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L’Allemagne, laboratoire européen des applis de santé remboursées

“Seule, c’est très difficile”, confie l’Allemande Mona Noé, 30 ans, soulagée grâce à une application mobile prescrite par son médecin pour suivre son alimentation et mieux vivre son syndrome de l’intestin irritable. Cette habitante de Schleiden, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, fonctionnaire dans la protection civile, utilise l’une des 56 applis de santé désormais remboursées par les caisses d’assurance …

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“Nous avons un accord” pour TikTok, assure Donald Trump, qui prolonge le délai avant l’interdiction

Un accord a été trouvé entre les États-Unis et la Chine concernant TikTok, dont la version américaine doit selon Washington passer sous contrôle national, a déclaré mardi Donald Trump.”Nous avons un accord pour TikTok. J’ai conclu un accord avec la Chine. Je vais parler vendredi au président (chinois) Xi (Jinping) pour tout confirmer”, a dit …

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“Nous avons un accord” pour TikTok, assure Donald Trump, qui prolonge le délai avant l’interdiction

Un accord a été trouvé entre les États-Unis et la Chine concernant TikTok, dont la version américaine doit selon Washington passer sous contrôle national, a déclaré mardi Donald Trump.”Nous avons un accord pour TikTok. J’ai conclu un accord avec la Chine. Je vais parler vendredi au président (chinois) Xi (Jinping) pour tout confirmer”, a dit le président américain à des journalistes en partant pour une visite d’État au Royaume-Uni.Avant de s’envoler, le chef de l’État américain a signé un décret prolongeant pour la quatrième fois le délai avant l’entrée en vigueur de l’interdiction de la plateforme aux Etats-Unis, prévue par une loi du Congrès depuis janvier. La date butoir pour la cession, qui rendrait la loi caduque, est désormais repoussé au 16 décembre.Selon le secrétaire au Trésor des États-Unis Scott Bessent, le protocole prévoit que la plateforme de partage de courtes vidéos, propriété du groupe chinois ByteDance, passe sous contrôle américain avec l’entrée ou la montée au capital d’un ou plusieurs investisseurs basés aux États-Unis.Les détails n’ont pas encore été rendus publics mais, selon le Wall Street Journal, les activités de TikTok aux États-Unis seraient contrôlées par un consortium d’investisseurs comprenant le géant technologique Oracle et les fonds d’investissement californiens Silver Lake et Andreessen Horowitz, alors que les négociations s’accélèrent selon des sources proches du dossier.Lundi, l’adjoint au responsable de l’Administration chinoise du cyberespace (CAC), Wang Jingtao, a indiqué que les parties s’étaient entendues sur “l’utilisation sous licence de l’algorithme” et d’autres fonctionnalités protégées par la propriété intellectuelle.L’accord implique également que la maison mère de la plateforme, ByteDance, “confie la gestion des données et de la sécurité des contenus des utilisateurs américains” à un tiers, selon le dirigeant chinois.Cette question de la propriété de l’algorithme et du contrôle des données des utilisateurs est au cœur des préoccupations des élus américains.Le Congrès a adopté au printemps 2024 une loi imposant à ByteDance de céder le contrôle de TikTok aux États-Unis sous peine d’interdiction.Ce texte visait à empêcher que les autorités chinoises ne puissent mettre la main sur des données personnelles d’utilisateurs de TikTok aux États-Unis ou ne soient en mesure d’influencer l’opinion américaine via le puissant algorithme du réseau social.TikTok a admis que des employés basés en Chine avaient eu accès à des données d’utilisateurs américains, mais a assuré que rien n’avait été communiqué au gouvernement chinois.La possibilité pour la version américaine de TikTok d’utiliser l’algorithme, qui resterait propriété de ByteDance, et non une séparation pure et simple, ne résoudrait pas totalement les questions soulevées par le Congrès.La date limite, initialement fixée au 19 janvier, avait déjà été repoussée à trois reprises par le président Trump avant mardi.Selon plusieurs médias américains, un protocole avait été trouvé en avril, avant que les relations commerciales et diplomatiques entre Chine et Etats-Unis ne se tendent brutalement, sur fonds de nouveaux droits de douane.Il prévoyait la participation d’Oracle, qui héberge déjà les données de la version américaine de TikTok sur ses serveurs américains, ainsi que du gestionnaire d’actifs Blackstone et de l’entrepreneur Michael Dell.D’autres candidats à un rachat de la plateforme s’étaient positionnés, en particulier le “Project Liberty” de l’entrepreneur Frank McCourt et la start-up d’intelligence artificielle (IA) générative Perplexity AI, chacun voulant intégrer l’application à un modèle plus large.aue-cyb-tu-bl/bpe

Les objets de la saga Downton Abbey s’envolent aux enchères

Les objets emblématiques de la saga britannique Downton Abbey, qui tire sa révérence avec un troisième film actuellement en salle, se sont envolés aux enchères, rapportant plus de 1,7 million de livres (près de 2 millions d’euros), a annoncé la maison Bonhams mardi.Les 267 costumes, éléments de décor et accessoires ont tous trouvé preneur, le …

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Les objets de la saga Downton Abbey s’envolent aux enchères

Les objets emblématiques de la saga britannique Downton Abbey, qui tire sa révérence avec un troisième film actuellement en salle, se sont envolés aux enchères, rapportant plus de 1,7 million de livres (près de 2 millions d’euros), a annoncé la maison Bonhams mardi.Les 267 costumes, éléments de décor et accessoires ont tous trouvé preneur, le montant total de ces enchères atteignant six fois l’estimation initiale de la maison.Un panneau de clochettes, permettant d’appeler les domestiques de Downton Abbey, s’est envolé pour 216.300 livres (250.000 euros), alors qu’il était estimé entre  5.000 et 7.000 livres.”Avec des lots qui ont tous été acquis et des prix finaux dépassant largement les attentes, cette vente aux enchères témoigne de l’attrait durable pour Downton Abbey”, s’est félicité dans un communiqué Charlie Thomas, l’un des directeurs de Bonhams au Royaume-Uni.La robe de mariée portée par Lady Mary lors de son mariage avec Matthew Crawley (saison 3, épisode 14), initialement estimée entre 3.000 et 5.000 livres, a été vendue 21.760 livres (25.075 euros).La voiture de Lord et Lady Grantham, estimée entre 25.000 et 30.000 livres et en parfait état de marche, selon Charlie Thomas, s’est elle envolée pour 172.500 livres (198.800 euros).Quelque 4.000 personnes ont pris part à cette vente en ligne, du 18 août au 16 septembre, avec des acheteurs d’une quarantaine de pays selon Bonhams.15.000 personnes ont également fait le déplacement à Londres pour voir ces objets, exposés par la maison avant leur vente, 15 ans après le début de la célèbre saga.La série télévisée créée par Julian Fellowes, diffusée pour la première fois en 2010 au Royaume-Uni avant de conquérir le monde, raconte en six saisons et 52 épisodes la vie d’une riche famille aristocratique, les Crawley, et de leurs domestiques.Elle a été vue par plus de 120 millions de téléspectateurs dans le monde, selon Bonhams.Deux films ont été tirés de la série en 2019 et 2022. Un troisième, “Le Grand Final” est sorti le 10 septembre en France et le 12 au Royaume-Uni, où il est actuellement numéro un au box-office, selon sa société de production Carnival Films. Les recettes de la vente des objets de la série doivent être reversées à une organisation caritative britannique, “Together for Short Lives”, en faveur d’enfants malades.

“Nous avons un accord” pour TikTok, assure Donald Trump

Un accord a été trouvé entre les États-Unis et la Chine concernant TikTok, la version américaine de la plateforme devant selon Washington passer sous contrôle national, a déclaré mardi Donald Trump.”Nous avons un accord pour TikTok. J’ai conclu un accord avec la Chine. Je vais parler vendredi au président (chinois) Xi (Jinping) pour tout confirmer”, a dit le président américain à des journalistes avant de partir pour une visite d’État au Royaume-Uni.Le chef de l’État américain avait déjà fait état lundi d’une résolution du dossier TikTok, à formaliser avec son homologue chinois.Selon le secrétaire au Trésor des États-Unis Scott Bessent, le protocole prévoit que la plateforme de partage de courtes vidéos passe sous contrôle américain avec l’entrée ou la montée au capital d’un ou plusieurs investisseurs basés aux États-Unis.Lundi, l’adjoint au responsable de l’Administration chinoise du cyberespace (CAC), Wang Jingtao, a indiqué que les parties s’étaient entendues sur “l’utilisation sous licence de l’algorithme” et d’autres fonctionnalités protégées par la propriété intellectuelle.L’accord implique également que la maison mère de la plateforme, ByteDance, “confie la gestion des données et de la sécurité des contenus des utilisateurs américains” à un tiers, selon le dirigeant chinois.Cette question de la propriété de l’algorithme et du contrôle des données des utilisateurs est au cœur des préoccupations des élus américains.Le Congrès a adopté, au printemps 2024, une loi imposant à ByteDance de céder le contrôle de TikTok aux États-Unis sous peine d’interdiction.Ce texte visait à empêcher que les autorités chinoises ne puissent mettre la main sur des données personnelles d’utilisateurs de TikTok aux États-Unis ou ne soient en mesure d’influencer l’opinion américaine via le puissant algorithme du réseau social.TikTok a admis que des employés basés en Chine avaient eu accès à des données d’utilisateurs américains, mais a assuré que rien n’avait été communiqué au gouvernement chinois.La possibilité pour TikTok US d’utiliser l’algorithme, qui resterait propriété de ByteDance, et non une séparation pure et simple, ne résoudrait pas totalement les questions soulevées par le Congrès.La date limite, initialement fixée au 19 janvier, a déjà été repoussée à trois reprises par le président Trump.Selon plusieurs médias américains, un protocole avait été trouvé en avril, avant que les relations commerciales et diplomatiques entre Chine et Etats-Unis ne se tendent brutalement, sur fonds de nouveaux droits de douane.Il prévoyait la participation du groupe informatique Oracle, qui héberge déjà les données de TikTok US sur ses serveurs américains, ainsi que du gestionnaire d’actifs Blackstone et de l’entrepreneur Michael Dell.D’autres candidats à un rachat de la plateforme s’étaient positionnés, en particulier le “Project Liberty” de l’entrepreneur Frank McCourt et la start-up d’intelligence artificielle (IA) générative Perplexity AI, chacun voulant intégrer l’application à un modèle plus large.

Création de vidéos, édition, YouTube accélère sur l’IA

YouTube a présenté mardi de nouveaux outils de création de contenu sur sa plateforme grâce à l’intelligence artificielle (IA), notamment la génération ou l’édition de vidéos.Pour le patron de la plateforme, Neal Mohan, ces “nouveaux produits bâtis sur l’IA vont façonner nos 20 prochaines années”.La filiale de Google s’appuie sur le nouveau modèle d’IA générative Veo 3, lancé en mai et considéré comme l’un des plus performants du secteur pour la vidéo.Veo 3 Fast, déclinaison du modèle mis au point spécifiquement pour YouTube Shorts, l’espace dédié aux courtes vidéos de trois minutes ou moins, va être disponible gratuitement aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande.Outre la génération de vidéos IA, YouTube Shorts propose aussi d’animer une photo sur la base de mouvements réalisés dans une autre vidéo.Il est ainsi possible de créer, par exemple, un petit film de soi-même en train de faire un enchaînement de breakdance en utilisant une photo du sujet et une vidéo d’un danseur hip-hop.Autre fonctionnalité nouvelle, l’intégration d’un objet ou d’un personnage IA dans une vidéo tournée avec les moyens traditionnels.Dans l’exemple présenté mardi par YouTube lors d’un événement organisé à New York, une jeune femme allongée sur le canapé de son appartement se retrouve face à face avec une créature étrange de plusieurs mètres de haut.Le géant de la vidéo en ligne entend mettre l’IA au service de tous les aspects de la création de contenu sur sa plateforme.Il s’est notamment penché sur les podcasts, un format traditionnellement limité au contenu audio mais devenu populaire en version filmée et omniprésent aujourd’hui sur YouTube.Les producteurs de podcasts peuvent désormais générer une vidéo IA sur la base de la bande audio de leur programme, afin d’illustrer leur émission sur YouTube.Concernant les vidéos traditionnelles de la plateforme, Google a présenté une nouvelle fonctionnalité de traduction.Depuis 2024, YouTube a élargi son offre de doublage, grâce à l’IA, pour rendre accessibles des vidéos dans de nombreuses langues sans passer par un traducteur humain.Mardi, la plateforme a dévoilé un service IA qui synchronise le mouvement des lèvres du YouTubeur sur le son de la version traduite.L’intelligence artificielle donne, dans l’exemple de YouTube, l’impression qu’un créateur italien parle anglais dans sa vidéo.”Ce sont des outils, pas plus”, a insisté Neal Mohan, en réponse à une question sur l’impact de l’IA sur l’écosystème de la plateforme. Ils “sont conçus pour favoriser la créativité humaine”.

Trump attaque le New York Times en diffamation pour 15 milliards de dollars

Donald Trump a annoncé poursuivre le New York Times en diffamation, réclamant la somme astronomique de 15 milliards de dollars au quotidien, lequel dénonce en retour “une tentative de museler et décourager le journalisme indépendant”.”Le New York Times a été autorisé à mentir, calomnier et me diffamer librement pendant beaucoup trop longtemps, et cela s’arrête, …

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Trump attaque le New York Times en diffamation pour 15 milliards de dollars

Donald Trump a annoncé poursuivre le New York Times en diffamation, réclamant la somme astronomique de 15 milliards de dollars au quotidien, lequel dénonce en retour “une tentative de museler et décourager le journalisme indépendant”.”Le New York Times a été autorisé à mentir, calomnier et me diffamer librement pendant beaucoup trop longtemps, et cela s’arrête, MAINTENANT!”, a écrit dans la nuit de lundi à mardi le président américain sur sa plateforme Truth Social, ajoutant que l’affaire serait jugée en Floride (sud-est).”Cette action en justice est dénuée de fondement”, a réagi le plus célèbre des quotidiens américains. “Elle ne repose sur aucune revendication juridique légitime et vise uniquement à museler et à décourager le journalisme indépendant”.”Le New York Times ne se laissera pas intimider par de telles tactiques. Nous continuerons à rechercher la vérité sans crainte ni favoritisme et à défendre le droit, garanti par le premier amendement, des journalistes à poser des questions au nom du peuple américain”, poursuit le titre dans un communiqué.Pour justifier ce nouvel épisode contre les grands médias du pays, qu’il accuse régulièrement d’être partisans et de relayer de fausses informations à son encontre, Donald Trump reproche au titre d’être engagé “depuis des décennies” contre lui “(sa) famille, (ses) affaires”.Dans la plainte de 85 pages qui vise le quotidien et quatre de ses journalistes, ainsi qu’une maison d’édition qui a publié deux d’entre eux, Donald Trump attaque un “livre désobligeant” sur l’origine de sa fortune et “trois articles faux, malveillants, diffamatoires et désobligeants”.- Quotidien de centre-gauche -Ces articles ont été rédigés “avec une véritable malveillance, calculée pour (lui) infliger un maximum de dégâts”, y affirme-t-il.Le président républicain avait menacé la semaine dernière de porter plainte contre le quotidien new-yorkais après la publication d’articles consacrés à une lettre d’anniversaire, à la tonalité salace, attribuée à Trump et adressée en 2003 à l’homme d’affaires Jeffrey Epstein, retrouvé mort en 2019 dans sa cellule après des accusations de violences sexuelles.Le chef de l’Etat avait assuré que la signature figurant sur cette lettre n’était pas la sienne.Mais le New York Times avait maintenu sa version, publiant en particulier plusieurs lettres signées de l’homme d’affaires à la fin des années 1990 ou au début des années 2000, avec des signatures portant une grande ressemblance avec celle figurant sur la lettre de 2003.Donald Trump n’en est pas à sa première plainte contre des médias qu’il estime hostiles.En juillet, il avait réclamé au moins dix milliards de dollars pour diffamation au Wall Street Journal, qui avait révélé en premier l’existence de cette lettre à Jeffrey Epstein.Le milliardaire républicain a également menacé les chaînes d’information ABC et NBC de les priver de leur autorisation d’émettre, en raison d’une couverture prétendument biaisée contre lui.Ces chaînes sont “une branche du Parti démocrate et devraient, selon beaucoup, voir leurs licences révoquées”, avait il estimé.Fondé en 1851, le New York Times, dont la ligne éditoriale le place au centre-gauche de l’échiquier politique américain, est l’un des grands quotidiens de référence aux États-Unis. Il se distingue par ses enquêtes, son journalisme d’investigation et sa couverture internationale étendue. Il a remporté plus de 130 prix Pulitzer, un record absolu.Il avait appelé à voter pour Kamala Harris à l’élection présidentielle face à Donald Trump.Après avoir traversé une crise dans les années 2000, le New York Times a trouvé un modèle économique rentable grâce à ses abonnements numériques. En 2024, il a dégagé un chiffre d’affaires de plus de 2 milliards de dollars.

L’influenceuse Miel Abitbol exhorte Macron à ne pas mettre la santé mentale “sous le tapis”

L’influenceuse française Miel Abitbol exhorte, dans un entretien à l’AFP, Emmanuel Macron à ne pas mettre la question de la santé mentale des jeunes “sous le tapis” et à agir sur cette question “prioritaire” en dépit de l’incertitude politique. La jeune femme de 18 ans, qui compte plus de deux millions d’abonnés sur TikTok et qui …

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