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Corruption de mineurs: décision en appel attendue vendredi pour Jean-Marc Morandini

La cour d’appel de Paris rend vendredi sa décision concernant l’animateur de télévision Jean-Marc Morandini, condamné en première instance à un an de prison avec sursis pour des faits de corruption de mineurs commis sur trois adolescents entre 2009 et 2016.En décembre 2022, le tribunal correctionnel de Paris l’avait condamné à un an de prison …

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Corruption de mineurs: décision en appel attendue vendredi pour Jean-Marc Morandini

La cour d’appel de Paris rend vendredi sa décision concernant l’animateur de télévision Jean-Marc Morandini, condamné en première instance à un an de prison avec sursis pour des faits de corruption de mineurs commis sur trois adolescents entre 2009 et 2016.En décembre 2022, le tribunal correctionnel de Paris l’avait condamné à un an de prison assorti d’une période de sursis probatoire de deux ans. Il avait fait appel et a de nouveau comparu le 27 novembre dernier.Dans cette affaire, il lui est reproché d’avoir envoyé des messages à deux jeunes de 15 ans, en 2013 et en 2015-2016, qui consistaient pour l’un à évoquer des scénarios sexuels et, pour le second, à lui demander d’envoyer une photo de lui dénudé.L’animateur de 59 ans avait aussi demandé en 2009 à un adolescent de 16 ans de se dénuder et de se masturber lors d’une audition pour le remake d’un film qui n’a jamais vu le jour.”Malgré le temps écoulé, aucune remise en question n'(a) été amorcée” par M. Morandini sur ces “passages à l’acte transgressifs”, avait estimé la présidente du tribunal correctionnel en rendant son jugement en décembre 2022, soulignant néanmoins qu’il ne ressortait “ni du dossier, ni des débats, que l’on puisse qualifier M. Morandini de prédateur ou de pédophile”.Cette figure du paysage audiovisuel français a par ailleurs été condamnée en appel fin janvier à 18 mois de prison avec sursis pour harcèlement sexuel à l’encontre d’un jeune comédien, aggravant de six mois la peine prononcée en première instance. Dans ce dossier, il était poursuivi pour avoir encouragé entre juin et septembre 2015 des comédiens, âgés de 19 à 26 ans au moment des faits, à s’exhiber nus pour les castings d’une web-série intitulée “Les Faucons”, dont il était le producteur. Il a aussi été reconnu coupable de travail dissimulé concernant quatre comédiens. La cour d’appel a condamné la société “Ne zappez pas ! Production” (NZPP), dont il est l’unique gérant, à une amende de 10.000 euros.A l’annonce de ce jugement, ses avocates avaient annoncé qu’elles allaient se pourvoir en cassation.

De jeunes Chinoises s’éprennent des héros d’un jeu pour smartphone

Festivités dans toute la Chine, trains décorés, spectacle de drones… Liu Xue et ses amies ont sorti le grand jeu pour l’anniversaire de leur bien-aimé, Rafayel, à un détail près: ce dernier n’existe que sur leur téléphone.Rafayel est l’un des personnages de “Love and Deepspace”, un jeu mobile qui a séduit des millions de jeunes femmes depuis sa sortie en 2024, en particulier en Chine.Des affrontements de monstres s’y conjuguent avec des scènes parfois crues, le tout dans un monde futuriste où “l’amour ne connaît aucune limite”, dépeint Papergames, son développeur établi à Shanghai.La modélisation 3D de ses personnages captive les adeptes du jeu, tout autant que ses récits immersifs et l’occasion de cultiver une relation avec les cinq amants virtuels prêts à ouvrir leur cÅ“ur.Depuis sa sortie en janvier 2024, le jeu a rapporté plus de 500 millions de dollars à l’échelle mondiale via les magasins d’applications de Google et Apple. Quelque 40% de son chiffre d’affaires provient de l’extérieur de la Chine, a indiqué à l’AFP Sensor Tower, entreprise spécialisée dans l’analyse du marché.Pour de nombreuses jeunes Chinoises, ces compagnons virtuels constituent bien plus qu’un passe-temps: ils sont propices à leur épanouissement.Lin Xue, une employée de bureau âgée de 25 ans, compare sa liaison avec Rafayel à une véritable relation romantique.”A moi-même ou à mon cercle restreint d’amies proches, je dis que nous sommes amoureux”, décrit-elle à l’AFP lors d’un événement organisé à Pékin pour l’anniversaire imaginaire de Rafayel.”Je ne pense pas avoir besoin de compagnie dans la vraie vie.”Le héros l’accompagne au quotidien, la réconforte en cas de coup de mou, et la tient même au courant de son cycle menstruel.Contrairement à d’autres jeux du même type, “Love and Deepspace” ne propose pas de personnages féminins. Des sondages suggèrent par ailleurs que 5 à 10% d’hommes composent son public.Même si “Love and Deepspace” est téléchargeable gratuitement, cet attachement reste coûteux: de nombreuses joueuses dépensent en effet des fortunes dans la boutique en ligne du jeu pour débloquer de nouvelles intrigues ou interactions avec leurs personnages préférés.- “Meilleure que la vraie vie” -Wang Yaya, 23 ans, a ainsi investi la coquette somme de 70.000 yuans (8.900 euros) dans le jeu et ses produits dérivés.Mais, assure-t-elle à l’AFP, “je suis heureuse de payer pour la valeur émotionnelle” que procure l’application mobile.L’étudiante s’adonne depuis sept ans à des jeux du même registre que “Love and Deepspace”. Dépenser de l’argent en leur sein résulte pour elle et ses paires d’un manque de soutien affectif dans leur enfance de la part de leurs parents, assure-t-elle.”Beaucoup de mes amies sont dans la même situation”, explique Wang Yaya.Pour certaines utilisatrices, ces romances virtuelles sont aussi bien plus attirantes que leurs équivalents non numériques.Sortir avec des hommes en chair et en os? Liu Xue admet s’en être désintéressée depuis sa découverte des jeux comme “Love and Deepspace”.”Jouer à des jeux otome est une expérience vraiment super et même meilleure que la vraie vie”, juge-t-elle, en faisant référence au genre de jeux romantiques développés à l’origine au Japon.Etudiante de 22 ans, Liu Yuxuan considère sa relation avec Rafayel comme une part importante de sa vie, “parce que tout le monde peut avoir ses secrets, dont certains que l’on ne peut pas dire aux autres. Lorsqu’on démarre le jeu, on peut parler (à Rafayel)”.”Je peux me révéler à lui sans réserve, et il me témoignera son amour sans réserve”, décrit-elle, un amour aussi indéfectible qu’empreint de fidélité, chose somme toute rare dans la vraie vie, observe l’étudiante.Une autre joueuse, qui se présente sous le nom de Zaylia, dit comprendre la raison du succès du jeu: “il réalise notre fantasme, celui d’être dans une relation”.Et de s’interroger: “La principale utilité d’une relation, n’est-elle pas d’être une source de richesse au niveau affectif?”.

De jeunes Chinoises s’éprennent des héros d’un jeu pour smartphone

Festivités dans toute la Chine, trains décorés, spectacle de drones… Liu Xue et ses amies ont sorti le grand jeu pour l’anniversaire de leur bien-aimé, Rafayel, à un détail près: ce dernier n’existe que sur leur téléphone.Rafayel est l’un des personnages de “Love and Deepspace”, un jeu mobile qui a séduit des millions de jeunes …

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Meta lance son assistant d’intelligence artificielle générative dans l’Union européenne

Meta AI, l’assistant d’intelligence artificielle (IA) générative du géant américain Meta, est proposé progressivement dans l’Union européenne à partir de jeudi sur toutes ses applications (Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp), plus d’un an après sa sortie aux Etats-Unis. “Il nous a fallu plus de temps que prévu pour déployer notre technologie d’IA en Europe, car nous …

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Meta lance son assistant d’intelligence artificielle générative dans l’Union européenne

Meta AI, l’assistant d’intelligence artificielle (IA) générative du géant américain Meta, est proposé progressivement dans l’Union européenne à partir de jeudi sur toutes ses applications (Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp), plus d’un an après sa sortie aux Etats-Unis. “Il nous a fallu plus de temps que prévu pour déployer notre technologie d’IA en Europe, car nous continuons à naviguer dans un système réglementaire européen complexe mais nous sommes heureux d’y être enfin parvenus”, a expliqué l’entreprise dans un communiqué.Dévoilé aux Etats-Unis en septembre 2023 puis généralisé en avril 2024 sur l’ensemble des applications du groupe, Meta AI est un outil d’IA générative qui répond aux questions des utilisateurs en générant des textes et des images, comme ChatGPT de son concurrent OpenAI. Il a par ailleurs accès à des moteurs de recherche sur internet.  Il permet ainsi “d’approfondir des sujets d’actualité ou obtenir de l’aide pour un tutoriel” mais peut aussi aider à planifier un voyage.- Version européenne centrée sur le texte -Meta avait jusqu’ici suspendu son déploiement dans l’UE, affirmant manquer de visibilité quant à l’interprétation par les autorités européennes des différentes lois qui encadrent les nouvelles technologies, comme le règlement général sur la protection des données (RGPD) et ceux sur les marchés numériques et sur l’IA.Son PDG, Mark Zuckerberg, avait ainsi fustigé dans une tribune l’été dernier, co-signée avec le PDG de Spotify Daniel Ek, un cadre réglementaire européen “fragmenté” aux “mises en oeuvre incohérentes” qui “freinait l’innovation et les développeurs”. Après moult tractations avec les régulateurs, Meta propose finalement aux consommateurs européens une interface centrée sur la génération de texte, sans image contrairement aux versions disponibles aux Etats-Unis et dans les pays non européens.Autre point important: Meta AI, qui sera disponible dans six langues, n’a pas été entraîné sur des données d’utilisateurs européens. – 700 millions d’utilisateurs -Meta entend déployer son assistant dans 41 pays européens, dont la France et l’Allemagne, ainsi que 21 territoires d’outre-mer européens, de façon progressive au cours des prochaines semaines. Comme les autres géants de la Silicon Valley, il a fait de l’IA une priorité et prévoit d’investir entre 60 et 65 milliards de dollars cette année, en bonne partie dans des centres de données, des serveurs et des infrastructures de réseau, essentiels au développement de cette technologie.”Je m’attends à ce qu’un assistant IA dépasse le milliard d’utilisateurs cette année et, pour moi, ce sera Meta AI”, a déclaré Mark Zuckerberg lors de la présentation des résultats annuels de son entreprise, fin janvier.”Une fois qu’un service atteint cette échelle”, a-t-il ajouté, “il acquiert généralement une avance durable”.Meta revendique pour le moment 700 millions d’utilisateurs actifs par mois pour son assistant, qui devrait devenir une application à part entière aux Etats-Unis, selon plusieurs médias américains, afin de concurrencer directement ChatGPT, Gemini de Google ou Claude d’Anthropic.

Ubisoft joue son va-tout avec la sortie du nouvel Assassin’s Creed

L’industrie du jeu vidéo retient son souffle: le géant français Ubisoft lance jeudi son plus gros projet, “Assassin’s Creed Shadows”. En cas d’échec, c’est l’avenir de l’entreprise et la stabilité du secteur en Europe qui sont menacés.Une telle fébrilité dans l’industrie, “je n’avais jamais vu ça”, confiait à l’AFP Charles-Louis Planade, analyste chez Midcap Partners, quelques jours avant la sortie du nouvel épisode de cette série entamée en 2007.Depuis 2020, Ubisoft, l’un des plus gros acteurs du jeu vidéo dans le monde avec près de 18.000 employés, a connu une longue série de revers: lancements décevants, chute du cours de Bourse, scandales de harcèlements sexuel et moral visant d’anciens cadres, mouvements de grève…Désormais au pied du mur, le groupe mise sur sa saga phare pour se relancer avec un opus très ambitieux ancré dans le Japon féodal.Près d’une vingtaine de studios et des centaines de personnes ont travaillé dessus pendant près de cinq ans, pour un budget de plusieurs centaines de millions d’euros, selon certaines estimations.Plutôt bien reçu par les critiques, “Assassin’s Creed Shadows” – commercialisé sur PC, PS5 et Xbox Series – affichait mercredi une note “globalement favorable” de 81 sur 100 sur le site d’agrégation d’avis Metacritic, soit un point de plus que l’épisode “Valhalla”, sorti en 2020 et plus gros succès de la série.Pour le journaliste américain Stephen Totilo, “Shadows” est le volet le “plus beau” et le “plus agréable à jouer”, tandis que le site spécialisé IGN salue un très bon épisode qui ne “réinvente pas totalement” la formule.- Effet boule de neige -Ce manque de renouveau pourrait finir par “lasser certains joueurs”, redoute Julien Pillot, économiste spécialiste des industries culturelles. Pour lui, les récentes contre-performances d’Ubisoft sont “peut-être le signe d’un désamour du public pour ses jeux”.”Tout le monde croise les doigts pour que cette sortie soit un énorme succès”, souligne M. Planade, qui anticipe un effet boule de neige pour toute l’industrie européenne en cas de mauvaises ventes.Avec environ 4.000 salariés en France sur les 15.000 que compte le secteur, “Ubisoft est la locomotive du jeu vidéo” dans ce pays, rappelle en outre l’analyste.L’entreprise sert régulièrement de tremplin en sortie d’école et bon nombre de ses anciens employés ont fondé des studios en France et à l’étranger.Pour sortir la tête de l’eau, elle a entamé début 2023 un plan de réduction des coûts, entraînant des fermetures de studios et le départ de près de 2.000 salariés.- “Plusieurs options” pour l’avenir -Malgré cela, le groupe n’a pas réussi à rebondir sur les marchés financiers. Alors que son action s’échangeait à plus de 100 euros il y a dix ans, elle a atteint en septembre son niveau le plus bas, à 9,01 euros. Mercredi, malgré les premiers échos favorables de la presse autour de “Shadows”, elle a encore lâché 5,58% pour s’établir à 12,60 euros.Cette situation, dans un secteur en pleine crise de croissance depuis deux ans, a poussé Ubisoft à annoncer en janvier qu’il étudiait désormais “plusieurs options” pour son avenir, entraînant bon nombre de spéculations.Si un rachat conjoint avec le géant chinois de la tech Tencent – qui possède 10% de son capital – pour sortir l’entreprise de la Bourse a été évoqué dans un premier temps, plusieurs médias rapportent désormais la possible création d’une nouvelle entité, recentrée sur les marques phares du groupe, qui céderait le reste de son catalogue.”Toutes les options sont sur la table”, résume M. Planade, pour qui le rapport de force dans la négociation sera en grande partie déterminé par le succès de “Shadows”.

Ubisoft joue son va-tout avec la sortie du nouvel Assassin’s Creed

L’industrie du jeu vidéo retient son souffle: le géant français Ubisoft lance jeudi son plus gros projet, “Assassin’s Creed Shadows”. En cas d’échec, c’est l’avenir de l’entreprise et la stabilité du secteur en Europe qui sont menacés.Une telle fébrilité dans l’industrie, “je n’avais jamais vu ça”, confiait à l’AFP Charles-Louis Planade, analyste chez Midcap Partners, …

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Chercheurs américains : CentraleSupélec et l’université PSL se mobilisent

L’école d’ingénieurs CentraleSupélec et l’Université Paris Sciences & Lettres (PSL) vont lancer des programmes pour accueillir des chercheurs basés aux Etats-Unis et financer des travaux qui ne pourraient plus y être menés en raison de la politique de l’administration Trump, ont-ils annoncé mercredi.”A l’heure où les principes d’objectivité et de liberté de la recherche scientifique semblent parfois remis en cause, CentraleSupélec a décidé de s’associer à l’initiative +Safe Place for Science+ lancée par Aix-Marseille Université”, a déclaré dans un communiqué Romain Soubeyran, directeur de CentraleSupélec.Il invite les chercheurs travaillant actuellement aux Etats-Unis sur des sujets en lien avec les “domaines stratégiques” de l’école et souhaitant venir en France à postuler à son programme d’accueil. Issu du rapprochement de Centrale et de Supélec, l’établissement fait référence en sciences de l’ingénieur et des systèmes.Doté d’un “fonds d’amorçage de trois millions d’euros de la Fondation CentraleSupélec”, le programme “vise à offrir un environnement dans lequel les scientifiques de haut niveau pourront mener leurs recherches en toute liberté et sécurité”, indique le communiqué. “Il financera entre autres des +tenure tracks+ (contrats de travail à durée déterminée, NDLR) au niveau professeur ou assistant professeur, des +welcome packages+ (ensemble de mesures d’accueil, NDLR) ou des chaires d’accueil”, précise-t-il.L’Université PSL a annoncé de son côté intensifier ses collaborations avec les scientifiques dont les recherches seraient menacées dans les domaines de l’intelligence artificielle, des sciences du climat, de la santé et des sciences sociales et humanités.”La réduction brutale des financements fédéraux aux Etats-Unis impacte tout le monde, y compris la recherche européenne. Il faut se mobiliser pour soutenir la continuité scientifique dans les domaines prioritaires qui sont menacés”, a souligné auprès de l’AFP le président de PSL, El Mouhoub Mouhoud.L’établissement, qui regroupe notamment l’Ecole Normale, Dauphine ou les Mines, prévoit d’accueillir “15 chercheuses et chercheurs pour poursuivre leurs travaux scientifiques en France” ainsi que le financement de post-doctorats et l’hébergement de chercheurs.Début mars, l’université d’Aix-Marseille a été la première en France à ouvrir les bras aux scientifiques dont le travail pourrait être menacé par la politique menée par Donald Trump, annonçant dégager 10 à 15 millions d’euros dans ce but.La semaine dernière, la Fondation Arc, dédiée à la recherche sur le cancer, a débloqué 3,5 millions d’euros “pour offrir aux chercheurs en difficulté actuellement basés aux Etats-Unis, l’opportunité de poursuivre leurs travaux en France”.Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a multiplié les annonces chocs visant la communauté scientifique: coupes budgétaires brutales, licenciement de centaines d’employés des agences fédérales chargées du climat ou de la santé, censure de certains sujets dans les recherches subventionnées…

Chercheurs américains : CentraleSupélec et l’université PSL se mobilisent

L’école d’ingénieurs CentraleSupélec et l’Université Paris Sciences & Lettres (PSL) vont lancer des programmes pour accueillir des chercheurs basés aux Etats-Unis et financer des travaux qui ne pourraient plus y être menés en raison de la politique de l’administration Trump, ont-ils annoncé mercredi.”A l’heure où les principes d’objectivité et de liberté de la recherche scientifique …

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