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Meta étend ses “comptes adolescents” à Facebook et Messenger

Le groupe américain Meta étend ses “comptes adolescents” à son réseau social Facebook et à sa messagerie Messenger, quelques mois après leur apparition sur Instagram, a-t-il annoncé mardi dans un communiqué.Pour le moment réservés aux Etats-Unis, au Canada, à l’Australie et au Royaume-Uni, ils seront dans un second temps proposés dans d’autres pays.”Nous annonçons aujourd’hui de nouvelles protections et l’extension des Comptes Ado à Facebook et Messenger, pour offrir aux parents une tranquillité d’esprit accrue sur toutes les applications du groupe”, a indiqué Meta. Ces comptes, dédiés aux utilisateurs de 13 à 17 ans, comportent des paramètres de protection pour les jeunes utilisateurs, qui limitent notamment “le contenu inapproprié et les contacts indésirables”. Ces paramètres ne sont pas modifiables sans accord parental pour les moins de 16 ans.Les utilisateurs “reçoivent également des limites de notifications pendant la nuit, des rappels pour quitter l’application après 60 minutes et ne peuvent être contactés que par des personnes qu’ils suivent ou avec lesquelles ils sont déjà connectés”, est-il détaillé.En parallèle, un renforcement des paramètres de protection des “comptes adolescents” sur Instagram a été présenté.Les utilisateurs de moins de 16 ans ne pourront plus lancer de “Live”, des vidéos diffusées en direct, sans l’autorisation de leurs parents. Cette autorisation sera aussi requise “pour désactiver la fonctionnalité qui floute les images suspectées de contenir de la nudité dans les messages directs” sur le même réseau social, a précisé le groupe. D’après les chiffres de l’entreprise, 54 millions d’utilisateurs disposent d’un compte adolescent, depuis le lancement de cette fonctionnalité sur Instagram en septembre 2024. L’utilisation des réseaux sociaux par les adolescents a suscité ces dernières années des inquiétudes, concernant notamment le temps passé devant les écrans et le manque de modération sur certaines plateformes. En novembre, l’Australie a adopté l’une des règlementations les plus strictes au monde en votant une loi pour interdire l’utilisation des réseaux sociaux pour tous les adolescents de moins de 16 ans.Après Meta, le réseau social TikTok a récemment lancé en France et dans l’Union européenne une fonctionnalité permettant aux parents de limiter le temps que passent les adolescents sur l’application. 

Meta étend ses “comptes adolescents” à Facebook et Messenger

Le groupe américain Meta étend ses “comptes adolescents” à son réseau social Facebook et à sa messagerie Messenger, quelques mois après leur apparition sur Instagram, a-t-il annoncé mardi dans un communiqué.Pour le moment réservés aux Etats-Unis, au Canada, à l’Australie et au Royaume-Uni, ils seront dans un second temps proposés dans d’autres pays.”Nous annonçons aujourd’hui …

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“A un instant T, 2,6 millions de pédocriminels en ligne”, selon une experte

“Les experts estiment qu’à un instant T, il y a 2,6 millions de pédocriminels en ligne dans le monde”, expose à l’AFP la commandante de police Véronique Béchu, auteure d’un livre reconnu et membre de la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise). Q: Comment votre livre “Derrière l’écran, combattre l’explosion de la pédocriminalité en ligne” a-t-il été reçu ? R: “On le retrouve dans des bibliothèques municipales, scolaires, il circule, il vit. L’objectif premier est atteint. Peu de personnes sont au courant de ce qui se passe en ligne pour les mineurs, même dans le monde de la protection de l’enfance. Lorsque je fais des actions de sensibilisation (magistrats, avocats, professionnels de santé etc.) mes interlocuteurs ont parfois une idée des agissements, mais n’en mesurent que peu l’ampleur. Ca fait son petit bonhomme de chemin. J’ai reçu dernièrement le Prix des auditeurs de justice, à l’École nationale de la magistrature, qui récompense un ouvrage ayant fait évoluer leurs pratiques au quotidien”. Q: Les enfants ont des smartphones très tôt, qu’en pensez-vous ? R: “Il faut parler d’écran: tablettes, ordinateurs etc, tout support numérique connecté. Selon la Commission nationale informatique et liberté (Cnil) l’âge moyen d’ouverture de son premier réseau social pour un mineur en France est de 8 ans et demi. Normalement, c’est 15 ans, et entre 13 et 15 ans, c’est avec autorisation du parent qui est responsable de ce que l’enfant poste. Mais dans 13% des cas, les enfants ont entre 6 et 7 ans. C’est très, trop jeune. Il faut en moyenne moins d’une minute à un enfant pour être sollicité sexuellement sur un réseau social. Certains phénomènes pédocriminels se sont très fortement développés lors des confinements. Comme le grooming, appelé aussi pédopiégeage: mettre en confiance un enfant, pour que, de manière faussement consentie, il envoie des contenus sexuels le mettant en scène. La sextorsion: effectuer un chantage auprès du mineur qui aura envoyé ce premier contenu, soit pour le rencontrer physiquement ou pour obtenir d’autres contenus pédocriminels ou de l’argent. Les experts estiment qu’à un instant T, il y a 2,6 millions de pédocriminels en ligne dans le monde”. Q: La France est-elle suffisamment armée face aux pédocriminels en ligne?R: “La lutte contre l’exploitation sexuelle des mineurs en France n’a jamais été une priorité nationale. Quand j’ai écrit mon livre, j’étais à la tête d’une unité où nous étions 18 enquêteurs. Puis a été créé un office dédié à la lutte contre la violence grave faite aux enfants, l’office mineurs. Actuellement, il y a une cinquantaine de personnels et une trentaine d’enquêteurs. L’augmentation n’est pas énorme par rapport à avant. Cet office, l’année dernière, a reçu 170.000 signalements de détection d’activités pédocriminelles sur les plateformes du Net. Ça fait à peu près 465 enquêtes qui pourraient être ouvertes par jour. Je pense que si vous faites le calcul, vous avez un début de réponse. Mais, on serait 5.000 que cela ne résoudrait pas le problème. Il faut qu’il y ait de moins de victimes en amont. La priorité, c’est prévention et sensibilisation. Il faut aussi dire: l’impunité n’existe pas. Il y a des interpellations de pédocriminels en France quasiment chaque jour, quel que soit le mode de saisine du service d’enquête”.Q: Etes-vous devenue paranoïaque ?R: “Non, il faut juste être vigilant. Je ne pense vraiment pas qu’il faille mettre les enfants sous cloche. J’ai commencé avec mes enfants quand ils étaient très jeunes à leur expliquer les dangers d’internet. Pendant le confinement, mes enfants jouaient en ligne comme tous les autres enfants, mais avec cette particularité qu’ils étaient en capacité d’immédiatement identifier un comportement suspect et qu’ils savaient comment réagir: me parler, me montrer le profil. Il y a divers moyens de signaler. Déjà sur la plateforme utilisée par l’enfant, ou auprès de l’association reconnue d’utilité publique dédiée à la lutte contre les violences numériques et le harcèlement, e-Enfance. Son numéro, le 3018, depuis 20 ans. On peut aussi signaler les contenus illicites sur la plateforme Pharos et déposer plainte en cas de sextorsion à but financier sur THESEE, plateforme du ministère de l’Intérieur. Il ne faut jamais culpabiliser l’enfant quand il se passe quoi que ce soit, il se sent déjà très coupable et honteux”. 

“A un instant T, 2,6 millions de pédocriminels en ligne”, selon une experte

“Les experts estiment qu’à un instant T, il y a 2,6 millions de pédocriminels en ligne dans le monde”, expose à l’AFP la commandante de police Véronique Béchu, auteure d’un livre reconnu et membre de la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise). Q: Comment votre livre “Derrière l’écran, combattre l’explosion …

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Trump: la Chine a fait capoter un projet d’accord sur TikTok à cause des droits de douane

Donald Trump a rapporté dimanche que la Chine avait fait capoter un projet d’accord avec les Etats-Unis sur la vente du réseau social TikTok, à cause des nouveaux droits de douane imposés par Washington.”Si je leur avais donné une petite baisse de droits de douane, ils auraient approuvé l’accord en 15 minutes”, a déclaré M. Trump à des journalistes à bord de l’avion présidentiel Air Force One. “Ca vous montre la puissance des droits de douane, non?”Une loi votée en 2024 par le Congrès américain impose au chinois ByteDance de céder le contrôle de Tiktok sous peine d’interdiction aux Etats-Unis.Peu après son retour à la Maison Blanche fin janvier, Donald Trump avait reporté l’échéance de 75 jours, jusqu’au 5 avril. Il l’a prolongée une nouvelle fois de 75 jours vendredi, deux jours après avoir annoncé une volée de droits de douane sur l’ensemble des importations américaines, et notamment de 34% sur les produits chinois.La cession de la filiale américaine de TikTok nécessite le feu vert de ByteDance mais aussi des autorités chinoises, qui n’ont, ni l’une, ni l’autre, validé jusqu’à présent l’idée même d’une vente.Donald Trump, après avoir tenté de forcer la cession de la plateforme en 2020, s’est posé, depuis la dernière campagne présidentielle américaine, en sauveur du réseau social aux 170 millions d’utilisateurs aux Etats-Unis.

Trump: la Chine a fait capoter un projet d’accord sur TikTok à cause des droits de douane

Donald Trump a rapporté dimanche que la Chine avait fait capoter un projet d’accord avec les Etats-Unis sur la vente du réseau social TikTok, à cause des nouveaux droits de douane imposés par Washington.”Si je leur avais donné une petite baisse de droits de douane, ils auraient approuvé l’accord en 15 minutes”, a déclaré M. …

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Loin des prouesses numériques des jeux actuels, la passion vivace du retrogaming

“Il y aura toujours un jeu qui devient rétro”: loin d’être une tendance passagère, le retour en grâce des consoles et jeux vidéo vintage ne faiblit pas, entre nostalgie et besoin de déconnexion. A Stoke-on-Trent (centre de l’Angleterre), Luke Malpass reçoit des colis du monde entier contenant des consoles à remettre en état.Il y a six ans, ce joueur de 38 ans a fait de sa passion son métier, en ouvrant chez lui RetroSix, un atelier de réparation de consoles anciennes. Game Boy, Nintendo Super NES, Sega Megadrive… il a désormais en permanence entre 50 et 150 consoles en attente.Le long des murs de son atelier, des étagères contiennent composants électroniques et accessoires pour la quasi-totalité des modèles mis sur le marché depuis les années 1980. Pour entre 60 et plusieurs centaines d’euros, les propriétaires d’anciennes consoles peuvent les voir remises à neuf.”Je pense qu’il y a essentiellement un élément nostalgique” mais “je crois que c’est aussi l’expérience tactile. Prendre une boite d’une étagère, insérer le jeu dans la console (…) ça augmente le plaisir du jeu”, estime Luke pour expliquer son succès.Il y voit aussi un besoin de déconnexion par rapport aux jeux actuels, dont la plupart se jouent en ligne contre d’autres participants, ce qui implique de pratiquer beaucoup pour être au niveau.”Un jeu rétro, vous le prenez, l’allumez pour dix minutes ou une heure, peu importe. C’est instantané et c’est agréable. Vous n’êtes en compétition avec personne, et ça ne vous rend pas malheureux ou en colère”, assure Luke, fan notamment de jeux comme Resident Evil ou Jurassic Park.Il va même jusqu’à acheter de vieilles télévisions à tube cathodique pour une expérience encore plus fidèle à celle de son enfance. Les vidéos de ses réparations qu’il publie sur Youtube ou Tiktok sont vues par des dizaines de milliers de personnes.Et selon lui, le phénomène n’est pas prêt de retomber.- Même la Gen Z -“Les gens auront toujours une passion naturelle pour les choses avec lesquelles ils ont grandi étant enfants, donc je pense qu’on aura toujours du travail. Cela va évoluer et ce ne sera probablement plus des Game Boys”, mais “il y aura toujours un jeu qui devient rétro”, assure Luke. Cette année, les Bafta britanniques, qui organisent mardi leur cérémonie annuelle de récompenses des jeux vidéo, ont lancé un sondage pour désigner “le jeu le plus influent de tous les temps”. “Shenmue”, jeu d’aventure et d’action de 1999 est arrivé en tête, devant “Doom” (1993) et Super Mario Bros (1985).Le London Gaming Market, dédié aux jeux vidéo vintage, dont la 10e édition s’est tenue dans la capitale britannique à la mi-mars, a aussi vu son nombre de visiteurs augmenter ces dernières années.Entre les étals où sont exposés disquettes, CD et vieilles consoles, les amateurs ou collectionneurs se pressaient pour tenter de mettre la main sur une perle rare. “Je suis un grand fan de Sonic le Hérisson. J’ai la montre et d’autres objets (…) Je recherche toujours” de nouvelles choses, confie Adrian, vêtu d’un t-shirt à l’effigie du célèbre hérisson développé par Sega.Andy Brown, directeur de Replay Events, organisateur de l’évènement, a vu un vrai changement depuis le Covid. “Les gens étaient confinés chez eux, à la recherche d’activités qui leur rappellent des souvenirs d’une époque meilleure, car l’ambiance était très pessimiste”, explique-t-il.Selon une étude réalisée début 2025 par l’association de consommateurs américaine Consumer Reports, 14% des Américains jouent sur des consoles sorties avant 2000.Et au Royaume-Uni, 24% des jeunes de la génération Z (ayant entre 13 et 28 ans) possèdent une console ancienne, selon un sondage réalisé auprès de 2.000 Britanniques en marge d’un récent évènement à Londres lié au retrogaming, organisé par la marque Pringles.En septembre dernier, les douanes italiennes ont démantelé un trafic de consoles vidéo vintage contrefaites, et saisi environ 12.000 appareils contenant des jeux parmi les plus populaires des années 1980 et 90.

Loin des prouesses numériques des jeux actuels, la passion vivace du retrogaming

“Il y aura toujours un jeu qui devient rétro”: loin d’être une tendance passagère, le retour en grâce des consoles et jeux vidéo vintage ne faiblit pas, entre nostalgie et besoin de déconnexion. A Stoke-on-Trent (centre de l’Angleterre), Luke Malpass reçoit des colis du monde entier contenant des consoles à remettre en état.Il y a six …

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TikTok: Trump reporte encore l’échéance, ByteDance évoque des “questions clefs” à résoudre

Donald Trump a annoncé vendredi qu’il reportait de 75 jours supplémentaires la date limite fixée pour la vente du réseau social TikTok, la maison mère du réseau social, ByteDance, faisant état de “questions clefs” encore à résoudre.Le président américain avait déjà reporté une première fois, de 75 jours fin janvier, l’entrée en vigueur d’une loi votée en 2024 par le Congrès et qui impose à ByteDance d’en céder le contrôle sous peine d’interdiction aux Etats-Unis.Ce texte visait à empêcher que les autorités chinoises ne puissent mettre la main sur des données personnelles d’utilisateurs de TikTok aux Etats-Unis ou ne soient en mesure d’influencer l’opinion américaine via le puissant algorithme du réseau social.L’échéance est désormais déplacée au 19 juin.La cession de la filiale américaine de TikTok nécessite le feu vert de ByteDance mais aussi des autorités chinoises, qui n’ont, ni l’une, ni l’autre, validé jusqu’à présent l’idée même d’une vente.”Des questions clefs doivent encore être résolues”, a prévenu vendredi le groupe chinois, confirmant des discussions mais rappelant que toute transaction devrait être “approuvée en conformité avec la loi chinoise”.La tonalité de ces communications contraste avec l’assurance affichée par Donald Trump et son vice-président JD Vance, chargé du dossier à la Maison Blanche, qui avaient affirmé à plusieurs reprises ces derniers jours qu’un accord final serait trouvé avant la date limite du 5 avril.”Nous espérons poursuivre, dans un esprit constructif, notre travail avec la Chine qui, de ce que j’entends, n’est pas ravie des droits de douane réciproques” imposés au pays par Donald Trump, a écrit le chef de l’Etat dans un message posté sur son réseau Truth Social.Cette nouvelle taxe de 34% s’ajoute, dans le cas de la Chine, aux 20% déjà en vigueur, ce qui porte le total de droits supplémentaires à 54%.- “Monnaie d’échange” -La Chine a riposté et annoncé vendredi la mise en place d’une taxe de 34% sur les produits américains importés dès le 10 avril.”Le report (de la date limite) permet de maintenir TikTok en vie et d’accréditer l’idée que les droits de douane font leur effet” et incitent la Chine à une inflexion, a commenté Jeremy Goldman, analyste du cabinet Emarketer.”Trump peut continuer à utiliser TikTok comme une monnaie d’échange dans sa saga géopolitique avec la Chine”, a-t-il poursuivi.”Nous ne voulons pas que TikTok disparaisse”, a redit Donald Trump, qui après avoir tenté de forcer la cession de la plateforme en 2020, s’est posé, depuis la dernière campagne présidentielle américaine, en sauveur du réseau social aux 170 millions d’utilisateurs aux Etats-Unis.”Nous sommes impatients de travailler avec TikTok et la Chine pour finaliser cette opération”, qui “nécessite davantage de travail pour s’assurer de la signature de tous les accords nécessaires”, a décrit l’ancien promoteur immobilier.Selon plusieurs médias américains, des discussions sont en cours, avec comme scénario central la scission de TikTok de sa maison mère.Les actionnaires de ByteDance se verraient alors confier des actions de cette nouvelle entité à concurrence de leur participation actuelle dans le géant chinois.Selon TikTok lui-même, environ 60% du capital de ByteDance est aux mains d’investisseurs non chinois, ce qui reviendrait à ce que la plateforme vidéo ne soit plus contrôlée majoritairement par une entreprise chinoise, principale exigence du Congrès.Si ce scénario l’emportait, il écarterait tout paiement et éviterait aussi l’entrée au capital d’un ou plusieurs prétendants qui se sont manifestés ces derniers mois pour racheter TikTok.Cette liste comprend notamment le “Project Liberty” de l’entrepreneur Frank McCourt, propriétaire de l’Olympique de Marseille, le YouTubeur MrBeast ou la startup d’intelligence artificielle (IA) générative Perplexity AI.Ces derniers jours, se sont aussi manifestés, selon des médias américains, Amazon et Walmart, qui avaient présenté, en 2020, une offre conjointe avec Microsoft pour racheter TikTok, proposition restée lettre morte.Quelques acteurs américains, notamment le spécialiste de l’informatique à distance (cloud) Oracle, qui héberge déjà les serveurs de TikTok aux Etats-Unis, ou la société d’investissement Blackstone, pourraient prendre une participation minoritaire, selon des médias américains.Mais l’enjeu est tout autant financier que technologique avec, au centre du dossier, le fameux algorithme de recommandation de TikTok, qui explique la popularité de l’application.Or, c’est bien au contrôle de ce programme par une entité chinoise que voulait mettre fin le Congrès.Le New York Times a suggéré que la nouvelle entité pourrait obtenir une licence auprès de ByteDance pour l’exploiter.

TikTok: Trump reporte encore l’échéance, ByteDance évoque des “questions clefs” à résoudre

Donald Trump a annoncé vendredi qu’il reportait de 75 jours supplémentaires la date limite fixée pour la vente du réseau social TikTok, la maison mère du réseau social, ByteDance, faisant état de “questions clefs” encore à résoudre.Le président américain avait déjà reporté une première fois, de 75 jours fin janvier, l’entrée en vigueur d’une loi …

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