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Meta cherche à freiner la promotion d’un livre négatif pour son image

Meta (Facebook, Instagram) cherche à empêcher la promotion d’un livre publié cette semaine par une ancienne employée, qui dépeint le géant des réseaux sociaux sous un jour peu flatteur et accuse un haut responsable de harcèlement sexuel.Dans “Careless People” (“Personnes négligentes”), Sarah Wynn-Williams évoque des comportements inappropriés de la part de Joel Kaplan, l’ancien membre …

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Meta cherche à freiner la promotion d’un livre négatif pour son image

Meta (Facebook, Instagram) cherche à empêcher la promotion d’un livre publié cette semaine par une ancienne employée, qui dépeint le géant des réseaux sociaux sous un jour peu flatteur et accuse un haut responsable de harcèlement sexuel.Dans “Careless People” (“Personnes négligentes”), Sarah Wynn-Williams évoque des comportements inappropriés de la part de Joel Kaplan, l’ancien membre du parti républicain qui a pris la tête des Affaires internationales de Meta en janvier.L’ancienne salariée, qui a travaillé pour Facebook de 2011 à 2017, décrit également des projets du groupe californien dans le but d’être accepté sur le marché chinois, notamment la création d’outils permettant de censurer les contenus afin d’apaiser Pékin – des plans qui n’ont pas été mis en Å“uvre.Lors d’une audience convoquée en urgence mercredi dans le cadre d’une procédure d’arbitrage entre Meta et son ex-employée, l’arbitre en charge du dossier a estimé qu’elle devait cesser de promouvoir son livre.Meta a, selon lui, fourni suffisamment de raisons montrant que Mme Wynn-Williams a potentiellement enfreint l’accord signé lors de son licenciement, selon un document mis en ligne par Andy Stone, porte-parole du groupe californien.La procédure d’arbitrage urgente “a été rendue nécessaire par Sarah Wynn Williams qui, plus de huit ans après avoir été licenciée par l’entreprise, a délibérément dissimulé l’existence de son projet de livre”, a déclaré Andy Stone sur X.L’auteure a, selon lui, “évité le processus standard de vérification des faits du secteur afin de le mettre en vente à la hâte”.Il est toutefois compliqué d’estimer concrètement l’impact de cet arbitrage, l’éditeur du livre affirmant que cette ordonnance n’avait “aucune incidence”.”Nous sommes consternés par les tactiques de Meta visant à faire taire notre auteure en utilisant une clause de non-dénigrement dans un accord de licenciement”, a dit une porte-parole de Flatiron Books, filiale de Macmillan Publishers, dans une déclaration pour la presse.”Le livre a fait l’objet d’une édition et d’un examen approfondis. (…) Nous continuerons absolument à le soutenir et à le promouvoir”, a-t-elle conclu. Dès lundi, Andy Stone avait indiqué sur X que l’ancienne employée “a été licenciée en raison de ses mauvaises performances et de son comportement toxique. Une enquête menée à l’époque a révélé qu’elle avait fait des allégations trompeuses et infondées”.”Son livre est un mélange de vieilles affirmations et de fausses accusations”, avait-il ajouté.Le modèle économique de Meta, fondé sur les données personnelles de ses milliards d’utilisateurs, lui vaut régulièrement des plaintes. En 2021, une lanceuse d’alerte avait accusé l’entreprise de faire passer les profits avant la sécurité de ses usagers.Plus récemment, l’alignement des valeurs du groupe avec celles de Donald Trump, orchestré par son patron Mark Zuckerberg, a suscité de nombreuses critiques. 

Le visuel de LFI sur Hanouna a été fait avec l’intelligence artificielle, dit un cadre du parti

Un visuel de La France insoumise avec le visage de Cyril Hanouna, qui a déclenché la polémique cette semaine et a été largement condamné comme antisémite, a été élaboré à l’aide d’un logiciel d’intelligence artificielle, a déclaré vendredi le député et cadre insoumis Paul Vannier.”Il a été produit en recourant à l’intelligence artificielle, au logiciel Grok, celui d’Elon Musk”, a-t-il déclaré dans l’émission C à vous sur France 5. “C’est une erreur que d’avoir utilisé cet outil”, a-t-il ajouté. “Nous avions cette règle depuis plusieurs années de ne jamais recourir à ces logiciels. Probablement parce que les logiciels d’Elon Musk contiennent en eux-mêmes, en effet, des choses qui sont nauséabondes.”Il a assuré que “des mesures” avaient été prises pour éviter “une situation semblable” à l’avenir.L’image, diffusée mardi sur les réseaux sociaux par LFI pour battre le rappel en vue de manifestations du 22 mars contre le racisme, a été rapidement retirée face au tollé suscité.Elle montrait le visage de l’animateur Cyril Hanouna, d’origine juive tunisienne, en noir et blanc, sourcils froncés et grimace agressive. L’image a été vue par de nombreux responsables politiques comme reprenant l’iconographie des caricatures antisémites des années 1930 et de l’Allemagne nazie.”Je crois que nous aurions dû empêcher cette publication. Ce visuel n’aurait pas dû être mis en circulation”, a déclaré Paul Vannier, reconnaissant une “défaillance” mais refusant d’être “dans la recherche d’une responsabilité individuelle”, alors que les journalistes l’interrogeaient sur la personne ayant donné son assentiment à la publication de l’image. A plusieurs reprises durant l’interview, M. Vannier a pointé du doigt l’outil d’IA lié au réseau social X du milliardaire Elon Musk, devenu proche conseiller du président républicain Donald Trump.”C’est peut-être une question intéressante d’ailleurs de s’interroger sur pourquoi l’intelligence artificielle d’Elon Musk conduit à ce type d’image”, a déclaré Paul Vannier.Il a également déploré “des indignations à géométrie variable”. “On bondit sur la France insoumise, mais (…) quand Elon Musk, il y a quelque temps encore, pratiquait le salut nazi, beaucoup bégayaient pour qualifier ce geste”, a-t-il accusé. “Si l’on veut lutter contre l’antisémitisme, c’est à l’extrême droite qu’il faut s’attaquer, parce que c’est elle qui le fait vivre aujourd’hui encore dans notre pays”, a-t-il ajouté.Marine Le Pen s’est dite cette semaine “scandalisée” par ces “références aux caricatures antisémites”. Les condamnations sont par ailleurs venues d’une grande partie de la classe politique. Cyril Hanouna a fait savoir qu’il voulait poursuivre La France insoumise en justice. 

Le visuel de LFI sur Hanouna a été fait avec l’intelligence artificielle, dit un cadre du parti

Un visuel de La France insoumise avec le visage de Cyril Hanouna, qui a déclenché la polémique cette semaine et a été largement condamné comme antisémite, a été élaboré à l’aide d’un logiciel d’intelligence artificielle, a déclaré vendredi le député et cadre insoumis Paul Vannier.”Il a été produit en recourant à l’intelligence artificielle, au logiciel …

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La BBC trouve un accord avec quatre femmes journalistes qui l’attaquaient pour discrimination

La BBC a annoncé vendredi avoir trouvé un accord avec quatre femmes journalistes expérimentées qui l’avaient attaquée pour discrimination, après avoir été écartées de postes de présentation lors d’une réorganisation de ses chaînes.Figures connues des téléspectateurs de la BBC, Martine Croxall, Karin Giannone, Kasia Madera et Annita McVeigh ont accusé l’an dernier le groupe audiovisuel …

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La BBC trouve un accord avec quatre femmes journalistes qui l’attaquaient pour discrimination

La BBC a annoncé vendredi avoir trouvé un accord avec quatre femmes journalistes expérimentées qui l’avaient attaquée pour discrimination, après avoir été écartées de postes de présentation lors d’une réorganisation de ses chaînes.Figures connues des téléspectateurs de la BBC, Martine Croxall, Karin Giannone, Kasia Madera et Annita McVeigh ont accusé l’an dernier le groupe audiovisuel public de discrimination liée au genre et à l’âge, ce dont ce dernier s’est défendu.”Après un examen approfondi, nous sommes parvenus à une résolution qui met fin à la procédure judiciaire”, a annoncé vendredi la BBC dans un communiqué.”Ce faisant, nous n’avons accepté aucune responsabilité ni aucun des arguments avancés à l’encontre de la BBC”, a déclaré le géant de l’audiovisuel public.Dans leurs témoignages écrits, présentés en mai lors d’une audience préliminaire devant un tribunal spécialisé dans les litiges professionnels, les quatre présentatrices ont dénoncé un processus de recrutement “truqué” et “fantoche”.Celui-ci a eu lieu lors de la fusion entre les chaînes d’information nationale et internationale du groupe, BBC News et BBC World News, annoncée en 2022.Ces journalistes quadragénaires ou quinquagénaires affirmaient avoir subi des rétrogradations et baisses de salaires après cette fusion, qu'”aucun” de leurs collègues hommes ou jeunes femmes n’avaient connues.Elles se plaignaient notamment de “discrimination” et “harcèlement” pour avoir subi un “environnement hostile, dégradant, intimidant sur le lieu de travail”.La BBC avait elle défendu un processus de recrutement “rigoureux et juste”.

Procès en diffamation d’un journaliste du Point: Corbière et Garrido fixés le 12 mai

La déontologie journalistique a été passée à la loupe vendredi lors du procès en diffamation intenté par les ex-LFI Raquel Garrido et Alexis Corbière, accusés dans un article du Point en 2022 d’avoir employé une femme de ménage sans papiers.Le tribunal correctionnel de Paris rendra sa décision le 12 mai.”Vous avez une source unique qui …

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Procès en diffamation d’un journaliste du Point: Corbière et Garrido fixés le 12 mai

La déontologie journalistique a été passée à la loupe vendredi lors du procès en diffamation intenté par les ex-LFI Raquel Garrido et Alexis Corbière, accusés dans un article du Point en 2022 d’avoir employé une femme de ménage sans papiers.Le tribunal correctionnel de Paris rendra sa décision le 12 mai.”Vous avez une source unique qui est frelatée, des faits non vérifiés, un contradictoire qui est une farce: cette enquête ne tient tout simplement pas debout!” a fustigé dans sa plaidoirie l’avocat des parties civiles. “Juger de la qualité de cette enquête, c’est comme jouer au jeu des sept erreurs”, a poursuivi Me Xavier Sauvignet, qualifiant de “buzz organisé” l’article du Point.Ce dernier avait été publié en ligne le 21 juin 2022 avec la mention “Exclusif” et s’intitulait: “L’employée sans papiers de Raquel Garrido et Alexis Corbière”.Le journaliste Aziz Zemouri y mettait en cause les deux membres du couple, tous deux alors députés LFI de Seine-Saint-Denis, les accusant d’exploiter une femme de ménage sans papiers qu’ils auraient par ailleurs “soumise à des cadences infernales”.L’article affirmait également que les députés, résidant à Bagnolet, scolarisaient leurs enfants à Paris.Dès le lendemain, l’hebdomadaire avait retiré l’article de son site et admis publiquement son caractère “faux” et “mensonger”.Aziz Zemouri, qui a quitté l’hebdomadaire après cette affaire, avait aussi présenté ses “excuses les plus sincères”, estimant avoir été “victime d’une manipulation”.”Le contradictoire est une farce” dans cette affaire, a dénoncé Me Sauvaget, rappelant qu’Aziz Zemmouri n’a contacté qu’une seule fois par SMS les députés tout juste élus, avant la publication de son article, leur demandant s’ils comptaient régulariser la situation de leur femme de ménage.A son tour, le procureur de la République a évoqué “un manquement à la prudence” et des informations qui n’ont pas été vérifiées comme elles auraient dû l’être. “Il s’est fait avoir! Tout a été fabriqué pour que ça ressemble à quelque chose qui soit totalement vrai”, a soutenu Me David-Olivier Kaminski dans sa plaidoirie en défense.L’avocat du reporter a défendu le professionnalisme de son client, un journaliste “qui est connu de tous pour sa probité professionnelle”.”Même les meilleurs se font avoir”, a conclu le conseil d’Aziz Zemouri avant de demander la relaxe. – “Vérifier l’information” -L’ancien journaliste du Point a toujours affirmé devant les enquêteurs avoir été dupé par une de ses sources, un policier qui lui a donné le tuyau de la femme de ménage sans papiers.Les investigations ont ensuite permis de remonter jusqu’à Rudy Succar, un ex-chauffeur de Jean-Christophe Lagarde, député sortant et candidat UDI opposé à Raquel Garrido.Après plusieurs interrogatoires, l’ex-chauffeur avait reconnu s’être fait passer pour la femme de ménage auprès du journaliste sur demande pressante voire “obsessionnelle” de Jean-Christophe Lagarde, car celui-ci aurait voulu obtenir un élément compromettant contre sa concurrente. L’ex-député a dénoncé les mensonges “les plus absolus et les plus absurdes”.A l’audience, Raquel Garrido a regretté l’absence des deux prévenus, l’auteur de l’article, mais aussi le directeur de la publication du Point, Étienne Gernelle, tous deux responsables selon elle d’une “des pires fake news de l’histoire politique moderne”.Dénonçant un travail bâclé et un article politique, Raquel Garrido a rappelé à la barre que d’autres journalistes ont très vite démonté l’enquête du Point.”Il suffit de poser la question à n’importe qui à Bagnolet, c’est un village, tout le monde sait où on habite et où nos enfants vont à l’école et lui le grand reporter il n’a pas été capable de le faire!”, a ironisé l’ancienne députée.”Comment est-il possible qu’un grand hebdomadaire publie cela ?”, s’est interrogé Alexis Corbière à la barre. “La différence entre un blogueur, un influenceur et un journaliste, c’est le fait que le journaliste, normalement, vérifie l’information”, a poursuivi le député, qui siège aujourd’hui avec les écologistes. Dans l’autre volet de l’affaire, Jean-Christophe Lagarde, Rudy Succar et Noam Anouar, le contact policier d’Aziz Zemouri, sont mis en examen notamment pour escroquerie en bande organisée. Aziz Zemouri est lui partie civile aux côtés du couple Garrido-Corbière.

Procès en diffamation d’un journaliste du Point: Raquel Garrido et Alexis Corbière dénoncent un travail “bâclé”

“Nous vivons en +mythocratie+ et notre dernier rempart c’est le travail des journalistes”, a déclaré vendredi à la barre Raquel Garrido, au procès en diffamation d’un ancien journaliste du Point, qui avait accusé à tort l’ex-députée et Alexis Corbière d’employer une femme de ménage sans papiers, dans un article paru en juin 2022.Vêtue d’un pantalon beige et d’un pull de la même couleur, Raquel Garrido a pris la parole la première, dénonçant l’absence des deux prévenus, l’auteur de l’article, Aziz Zemouri, et le directeur de la publication du Point, Étienne Gernelle. “Il a pris ce qu’on lui a dit pour argent comptant et même avec gourmandise!”, a estimé devant le tribunal correctionnel de Paris Mme Garrido, en commentant le travail de l’ancien journaliste du Point. L’affaire remonte au 21 juin 2022 avec la parution d’un article sur le site internet du Point portant la mention “Exclusif” et intitulé: “L’employée sans papiers de Raquel Garrido et Alexis Corbière”.Le journaliste y mettait en cause le couple de députés LFI de Seine-Saint-Denis, les accusant d’exploiter une femme de ménage sans papiers qu’ils auraient par ailleurs “soumise à des cadences infernales”. L’article affirmait également que les députés, résidant à Bagnolet, scolarisaient leurs enfants à Paris.Dès le lendemain, le journal avait retiré l’article et admis publiquement son caractère “faux” et “mensonger”.”Les vérifications complémentaires que nous avons menées nous ont révélé que des erreurs et des manquements à la prudence ont été commis”, avait reconnu le directeur du Point, Étienne Gernelle, dans un message publié sur Twitter (devenu X) et le site du magazine.”Il suffit de poser la question à n’importe qui à Bagnolet, c’est un village, tout le monde sait où on habite et où nos enfants vont à l’école et lui le grand reporter il n’a pas été capable de le faire!”, a ironisé l’ancienne députée.Aziz Zemouri, qui a quitté l’hebdomadaire après cette affaire, avait présenté ses “excuses les plus sincères”, estimant avoir été “victime d’une manipulation”.Aux enquêteurs, le journaliste avait expliqué avoir été contacté fin mai 2022 par une de ses sources policières, qui lui aurait donné le tuyau sur la femme de ménage sans papiers.Les investigations ont ensuite permis de remonter jusqu’à Rudy Succar, un ex-chauffeur de Jean-Christophe Lagarde, député sortant et candidat UDI opposé à Raquel Garrido. – “Vérifier l’information” -Après plusieurs interrogatoires, l’ex-chauffeur avait reconnu s’être fait passer pour la femme de ménage auprès du journaliste sur demande pressante voire “obsessionnelle” de Jean-Christophe Lagarde, car celui-ci aurait voulu obtenir un élément compromettant contre sa concurrente. L’ex-député a lui dénoncé des mensonges “les plus absolus et les plus absurdes”.”Comment est-il possible qu’un grand hebdomadaire publie cela?”, s’est interrogé Alexis Corbière à la barre. “La différence entre un blogueur, un influenceur et un journaliste, c’est le fait que le journaliste, normalement, vérifie l’information” a-t-il poursuivi. Selon Raquel Garrido et Alexis Corbière, Aziz Zemouri ne les aurait contactés qu’une seule fois par sms la veille de la publication de son article, leur demandant s’ils comptaient régulariser la situation de leur femme de ménage.Dénonçant un travail bâclé et un article politique, Raquel Garrido a rappelé à la barre que d’autres journalistes ont très vite démonté l’enquête du Point. “En tant que militants, personnalités politiques, on est habitué à être attaqués, mais ce moment a été très dur pour notre famille”, a dit Alexis Corbière à la barre. Le procès se poursuit avec les plaidoiries des avocats. 

60 millions de consommateurs: réunion vendredi pour “assurer le maintien” du magazine

Un conseil d’administration doit se réunir ce vendredi afin “d’organiser les moyens d’assurer le maintien et le développement” du magazine 60 millions de consommateurs, a indiqué Véronique Louwagie, ministre déléguée chargée du Commerce et de la Consommation vendredi sur Sud Radio.”Aujourd’hui, il y a un conseil d’administration qui va confier une mission au nouveau directeur …

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