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Jeu vidéo: “Clair Obscur: Expedition 33”, une plongée très “fantasy” dans la “Belle Époque”

A l’approche de sa sortie mondiale, le jeu vidéo “Clair Obscur: Expedition 33”, première production du studio français indépendant Sandfall Interactive, possède déjà une solide communauté de fans avides de découvrir son univers postapocalyptique mâtiné d’un esprit “Belle Epoque” très “fantasy”.Disponible jeudi sur PlayStation 5, Xbox Series X/S et sur PC, ce jeu de rôle “tour par tour” a déjà été inscrit par plus d’un million de joueurs sur leur “liste de souhaits”, selon les responsables de ce studio né en 2020 et implanté à Montpellier, dans le sud de la France.Ce chiffre, rare pour un jeu développé par un studio indépendant, est “hyper encourageant” et “présage un bon retour critique et commercial”, s’enthousiasme l’un des trois fondateurs du studio, François Meurisse, quelques jours avant la sortie du jeu.”On arrive au terme de quatre ans de production, et même plus longtemps pour certains d’entre nous. Aujourd’hui, on est à un moment crucial”, ajoute le jeune homme, sans pour autant afficher de signe de nervosité.Installés derrière une multitude d’écrans, au premier étage d’une belle maison de maître au style “Art Déco” qui colle bien avec l’esprit du jeu, avec ses hauts plafonds, sa salle de bain rehaussée de marbre et son grand jardin pour les apéros, la vingtaine de salariés, graphistes et développeurs paraissent également sereins.A ce stade, les disques Blu-ray ont déjà été gravés et expédiés et il s’agit surtout de corriger les petits défauts qui pourraient encore apparaître afin que les mises à jour puisse être mises en ligne dès le jour “J”, explique l’un d’eux.- Combats acharnés -Pour le joueur, l’aventure “Expedition 33” débutera à “Lumière”, une ville située sur une île dont les édifices emblématiques (une Tour Eiffel, un Arc de Triomphe, une Place de la Bastille…) en rappellent une autre. Mais si les passants sont vêtus à la mode 1900, la plupart des bâtiments tiennent à peine debout, victimes d’une catastrophe dont la nature sera dévoilée petit à petit.Tout aussi intrigant, un gigantesque monolithe, qu’on aperçoit de l’autre côté de la mer, affiche un nombre –34– correspondant à l’âge auquel les habitants de la cité “s’effacent” et se transforment en fleurs.Pire, une énigmatique “Peintresse” abaisse cet âge tous les ans, lors du “jour du gommage”, réduisant d’autant l’espérance de vie.Dans la peau de Gustave, Maelle, Lune, Sciel ou encore “Monoco le Gestral”, le joueur devra quitter l’île et explorer l’autre rive, un vaste continent où l’attendent, au milieu de paysages de forêts et de ruines, les sbires surarmés de la Peintresse.Entre les belles séquences de cinématiques, le joueur-explorateur devra livrer des combats acharnés pour espérer atteindre le 33e niveau, ce qui devrait lui prendre au minimum une trentaine d’heures, et le double pour explorer l’ensemble de l’univers et résoudre les énigmes annexes.L’histoire offre également son lot de retournements de situation “imprévisibles”, selon ses concepteurs, qui ont fait le choix de ne pas afficher à l’écran de carte permettant de se situer.- Catalogue -Au sein du studio, Guillaume Broche joue le rôle clé de “directeur créatif” du jeu, qu’il a suivi de bout en bout. C’est lui qui a eu l’idée de cette aventure, il y a plus de cinq ans, et l’envie de la faire fonctionner sur le mode du “jeu de rôle”, à la manière de la célèbre licence “Final Fantasy”, mais en situant l’action dans un environnement inspiré de la France de la fin du XIXe début du XXe siècle.Alors employé en Suède par le géant français Ubisoft, ce passionné de jeu vidéo parle de son projet à un collègue, Tom Guillermin, lui aussi chez Ubisoft. A la fin du premier confinement, ils s’associent à François Meurisse et fondent leur studio à Montpellier, ville où l’industrie du jeu vidéo est présente de longue date.En 2022, les trois jeunes entrepreneurs se rapprochent, lors d’un salon spécialisé à San-Francisco, de l’éditeur londonien Kepler Interactive, qui leur apporte de nouveaux financements et prend en mains les activités marketing et distribution du studio.Ce partenaire anglais leur permet aussi de se faire connaître à l’international. Et, en juin 2024, l’Américain Microsoft annonce qu'”Expedition 33″ intégrera le catalogue de jeux de ses consoles XBox, ainsi que son service d’abonnement Game Pass. Depuis, l’intérêt, et l’attente, n’ont fait que croître.

Jeu vidéo: “Clair Obscur: Expedition 33”, une plongée très “fantasy” dans la “Belle Époque”

A l’approche de sa sortie mondiale, le jeu vidéo “Clair Obscur: Expedition 33”, première production du studio français indépendant Sandfall Interactive, possède déjà une solide communauté de fans avides de découvrir son univers postapocalyptique mâtiné d’un esprit “Belle Epoque” très “fantasy”.Disponible jeudi sur PlayStation 5, Xbox Series X/S et sur PC, ce jeu de rôle …

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Automobile: le salon de Shanghai, symbole de la nouvelle donne mondiale malgré la tempête douanière

Le salon de l’automobile de Shanghai a débuté mercredi en illustrant la nouvelle donne de l’automobile mondiale, avec de fortes ambitions de la Chine à l’export malgré la tempête des droits de douane.Les groupes chinois ont multiplié les lancements, démontrant leur avance technologique dans les voitures électriques.La startup Xpeng a dévoilé un système de batterie permettant de retrouver 420 kilomètres d’autonomie en 10 minutes, en réponse à de récentes annonces du leader chinois du secteur BYD et du géant des batteries CATL.Sur le stand de BYD, une foule compacte de visiteurs, de journalistes et d’influenceurs a assisté à la présentation de cinq nouvelles voitures de sa gamme “Ocean”, ainsi qu’un nouveau SUV de sa marque de luxe Yangwang, et un concept sportif de son autre marque premium, Denza.La Chine est devenue le premier marché automobile mondial, notamment via l’explosion des ventes de voitures électriques. Mais les centaines de modèles exposés au Palais des congrès de Shanghai, construits par des groupes chinois comme étrangers, sont freinés à l’export par les droits de douane européens et américains.”Les droits de douane ont des conséquences pour nos affaires, principalement sur leur rentabilité”, a souligné Brian Gu, l’un des patrons de la startup de voitures électriques Xpeng. “Mais nous avons un engagement sur le long terme (en Europe) (…) On travaille avec nos partenaires pour décider des meilleurs modèles à exporter, des tarifs, ainsi que d’une potentielle production locale”, a expliqué M. Gu dans une interview à l’AFP.Le constructeur Nio a reporté de son côté le lancement en Europe de sa marque d’entrée de gamme Firefly. “Il ne faut pas être irréaliste”, a souligné à l’AFP son président, Lin Qihong. “On peut revoir les objectifs de vente à la baisse pour certains modèles, mais il faut qu’on garde un bon rythme (dans le développement des marchés)”.- Contre-offensive -Les droits de douane compliquent aussi la vie des constructeurs allemands, qui en plus de leur recul sur le marché chinois, se retrouvent à affronter les droits de douane américains.”La complexité actuelle de ce qui se passe, avec un paysage géopolitique, économique et commercial qui change, est inédite dans ma carrière de 32 ans dans l’automobile”, a lâché le patron de Mercedes Ola Kallenius lors d’une table ronde avec des journalistes.Oliver Zipse, le patron de BMW, très touché par les droits de douane américains, a répété que la marque munichoise “continuera de défendre l’ouverture des marchés”.Sur le stand de BMW, un dirigeant étranger parlait en mandarin avec un robot, avant qu’Oliver Zipse ne dévoile un SUV futuriste de sa nouvelle gamme “Neue Klasse”. Une version dédiée à la Chine sera lancée dès l’an prochain.Les groupes étrangers essaient tous de combler le retard pris sur les Chinois, qui conçoivent et lancent de nouveaux modèles en quelques mois.”Nous n’allions pas à la même vitesse parce que les marques chinoises font preuve d’une rapidité exceptionnelle” pour l’industrie automobile, a expliqué le patron de Nissan pour la Chine, Stephen Ma. Après avoir vu ses ventes divisées par deux en quelques années, le groupe japonais a annoncé qu’il allait investir 10 milliards de yuans supplémentaires en Chine (1,2 milliard d’euros) et y lancer dix nouveaux modèles d’ici l’été 2027, contre huit prévus jusqu’ici.Volkswagen, premier groupe étranger en Chine mais en difficulté lui aussi, a dévoilé de son côté une contre-offensive massive. Une série de modèles électriques pensés “en Chine pour la Chine”, réalisés avec des groupes locaux pour aller plus vite et faire des économies, doit arriver dans les concessions dès cette année. Pour reprendre quelques parts de marché, ces modèles mettent en avant les technologies dont sont friands les Chinois, des lumières personnalisables aux aides à la conduite, comme pour la nouvelle Audi E5 Sportback.

Automobile: le salon de Shanghai, symbole de la nouvelle donne mondiale malgré la tempête douanière

Le salon de l’automobile de Shanghai a débuté mercredi en illustrant la nouvelle donne de l’automobile mondiale, avec de fortes ambitions de la Chine à l’export malgré la tempête des droits de douane.Les groupes chinois ont multiplié les lancements, démontrant leur avance technologique dans les voitures électriques.La startup Xpeng a dévoilé un système de batterie …

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Vérification d’âge: l’Arcom met en demeure deux sites pornographiques

L’Arcom a mis en demeure deux sites pornographiques pour ne pas avoir mis en place un système de vérification d’âge de leurs utilisateurs, première étape avant un éventuel blocage, a indiqué mardi le gendarme du numérique.Les deux sites pornographiques visés sont Pornovore et Chaturbate, selon les décisions publiées sur le site de l’Arcom.Ils disposent d’un délai de 15 jours pour se mettre en conformité avec une loi, entrée en vigueur en janvier, qui oblige les éditeurs de ces sites à mettre en place un système d’identification empêchant les mineurs d’y accéder.Passé ce délai, “l’Arcom pourra demander leur blocage et leur déréférencement ou prononcer des sanctions pécuniaires”, précise le gendarme du numérique et de l’audiovisuel.Cette mesure, obtenue après une longue bataille entre les pouvoirs publics et les éditeurs, était réclamée depuis longtemps par les associations de protection de l’enfance en France, où 2,3 millions de mineurs fréquentent des sites pornographiques selon l’Arcom.Début mars, le gendarme du numérique avait indiqué avoir identifié six sites porno établis en France ou en dehors de l’Union européenne qui ne s’étaient pas conformés à la loi, dont l’un a déjà été bloqué.Les trois autres sites n’ont, eux, pas écopé d’une mise en demeure car ils ont depuis mis en place divers moyens de prouver sa majorité, comme par exemple un selfie évalué par l’intelligence artificielle.L’Autorité rappelle également que “à compter du 7 juin prochain, elle sera également compétente pour vérifier la conformité de plusieurs plateformes pornographiques établies dans d’autres Etats membres de l’Union européenne”, conformément à l’arrêté interministériel publié en ce sens début mars.

Vérification d’âge: l’Arcom met en demeure deux sites pornographiques

L’Arcom a mis en demeure deux sites pornographiques pour ne pas avoir mis en place un système de vérification d’âge de leurs utilisateurs, première étape avant un éventuel blocage, a indiqué mardi le gendarme du numérique.Les deux sites pornographiques visés sont Pornovore et Chaturbate, selon les décisions publiées sur le site de l’Arcom.Ils disposent d’un …

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Nutri-Score, publicité alimentaire: le Cese préconise une approche plus contraignante

Le Conseil économique social et environnemental (Cese) propose, dans un avis voté mardi, des mesures contraignantes contre les problèmes de santé liés à l’alimentation, comme la généralisation du Nutri-Score, la taxation des produits nocifs et l’encadrement de la publicité destinée aux enfants.Le Cese, composé de représentants de la société civile et dont le rôle est consultatif, s’est autosaisi de cette question, en parallèle de la construction de la Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat 2025/2030 (Snanc).Mise en consultation le 4 avril, pour un mois, la Snanc a été saluée car longtemps attendue mais aussi critiquée par plus de 50 ONG, qui regrettent que “la majorité des mesures mentionnées soient de nature incitative” et non contraignantes.”On voit bien qu’avec des mesures qui ne reposent que sur des intentions, malheureusement ce n’est pas suivi d’effet”, a affirmé à l’AFP Dominique Marmier, co-rapporteur de l’avis du Cese et agriculteur.Il insiste sur la nécessité de mesures plus strictes, “avec des évaluations puis des sanctions”.Rendre obligatoire le Nutri-ScoreLe Conseil préconise de “reprendre les négociations au niveau européen pour rendre rapidement obligatoire” l’apposition du Nutri-Score sur “tous les produits transformés et vendus pré-emballés”.Dans la Snanc, le gouvernement propose, à l’horizon 2030, “d’inciter les annonceurs à apposer le Nutri-Score” et “d’expérimenter les modalités d’une extension de l’usage volontaire du Nutri-Score aux denrées non pré-emballées”. Après avoir refusé de rendre obligatoire le Nutri-Score sous la pression d’agro-industriels, italiens notamment, la Commission européenne a répété récemment “continuer à travailler” sur une solution consensuelle d’étiquetage nutritionnel.Taxer les produits trop nocifsLe Cese et la Snanc préconisent tous deux la mise en place d’un plan de réduction de la teneur en gras, sel et sucre des produits transformés “à des niveaux correspondant aux recommandations nutritionnelles médicales” (Cese).Ce plan serait co-construit avec “l’industrie agroalimentaire et la communauté scientifique”, a précisé Dominique Marmier, co-rapporteur.Dans la stratégie nationale, “en cas de non atteinte, (ce plan) sera suivi d’objectifs réglementaires”.La préconisation du Cese est plus précise : “mettre en place un dispositif de taxation sur les produits ne respectant pas les objectifs fixés après l’échéance collectivement définie”, dont les “recettes pourraient abonder le financement des actions en faveur de la lutte contre la précarité alimentaire”.”Avec les maladies (obésité, diabète…) en nette évolution, on pense que ça coûte à la Sécurité sociale une vingtaine de milliards chaque année, parce qu’on apporte des soins qui ne devraient pas être là si on mangeait correctement”, a expliqué Dominique Marmier. Selon lui, cette “petite taxe” aurait pour objectif de “pénaliser les mauvais élèves” car les simples leviers incitatifs ne suffisent pas.”Je sais que les interdictions et les taxations évoquées dans notre avis irritent” mais n’interviendraient que dans un deuxième temps, a précisé Henri Biès-Péré, président de la commission Territoires, agriculture et alimentation lors de la séance plénière.Mieux encadrer la publicitéLe Cese préconise d’encadrer plus strictement la publicité sur les produits alimentaires destinée aux enfants. Les mesures en vigueur permettent de réguler les publicités avant et après les programmes destinés aux enfants sur les chaînes du service public mais pas sur les chaînes privées, qui représentent pourtant “deux tiers des audiences des programmes” jeunesse, explique le conseil. Et ces programmes représentent moins de 20% de ce que regardent les enfants, qui se tournent notamment vers la téléréalité.Or 88% des publicités destinées aux enfants promeuvent des produits au Nutri-Score D ou E (contre 43% pour les publicités “tous publics”), et 0% pour des produits A ou B (contre 30% pour les “tous publics”), selon une étude de l’UFC-Que Choisir. L’association suggère même “d’interdire les publicités pour les aliments de Nutri-Score D et E lors des programmes les plus regardés par les enfants”. Les ONG reprochent au gouvernement d’avoir substitué un simple “levier incitatif” au “cadre réglementaire” initialement prévu pour “réduire efficacement l’exposition des enfants” à ces publicités dans la Snanc.Ce choix “contraste avec la décision du gouvernement britannique d’interdire la publicité pour la malbouffe sur internet et à la télévision en journée à compter du 1er octobre”, relèvent les ONG.

Nutri-Score, publicité alimentaire: le Cese préconise une approche plus contraignante

Le Conseil économique social et environnemental (Cese) propose, dans un avis voté mardi, des mesures contraignantes contre les problèmes de santé liés à l’alimentation, comme la généralisation du Nutri-Score, la taxation des produits nocifs et l’encadrement de la publicité destinée aux enfants.Le Cese, composé de représentants de la société civile et dont le rôle est consultatif, s’est …

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Bluesky, rival de X, institue une icône pour les comptes certifiés

Bluesky, rival du réseau X d’Elon Musk, a annoncé lundi mettre en place une icône bleue pour symboliser les comptes certifiés.”La confiance est fondamentale”, écrit la plateforme sur son blog. “Bluesky vérifiera proactivement les comptes authentiques et importants et affichera une icône bleue à côté de leur nom”.L’icône est similaire au badge utilisé jadis par Twitter, qui avait mis cette possibilité en place afin de déjouer les impostures et permettre aux utilisateurs de certifier leur identité.Mais Elon Musk a supprimé la vérification après avoir racheté Twitter en 2022 pour 44 milliards de dollars, avant de le rebaptiser X. A la place, l’homme le plus riche du monde a réservé ces coches bleues aux abonnés payants. “Les réseaux sociaux nous ont fortement interconnectés mais ils ne nous ont pas toujours donné les outils qui permettent de savoir avec qui nous échangeons ni si nous pouvons leur faire confiance”, a souligné Bluesky.Le réseau au papillon bleu a été créé par le cofondateur de Twitter Jack Dorsey en 2019 comme une émanation de la plateforme, avant de devenir indépendant avant le rachat par Elon Musk. Bluesky (littéralement “ciel bleu”) a revendiqué plus de 30 millions d’utilisateurs en début d’année. Le réseau connaît une expansion rapide depuis le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, qui a chargé Elon Musk d’une mission d’amaigrissement de l’Etat fédéral.La plateforme permet déjà à ses utilisateurs de certifier leur identité en se présentant sous leur nom de domaine. Elle va permettre en outre à des organisations de certifier elles-mêmes d’autres comptes: par exemple en autorisant un média à distribuer lui-même des icônes bleues à ses journalistes.”Cette année sera celle de notre sortie au grand jour”, a déclaré le mois dernier la directrice des opérations de Bluesky, Rose Wang, à l’AFP.”Les gens veulent savoir ce qui se passe dans le monde et ont besoin d’un espace sûr pour discuter, s’amuser et se faire des amis. Pour l’instant, ils ne trouvent cela nulle part ailleurs”, avait-elle confié.

Bluesky, rival de X, institue une icône pour les comptes certifiés

Bluesky, rival du réseau X d’Elon Musk, a annoncé lundi mettre en place une icône bleue pour symboliser les comptes certifiés.”La confiance est fondamentale”, écrit la plateforme sur son blog. “Bluesky vérifiera proactivement les comptes authentiques et importants et affichera une icône bleue à côté de leur nom”.L’icône est similaire au badge utilisé jadis par …

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