions du “conclave” des syndicats et du patronat prévu pour trois mois sur la question des retraites.Le Premier ministre a répondu en partie à cette demande lors des questions au gouvernement à l’Assemblée puis dans sa Déclaration de politique générale au Sénat. Il a évoqué trois scénarii qui pourraient se produire à l’issue de cette “conférence sociale” destinée à revisiter la réforme contestée d’Elisabeth Borne.”Désaccord: on en reste au texte actuel. Accord complet: on fait un texte de loi. Accord partiel: on traduit l’accord partiel dans un texte d’amélioration de notre système de retraite. C’est la voie la plus franche, la plus transparente, la plus honnête qu’on pouvait trouver sur ces sujets-là”, a-t-il détaillé.Mais il s’est heurté à une fin de non-recevoir. “Le compte n’y est pas”, lui a rétorqué Patrick Kanner, chef de file des sénateurs PS. “Votre discours ne nous permet pas d’avoir une vision claire de l’équilibre général de votre budget”, a-t-il ajouté, se disant “inquiet” de “découvrir les sujets sur lesquels vous ferez de nouvelles économies”.Et même “dans l’hypothèse où les conditions seraient réunies pour que nous ne censurions pas votre gouvernement, nous ne vous signons pas de chèque en blanc”, a-t-il mis en garde.Le Premier ministre lui a répondu quelques instants plus tard en ajoutant un geste supplémentaire: renoncer aux 4.000 suppressions de postes prévues dans l’Éducation par le gouvernement précédent.- “Confiance” -Les 66 députés PS se sont réunis mercredi pour arrêter leur position sur la motion de censure déposée par leurs alliés de gauche, LFI en tête, à laquelle se sont ralliés les communistes et les Écologistes.A la fin de la réunion, aucune décision n’avait pourtant été prise.”Les instances du Parti socialiste et du groupe à l’Assemblée se réuniront d’ici le débat de censure”, a indiqué à l’AFP la direction du parti mercredi soir.Si le PS choisissait de voter la censure jeudi après-midi, le gouvernement ne tomberait pas pour autant, car le Rassemblement national (RN) a décidé de ne pas s’y associer.Le Premier ministre, qui avait douché les espoirs des socialistes la veille en laissant entendre que sans accord entre les partenaires sociaux, la loi Borne continuerait de s’appliquer, a redit au Sénat sa “confiance dans le fait que tous les partenaires sociaux ont le souhait, le désir, la volonté que des progrès soient trouvés”.Encore faudrait-il que les discussions démarrent. Après des signaux contradictoires, la première réunion du “conclave” promis en présence du Premier ministre devrait avoir lieu vendredi à 11H00.Le chef du gouvernement a balisé le chemin dans sa déclaration de politique générale: d’abord une “mission flash” de la Cour des comptes pour travailler sur “des chiffres indiscutables”, puis un trimestre de négociation “sans aucun totem (ni) tabou” même sur les 64 ans, sous réserve de ne pas “dégrader l’équilibre financier” du système de retraites.- “Couacs” -“Ce que propose François Bayrou est une comédie” et “il y a une possibilité qu’il parte très vite”, a dénoncé la cheffe des députés LFI Mathilde Panot, appelant le PS, qui continue de négocier avec le gouvernement, à “revenir à la raison”.Les soutiens de l’exécutif ne brillent pas non plus par leur cohésion. L’homme fort des Républicains, Laurent Wauquiez, a estimé que le projet de M. Bayrou “reste très flou”, en dépit de “bonnes intentions”.Imprécisions en revanche excusées par la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, qui a affirmé que “faire un catalogue de mesures précises serait voué à l’échec”.Même au MoDem, le parti de M. Bayrou, le chef des députés Marc Fesneau a reconnu sur France Inter que le discours du Premier ministre “peut donner le sentiment (d’être) trop dans des généralités”. Mais, “l’important c’est d’essayer de trouver une méthode”.Le tout sous la tutelle d’Emmanuel Macron, qui a reçu mercredi le président du Sénat Gérard Larcher, après Mme Braun-Pivet la veille.Et si possible en évitant les couacs, comme celui du ministre de l’Aménagement du territoire François Rebsamen assumant mardi soir de “respecter toutes les forces politiques sauf le RN”. Une “insulte” aussitôt relevée par le président du parti d’extrême droite Jordan Bardella.La déclaration du ministre “n’est pas la position du gouvernement”, a tranché Sophie Primas.bur-gbh-ama-are-leo/hr/swi

Mine désaffectée en Afrique du Sud: 78 corps extraits en trois jours, les secours touchent à leur fin

Le décompte macabre s’est poursuivi au-dessus du puits d’or désaffecté d’Afrique du Sud avec 78 corps de mineurs clandestins extraits depuis le début de la semaine, a annoncé mercredi la police qui cerne le site depuis des mois pour déloger ces travailleurs illégaux.Le bilan pourrait en rester là car les opérations de secours touchent à …

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Mine désaffectée en Afrique du Sud: 78 corps extraits en trois jours, les secours touchent à leur fin

Le décompte macabre s’est poursuivi au-dessus du puits d’or désaffecté d’Afrique du Sud avec 78 corps de mineurs clandestins extraits depuis le début de la semaine, a annoncé mercredi la police qui cerne le site depuis des mois pour déloger ces travailleurs illégaux.Le bilan pourrait en rester là car les opérations de secours touchent à leur fin. “Deux volontaires sont remontés à la surface et nous ont indiqué qu’ils avaient ratissé le sous-sol et qu’il n’y avait plus de cadavres ou de personnes en vie sous terre”, a indiqué le chef de la police de la province du Nord-Ouest Patrick Asaneng lors d’un point presse.Une ultime “opération de ratissage” est prévue jeudi matin, a-t-il ajouté. Au moyen d’une “caméra” et d’un “système d’enregistrement vocal”, a précisé le patron de la société de secours Mannas Fourie, à la chaîne de télévision Newzroom Afrika. Auparavant chaque aller-retour de la nacelle, descendue au moyen d’un treuil spécialisé dans le puits de Stilfontein, à environ 150 km au sud-ouest de Johannesburg, empilait davantage de corps de mineurs en surface.Selon l’ultime décompte policier, un total de 246 mineurs sont sortis vivants de ce puits profond de 2,6 km aux airs de ville souterraine avant le début de l’opération. Les survivants sont souvent en piètre état au vu des membres décharnés de ceux qui ont émergé de cette mine aurifère.Un nombre incertain de mineurs clandestins y demeuraient depuis des mois sous terre, trop faibles pour remonter par la seule corde qui leur permettait de revenir à la surface auparavant, selon plusieurs témoignages.La police les avaient estimés à plusieurs centaines lorsqu’elle a commencé il y a plus de deux mois à limiter au minimum le ravitaillement en eau et nourriture du site. Cette stratégie visant à les pousser à sortir lui vaut aujourd’hui d’être accusée d’avoir provoqué la mort d’une partie de ces “zama zamas” (“Ceux qui essaient” en zoulou), comme sont appelés les mineurs clandestins.”Personne n’a empêché qui que ce soit de sortir”, a balayé mercredi la porte-parole de la police Athlenda Mathe.  “En fournissant de la nourriture, de l’eau et des produits de première nécessité à ces mineurs illégaux, la police aurait entretenu des activités minières illégales et laissé prospérer la criminalité.”Une vidéo transmise à l’AFP lundi par l’ONG Macua, qui défend les communautés affectées par les activités minières, montrait ce qui s’apparentait à des dizaines de dépouilles emballées dans l’obscurité des galeries.Plus de 1.500 mineurs clandestins, pour la plupart étrangers, ont été arrêtés sur le site par la police depuis août.Parmi ceux ressortis vivants depuis lundi “128 personnes ont été confirmées comme étant originaires du Mozambique, 80 du Lesotho, 33 du Zimbabwe et seulement 5 d’Afrique du Sud”, a détaillé le responsable policier de la province Patrick Asaneng.- Désaffecté depuis une décennie -Les hommes au visage émacié sortis mardi du puits ont tous été soumis à une fouille au détecteur de métal par la police pour s’assurer qu’ils ne remontaient aucune pépite d’or du sous-sol.”Nous allons les enfumer et ils sortiront”, avait lancé en novembre la ministre auprès de la présidence, Khumbudzo Ntshavheni, suscitant des réactions indignées.Sur ce site minier proche de l’Etat Libre, situé sur l’autre berge de la rivière Vaal à seulement 5 km, des vivres et de l’alcool parvenaient aux hommes en sous-sol avant l’opération de police, générant toute une économie informelle.La fermeture de l’ultime puits, le numéro 10, il y a dix ans a plongé la zone dans le marasme.Ces “zama zamas” sont des dizaines de milliers en Afrique du Sud et souvent sous la coupe de gangs criminels. Ce qui leur a tissé une mauvaise réputation auprès d’une part de la population sud-africaine.Beaucoup sont étrangers –98,5% des mineurs arrêtés sur le site de Stilfontein d’après le ministre des Ressources minérales, Gwede Mantashe–, ce qui vaut encore plus d’intransigeance envers les “zama zamas” dans un pays où les flambées xénophobes sont récurrentes.”C’est une activité criminelle. Il s’agit d’une attaque sur notre économie par des ressortissants étrangers”, a martelé mardi le ministre.Le bilan peut-être final de Stilfontein est “jamais vu en Afrique du Sud”, fustigeait mardi auprès de l’AFP Zinzi Tom, 31 ans, dont le frère vit au coeur des galeries souterraines depuis juillet. “Ce n’est pas le prochain Marikana mais déjà le massacre de Stilfontein”, accusait-elle dans un parallèle avec la mort en 2012 de 34 mineurs en grève à Marikana, sur lesquels la police avait ouvert le feu.

Accord sur un cessez-le-feu à Gaza après 15 mois de guerre entre Israël et le Hamas

Israël et le Hamas ont accepté mercredi un accord pour un cessez-le-feu à Gaza et la libération d’otages, après 15 mois d’une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts et plongé dans le chaos le territoire palestinien.Les négociations indirectes qui piétinaient depuis des mois s’étaient accélérées ces derniers jours en vue d’une …

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Accord sur un cessez-le-feu à Gaza, selon une source proche des discussions

Israël et le Hamas ont accepté mercredi un accord pour un cessez-le-feu à Gaza et la libération d’otages, mettant fin à 15 mois d’une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts dans le territoire palestinien, a annoncé une source proche des discussions.Les négociations indirectes qui piétinaient depuis des mois s’étaient accélérées ces …

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