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Des scientifiques créent une IA qui peut prédire la probabilité de maladies

Des scientifiques ont mis au point un modèle d’intelligence artificielle (IA) capable de prédire la probabilité de maladies chez un individu, et la prévalence dans une population, plusieurs années en amont, en se basant sur la même technologie que ChatGPT d’OpenAI.Entraîné à partir des antécédents médicaux de près d’un demi-million de patients britanniques tirés de …

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YouTube entre dans une nouvelle ère d’IA, avec un arsenal de nouveaux outils

YouTube a franchi un cap mardi dans l’intégration de l’intelligence artificielle (IA), avec des outils de génération ou d’édition de vidéos susceptibles de faire sensiblement évoluer la plateforme.Pour le patron de la première destination vidéo mondiale, Neal Mohan, ces “nouveaux produits bâtis sur l’IA vont façonner nos 20 prochaines années”.La filiale de Google s’appuie sur …

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YouTube entre dans une nouvelle ère d’IA, avec un arsenal de nouveaux outils

YouTube a franchi un cap mardi dans l’intégration de l’intelligence artificielle (IA), avec des outils de génération ou d’édition de vidéos susceptibles de faire sensiblement évoluer la plateforme.Pour le patron de la première destination vidéo mondiale, Neal Mohan, ces “nouveaux produits bâtis sur l’IA vont façonner nos 20 prochaines années”.La filiale de Google s’appuie sur le nouveau modèle d’IA générative Veo 3, lancé en mai et considéré comme l’un des plus performants du secteur pour la vidéo.Veo 3 Fast, déclinaison du modèle mis au point spécifiquement pour YouTube Shorts, l’espace dédié aux courtes vidéos de trois minutes ou moins, va être disponible gratuitement aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande.Outre la génération de vidéos par IA, YouTube Shorts propose aussi d’animer une photo sur la base de mouvements réalisés dans une autre vidéo.Il est ainsi possible de créer, par exemple, un petit film de soi-même en train de faire un enchaînement de breakdance en utilisant une de vos photos et une vidéo d’un danseur hip-hop.Autre fonctionnalité nouvelle, l’intégration d’un objet ou d’un personnage d’IA dans une vidéo tournée avec les moyens traditionnels.Dans l’exemple présenté mardi par YouTube lors d’un événement organisé à New York, une jeune femme allongée sur le canapé de son appartement se retrouve face à face avec une créature étrange de plusieurs mètres de haut.- “Des outils, pas plus” -Le géant de la vidéo en ligne entend mettre l’IA au service de tous les aspects de la création de contenu sur sa plateforme.Cette montée en puissance inquiète certains observateurs, qui s’attendent à ce qu’elle fasse exploser les “deepfakes” (image ou vidéo fabriquée grâce à l’IA mais qui se fait passer pour réelle) et la désinformation.”Nous imposons aux créateurs de signaler les contenus IA réalistes pour que les utilisateurs soient informés”, a indiqué YouTube à l’AFP.Pour autant, si une partie des auteurs de vidéos IA téléchargées sur le site le spécifient, ce n’est le plus souvent que dans les métadonnées. Et de nombreuses autres productions passent au travers des mailles du filet et ne portent aucune mention.Steve McLendon, responsable des podcasts, a expliqué que YouTube prévoyait d’ajouter à ces formats “une indication selon laquelle c’est généré par IA”, quand c’est le cas. “Nous serons transparents avec les utilisateurs, parce que nous pensons que c’est la bonne façon de faire.”Traditionnellement limités au seul contenu audio, les podcasts sont devenus très populaires en version filmée.Plus de 100 millions d’heures de podcasts sont écoutées chaque jour sur YouTube, a révélé M. McLendon, et un milliard de personnes visionnent au moins un podcast chaque mois sur la plateforme.Le groupe a annoncé mardi que les producteurs de podcasts pourront désormais générer une vidéo IA sur la base de la bande audio de leur programme, afin d’illustrer leur émission sur YouTube.Concernant les vidéos traditionnelles de la plateforme, Google a présenté une nouvelle option de traduction.Depuis 2024, YouTube a élargi son offre de doublage, grâce à l’IA, pour rendre accessibles des vidéos dans de nombreuses langues sans passer par un traducteur humain.Mardi, la plateforme a dévoilé un service IA qui synchronise le mouvement des lèvres du YouTubeur sur le son de la version traduite.L’intelligence artificielle donne, dans l’exemple de YouTube, l’impression qu’un créateur italien parle anglais dans sa vidéo.”Ce sont des outils, pas plus”, a insisté Neal Mohan, en réponse à une question sur l’impact de l’IA sur l’écosystème de la plateforme. Ils “sont conçus pour favoriser la créativité humaine”.Y aura-t-il un jour une superstar IA sur YouTube?”D’ici un ou deux ans, peut-être”, a estimé Amjad Hanif, vice-président et responsable des produits à destination des créateurs. “Je pense que ça va arriver vite.”Quant au risque de saturation de l’audience que présente la démocratisation des instruments d’IA générative, “il ne nous inquiète pas”, a réagi le responsable.”C’est un problème que nous avons toujours eu”, a-t-il poursuivi. A l’origine de YouTube, “il suffisait d’avoir une caméra et de télécharger. Donc il y a 20 ans, nous avions déjà beaucoup de contenu.”

L’Allemagne, laboratoire européen des applis de santé remboursées

“Seule, c’est très difficile”, confie l’Allemande Mona Noé, 30 ans, soulagée grâce à une application mobile prescrite par son médecin pour suivre son alimentation et mieux vivre son syndrome de l’intestin irritable. Cette habitante de Schleiden, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, fonctionnaire dans la protection civile, utilise l’une des 56 applis de santé désormais remboursées par les caisses d’assurance en Allemagne, pionnière en Europe de ce système de santé numérique.Santé mentale, obésité, sevrage tabagique… depuis 2020, ces outils baptisés DiGA (“Digitale Gesundheitsanwendung”) couvrent un large éventail de besoins et peuvent être prescrits par un médecin, généralement pour trois mois renouvelables. Avec une croissance de 85% des prescriptions l’an dernier, le système est porté par la numérisation de la médecine et l’essor des téléconsultations depuis la pandémie de Covid. Pour Mona, qui souffrait depuis l’enfance de crampes et ballonnements sans traitement efficace, le tournant est venu lorsqu’elle a convaincu son médecin de lui prescrire Cara Care, une appli qui l’aide à tenir un journal alimentaire pour repérer les déclencheurs de ses douleurs.”L’application a transformé ma façon de cuisiner en excluant certains aliments”, raconte-t-elle à l’AFP dans sa cuisine en préparant une poêlée de légumes qui se fera sans poivrons ni tomates.- Un quart des médecins convaincus -En cinq ans, plus d’un million d’ordonnances comme la sienne ont été signées par près de 60% des médecins allemands, selon une étude de la fédération des fabricants de soins numériques (SVDGV). Mais seuls environ un quart d’entre eux sont familiers de ces outils.Le Dr Johannes Patze, à Francfort (ouest), les prescrit “presque tous les jours”, surtout pour la santé mentale, dans l’attente d’un rendez-vous avec un thérapeute, qui peut prendre des mois.Les DiGA offrent un panel de services : informations médicales, suivi personnalisé, échanges en ligne avec des professionnels, séances de méditations et notifications de soutien au quotidien.Elles sont “disponibles en permanence, 24h/24 et 7j/7”, ajoute le médecin.Reste la facture. Ces applis coûtent en moyenne 600 euros pour trois mois par patient, soit 234 millions d’euros remboursés depuis 2020 par les caisses d’assurance maladie. La fédération du secteur (GKV) dénonce des tarifs “excessifs” et un manque de preuves d’efficacité.Mais pour le Dr Patze, les DiGA “réduisent probablement les coûts à long terme, car les patients sont mieux pris en charge”.Henrik Matthies, consultant en santé digitale, abonde : “c’est un surcoût immédiat, mais qui permettra aux patients de reprendre plus vite le travail, donc de soulager le système”.- Effet “catalyseur” -Le succès des DiGA tient aussi à une procédure accélérée: trois mois pour espérer obtenir une autorisation provisoire d’un an, le temps de démontrer leur efficacité clinique. Une prouesse, pour le système de santé allemand “très conservateur”, selon M. Matthies, dans un pays où la bureaucratie et le retard de la numérisation dans l’administration sont souvent moqués.Sur 228 dossiers déposés depuis 2020, 43 applications ont été définitivement autorisées et 13 sont encore évaluées.Le mécanisme a eu un effet “catalyseur” sur les start-up de la santé, en soulageant leurs finances, explique l’expert.L’Allemagne sert de laboratoire pour la Belgique, le Royaume-Uni ou encore la France qui ont lancé des projets similaires.Paris a créé en 2023 une procédure accélérée baptisée “Pecan”, mais seuls trois dispositifs de télésurveillance ont obtenu un remboursement et toutes les applications mobiles ont été refusées, comme la DiGA allemande anti-insomnie de la start-up Hello Better.Les fabricants français attendent des règles plus claires “pour éviter que l’émulation des débuts ne laisse place à la déception”, souligne Dorothée Camus, du syndicat SNITEM, tandis que la France doit administrer une cure d’amaigrissement à ses dépenses de santé.Un accord signé en juin entre Berlin et Paris vise à harmoniser les procédures d’évaluation et à accélérer la mise sur le marché.

L’Allemagne, laboratoire européen des applis de santé remboursées

“Seule, c’est très difficile”, confie l’Allemande Mona Noé, 30 ans, soulagée grâce à une application mobile prescrite par son médecin pour suivre son alimentation et mieux vivre son syndrome de l’intestin irritable. Cette habitante de Schleiden, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, fonctionnaire dans la protection civile, utilise l’une des 56 applis de santé désormais remboursées par les caisses d’assurance …

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“Nous avons un accord” pour TikTok, assure Donald Trump, qui prolonge le délai avant l’interdiction

Un accord a été trouvé entre les États-Unis et la Chine concernant TikTok, dont la version américaine doit selon Washington passer sous contrôle national, a déclaré mardi Donald Trump.”Nous avons un accord pour TikTok. J’ai conclu un accord avec la Chine. Je vais parler vendredi au président (chinois) Xi (Jinping) pour tout confirmer”, a dit …

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“Nous avons un accord” pour TikTok, assure Donald Trump, qui prolonge le délai avant l’interdiction

Un accord a été trouvé entre les États-Unis et la Chine concernant TikTok, dont la version américaine doit selon Washington passer sous contrôle national, a déclaré mardi Donald Trump.”Nous avons un accord pour TikTok. J’ai conclu un accord avec la Chine. Je vais parler vendredi au président (chinois) Xi (Jinping) pour tout confirmer”, a dit le président américain à des journalistes en partant pour une visite d’État au Royaume-Uni.Avant de s’envoler, le chef de l’État américain a signé un décret prolongeant pour la quatrième fois le délai avant l’entrée en vigueur de l’interdiction de la plateforme aux Etats-Unis, prévue par une loi du Congrès depuis janvier. La date butoir pour la cession, qui rendrait la loi caduque, est désormais repoussé au 16 décembre.Selon le secrétaire au Trésor des États-Unis Scott Bessent, le protocole prévoit que la plateforme de partage de courtes vidéos, propriété du groupe chinois ByteDance, passe sous contrôle américain avec l’entrée ou la montée au capital d’un ou plusieurs investisseurs basés aux États-Unis.Les détails n’ont pas encore été rendus publics mais, selon le Wall Street Journal, les activités de TikTok aux États-Unis seraient contrôlées par un consortium d’investisseurs comprenant le géant technologique Oracle et les fonds d’investissement californiens Silver Lake et Andreessen Horowitz, alors que les négociations s’accélèrent selon des sources proches du dossier.Lundi, l’adjoint au responsable de l’Administration chinoise du cyberespace (CAC), Wang Jingtao, a indiqué que les parties s’étaient entendues sur “l’utilisation sous licence de l’algorithme” et d’autres fonctionnalités protégées par la propriété intellectuelle.L’accord implique également que la maison mère de la plateforme, ByteDance, “confie la gestion des données et de la sécurité des contenus des utilisateurs américains” à un tiers, selon le dirigeant chinois.Cette question de la propriété de l’algorithme et du contrôle des données des utilisateurs est au cœur des préoccupations des élus américains.Le Congrès a adopté au printemps 2024 une loi imposant à ByteDance de céder le contrôle de TikTok aux États-Unis sous peine d’interdiction.Ce texte visait à empêcher que les autorités chinoises ne puissent mettre la main sur des données personnelles d’utilisateurs de TikTok aux États-Unis ou ne soient en mesure d’influencer l’opinion américaine via le puissant algorithme du réseau social.TikTok a admis que des employés basés en Chine avaient eu accès à des données d’utilisateurs américains, mais a assuré que rien n’avait été communiqué au gouvernement chinois.La possibilité pour la version américaine de TikTok d’utiliser l’algorithme, qui resterait propriété de ByteDance, et non une séparation pure et simple, ne résoudrait pas totalement les questions soulevées par le Congrès.La date limite, initialement fixée au 19 janvier, avait déjà été repoussée à trois reprises par le président Trump avant mardi.Selon plusieurs médias américains, un protocole avait été trouvé en avril, avant que les relations commerciales et diplomatiques entre Chine et Etats-Unis ne se tendent brutalement, sur fonds de nouveaux droits de douane.Il prévoyait la participation d’Oracle, qui héberge déjà les données de la version américaine de TikTok sur ses serveurs américains, ainsi que du gestionnaire d’actifs Blackstone et de l’entrepreneur Michael Dell.D’autres candidats à un rachat de la plateforme s’étaient positionnés, en particulier le “Project Liberty” de l’entrepreneur Frank McCourt et la start-up d’intelligence artificielle (IA) générative Perplexity AI, chacun voulant intégrer l’application à un modèle plus large.aue-cyb-tu-bl/bpe

Les objets de la saga Downton Abbey s’envolent aux enchères

Les objets emblématiques de la saga britannique Downton Abbey, qui tire sa révérence avec un troisième film actuellement en salle, se sont envolés aux enchères, rapportant plus de 1,7 million de livres (près de 2 millions d’euros), a annoncé la maison Bonhams mardi.Les 267 costumes, éléments de décor et accessoires ont tous trouvé preneur, le montant total de ces enchères atteignant six fois l’estimation initiale de la maison.Un panneau de clochettes, permettant d’appeler les domestiques de Downton Abbey, s’est envolé pour 216.300 livres (250.000 euros), alors qu’il était estimé entre  5.000 et 7.000 livres.”Avec des lots qui ont tous été acquis et des prix finaux dépassant largement les attentes, cette vente aux enchères témoigne de l’attrait durable pour Downton Abbey”, s’est félicité dans un communiqué Charlie Thomas, l’un des directeurs de Bonhams au Royaume-Uni.La robe de mariée portée par Lady Mary lors de son mariage avec Matthew Crawley (saison 3, épisode 14), initialement estimée entre 3.000 et 5.000 livres, a été vendue 21.760 livres (25.075 euros).La voiture de Lord et Lady Grantham, estimée entre 25.000 et 30.000 livres et en parfait état de marche, selon Charlie Thomas, s’est elle envolée pour 172.500 livres (198.800 euros).Quelque 4.000 personnes ont pris part à cette vente en ligne, du 18 août au 16 septembre, avec des acheteurs d’une quarantaine de pays selon Bonhams.15.000 personnes ont également fait le déplacement à Londres pour voir ces objets, exposés par la maison avant leur vente, 15 ans après le début de la célèbre saga.La série télévisée créée par Julian Fellowes, diffusée pour la première fois en 2010 au Royaume-Uni avant de conquérir le monde, raconte en six saisons et 52 épisodes la vie d’une riche famille aristocratique, les Crawley, et de leurs domestiques.Elle a été vue par plus de 120 millions de téléspectateurs dans le monde, selon Bonhams.Deux films ont été tirés de la série en 2019 et 2022. Un troisième, “Le Grand Final” est sorti le 10 septembre en France et le 12 au Royaume-Uni, où il est actuellement numéro un au box-office, selon sa société de production Carnival Films. Les recettes de la vente des objets de la série doivent être reversées à une organisation caritative britannique, “Together for Short Lives”, en faveur d’enfants malades.

Les objets de la saga Downton Abbey s’envolent aux enchères

Les objets emblématiques de la saga britannique Downton Abbey, qui tire sa révérence avec un troisième film actuellement en salle, se sont envolés aux enchères, rapportant plus de 1,7 million de livres (près de 2 millions d’euros), a annoncé la maison Bonhams mardi.Les 267 costumes, éléments de décor et accessoires ont tous trouvé preneur, le …

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“Nous avons un accord” pour TikTok, assure Donald Trump

Un accord a été trouvé entre les États-Unis et la Chine concernant TikTok, la version américaine de la plateforme devant selon Washington passer sous contrôle national, a déclaré mardi Donald Trump.”Nous avons un accord pour TikTok. J’ai conclu un accord avec la Chine. Je vais parler vendredi au président (chinois) Xi (Jinping) pour tout confirmer”, a dit le président américain à des journalistes avant de partir pour une visite d’État au Royaume-Uni.Le chef de l’État américain avait déjà fait état lundi d’une résolution du dossier TikTok, à formaliser avec son homologue chinois.Selon le secrétaire au Trésor des États-Unis Scott Bessent, le protocole prévoit que la plateforme de partage de courtes vidéos passe sous contrôle américain avec l’entrée ou la montée au capital d’un ou plusieurs investisseurs basés aux États-Unis.Lundi, l’adjoint au responsable de l’Administration chinoise du cyberespace (CAC), Wang Jingtao, a indiqué que les parties s’étaient entendues sur “l’utilisation sous licence de l’algorithme” et d’autres fonctionnalités protégées par la propriété intellectuelle.L’accord implique également que la maison mère de la plateforme, ByteDance, “confie la gestion des données et de la sécurité des contenus des utilisateurs américains” à un tiers, selon le dirigeant chinois.Cette question de la propriété de l’algorithme et du contrôle des données des utilisateurs est au cœur des préoccupations des élus américains.Le Congrès a adopté, au printemps 2024, une loi imposant à ByteDance de céder le contrôle de TikTok aux États-Unis sous peine d’interdiction.Ce texte visait à empêcher que les autorités chinoises ne puissent mettre la main sur des données personnelles d’utilisateurs de TikTok aux États-Unis ou ne soient en mesure d’influencer l’opinion américaine via le puissant algorithme du réseau social.TikTok a admis que des employés basés en Chine avaient eu accès à des données d’utilisateurs américains, mais a assuré que rien n’avait été communiqué au gouvernement chinois.La possibilité pour TikTok US d’utiliser l’algorithme, qui resterait propriété de ByteDance, et non une séparation pure et simple, ne résoudrait pas totalement les questions soulevées par le Congrès.La date limite, initialement fixée au 19 janvier, a déjà été repoussée à trois reprises par le président Trump.Selon plusieurs médias américains, un protocole avait été trouvé en avril, avant que les relations commerciales et diplomatiques entre Chine et Etats-Unis ne se tendent brutalement, sur fonds de nouveaux droits de douane.Il prévoyait la participation du groupe informatique Oracle, qui héberge déjà les données de TikTok US sur ses serveurs américains, ainsi que du gestionnaire d’actifs Blackstone et de l’entrepreneur Michael Dell.D’autres candidats à un rachat de la plateforme s’étaient positionnés, en particulier le “Project Liberty” de l’entrepreneur Frank McCourt et la start-up d’intelligence artificielle (IA) générative Perplexity AI, chacun voulant intégrer l’application à un modèle plus large.