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Un tribunal nigérian confirme l’amende de 220 millions de dollars infligée à Meta

Un tribunal nigérian a rejeté vendredi l’appel de Meta contre une amende de 220 millions de dollars infligée l’année dernière par l’agence nationale de protection des consommateurs pour de nombreuses violations de données personnelles. La société mère de Facebook et WhatsApp devra également verser à la Commission fédérale de la concurrence et de la protection des …

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Le journaliste de l’AFP Jacques Moalic, déporté au camp de Buchenwald, est mort à 102 ans

Le journaliste de l’Agence France-Presse Jacques Moalic, déporté au camp de concentration de Buchenwald dont il a témoigné de la libération en avril 1945, est décédé jeudi soir à 102 ans, a annoncé sa fille à l’AFP vendredi.Jacques Moalic est mort à son domicile, à Paris, a précisé sa fille.Déporté le 18 décembre 1943 à Buchenwald pour faits de résistance, il avait conservé un souvenir précis de la libération du camp de concentration avec l’arrivée des soldats américains le 11 avril 1945.Ce jour-là, “il y avait beaucoup de fébrilité dans le camp. On avait l’appréhension d’un massacre plus ou moins organisé des SS, et l’espoir de la libération”, a-t-il raconté à l’AFP en avril 2025, à l’occasion des 80 ans de la libération des camps nazis.”On a commencé à préparer des armes… et puis tout d’un coup, une unité américaine est arrivée. Les SS n’ont pas engagé le combat, ils ont préféré foutre le camp. Quelques minutes plus tard, on était dehors”, s’est-il remémoré. Auparavant, il avait connu le travail forcé, les exécutions arbitraires et le climat déshumanisé de violences qui régnaient dans les camps de la mort.Libéré, ce qui le frappe, “c’est la rapidité avec laquelle nous dépouillons notre peau de prisonnier, nos réflexes de concentrationnaires, comme si nous voulions tous, très vite, échapper à notre cauchemar. J’étais un numéro et je reprends mon nom”, avait-il aussi écrit dans un témoignage publié par l’AFP en 1985.Après sa sortie de Buchenwald, Jacques Moalic avait repris des études, notamment en droit.Puis il était entré à l’Agence France-Presse, où il a mené une carrière de grand reporter, couvrant les sursauts du monde, de l’Algérie au Vietnam.Il fut également chargé de suivre l’Elysée pendant plusieurs années et occupa les fonctions de chef du service des Informations générales.

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Le journaliste de l’Agence France-Presse Jacques Moalic, déporté au camp de concentration de Buchenwald dont il a témoigné de la libération en avril 1945, est décédé jeudi soir à 102 ans, a annoncé sa fille à l’AFP vendredi.Jacques Moalic est mort à son domicile, à Paris, a précisé sa fille.Déporté le 18 décembre 1943 à …

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France Inter recrute Sophie Marceau pour une émission littéraire

L’actrice Sophie Marceau va incarner jusqu’en juin une émission littéraire dominicale sur France Inter, en alternance avec l’écrivain François Sureau, le duo succédant au comédien Fabrice Luchini, en tournage, a annoncé la radio vendredi.Depuis la rentrée 2024 et jusqu’à sa dernière le 30 mars, Fabrice Luchini était aux manettes de l’émission “Les admirations littéraires” le dimanche à 19H15, pour lire et parler d’œuvres de son panthéon personnel.À partir de ce weekend, le programme sera porté tour à tour par Sophie Marceau, 58 ans, et François Sureau, 67 ans, qui y présenteront “les textes et les auteurs qui leur ont donné le goût de la lecture”, a annoncé France Inter dans un communiqué, confirmant une information du Parisien. Sollicitée par l’AFP, la station a indiqué que l’académicien serait le premier à l’antenne dimanche, sans préciser à ce stade la date à laquelle les auditeurs pourront écouter l’actrice et réalisatrice.La star de “La Boum”, autrice du récit “Mentense” (Stock) en 1996, s’était lancée en poésie en 2023 avec “La Souterraine” (Seghers), un ensemble d’histoires courtes, de fables et de poèmes, qu’elle avait présenté sur la station du service public dans l’émission “Sous le soleil de Platon”. Dans “Les admirations littéraires”, elle “mettra à l’honneur les Å“uvres de Thomas Bernhard et de Christian Bobin”, selon la radio. De son côté, François Sureau “lira et racontera sa passion pour les textes de Jean Giono, Marguerite Yourcenar, André Breton et Guillaume Apollinaire”.Citée dans le communiqué, la directrice de France Inter, Adèle Van Reeth, a salué “deux profils très différents mais complémentaires, deux grands lecteurs qui sauront nous transmettre leur passion et nous donner l’envie de lire”.L’émission avait été lancée en septembre à l’horaire précédemment occupé par celle de Charline Vanhoenacker, “Le grand dimanche soir”, non reconduite et au cÅ“ur d’une vive polémique l’année dernière.

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L’actrice Sophie Marceau va incarner jusqu’en juin une émission littéraire dominicale sur France Inter, en alternance avec l’écrivain François Sureau, le duo succédant au comédien Fabrice Luchini, en tournage, a annoncé la radio vendredi.Depuis la rentrée 2024 et jusqu’à sa dernière le 30 mars, Fabrice Luchini était aux manettes de l’émission “Les admirations littéraires” le …

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La Chine veut exporter des voitures électriques à essence

Certains automobilistes hésitent à passer à l’électrique? Proposons-leur des générateurs à essence qui vont prolonger l’autonomie de la voiture électrique, ont répondu les constructeurs chinois. Les Occidentaux, eux, hésitent.Au salon de l’automobile de Shanghai, plusieurs modèles électriques dont l’énorme SUV Yangwang U8 ou l’Exeed ET, destiné à l’exportation, promettent une autonomie rare de plus de 1.000 kilomètres. Ces modèles (appelés “range extenders”, soit EREV en anglais) sont équipés d’une batterie et de moteurs électriques, mais aussi d’un petit générateur à essence, qui n’est pas relié aux roues et ne fait qu’alimenter la batterie si besoin.Le véhicule roule donc toujours en mode 100% électrique, mais consomme de l’essence et émet des gaz toxiques. En 2024, c’est cette technologie qui a connu la plus forte croissance en Chine, toutes motorisations confondues, dépassant le million d’unités vendues et représentant au total 6% de parts de marché, contre 28% pour les électriques, note le cabinet McKinsey. Et si elle reste encore très rare ailleurs (BMW l’avait proposée sur sa petite électrique i3), la donne pourrait changer. Le partenaire chinois de Stellantis, Leapmotor, a lancé en Europe son SUV C10. Stellantis compte également proposer aux Etats-Unis une version EREV de son pickup star, le Ram 1.500.Volkswagen entend aussi lancer un pickup EREV aux Etats-Unis, sous sa marque Scout.Au salon de Shanghai mercredi, le groupe allemand a présenté un autre gros SUV équipé d’un prolongateur, qui doit être un élément de sa contre-offensive sur le marché chinois. – Expansion mondiale? -Horse, la coentreprise de Renault et du chinois Geely dans les moteurs, a présenté de son côté un moteur à installer sur un modèle électrique. Mais l’électrification du marché européen n’est pas si rapide que prévu, et les Américains hésitent encore plus. Alors les modèles hybrides rechargeables (équipés d’une batterie et d’un moteur à essence) apparaissent aux constructeurs comme une bonne solution de transition: ils polluent moins qu’une voiture à essence s’ils sont bien rechargés, et rassurent les automobilistes sur l’autonomie de leur véhicule.Les voitures à prolongateur d’autonomie, qui entrent dans cette catégorie, sont “une bonne façon de réduire le coût d’entrée des gens dans la mobilité électrique”, a commenté mardi le patron de Volkswagen Oliver Blume, depuis Shanghai. “Mais l’électrique finira par l’emporter”, a-t-il ajouté. “Dans quelques années le développement des batteries permettra d’atteindre ces autonomies en tout-électrique.”- Tirer un bateau -Selon McKinsey, ces modèles permettent aux constructeurs de proposer des véhicules avec une autonomie 100% électrique permettant de parcourir autour de 240 kilomètres, pour 3.000 dollars de moins qu’une voiture électrique, car ils emportent de plus petites batteries.Selon un sondage publié mardi par le cabinet, une fois qu’on leur a expliqué le concept, près d’un quart des personnes interrogées en Europe et aux Etats-Unis envisagent de choisir un EREV pour leur prochain achat.”C’est un vrai usage identifié pour les Etats-Unis, pour des besoins très américains”, explique chez Stellantis Sébastien Jacquet, le vice-président de l’ingénierie. Parce qu’ils conviennent à de longs trajets mais aussi “sur des pickups pour remorquer des bateaux, par exemple. Un véhicule électrique a des capacités de remorquage, mais alors sa batterie ne tient que 100 kilomètres”.Et la voie semble libre aux Etats-Unis, où les règlementations n’imposent pas une transition complète vers la voiture électrique. Mais en Europe, “il y a le couperet de 2035″, avec le passage prévu à un marché 100% électrique, prévient Alexandre Marian du cabinet AlixPartners. Les EREV pourraient cependant trouver leur place si des exceptions sont concédées à des motorisations non électriques mais moins polluantes, demandées notamment par l’Allemagne.”Qui investirait dans des usines (de prolongateurs d’autonomie) en Europe si on sait qu’elles seront caduques en 2035?”, a lancé jeudi à Shanghai Holger Klein, le patron de l’équipementier allemand ZF, qui fabrique ces systèmes. “Il faut résoudre cette question très vite.” En attendant, les Occidentaux devraient s’appuyer sur leurs partenaires chinois pour tester le marché. 

La Chine veut exporter des voitures électriques à essence

Certains automobilistes hésitent à passer à l’électrique? Proposons-leur des générateurs à essence qui vont prolonger l’autonomie de la voiture électrique, ont répondu les constructeurs chinois. Les Occidentaux, eux, hésitent.Au salon de l’automobile de Shanghai, plusieurs modèles électriques dont l’énorme SUV Yangwang U8 ou l’Exeed ET, destiné à l’exportation, promettent une autonomie rare de plus de …

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Alphabet (Google) s’appuie sur le “cloud” et l’IA pour pulvériser les attentes au 1T

Alphabet (Google) a très largement dépassé les attentes au premier trimestre, catapulté par son activité d’informatique à distance (cloud computing), dont la croissance témoigne d’un appétit toujours soutenu pour l’intelligence artificielle (IA).Le bénéfice net ressort à 34,5 milliards de dollars, en hausse de 46% sur un an, selon un communiqué publié jeudi. Rapporté par action, il atteint 2,81 dollars, très au-dessus des 2,34 dollars attendus par les analystes, selon un consensus établi par FactSet.Il s’agit de l’un des plus importants bénéfices trimestriels jamais enregistrés par une société cotée et un record absolu pour Alphabet.La nouvelle a été accueillie triomphalement par le marché. Dans les échanges électroniques postérieurs à la clôture de Wall Street, le titre Alphabet prenait plus de 4%, bien qu’ayant déjà gagné près de 8% depuis lundi.Le groupe de Mountain View (Californie) a vu son chiffre d’affaires croître de 28% sur un an dans le “cloud”, à savoir l’ensemble des infrastructures de stockage de données et les logiciels permettant de les exploiter à distance.Ce rythme est nettement supérieur à celui des ventes totales de l’entreprise (+12%), qui se sont montées à 90,2 milliards de dollars pour la période allant de janvier à mars.Le “cloud” est considéré comme plus essentiel que jamais pour les entreprises car il offre les capacités nécessaires pour utiliser l’IA générative.Initialement spécialisé dans la publicité en ligne et les outils de recherche sur internet, Google a massivement investi dans le cloud, au point d’en devenir l’un des poids lourds avec Microsoft et Amazon.La proportion des revenus tirés de l’informatique à distance a doublé en moins de cinq ans, pour représenter désormais près de 14% du chiffre d’affaires d’Alphabet.- Le cloud rentable -“La croissance du cloud indique que le portefeuille de produits et services IA de Google continue de séduire, malgré une concurrence renforcée”, a réagi Yory Wurmser, analyste du cabinet Emarketer, même si “les droits de douane (imposés par Donald Trump) pourraient changer leurs plans en matière d’investissement”.Lors de la conférence téléphonique de présentation des résultats, la directrice financière Anat Ashkenazi a indiqué qu’Alphabet prévoyait toujours d’investir environ 75 milliards de dollars cette année.Angelo Zino, analyste du cabinet CFRA, a relevé que “la rentabilité du cloud (avait) progressé de façon substantielle”, avec notamment un résultat opérationnel plus que doublé et des marges en progression.Ces données montrent que l’IA générative peut être rentable, ce dont s’inquiétaient certains observateurs vu l’importance des moyens engagés pour la développer.Google met aussi à profit l’IA générative dans son métier d’origine, avec l’intégration de son assistant Gemini à son moteur de recherche.Le groupe a transformé son célèbre portail en proposant maintenant, en tête des résultats d’une recherche, un texte rédigé par Gemini, dans une fenêtre appelée AI Overview, les traditionnels liens vers des sites n’apparaissant que plus bas.Google vise ainsi à contrer la concurrence d’interface d’IA générative comme ChatGPT ou Claude, voire Perplexity AI.Pour autant, au  premier trimestre, le chiffre d’affaires tiré du moteur de recherche n’a progressé de 10%, un rythme sensiblement moins élevé que lors des trimestres précédents (au moins 12% sur chaque trimestre de 2024).Interrogé lors de la conférence téléphonique sur l’impact potentiel des droits de douane du gouvernement Trump, le responsable commercial de Google, Philipp Schindler, a estimé qu’il était “encore trop tôt” pour en parler.Il s’est refusé à “spéculer”, relevant tout de même que la fin de l’exemption de droits de douane pour les petits colis envoyés de Chine aux Etats-Unis, décrétée début avril par Donald Trump, allait occasionner “un léger vent contraire pour notre activité publicitaire en 2025″.Il a mentionné la plateforme eBay, qui devrait souffrir d’un ralentissement de l’activité des entreprises chinoises, qui consacraient jusqu’ici des budgets publicitaires importants à leur promotion en ligne, source de revenus pour Google.”Nous avons beaucoup d’expérience pour ce qui est de naviguer en temps agité”, a insisté le responsable.La priorité à l’IA ne concerne pas que les clients de Google, qui l’intègre également de plus en plus en interne.Le directeur général d’Alphabet, Sundar Pichai a révélé jeudi que plus de 30% des lignes de code nécessaires aux logiciels du groupe étaient désormais préécrites grâce à l’IA générative, pour être ensuite validées par des informaticiens.

Alphabet (Google) s’appuie sur le “cloud” et l’IA pour pulvériser les attentes au 1T

Alphabet (Google) a très largement dépassé les attentes au premier trimestre, catapulté par son activité d’informatique à distance (cloud computing), dont la croissance témoigne d’un appétit toujours soutenu pour l’intelligence artificielle (IA).Le bénéfice net ressort à 34,5 milliards de dollars, en hausse de 46% sur un an, selon un communiqué publié jeudi. Rapporté par action, il …

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Cinéma: après Netflix, Amazon saisit la justice contre la chronologie des médias

Comme Netflix avant elle, la plateforme d’Amazon, Prime Video, a annoncé jeudi à l’AFP avoir saisi la justice pour contester la chronologie des médias, qui régit le calendrier de diffusion des films sortis au cinéma, confirmant une information des Echos.Prime Video a déposé un recours le 10 avril devant le Conseil d’Etat pour dénoncer le …

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