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“Intervilles” reviendra en 2026, après une finale à 2,4 millions de téléspectateurs

Le jeu “Intervilles” reviendra pour une nouvelle saison en 2026, a annoncé vendredi France Télévisions, au lendemain de la finale remportée par Gap (Hautes-Alpes) qui a attiré près de 2,4 millions de téléspectateurs sur France 2.Ce rendez-vous a “su rallier petits et grands” avec “d’excellentes audiences”, a assuré dans un communiqué le groupe audiovisuel public. De 21h10 à 23h45 jeudi, l’émission produite et coprésentée par Nagui a réalisé 17,7% de part d’audience (PDA) pour son dernier numéro à Wallers-Arenberg (Nord), soit le meilleur score de la soirée, toutes chaînes confondues, selon les chiffres de Médiamétrie. Gap y affrontait Coulanges-lès-Nevers (Nièvre) et Saint-Amand-les-Eaux (Nord). Très attendu, ce retour d'”Intervilles” après seize ans d’absence avait rassemblé 3,3 millions de personnes pour le premier numéro, mais n’avait cessé ensuite de perdre des fidèles, avec 2,4 millions de téléspectateurs pour le deuxième et 2 millions pour le troisième.Ces chiffres recouvrent toutefois un “succès populaire”, en particulier auprès des jeunes et du public familial, fait valoir France Télé dans son communiqué. Si la PDA moyenne des quatre numéros s’établit à 17,9%, elle s’élève ainsi à 39,1% chez les 4-14 ans et près de 22,9% chez les 15-24 ans, selon le groupe public. Dès la première diffusion le 3 juillet, des critiques avaient pourtant déferlé sur le réseau social X. Certains internautes y éreintaient les décors, jugés décevants, l’absence des vachettes des versions précédentes ou le nouveau générique, et reprochaient à l’émission un manque de rythme.Ce retour était “un peu poussif”, avait jugé le journal Le Parisien/Aujourd’hui en France.Traditionnellement, chaque numéro oppose deux villes à travers une série de défis physiques loufoques inspirés des fêtes de village, consistant par exemple à traverser des pistes savonneuses ou à monter une pente à la force des bras.La nouvelle version, présentée par Nagui entouré d’une équipe d’animateurs (Valérie Bègue, Camille Cerf, Magali Ripoll, Bruno Guillon et Yoann Riou dans le rôle de l’arbitre), a opéré un changement majeur: la fin de l’épreuve de la vachette landaise.Par souci du bien-être animal, la production l’a remplacée par une personne déguisée en mascotte surnommée “Topa la vachette”.Un revirement vivement critiqué par Claude Savarit, le co-créateur désormais octogénaire des jeux d'”Intervilles” avec Guy Lux en 1962. L’absence de vachettes est pour lui “grotesque et rédhibitoire”. “On ne les a d’ailleurs jamais brutalisées. On les avait rajoutées à partir de la troisième émission de l’histoire du jeu lors d’un duplex aux arènes de Dax. C’est grâce à elles que le programme est devenu un énorme succès. Sans elles, +Intervilles+, c’est fini”, a-t-il déclaré jeudi à Nice Matin.”C’est scandaleux de voir ce qu’ils en ont fait. L’Intervilles de Nagui, ce n’est plus Intervilles!”, a confié Claude Savarit au journal, ajoutant regretter avoir vendu le concept à la société de production Banijay. 

“Intervilles” reviendra en 2026, après une finale à 2,4 millions de téléspectateurs

Le jeu “Intervilles” reviendra pour une nouvelle saison en 2026, a annoncé vendredi France Télévisions, au lendemain de la finale remportée par Gap (Hautes-Alpes) qui a attiré près de 2,4 millions de téléspectateurs sur France 2.Ce rendez-vous a “su rallier petits et grands” avec “d’excellentes audiences”, a assuré dans un communiqué le groupe audiovisuel public. De …

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Amazon ferme son laboratoire d’IA de Shanghai, confirme une source

Le géant technologique américain Amazon a fermé son laboratoire de recherche en intelligence artificielle (IA) à Shanghai, a confirmé vendredi à l’AFP une source proche du dossier.Cette annonce de la fermeture du laboratoire – qui appartenait à la division Amazon Web Services (AWS)- intervient au moment où l’IA occupe une place grandissante dans la rivalité …

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Amazon ferme son laboratoire d’IA de Shanghai, confirme une source

Le géant technologique américain Amazon a fermé son laboratoire de recherche en intelligence artificielle (IA) à Shanghai, a confirmé vendredi à l’AFP une source proche du dossier.Cette annonce de la fermeture du laboratoire – qui appartenait à la division Amazon Web Services (AWS)- intervient au moment où l’IA occupe une place grandissante dans la rivalité entre Pékin et Washington.Cette fermeture est “due à l’ajustement stratégique entre la Chine et les États-Unis”, avait affirmé un scientifique au sein du laboratoire, Wang Minjie, selon une capture d’écran d’un message WeChat largement diffusée sur les réseaux sociaux.La semaine dernière, AWS avait déjà annoncé des suppressions de postes dans l’ensemble de ses opérations – certains médias évoquant des centaines d’emplois concernés.Contacté par l’AFP, Amazon n’a pas confirmé directement la fermeture du laboratoire de Shanghai.”Nous avons pris la décision difficile de supprimer certains postes dans des équipes spécifiques d’AWS”, a seulement réagi le porte-parole Brad Glasser.”Ces décisions sont nécessaires au moment où nous continuons à investir, embaucher et optimiser nos ressources afin d’apporter de l’innovation à nos clients”.Une page dédiée au laboratoire sur le site chinois d’AWS, consultée mercredi par l’AFP, n’était néanmoins plus accessible vendredi.Selon une archive de cette page, le laboratoire avait été créé à l’automne 2018. Une de ses missions était de “favoriser activement la collaboration avec la communauté de la recherche”, selon le site internet.D’autres entreprises technologiques américaines telles que Microsoft ou IBM ont récemment réduit la voilure de leurs divisions de recherche en Chine, sur fond de resserrement du contrôlé étatique sur les secteurs jugés sensibles, et de compétition technologique accrue entre Washington et Pékin.

La Maison Blanche vexée par un épisode de “South Park” moquant Donald Trump

La Maison Blanche s’en est prise jeudi aux créateurs de “South Park” après un épisode de la série satirique moquant ouvertement Donald Trump, avec une version du président américain générée par intelligence artificielle et rampant nu dans le désert.Dans le premier épisode de la nouvelle saison, cette réplique du président supplie également Satan de coucher …

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La Maison Blanche vexée par un épisode de “South Park” moquant Donald Trump

La Maison Blanche s’en est prise jeudi aux créateurs de “South Park” après un épisode de la série satirique moquant ouvertement Donald Trump, avec une version du président américain générée par intelligence artificielle et rampant nu dans le désert.Dans le premier épisode de la nouvelle saison, cette réplique du président supplie également Satan de coucher avec lui, mais le diable repousse ses avances, notamment car son pénis est trop petit.L’épisode, dans lequel le Trump fictif piétine de nombreux aspects de la vie américaine, se termine après que la ville de South Park a conclu un accord financier avec le président, incluant un engagement à réaliser des messages d’intérêt public.Le court-métrage généré par intelligence artificielle qui suit — censé être l’un de ces messages — montre un Trump en surpoids titubant dans un désert, tandis qu’un narrateur le présente comme une sorte de Jésus moderne.La parodie se termine avec un Trump nu et hagard, alors que le narrateur déclare: “Trump. Son pénis est minuscule, mais son amour pour nous est immense”. Des plaisanteries que la Maison Blanche n’a pas appréciées.”Cette série n’est plus pertinente depuis plus de 20 ans et se maintient à grand-peine avec des idées sans inspiration dans une tentative désespérée d’attirer l’attention”, a estimé une porte-parole, Taylor Rogers.”Le président Trump a tenu plus de promesses en seulement six mois que n’importe quel autre président dans l’histoire de notre pays, et aucune série de quatrième ordre ne peut compromettre la série de succès du président Trump”, a-t-elle assuré.La série satirique en est à sa 27e saison et se porte à merveille.- “Ajouter des yeux au pénis” -Ses créateurs Trey Parker et Matt Stone viennent de conclure un accord de 1,5 milliard de dollars avec Paramount, pour que le studio américain puisse diffuser l’intégralité de la série sur sa plateforme de streaming Paramount+ pendant cinq ans dans le monde entier, selon le Los Angeles Times.Ce accord comprend également la production de 50 nouveaux épisodes.Lors d’un panel jeudi au Comic-Con de San Diego, le plus gros festival au monde consacré à la pop culture, Matt Stone et Trey Parker ont révélé les récentes discussions internes concernant la représentation d’un faux pénis présidentiel.”Ils disaient: +OK, mais on va flouter le pénis+. Et moi je disais: +Non, vous n’allez pas flouter le pénis+”, a raconté Parker au public.Après “toute une conversation entre beaucoup d’adultes pendant environ quatre… jours”, Parker a expliqué qu’ils avaient décidé d’ajouter des yeux au pénis pour éviter qu’il soit flouté.L’acquisition des droits de “South Park” intervient à un moment délicat pour Paramount.Le régulateur américain des télécommunications, la FCC, a approuvé jeudi sa fusion avec la société de production Skydance, moyennant des changements de ligne éditoriale au sein de la chaîne CBS, une condition très atypique.L’accord intervient au terme d’une séquence qui aura vu Paramount solder, début juillet, un contentieux judiciaire avec Donald Trump concernant une interview de Kamala Harris par CBS, puis annoncer la fin de l’émission “The Late Show with Stephen Colbert”, dont l’animateur est très critique du président américain.Au sein de la gauche américaine, de nombreuses voix ont dénoncé ces décisions comme des gages de soumission à Donald Trump pour pouvoir réaliser la fusion avec Skydance.

L’AFP, AP, Reuters et BBC News demandent à Israël un libre accès à Gaza

Les agences de presse AFP, AP et Reuters, ainsi que la BBC, ont lancé jeudi un appel commun à Israël à “autoriser l’entrée et la sortie des journalistes à Gaza”, après 21 mois de guerre.”Les journalistes doivent affronter de nombreuses privations et difficultés en zone de guerre. Nous sommes profondément inquiets du fait que, désormais, la faim menace leur survie”, indiquent l’Agence France-Presse, l’américaine Associated Press, la canado-britannique Reuters et la chaîne britannique BBC News dans une déclaration conjointe.”Nous exhortons une nouvelle fois les autorités israéliennes à autoriser l’entrée et la sortie des journalistes à Gaza. Il est essentiel que des vivres en quantités suffisantes parviennent à la population sur place”, insiste ce texte.  Ces médias internationaux se disent “profondément préoccupés par la situation” de leurs journalistes à Gaza, “qui peinent de plus en plus à subvenir aux besoins alimentaires de leurs familles et d’eux-mêmes”. “Ces journalistes indépendants ont été les yeux et les oreilles du monde sur le terrain à Gaza. Ils font désormais face aux mêmes conditions dramatiques que celles des populations qu’ils couvrent”, soulignent-ils.L’ONU et les ONG ont poussé un cri d’alarme sur le risque de famine à Gaza. Le gouvernement israélien s’est défendu en affirmant qu’il n’était pas responsable des pénuries.Les témoignages de journalistes en grande détresse à Gaza se sont multipliés ces derniers jours. Ils évoquent une faim extrême, un manque d’eau potable et une fatigue physique et mentale croissante, qui les contraignent parfois à réduire leur couverture de la guerre, déclenchée le 7 octobre 2023 par une attaque sans précédent du Hamas en Israël.”Depuis des mois, nous assistons, impuissants, à la détérioration dramatique” des conditions de vie de plusieurs collaborateurs de l’AFP et “leur situation est aujourd’hui intenable”, affirmait un communiqué de cette agence de presse lundi, tandis que sa Société des journalistes alertait du risque de les “voir mourir”.Israël accuse le mouvement islamiste palestinien Hamas d’instrumentaliser la souffrance des plus de deux millions d’habitants de Gaza, notamment en détournant l’aide pour la revendre à prix fort ou en tirant sur ceux qui attendent cette aide.- Pression internationale croissante -Après avoir assiégé Gaza en octobre 2023, Israël a imposé au territoire un blocus total début mars, très partiellement assoupli fin mai, qui a entraîné de graves pénuries de nourriture, de médicaments et de carburant.Le Committee to Protect Journalists (CPJ), organisation indépendante américaine, a aussi réclamé mercredi qu’Israël cesse d’affamer les journalistes et les populations civiles à Gaza. “Le monde doit désormais agir: protéger (ces professionnels), les nourrir, leur permettre de se rétablir pendant que d’autres journalistes arriveraient pour les épauler”, a pressé la directrice régionale du CPJ, Sara Qudah, dans un communiqué. Depuis fin 2023, les seuls journalistes ayant pu se rendre dans la bande de Gaza à partir de l’extérieur y sont entrés embarqués avec l’armée israélienne, leurs reportages étant soumis à la censure militaire.Pour la France, le “risque de famine” à Gaza est “le résultat du blocus” imposé par Israël.”Il s’agit d’une pénurie provoquée par le Hamas”, a déclaré le porte-parole israélien, David Mencer, en accusant le mouvement palestinien d’empêcher la distribution et de piller l’aide.Le Hamas a toujours rejeté de telles accusations.L’attaque du 7-Octobre a entraîné côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 restent otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée.L’offensive de représailles israélienne a coûté la vie à Gaza 59.219 personnes, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.Pour sa part, l’ONG Reporters sans frontières affirmait le 7 mai que “l’armée d’Israël a tué près de 200 journalistes, dont au moins 44 dans l’exercice de leurs fonctions”, dans la bande de Gaza. 

L’AFP, AP, Reuters et BBC News demandent à Israël un libre accès à Gaza

Les agences de presse AFP, AP et Reuters, ainsi que la BBC, ont lancé jeudi un appel commun à Israël à “autoriser l’entrée et la sortie des journalistes à Gaza”, après 21 mois de guerre.”Les journalistes doivent affronter de nombreuses privations et difficultés en zone de guerre. Nous sommes profondément inquiets du fait que, désormais, …

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Jeux vidéo: les studios indépendants veulent surfer sur le succès de la Switch 2

Des joueurs font la queue au stand Nintendo d’un salon dédié aux jeux vidéo à Kyoto, mais pas de moustache ni de casquette rouge en vue: Mario a laissé sa place à des studios indépendants désireux de surfer sur le succès de la Switch 2, console-star du moment.Au salon BitSummit du jeu vidéo indépendant, organisé mi-juillet dans le centre du Japon, on pouvait découvrir sur le stand Nintendo trois jeux, tous développés par des petits studios indépendants bien décidés à séduire les fans de la Switch 2.Après un lancement en fanfare début juin, Nintendo a affirmé avoir vendu 3,5 millions d’unités de sa nouvelle console hybride à travers le monde en l’espace de quatre jours, un démarrage record dans l’histoire du secteur. Le géant japonais prévoit d’en écouler 15 millions d’ici mars 2026.Mais dans un univers largement dominé par les franchises maison de Nintendo, de “Super Mario” à “Donkey Kong” en passant par “Animal Crossing”, les outsiders peinent à se faire une place dans le catalogue des titres proposés aux joueurs.”La Switch 2 a assurément démarré en force,” a affirmé à l’AFP Krysta Yang du podcast “Kit&Krysta” spécialisé sur Nintendo. Mais “pour les créateurs de jeux tiers, le succès de la Switch 2 ne s’est pas nécessairement traduit par des ventes importantes”.Selon elle, de nombreux acheteurs de la console l’ont acquise pour ses exclusivités Nintendo, comme “Mario Kart World”, et le prix élevé de la Switch 2 et de ses jeux freine l’envie de multiplier les achats.D’autant plus que de nombreux jeux non estampillés Nintendo, comme “Cyberpunk 2077”, sont déjà disponibles sur d’autres plateformes, commme la console rivale PlayStation 5 de Sony.Pour autant, “Nintendo a tout intérêt à entretenir de bonnes relations avec les développeurs tiers, car ils savent que pour faire durer le cycle de vie de console, ils auront besoin de leur soutien”, a estimé Mme Yang. Tout en avertissant: “il y aura certainement des défis” à relever pour ces studios.Cela n’a pas découragé des dizaines de créateurs de faire le déplacement jusqu’à Kyoto, ex-capitale impériale et ville natale de Nintendo, pour présenter leurs projets – souvent encore en cours de développement – à l’occasion du salon BitSummit. Des puzzles rétro aux épopées d’horreur immersives, les stands y ont dévoilé des nouveautés variées, et plusieurs développeurs ont affirmé être en discussion avec Nintendo pour sortir leurs jeux sur la nouvelle console.- Défi de l’IA -Comme la Switch originale, la nouvelle version est une console hybride – utilisable aussi bien en déplacement que connectée à un téléviseur – mais disposant d’un écran plus grand, d’une mémoire huit fois supérieure et d’un micro intégré.Et de nouvelles fonctionnalités permettent aux utilisateurs de discuter en ligne et de partager temporairement une partie avec des amis.Plus puissante que sa grande soeur, la Switch 2 “ouvre de nouvelles possibilités de création”, résume Ryan Juckett, du studio américain Hypersect.Les jeux produits par Nintendo “peuvent être assez chers, il y a donc de la place pour des jeux moins coûteux, plus accessibles, à jouer de façon impromptue”, souligne de son côté Kent Burgess, venu de Nouvelle-Zélande avec l’équipe du jeu “Bashful Adoration”.Serkan Toto, expert du cabinet tokyoïte Kantan Games, rappelle que Nintendo avait autrefois “une réputation quasi-légendaire de dureté dans ses négociations” avec les développeurs tiers.”Mais cela a changé avec la Switch 1″, lancée en 2017 après l’échec cuisant de la Wii U. “Cela a ouvert la voie à davantage de jeux tiers, y compris des titres de studios indépendants”, explique-t-il.Et le paysage pourrait encore changer avec l’essor des nouvelles technologies.Aucun des studios indépendants interrogés par l’AFP au BitSummit n’a déclaré utiliser massivement l’intelligence artificielle (IA), même si certains reconnaissent que l’IA générative leur fait gagner du temps sur certaines tâches de codage.Et pour l’instant, peu s’inquiètent d’une disparition des emplois dans l’industrie.”Il n’existera jamais de jeu créé par une IA qui surpasse un jeu conçu à la main”, assure Lauren Kenner, principale responsable marketing de la franchise “Noodle Cat Games”. “Il y aura toujours l’amour et l’âme que les développeurs y mettent”.

Jeux vidéo: les studios indépendants veulent surfer sur le succès de la Switch 2

Des joueurs font la queue au stand Nintendo d’un salon dédié aux jeux vidéo à Kyoto, mais pas de moustache ni de casquette rouge en vue: Mario a laissé sa place à des studios indépendants désireux de surfer sur le succès de la Switch 2, console-star du moment.Au salon BitSummit du jeu vidéo indépendant, organisé …

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