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Pour ses débuts sur M6 dimanche, Anne-Sophie Lapix reçoit Kylian Mbappé

Le footballeur superstar Kylian Mbappé sera le premier invité d’Anne-Sophie Lapix pour sa nouvelle émission hebdomadaire d’interviews sur M6, dimanche à 20h20, a annoncé la chaîne vendredi à l’AFP.”Nous voulions une personnalité exceptionnelle, dont la parole est rare et qui rassemble les générations pour ce premier numéro du 20 20″ (le nom de l’émission), a déclaré la journaliste dans un communiqué transmis à l’AFP.”Le nom de Kylian Mbappé s’est imposé comme une évidence à quelques mois de la Coupe du monde de foot que diffusera M6. Nous sommes extrêmement heureux qu’il ait accepté d’inaugurer l’émission”, a-t-elle ajouté au sujet de l’attaquant star du Real Madrid et capitaine de l’équipe de France.Les Bleus affrontent l’Ukraine vendredi soir puis l’Islande mardi 9 septembre pour les qualifications au Mondial-2026.Anne-Sophie Lapix, 53 ans, a rejoint M6 et RTL, qui appartiennent au même groupe, après avoir été évincée de la présentation du JT de 20H00 de France 2, au terme de huit saisons.Le “20 20” sur M6 sera une interview de 10 minutes enregistrée dans les conditions du direct et diffusée chaque dimanche à 20h20, après le journal. Une séquence supplémentaire sera ensuite réservée à la plateforme numérique M6+. “Les invités seront des gens dans l’actu: évidemment pas mal de personnalités politiques, parce qu’on est en année pré-électorale et électorale, mais aussi de la culture, du sport”, avait expliqué Anne-Sophie Lapix à l’AFP fin août.”Ce qui est intéressant sur M6, c’est que c’est un public plus jeune (que celui des 20H00, NDLR), d’actifs. J’ai des enfants de 20 et 23 ans, ils ne regardaient pas forcément ce que je faisais auparavant et j’espère les intéresser”, avait-elle souligné.Sur RTL, elle a repris la tranche 18h-20H depuis le 25 août.

IA: l’américain Anthropic interdit aux entités chinoises d’utiliser ses services

Anthropic va interdire aux entités sous contrôle en majorité chinois d’utiliser ses services d’intelligence artificielle (IA), a annoncé vendredi le géant technologique américain, dans le cadre d’un renforcement des restrictions dans les régions marquées selon lui par l’autoritarisme. “Cette mise à jour interdit l’accès aux entreprises ou organisations” qui par leur structure “sont soumises à un …

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IA: l’américain Anthropic interdit aux entités chinoises d’utiliser ses services

Anthropic va interdire aux entités sous contrôle en majorité chinois d’utiliser ses services d’intelligence artificielle (IA), a annoncé vendredi le géant technologique américain, dans le cadre d’un renforcement des restrictions dans les régions marquées selon lui par l’autoritarisme. “Cette mise à jour interdit l’accès aux entreprises ou organisations” qui par leur structure “sont soumises à un contrôle depuis des juridictions où nos produits ne sont pas autorisés, comme la Chine, quel que soit l’endroit où elles ont des activités”, a indiqué la société dans un communiqué.Les entreprises basées en Chine, ainsi que dans d’autres pays tels que la Russie, la Corée du Nord et l’Iran, ne pouvaient déjà plus accéder aux services d’Anthropic pour des raisons juridiques et de sécurité.Mais malgré ces restrictions, certains groupes continuaient d’y accéder “de diverses manières, par exemple par l’intermédiaire de filiales constituées dans d’autres pays”, a-t-elle précisé.Anthropic a déclaré que la mise à jour de ses conditions d’utilisation affecterait les entités détenues à plus de 50%, directement ou indirectement, par des entreprises basées dans ces territoires.Au motif, selon elle, que “la sûreté et la sécurité du développement de l’IA nécessitent un engagement collectif pour empêcher son utilisation abusive”. Anthropic, fondée en 2021 par d’anciens d’OpenAI, a lancé l’IA Claude début 2023. Elle affirme aujourd’hui compter plus de 300.000 clients professionnels et avoir quasiment multiplié par sept le nombre d’abonnés susceptibles de générer plus de 100.000 dollars de revenus par an.La start-up a récemment annoncé valoir désormais 183 milliards de dollars, après une nouvelle levée de fonds massive.”C’est la première fois qu’une grande entreprise américaine d’IA impose une telle interdiction formelle et publique”, a déclaré Nicholas Cook, avocat spécialisé dans le secteur de l’IA et fort de 15 ans d’expérience au sein de cabinets internationaux en Chine.”L’impact commercial immédiat pourrait être modeste, car les fournisseurs américains d’IA sont déjà confrontés à des obstacles sur ce marché et les groupes concernés ont choisi eux-mêmes leurs propres technologies d’IA développées localement”, a-t-il déclaré à l’AFP.Mais “une telle position soulèvera inévitablement des questions quant à savoir si d’autres adopteront ou devraient adopter une approche similaire”.Un dirigeant d’Anthropic a déclaré au Financial Times que cette décision aurait un impact sur les revenus de “quelques centaines de millions de dollars”.

Vent d’inquiétude dans le cinéma après le rachat annoncé d’UGC par Canal+

Le rachat d’UGC par Canal+ n’en est qu’à ses prémices mais fait déjà souffler un vent d’inquiétude dans le cinéma indépendant français, qui redoute une “concentration” des pouvoirs aux mains d’un seul acteur.Premier financeur privé du cinéma français (quelque 220 millions d’euros investis par an), le groupe de Vincent Bolloré a annoncé lundi le début …

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Vent d’inquiétude dans le cinéma après le rachat annoncé d’UGC par Canal+

Le rachat d’UGC par Canal+ n’en est qu’à ses prémices mais fait déjà souffler un vent d’inquiétude dans le cinéma indépendant français, qui redoute une “concentration” des pouvoirs aux mains d’un seul acteur.Premier financeur privé du cinéma français (quelque 220 millions d’euros investis par an), le groupe de Vincent Bolloré a annoncé lundi le début d’un processus devant conduire “en 2028” à une prise de prise de contrôle totale d’UGC, ses 48 cinémas en France mais aussi sa société de production et de distribution.Si l’opération va à son terme, Canal+ et sa société StudioCanal seraient présents en force à toutes les étapes de la vie d’un film, de son préfinancement à son exploitation en salles et à la diffusion télé. “Ce sera la première fois qu’un groupe aura autant de puissance à chaque étape. StudioCanal sera en position d’écraser tout le monde”, redoute auprès de l’AFP une productrice indépendante sous couvert de l’anonymat. Elle note que Canal+ mettrait aussi la main sur l’UGC Ciné Cité les Halles à Paris, plus grande salle d’Europe et baromètre de la fréquentation en France.Ceux qui acceptent de parler publiquement partagent la même inquiétude. Jointe par l’AFP, l’association de cinéastes indépendants Acid, qui organise chaque année une section parallèle au festival à Cannes, dit craindre “un déclin de la diversité du cinéma”.”Tout phénomène de concentration du marché ne peut se faire qu’au détriment des œuvres de la diversité et d’une offre riche, menaçant in fine la capacité même des publics à les découvrir”, détaille l’association. – Filière fragilisée -Un des principaux sujets d’inquiétude se joue bien en amont de la production d’un film. Au début de sa vie, un long-métrage doit trouver un distributeur qui lui accordera un pré-financement et, en bout de chaîne, assurera notamment sa promotion et sa sortie en France voire à l’étranger.Etape cruciale, le choix d’un distributeur influence souvent le niveau de financement que les chaînes de télé accepteront de débloquer pour soutenir un film.Or, si le rachat annoncé lundi se concrétise, Canal+ engloberait la société de distribution d’UGC au risque de faire disparaître un acteur vers lequel des productions peuvent actuellement se tourner pour se financer. “On perdrait un énorme guichet et une solution alternative”, déplore la productrice.Jointe par l’AFP, la Société des réalisateurs de films (SRF), qui regroupe quelque 500 cinéastes, redoute elle aussi un rétrécissement d’une filière, par ailleurs fragilisée par la baisse de la fréquentation des salles (-15% depuis janvier).”Plus on a de concentration, moins bien on se porte”, assure sa déléguée générale Rosalie Brun, qui voit avec inquiétude la montée en puissance des grands groupes dans le cinéma avec la récente prise de participation du géant CMA-CGM dans le groupe Pathé. Selon Mme Brun, il y a un risque de voir triompher “la logique de la demande” qui conduirait à ne faire exister que les films supposés plaire au plus grand nombre, au risque de fragiliser le cinéma indépendant, pilier de l’exception culturelle française.Mme Brun se félicite toutefois qu’UGC ne tombe pas entre les mains d’un groupe étranger et relève que Canal+, même depuis sa prise de contrôle par le milliardaire conservateur Vincent Bolloré, continue de soutenir l’ensemble du cinéma français. “On n’a pas de problème de mainmise politique”, estime-t-elle. Sous couvert d’anonymat, un haut cadre de l’audiovisuel se montre moins alarmiste et voit d’abord dans ce rachat “le signe que Canal+ veut continuer à investir dans le cinéma français” alors que le groupe menaçait de se désengager au début de l’année. Sur X, la ministre de la Culture Rachida Dati a elle aussi estimé que l’opération illustrait “la volonté d’ancrage de Canal+ dans le cinéma”. Pas suffisant pour convaincre les opposants au rachat qui placent leurs espoirs dans l’Autorité de la concurrence.  Quand Canal+ avait frappé un grand coup en rachetant en 2024 les chaînes OCS et Orange Studio, cette instance avait identifié un “risque pour la diversité du cinéma français” et proposé des aménagements, acceptés par Canal+.

Conviés à dîner par Trump, les grands noms de la tech lui rendent hommage

Les patrons des géants américains de la tech, qui se sont tous ou presque ralliés à Donald Trump, n’ont pas tari d’éloges sur le président américain jeudi, pendant un dîner donné à la Maison Blanche.”Ce n’est pas rien de rassembler un tel groupe”, a commencé Mark Zuckerberg, patron de Meta, assis à la droite de Donald Trump.Autour d’eux, les chefs des plus grandes entreprises du secteur (OpenAI, Microsoft, Apple, Alphabet), dont certains s’étaient déjà réunis en janvier pour l’investiture du républicain de 79 ans.Le multimilliardaire Elon Musk, ancien allié du président américain avec lequel il s’est brouillé de manière spectaculaire, manquait toutefois à l’appel.”J’étais invité mais malheureusement je ne pouvais pas y assister”, a indiqué le patron de Tesla et SpaceX sur son réseau social, X, en précisant avoir envoyé quelqu’un pour le représenter.Toutes ces entreprises “font d’énormes investissements dans le pays pour construire des centres de données et l’infrastructure qui portera la prochaine vague d’innovation”, a encore commenté Mark Zuckerberg.”Je veux vous remercier pour l’aide que vous apportez aux entreprises américaines à travers le monde”, a déclaré pour sa part Tim Cook, le patron d’Apple.Donald Trump a récemment menacé de sanctions commerciales les pays ou organisations régulant les entreprises technologiques américaines, une menace visant particulièrement l’Union européenne.”Merci d’être un président qui soutient autant les entreprises et l’innovation. C’est un changement vraiment appréciable”, a renchéri Sam Altman, patron d’Open AI.Le cofondateur de Microsoft Bill Gates, assis à côté de la Première dame Melania Trump, a lui adopté un ton un peu différent, en appelant à mettre l’intelligence artificielle au service du développement international.”C’est formidable que nous soyons réunis et que nous parlions de la manière dont les Etats-Unis peuvent dominer ce secteur stratégique et l’appliquer autant aux plus pauvres hors des Etats-Unis qu’à nos concitoyens”, a lancé l’ancien patron reconverti en philanthrope.Bill Gates a, pour illustrer la capacité d’innovation américaine, mentionné l’opération “Warp Speed” qui avait permis de développer et distribuer en un temps record des vaccins contre le Covid-19.Depuis son arrivée au pouvoir, Donald Trump a taillé dans l’aide internationale et mis fin à des investissements dans les vaccins à ARN messager, la technologie déployée face à la pandémie de Covid-19.Plutôt en froid avec le monde de la tech pendant son premier mandat, le républicain de 79 ans a vu les grands noms du secteur se rallier massivement à lui à son retour au pouvoir. Beaucoup ont défilé à la Maison Blanche pour promettre de lourds investissements aux Etats-Unis, et certains se sont empressés, suivant l’impulsion donnée par le président américain, de mettre fin à des programmes de promotion de la diversité ainsi qu’à des initiatives de lutte contre la désinformation en ligne.

Conviés à dîner par Trump, les grands noms de la tech lui rendent hommage

Les patrons des géants américains de la tech, qui se sont tous ou presque ralliés à Donald Trump, n’ont pas tari d’éloges sur le président américain jeudi, pendant un dîner donné à la Maison Blanche.”Ce n’est pas rien de rassembler un tel groupe”, a commencé Mark Zuckerberg, patron de Meta, assis à la droite de …

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Aux Etats-Unis, des scientifiques se battent pour sauver un important site web sur le climat

Face au risque de voir le fruit de leur travail disparaître ou pire, être instrumentalisé par l’administration Trump pour promouvoir des idées climatosceptiques, un groupe de scientifiques et de vulgarisateurs américains se mobilise pour sauver un important site gouvernemental.”Malgré le gouvernement que nous avons élu, une majorité d’Américains croit dans la réalité du changement climatique”, …

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Aux Etats-Unis, des scientifiques se battent pour sauver un important site web sur le climat

Face au risque de voir le fruit de leur travail disparaître ou pire, être instrumentalisé par l’administration Trump pour promouvoir des idées climatosceptiques, un groupe de scientifiques et de vulgarisateurs américains se mobilise pour sauver un important site gouvernemental.”Malgré le gouvernement que nous avons élu, une majorité d’Américains croit dans la réalité du changement climatique”, remarque Rebecca Lindsey, ancienne fonctionnaire fédérale et ex-responsable du site climate.gov, une plateforme américaine d’information sur le réchauffement climatique.Limogée en début d’année avec la quasi-totalité de son équipe par l’administration Trump, elle coordonne désormais les efforts pour éviter que les précieuses données et ressources sur le climat hébergées par le site ne partent en poussière: “Il faut qu’on s’assure que tout ça reste en ligne”. Cette initiative, baptisée “climate.us”, regroupe d’anciens collaborateurs du site – experts, médiateurs et développeurs internet- appuyés par des scientifiques gouvernementaux opérant en sous-main par peur de représailles.Si le nom de domaine n’offre aujourd’hui qu’une simple page d’accueil, l’ambition est d’assurer la relève de la plateforme gouvernementale qui semble avoir été enterrée par l’administration de Donald Trump.- “Demande du public” -Créé au début des années 2010, climate.gov, dont la page d’accueil n’est désormais plus accessible, offrait au grand public des visualisations et textes explicatifs sur les effets et causes du changement climatique, “sans utiliser le langage scientifique classique”, explique Mme Lindsey.Des graphiques illustrant la montée des eaux, le réchauffement des océans ou encore les émissions de gaz à effet de serre étaient ainsi proposés tout comme des ressources éducatives sur le sujet.En 2024, le site “recevait plus d’un million de visites chaque mois”, ajoute la scientifique, insistant: “Il y avait un besoin, une demande du public pour ce type de contenus”.Si ces ressources restent en ligne, bien que difficiles d’accès, certaines références ont été supprimées du site, notamment sur le fait que le changement climatique affecte de manière disproportionnée les populations vulnérables.Et cette plateforme pourrait être à terme utilisée par la nouvelle administration “pour diffuser de fausses informations sur le climat”, craint Mme Lindsey.Depuis le retour au pouvoir de Donald Trump, les Etats-Unis ont amorcé une marche arrière toute en matière de climat et de protection de l’environnement.Dans ce contexte, des bases de données et mentions au changement climatique ont été retirées des sites fédéraux, et les tentatives de remise en question du consensus scientifique sur le sujet se multiplient.Avec climate.us, Rebecca Lindsey et ses collègues disent vouloir contrer à leur échelle cette offensive contre la science, en proposant a minima une sauvegarde des ressources scientifiques sur le climat jadis disponible sur leur site.Et pour pouvoir sauvegarder d’autres contenus menacés et poursuivre leur travail de vulgarisation et de sensibilisation, le groupe a lancé une cagnotte, récoltant plus de 50.000 dollars en quelques jours.Si leur objectif de 500.000 dollars reste encore loin, les soutiens fusent, selon Mme Lindsey: “Des scientifiques nous ont écrit pour nous dire: +Je pourrais faire partie de votre comité scientifique. Si vous avez besoin de quelqu’un, nous sommes volontaires+”.

Adoption du rapport parlementaire sur les effets psychologiques de TikTok sur les mineurs

Le rapport de la commission d’enquête parlementaire sur les effets psychologiques de TikTok sur les mineurs, menée par les députés Arthur Delaporte (PS) et Laure Miller (EPR), a été adopté jeudi à l’unanimité, ont-ils indiqué lors d’une conférence de presse.Ses conclusions seront rendues publiques le jeudi 11 septembre dans la matinée, ont-ils ajouté.  Les 28 membres de …

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