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Le mensuel de BD Charlotte, avec Bastien Vivès, menacé faute d’agrément

Le mensuel de bande dessinée Charlotte, lancé entre autres avec Bastien Vivès en octobre, est menacé de disparition faute d’obtenir l’agrément de la Commission paritaire des publications, a indiqué son fondateur à l’AFP jeudi.Charlotte s’est vu refuser le statut de magazine d’information par la Commission paritaire des publications et des agences de presse (CPAP) en …

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ChatGPT désormais capable de créer des images inspirées du Studio Ghibli, sans accord de licence

La version actualisée de l’interface d’intelligence artificielle (IA) générative ChatGPT d’OpenAI permet désormais de produire une image inspirée du style du célèbre créateur japonais de films d’animation Studio Ghibli sans accord de licence, ce qui a relancé le débat sur l’utilisation de contenus pour développer ces logiciels.Il était déjà possible de générer des images grâce …

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Fuites de données: l’inquiétude croît chez les Français

Les consultations au sujet des fuites de données personnelles ont bondi sur la plateforme gouvernementale cybermalveillance.gouv.fr en 2024, révèle le rapport annuel de l’organisation, publié jeudi. Sur le site, dédié à l’assistance face aux menaces et actes malveillants en ligne, les demandes de particuliers liées à des fuites de données ont bondi de 82%, pour atteindre un total de 12.400. “Il y a eu beaucoup de fuites de données personnelles et bancaires”, explique Jérôme Notin, directeur général de la plateforme.Dans son rapport annuel, cybermalveillance.gouv.fr pointe également les potentielles conséquences importantes de ces fuites de données. Les éléments volés peuvent en effet être utilisés pour des actes de hameçonnage en ligne, de piratage ou de tentative d’escroquerie. En parallèle, le hameçonnage, qui consiste à piéger un utilisateur en ligne en l’incitant à cliquer sur un lien frauduleux ou à livrer des données personnelles, reste “la première menace pour tous les publics”. Ce type de menace a fait l’objet de 64.000 recherches d’assistance sur la plateforme, soit une hausse de 22%. Ces tentatives de hameçonnage très répandues prennent notamment la forme de faux mails de contravention, de SMS concernant la livraison de colis ou de messages d’une personne se faisant passer pour un enfant qui cherche à contacter ses parents. Le piratage de compte et l’arnaque au faux support technique font également partie des demandes d’assistance en ligne les plus fréquentes de la part des particuliers. S’agissant des entreprises et associations, le hameçonnage, le piratage de compte et les rançongiciels sont les trois motifs les plus fréquents de consultation de la plateforme. Il en va de même pour les collectivités et les administrations, pour qui les rançongiciels restent néanmoins plus élevés que les piratages de compte.Pour la première fois, “le cyber harcèlement, même s’il reste très bas, apparait pour les publics professionnels” dans les dix motifs les plus courants de demande d’assistance, souligne Jérôme Notin.Quant à l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA), le directeur général de la plateforme a tenu à relativiser la menace actuelle. “Ca reste un outil qui peut augmenter la capacité des attaquants (…) par contre, sauf cas très particuliers, on n’a pas encore d’utilisation massive démontré de l’IA” dans des cas de cybermalveillance. Au total, la plateforme en ligne a vu le nombre de demandes d’assistance augmenter de près de 50% en un an, à plus de 423.000 en 2024.

Fuites de données: l’inquiétude croît chez les Français

Les consultations au sujet des fuites de données personnelles ont bondi sur la plateforme gouvernementale cybermalveillance.gouv.fr en 2024, révèle le rapport annuel de l’organisation, publié jeudi. Sur le site, dédié à l’assistance face aux menaces et actes malveillants en ligne, les demandes de particuliers liées à des fuites de données ont bondi de 82%, pour atteindre un …

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Turquie: libération de huit journalistes, dont un de l’AFP

La justice turque a ordonné jeudi la libération du photographe de l’Agence France-Presse Yasin Akgül, arrêté lundi par les autorités qui l’accusaient d’avoir participé à une manifestation interdite qu’il couvrait en tant que journaliste à Istanbul, ainsi que celles de sept autres journalistes arrêtés au même motif, ont annoncé leurs avocats.Parmi ces journalistes figurent le …

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Turquie: libération de huit journalistes, dont un de l’AFP

La justice turque a ordonné jeudi la libération du photographe de l’Agence France-Presse Yasin Akgül, arrêté lundi par les autorités qui l’accusaient d’avoir participé à une manifestation interdite qu’il couvrait en tant que journaliste à Istanbul, ainsi que celles de sept autres journalistes arrêtés au même motif, ont annoncé leurs avocats.Parmi ces journalistes figurent le photographe Bülent Kiliç, ancien salarié de l’AFP dont le travail a été récompensé par de nombreux prix internationaux et un journaliste d’Izmir (ouest), la troisième ville du pays où deux journalistes sont toujours en garde à vue jeudi selon l’association turque de défense des droits humains MLSA.La libération des journalistes incarcérés à Istanbul sera effective dans les prochaines heures, selon leurs avocats.Un autre journaliste arrêté lundi à Istanbul avait été libéré sous contrôle judiciaire mercredi à l’issue de sa garde à vue, avait indiqué MLSA.Les autres journalistes arrêtés à Istanbul avaient tous été placés en détention provisoire.Ils avaient été interpellés lundi à l’aube à leur domicile, accusés d’avoir participé à des rassemblements interdits par les autorités, confrontées à une vague de manifestations déclenchée par l’arrestation le 19 mars du maire d’opposition d’Istanbul, Ekrem Imamoglu.Leur arrestation a suscité de nombreuses condamnations internationales.L’ONG Reporters sans Frontières (RSF) s’est dite “soulagée” par l’annonce de la libération des journalistes, exigeant celle des deux autres encore aux mains des autorités à Izmir.Les autorités turques, qui ont interdit les rassemblements dans plusieurs grandes villes du pays, ont annoncé avoir arrêté plus de 1.400 manifestants depuis la début de la vague de contestation, d’une ampleur inédite depuis les grandes manifestations du mouvement de Gezi, parties de la place Taksim d’Istanbul en 2013.

Turquie: libération de trois journalistes emprisonnés dont un de l’AFP

Le photographe de l’Agence France-Presse Yasin Akgül, arrêté lundi par les autorités qui l’accusaient d’avoir participé à une manifestation interdite qu’il couvrait en tant que journaliste à Istanbul, a été remis en liberté jeudi, a annoncé à l’AFP son avocat.Une décision de remise en liberté a également été prise pour au moins deux des six autres journalistes arrêtés au même motif lundi à Istanbul et également incarcérés, selon l’association turque de défense des droits humains MLSA.Parmi ces deux journalistes figure le photographe Bülent Kiliç, ancien salarié de l’AFP dont le travail a été récompensé par de nombreux prix internationaux.La libération des trois journalistes sera effective dans la journée, selon leurs avocats.Les journalistes avaient été interpellés lundi à l’aube à leur domicile, accusés d’avoir participé à des rassemblements interdits par les autorités, confrontées à une vague de manifestations déclenchée par l’arrestation le 19 mars du maire d’opposition d’Istanbul, Ekrem Imamoglu.Leur arrestation avait suscité de nombreuses condamnations internationales.”La libération de Yasin Akgül est bienvenue et constitue la réparation d’une injustice monumentale. En tant que RSF, nous demandons la libération de tous les autres journalistes qui ont été privés de leur liberté par un traitement totalement injuste”, a déclaré à l’AFP Erol Önderoglu, représentant de l’ONG Reporters sans Frontières (RSF) en Turquie.Les autorités turques, qui ont interdit les rassemblements dans plusieurs grandes villes du pays, ont annoncé avoir arrêté plus de 1.400 manifestants depuis la début de la vague de contestation, d’une ampleur inédite depuis les grandes manifestations du mouvement de Gezi, parties de la place Taksim d’Istanbul en 2013.

X attire de nouveaux les annonceurs, par “peur” de Musk pour certains (analystes)

Les annonceurs reviennent sur X (ex Twitter), la plateforme délaissée par de nombreuses marques après le rachat par Elon Musk fin 2022, mais c’est en partie par “peur” de représailles de la part du riche entrepreneur et bras droit de Donald Trump, selon un rapport d’analystes.Le cabinet Emarketer prévoit que les recettes publicitaires de X …

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X attire de nouveaux les annonceurs, par “peur” de Musk pour certains (analystes)

Les annonceurs reviennent sur X (ex Twitter), la plateforme délaissée par de nombreuses marques après le rachat par Elon Musk fin 2022, mais c’est en partie par “peur” de représailles de la part du riche entrepreneur et bras droit de Donald Trump, selon un rapport d’analystes.Le cabinet Emarketer prévoit que les recettes publicitaires de X vont augmenter cette année, pour la première fois depuis 2021, de 17,5% aux Etats-Unis et de 16,5% dans le monde.”Mais une partie de cette croissance est alimentée par la peur”, a souligné l’analyste Jasmine Enberg, citée dans un communiqué.”De nombreux annonceurs considèrent les dépenses sur X comme un coût d’exploitation afin d’atténuer le risque potentiel de répercussions juridiques ou financières” s’ils n’achetaient pas d’espaces publicitaires sur le réseau social, a-t-elle détaillé.Depuis qu’il a racheté Twitter, Elon Musk a mis la barre à droite, autorisant les propos haineux et la désinformation au nom de la liberté d’expression, faisant fuir une partie des marques inquiètes du contexte dans lequel leurs messages apparaissent.Le patron de Tesla et SpaceX est en outre devenu un important soutien financier et politique de Donald Trump pendant la dernière campagne présidentielle, et dirige une commission d’efficacité gouvernementale depuis le retour au pouvoir du républicain en janvier.”Il est trop tôt pour parler de rebond”, a noté Jasmine Enberg, constatant que “l’activité publicitaire de X reste moins importante en 2025 qu’elle ne l’était en 2019”.Surtout, a-t-elle ajouté, “la peur n’est pas une motivation durable et la situation reste instable, notamment parce que le mécontentement de certains consommateurs à l’égard de Musk s’accroît”.Elle a précisé que X a réussi à attirer “une nouvelle base d’annonceurs, y compris des petites et moyennes entreprises, avec lesquelles Twitter a toujours eu des difficultés”.La palette de choix qui s’offre aux marques pour faire leur publicité a par ailleurs changé. Mark Zuckerberg, patron de Meta (Facebook, Instagram), semble ainsi prendre exemple sur Elon Musk depuis la victoire de Donald Trump, avec une politique de modération des contenus beaucoup plus laxiste.”Les contenus haineux et controversés qui on fait fuir les annonceurs de X ne sont toujours pas acceptables, mais on a le sentiment qu’ils pourraient devenir inévitables”, a commenté Jasmine Enberg.Après avoir plongé, la valorisation de X est remontée à 44 milliards de dollars cette année, d’après le Financial Times.Selon le quotidien britannique, des investisseurs ont évalué la plateforme à ce prix début mars lors d’un échange de participations existantes dans la société.X avait été évalué à seulement 10 milliards de dollars par Fidelity Investments à la fin du mois de septembre.

TPMP s’arrête, Cyril Hanouna continue

Après 15 ans d’existence, de nombreuses polémiques et trois semaines de diffusion en ligne, l’émission TPMP s’est arrêtée mercredi, ouvrant un nouveau chapitre pour son animateur Cyril Hanouna qui doit rejoindre le groupe M6 en septembre.”Ça va être énorme. On va faire plein de belles choses ensemble, ce n’est que le début”, a-t-il déclaré lors d’un ultime “Touche pas à mon poste” en forme d’autopromotion, pendant lequel il a assuré n’avoir “aucun regret”. Après l’arrêt contraint de la chaîne C8 fin février, l’émission était diffusée depuis le 3 mars sur la webtélé Zoubida TV, via Dailymotion, YouTube, Molotov, myCANAL et les bouquets des box internet. Ce dispositif original, couronné de fortes audiences, avait été annoncé le 27 février, lors de la dernière de TPMP sur la chaîne du groupe Canal+ et était censé durer jusqu’à fin avril. Mais Cyril Hanouna a créé la surprise vendredi en annonçant que le programme s’arrêterait finalement ce mercredi.Lancée sur France 4 en 2010, transférée en 2012 sur D8 (renommée C8), TPMP est devenue l’une des émissions les plus populaires de France et revendiquait quelque deux millions de téléspectateurs. “L’émission qui rentrera dans la légende, c’est TPMP”, a certifié mercredi l’animateur, qui doit rejoindre la chaîne télé W9 et Fun Radio à la rentrée, propriétés du groupe M6. Son succès a été émaillé de nombreuses polémiques. Décidé par l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, l’arrêt de la diffusion de C8 sur la télévision numérique terrestre (TNT) a été motivé par ses “manquements réitérés”. La chaîne a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende à cause des dérapages de Cyril Hanouna.”C’est vrai que parfois mes réponses sont disproportionnées”, a concédé l’animateur mercredi, revendiquant d’être un “charrieur” et déplorant d’avoir parfois “pu blesser des gens”.- Pas de politique ? -Au fil des années, TPMP a pris une tournure de plus en plus politique. Soutenu à droite et à l’extrême droite, boycotté à gauche, Cyril Hanouna lui-même n’écarte pas une candidature à la présidentielle de 2027.Pour la dernière de TPMP, l’animateur de 50 ans a éludé la question mais a dit “vouloir faire plus pour (son) pays” et “aider les Français”. “Il faut vraiment que le prochain président remette de l’argent dans les poches des Français”, a-t-il poursuivi.C’est cette image politique que son futur employeur veut gommer: M6 a martelé qu’il recrutait l’animateur pour des émissions de pur divertissement.Un contrat a été signé pour un talk show sur W9 en avant-soirée (comme TPMP) et une émission sur Fun Radio l’après-midi, qui ne devront pas avoir de caractère politique, selon le groupe.Des émissions politiques, “bien sûr on va en faire. On va en faire pour 2027”, a pourtant assuré Cyril Hanouna mercredi sur Europe 1, dans son autre émission quotidienne qu’il continuera d’animer jusqu’à la fin de la saison.Il a enfoncé le clou sur le plateau de TPMP. “Plus 2027 va approcher, plus on va être obligés de suivre l’actu”, a insisté l’animateur.Au-delà de son futur positionnement, “Baba” a déjà été recadré par M6 pour avoir égratigné dans TPMP un pilier de Fun Radio, Bruno Guillon. Fin janvier, l’animatrice star de M6 Karine Le Marchand s’était, elle, opposée à la venue de Cyril Hanouna dans le groupe. Après des excuses de l’intéressé, elle est revenue sur sa position, assurant toutefois rester “vigilante”.Ajouté à des craintes en interne, tout cela a fait naître des doutes sur l’arrivée de l’animateur chez M6. Mais officiellement, rien n’est remis en cause. L’intéressé a lui-même démenti lundi l’existence d’une “clause” permettant aux parties de tout annuler, évoquée par le journal Le Parisien/Aujourd’hui en France.En faisant revenir Cyril Hanouna au divertissement, le pari du groupe M6 est de rajeunir le public qu’il avait dans TPMP, ce qui est plus rémunérateur du point de vue publicitaire.Comme “Touche pas à mon poste”, cette nouvelle émission devrait faire face aux talk shows “Quotidien” sur TMC (groupe TF1) et “C à vous” sur France 5.Â