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Le créateur de ChatGPT attaque Elon Musk

La star de l’intelligence artificielle OpenAI a déposé plainte à son tour contre le multimilliardaire Elon Musk, accusant son ancien cofondateur d’avoir mené une “campagne acharnée” pour nuire à l’organisation après qu’elle ait connu le succès sans lui. La start-up qui a lancé ChatGPT fin 2022 souhaite obtenir une injonction pour mettre fin à “d’autres actions …

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Le créateur de ChatGPT attaque Elon Musk

La star de l’intelligence artificielle OpenAI a déposé plainte à son tour contre le multimilliardaire Elon Musk, accusant son ancien cofondateur d’avoir mené une “campagne acharnée” pour nuire à l’organisation après qu’elle ait connu le succès sans lui. La start-up qui a lancé ChatGPT fin 2022 souhaite obtenir une injonction pour mettre fin à “d’autres actions illégales et injustes” de M. Musk, ainsi qu’une indemnisation.Dans les documents juridiques déposés mercredi devant un tribunal californien, OpenAI affirme que Musk est devenu hostile à l’égard de l’entreprise après l’avoir abandonnée, des années avant sa percée dans l’intelligence artificielle (IA) générative.”Musk ne pouvait pas tolérer d’assister au succès d’une société qu’il avait abandonnée et déclarée condamnée”, a assené OpenAI. Cette plainte est le dernier épisode en date d’une querelle acerbe entre la championne technologique et l’homme le plus riche du monde, qui a poursuivi OpenAI en justice l’année dernière, en l’accusant d’avoir trahi sa mission fondatrice.Dans sa contre-attaque, l’entreprise estime que Musk “a décidé de détruire OpenAI et de construire un concurrent direct qui serait plus avancé technologiquement – non pas pour le bien de l’humanité, mais pour Elon Musk”.Le patron de Tesla et SpaceX a fondé sa propre entreprise d’IA générative, xAI, en 2023, et a investi des dizaines de milliards de dollars pour concurrencer les autres grands acteurs du secteur.OpenAI a été fondée en décembre 2015 en tant que laboratoire de recherche à but non lucratif ayant pour mission de veiller à ce que l’intelligence artificielle générale (AGI) – désignant une IA aussi intelligente que des humains – “profite à l’ensemble de l’humanité”. Elon Musk faisait partie des premiers bailleurs de fonds, aux côtés du patron actuel Sam Altman. Mais sa participation a été de courte durée, selon OpenAI.L’entreprise assure que Musk a quitté l’organisation après que ses dirigeants d’OpenAI ont refusé “de se plier à ses exigences sur le contrôle de l’entreprise ou, alternativement, son absorption dans Tesla”. OpenAI vaut aujourd’hui 300 milliards de dollars après son dernier tour de table de 40 milliards de dollars, la plus grosse levée de fonds jamais réalisée par une start-up non cotée.Mais OpenAI va devoir modifier ses statuts, pour se transformer en entreprise classique, tout en conservant l’organisation mère à but non lucratif.OpenAI reproche à Elon Musk de lui nuire en présentant à tort ce changement de forme juridique comme une conversion totale, en multipliant les attaques dans la presse et sur son réseau social X où il compte plus de 200 millions d’abonnés et avec son “offre d’achat fictive pour les actifs d’OpenAI”. 

L’influenceur masculiniste Andrew Tate accusé d’avoir menacé une femme avec un pistolet

L’influenceur masculiniste britannico-américain Andrew Tate, poursuivi au Royaume-Uni pour viols et violences sexuelles et verbales, est accusé d’avoir menacé une femme avec un pistolet, selon des documents judiciaires dont l’AFP a obtenu copie jeudi.Au total, quatre femmes poursuivent Andrew Tate au civil devant la Haute cour de Londres pour des faits qui auraient été commis entre 2012 et 2015. Elles réclament des dommages et intérêts pour les agressions qu’elles disent avoir subies.Dans une déclaration écrite à la Haute cour publiée par la BBC à l’origine des dernières révélations, Andrew Tate a rejeté en bloc ces accusations, les qualifiant de “tissu de mensonges” et d'”affabulations grossières”.Une audience préliminaire doit se tenir le 15 avril à Londres.Trois de ces femmes avaient déposé plainte auprès de la police mais le Crown Prosecution Service (CPS), service chargé des poursuites pénales en Angleterre, avait décidé de classer l’affaire en 2019.Selon les documents judiciaires dans l’affaire au civil, deux d’entre elles travaillaient pour l’entreprise de webcams en ligne de Tate en 2015, tandis que les deux autres entretenaient des relations avec lui en 2013 et 2014. Une femme affirme que Tate a menacé de la tuer, une autre qu’il a clairement indiqué qu’il tuerait toute personne à qui elle parlerait, et une troisième qu’Andrew Tate lui avait affirmé qu’il avait tué des personnes.Présentée comme première requérante dans la plainte, une des femmes raconte avoir été menacée avec un pistolet.L’influenceur “a menacé la première requérante quotidiennement, y compris à une occasion en lui mettant un pistolet sous le nez alors qu’elle se tenait à côté de la porte d’entrée et ensuite en le pointant sur elle” tout en disant des choses comme “+Tu vas faire ce que je dis ou tu vas le payer cher+”, selon le document.Lors d’un autre épisode rapporté dans la plainte, Andrew Tate l’aurait traitée de “salope paresseuse”, tout en l’empoignant par le cou. Cette femme dit avoir été violée à plusieurs reprises.Andrew Tate et son frère Tristan, qui font aussi l’objet de poursuites en Roumanie, sont soupçonnés d’avoir dupé plusieurs femmes à des fins d’exploitation sexuelle, y compris des mineures. D’après les procureurs roumains, les victimes étaient piégées par les frères qui simulaient des sentiments à leur égard, avant d’être forcées à la production de films pornographiques. Andrew Tate doit également répondre de faits présumés de viol.

L’influenceur masculiniste Andrew Tate accusé d’avoir menacé une femme avec un pistolet

L’influenceur masculiniste britannico-américain Andrew Tate, poursuivi au Royaume-Uni pour viols et violences sexuelles et verbales, est accusé d’avoir menacé une femme avec un pistolet, selon des documents judiciaires dont l’AFP a obtenu copie jeudi.Au total, quatre femmes poursuivent Andrew Tate au civil devant la Haute cour de Londres pour des faits qui auraient été commis …

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Les revenus de TikTok, menacé d’interdiction aux Etats-Unis, bondissent

Le chiffre d’affaires de TikTok a explosé l’année dernière d’après le site The Information jeudi, alors que sa maison mère chinoise ByteDance faisait face à l’ultimatum américain, vendre la très populaire application ou être bannie des Etats-Unis. Les revenus internationaux de ByteDance, provenant donc essentiellement de TikTok, ont augmenté de 63% pour atteindre 39 milliards de dollars en 2024, selon le site spécialisé dans l’actualité technologique.The Information cite une personne anonyme ayant accès aux données financières du géant chinois du divertissement. Les recettes de TikTok l’année dernière ont représenté un quart du chiffre d’affaires total de ByteDance (155 milliards de dollars), qui a atteint un nouveau sommet malgré le ralentissement de sa croissance. D’après la même source, la firme a vu son bénéfice net augmenter de 6% en 2024, à 33 milliards de dollars. Cette faible hausse des profits est liée à l’augmentation des dépenses aux Etats-Unis, notamment dans l’intelligence artificielle (IA).Donald Trump a rapporté dimanche que la Chine avait fait capoter un projet d’accord avec les Etats-Unis sur la vente de TikTok, à cause des nouveaux droits de douane imposés par Washington.”Si je leur avais donné une petite baisse de droits de douane, ils auraient approuvé l’accord en 15 minutes”, a déclaré le président américain à des journalistes à bord de l’avion présidentiel Air Force One.La guerre commerciale a pris de l’ampleur depuis. La Maison Blanche a indiqué jeudi, via un décret présidentiel, que sa surtaxe sur les produits chinois était désormais de 145%.Une loi votée en 2024 par le Congrès américain, au nom de la sécurité nationale, impose à ByteDance de céder le contrôle des activités américaines Tiktok, qui compte plus de 170 millions d’utilisateurs aux Etats-Unis.Peu après son retour à la Maison Blanche fin janvier, Donald Trump avait reporté l’échéance de 75 jours, jusqu’au 5 avril. Il l’a prolongée une nouvelle fois de 75 jours vendredi dernier.ByteDance, tout en confirmant récemment qu’elle était en pourparlers avec le gouvernement américain en vue de trouver une solution, a averti qu’il restait des “questions clés” à résoudre.Donald Trump, après avoir tenté de forcer la cession de la plateforme en 2020, s’est posé, depuis la dernière campagne présidentielle américaine, en sauveur du réseau social.

Les revenus de TikTok, menacé d’interdiction aux Etats-Unis, bondissent

Le chiffre d’affaires de TikTok a explosé l’année dernière d’après le site The Information jeudi, alors que sa maison mère chinoise ByteDance faisait face à l’ultimatum américain, vendre la très populaire application ou être bannie des Etats-Unis. Les revenus internationaux de ByteDance, provenant donc essentiellement de TikTok, ont augmenté de 63% pour atteindre 39 milliards de …

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La demande d’électricité pour les centres de données devrait plus que doubler d’ici 2030, dopée par l’IA

Dopée par l’intelligence artificielle, la consommation d’électricité des centres de données devrait “plus que doubler” d’ici 2030, un défi pour la sécurité énergétique et un facteur de hausse des émissions de CO2, selon un rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) publié jeudi. Déjà énergivores, les centres de données ont redoublé en appétit avec le développement …

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La demande d’électricité pour les centres de données devrait plus que doubler d’ici 2030, dopée par l’IA

Dopée par l’intelligence artificielle, la consommation d’électricité des centres de données devrait “plus que doubler” d’ici 2030, un défi pour la sécurité énergétique et un facteur de hausse des émissions de CO2, selon un rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) publié jeudi. Déjà énergivores, les centres de données ont redoublé en appétit avec le développement récent de l’IA générative, qui nécessite des capacités de calcul colossales pour traiter les informations accumulées dans des bases de données gigantesques.En 2024, les besoins électriques de ces infrastructures ne représentaient qu’environ 1,5% de la consommation mondiale (415 TWh), mais ils ont déjà augmenté de 12% par an au cours des cinq dernières années. Et ce n’est pas fini.”La demande d’électricité des centres de données dans le monde devrait plus que doubler d’ici 2030 pour atteindre environ 945 térawattheures (TWh), soit un peu plus” que tout ce que le Japon consomme aujourd’hui, selon l’AIE. A cette échéance, les centres de données consommeraient alors un peu moins de 3% de l’électricité mondiale, une part encore modeste mais qui masque des effets beaucoup plus sensibles localement. Inégalement répartis dans le monde et concentrés dans quelques régions d’un pays, et souvent près des villes, ils soulèvent nombre de défis : approvisionnement en énergie, consommation d’eau pour le refroidissement, pression sur le réseau électrique… A lui seul, “un centre de données de 100 mégawatts peut consommer autant d’électricité que 100.000 ménages” annuellement, et demain, “les plus grands centres en construction aujourd’hui consommeront 20 fois plus”, l’équivalent de la consommation de 2 millions de foyers, selon l’AIE.Dans son rapport, le premier consacré à l’IA, l’agence de l’énergie de l’OCDE souligne aussi que “des incertitudes” planent sur cette consommation, qui dépendra de “la rapidité d’adoption de l’IA”, des progrès d’efficacité énergétique et de “la possibilité de résoudre les goulets d’étranglement” dans le secteur énergétique.-Le charbon, en tête aujourd’hui -Cette soif d’électricité est “particulièrement” marquée dans certains pays, comme aux Etats-Unis, où “près de la moitié de la croissance de la demande d’électricité (…) entre aujourd’hui et 2030 sera tirée par les centres de données”, a souligné jeudi le directeur exécutif de l’AIE Fatih Birol. Ensemble, les Etats-Unis, l’Europe et la Chine représentent aujourd’hui environ 85% de la consommation des “datas centers”. Le premier défi est donc de trouver de l’électricité abordable et abondante. “D’ici à 2030, les énergies renouvelables couvriront près de la moitié de l’augmentation de la demande mondiale d’électricité pour les centres de données, suivies de près par le gaz naturel et le charbon”, le nucléaire gagnant des parts après 2030, selon l’AIE. “Le moyen le moins coûteux de répondre à cette demande croissante sera d’accélérer la mise en place d’énergies renouvelables telles que l’énergie éolienne et solaire, complétée par le stockage dans des batteries”, souligne aussi Euan Graham, analyste chez Ember. Mais aujourd’hui, 30% de cette électricité est issue du charbon, un combustible ultra-polluant dont le président américain Donald Trump promet de “doper” l’extraction afin de répondre notamment aux ambitions de l’IA. Dans cette situation, la course aux centres de données fera inéluctablement grimper les émissions liées à la consommation électrique, de 180 millions de tonnes de CO2 aujourd’hui à 300 millions de tonnes d’ici 2035, une part toutefois minime à l’échelle des émissions mondiales estimées en 2024 (41,6 milliards de tonnes), tempère l’AIE. Elles resteront “inférieures à 1,5 % des émissions totales du secteur de l’énergie” sur la période, mais elles font partie de celles “qui augmentent le plus rapidement”, précise l’Agence.Selon l’AIE, ces émissions pourraient être compensées par des économies d’émissions trois à cinq fois plus importantes, grâce aux gains d’efficacité et aux innovations induites par l’IA dans l’économie (énergie, transports, bâtiments, industrie), avance l’AIE. Prudente, elle souligne toutefois que “l’adoption (généralisée) de l’IA n’est pas garantie et pourrait être annulée par des effets de rebond et une augmentation de la consommation de combustibles fossiles”, si leurs coûts baissent. Autrement dit, l’IA n’est “pas une solution miracle” de transition énergétique et une “politique proactive” reste nécessaire.

La constellation satellitaire d’Amazon va prendre forme… mais pas tout de suite

Le géant américain de la vente en ligne Amazon a reporté mercredi pour des raisons météorologiques le lancement attendu des premiers satellites de sa constellation Kuiper, qui vise à proposer une connexion internet très haut débit depuis l’espace et concurrencer Starlink d’Elon Musk.Les 27 premiers satellites de ce réseau, censé en compter à terme plus …

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La constellation satellitaire d’Amazon va prendre forme… mais pas tout de suite

Le géant américain de la vente en ligne Amazon a reporté mercredi pour des raisons météorologiques le lancement attendu des premiers satellites de sa constellation Kuiper, qui vise à proposer une connexion internet très haut débit depuis l’espace et concurrencer Starlink d’Elon Musk.Les 27 premiers satellites de ce réseau, censé en compter à terme plus de 3.200, devaient être lancés depuis la côte est américaine à bord d’une fusée Atlas V du groupe United Launch Alliance (ULA), qui regroupe Boeing et Lockheed Martin.Le lancement de la fusée “a été annulé aujourd’hui en raison des mauvaises conditions météorologiques”, a annoncé ULA dans un communiqué.”Une nouvelle date de lancement sera annoncée dès qu’elle sera approuvée”, a ajouté le groupe.Le décollage devait avoir lieu à compter de 19H00 locales (23H00 GMT) depuis Cap Canaveral en Floride, selon ULA, qui avait déjà assuré à l’automne 2023 le lancement de deux prototypes de satellites pour Amazon.Lorsque les conditions météorologiques le permettront, les satellites seront lancés à plusieurs centaines de kilomètres au-dessus de la Terre pour y poser les jalons de la constellation “Projet Kuiper”, un projet aux multiples enjeux commerciaux et technologiques mais aussi géopolitiques.Avec ce réseau de satellites opérant en orbite basse, l’entreprise Amazon du multimilliardaire Jeff Bezos ambitionne de proposer un accès internet à très haut débit à des particuliers, entreprises et acteurs gouvernementaux à tout point du globe, y compris dans des zones reculées et sur des terrains de guerre ou sinistrés.Un service qui devrait être mis en route courant 2025, a précisé Amazon. Son coût n’a pas été dévoilé, mais l’entreprise a assuré le vouloir “accessible” et en accord avec la recette qui a fait son succès: les prix cassés.- Longueur d’avance -Une promesse qui n’est pas sans rappeler celle d’Elon Musk. Avec sa constellation Starlink, l’homme le plus riche du monde domine ce marché en plein essor et dispose d’une bonne longueur d’avance, comme dans le domaine des fusées où Jeff Bezos et lui se font concurrence.Mise en route il y a déjà plusieurs années, Starlink dit disposer aujourd’hui de plus de 6.750 satellites en orbite et revendique plus de 5 millions d’abonnés.Ses services ont notamment été déployés ces dernières années sur les terrains de catastrophes naturelles, comme en septembre 2023 lors d’un séisme au Maroc, ou plus récemment après les incendies de janvier à Los Angeles. Mais aussi sur le front en Ukraine. Contrairement aux services de télécommunication satellitaire traditionnels qui reposent sur des engins moins nombreux et situés à plus de 35.000 km de la Terre, en orbite géostationnaire, ceux proposés par Elon Musk et bientôt Jeff Bezos fonctionnent en orbite basse, ce qui leur permet des échanges de données bien plus rapides.Leur architecture – des satellites communiquant avec des antennes au sol mobiles – permet aussi de couvrir des zones où “le coût, la complexité et la géographie” rendent “difficile l’installation de solutions de connectivité traditionnelles basées au sol”, explique Amazon. – Souveraineté -Afin de rattraper son retard sur la concurrence, Amazon compte multiplier dans les prochains mois et années ses lancements de satellites, avec plus 80 vols commandés auprès de diverses entreprises spatiales dont ULA, mais aussi Blue Origin, la société spatiale de Jeff Bezos, et même SpaceX, celle d’Elon Musk.Ces milliers de satellites seront progressivement répartis sur l’orbite terrestre basse, un espace déjà occupé par les engins de Starlink et mais aussi ceux d’un nombre grandissant d’acteurs, dont l’opérateur européen Eutelsat, qui a fusionné en 2023 avec OneWeb, ou encore la Chine avec sa constellation Guowang.Une concurrence qui devrait continuer à croître et présente divers enjeux notamment en matière de sécurité dans l’espace, ces milliers de satellites faisant craindre un encombrement de l’orbite terrestre basse et de possibles collisions, mais aussi des perturbations des observations astronomiques.Elle soulève également des questions de souveraineté. En la matière, le rôle politique accru joué par Elon Musk, devenu premier conseiller de Donald Trump, a récemment relancé les débats sur la nécessité de ne pas laisser le domaine de l’espace aux seules mains d’acteurs privés.