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Livre sur la DGSI: procès ordonné pour un journaliste et deux ex-policiers

Auteur en 2019 d’un livre sur la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), le journaliste Alex Jordanov a été renvoyé en correctionnelle pour des atteintes au secret défense, tout comme deux ex-policiers présentés comme ses sources.Selon l’ordonnance de renvoi du 10 septembre dont l’AFP a eu connaissance vendredi, Alex Jordanov, 66 ans, et les deux anciens policiers des services de renseignement, âgés de 47 ans et 61 ans, seront jugés devant le tribunal correctionnel de Paris pour des infractions au secret défense, au secret professionnel, et pour révélation d’informations permettant l’identification d’une source, entre 2015 et 2022.La justice reproche au journaliste, brièvement otage en Irak en 2004, d’avoir dangereusement levé le voile, dans son livre “Les Guerres de l’ombre de la DGSI” (Nouveau Monde Editions), sur la cuisine interne du principal service de renseignement travaillant sur la sécurité intérieure de la France. Mais aussi d’avoir rendu possible l’identification de certaines sources humaines de la DGSI, ce qui les aurait mises en danger.Six mois après la publication de l’ouvrage, la DGSI avait signalé à la justice ce livre à cause du “préjudice important” qu’il aurait causé.L’enquête pénale s’est appuyée sur des éléments contenus dans un cahier de notes, retrouvé trois ans avant la publication du livre et qui aurait été égaré par M. Jordanov, et a tiré le fil d’anecdotes de l’ouvrage pour incriminer les trois protagonistes, mis en examen fin juin 2022.Le journaliste a alors reçu le soutien de Reporters sans frontières, du Syndicat national des journalistes ou de l’Association confraternelle de la presse judiciaire.Au cours de l’instruction, Alex Jordanov a défendu avoir voulu raconter une “aventure humaine d’agents du renseignement”, assuré qu’il ne s’était jamais servi de documents classifiés et que son travail était du journalisme d’investigation, d’intérêt public.Les juges d’instruction rappellent avoir dû “réaliser une balance des intérêts en présence”, sachant que “la protection du secret des sources des journalistes doit être tempérée par l’objectif de sécurité nationale (…) et ne constitue pas une cause d’irresponsabilité pénale”.Pour les magistrats, le contenu du livre a “porté une atteinte importante à la sécurité nationale” et n’avait pas “d’utilité publique”, car il porte surtout selon eux sur les “critiques” émises par d’ex-membres de ces services quant à leur évolution.- Une “victime collatérale” -Les avocats d’Alex Jordanov, Me Marie Cornanguer et Me William Bourdon, ont saisi la cour d’appel de Paris d’un recours.”Il est strictement nécessaire à la défense de pouvoir contrôler l’existence d’une décision préalable de classification d’une information ou d’un support” évoqués dans le livre “puisque, sans cela, le délit de divulgation d’informations couvertes par le secret de la défense nationale ne peut s’appliquer”, souligne Me Cornanguer. “En tout état de cause, la relaxe sera demandée”, ajoute Me Bourdon, car “Alex Jordanov est la victime collatérale d’une opération de la DGSI visant à intimider les journalistes d’investigation et les agents publics, dont l’indignation face à des graves illégalités les conduit à les révéler aux média.”Les juges reprochent aussi à M. Jordanov un passage du livre concernant une ancienne source syrienne des services de renseignement français, dans une opération appelée “Ratafia”, des informations pourtant déjà publiées précédemment par Le Monde. Ladite source aurait été “arrêtée, interrogée pour espionnage puis exécutée”, affirme l’ordonnance des juges.Selon les magistrats, cela a créé un “dysfonctionnement majeur sans précédent” et mis “à mal pour plusieurs années la relation de la DGSI avec un partenaire étranger”.”Des éléments en notre possession, nous n’avons aucune raison de valider une telle spéculation”, conteste Me Bourdon.Me Emmanuel Daoud indique lui que son client, le plus jeune des deux anciens policiers, “expliquera au tribunal l’état d’esprit qui était le sien à l’époque où il subissait un véritable harcèlement de la part de sa hiérarchie au sein de la DGSI, objet d’une instruction à Nanterre”. Son client n’avait pas “la volonté et l’intention de compromettre le secret de la défense nationale”, assure Me Daoud.L’avocate de l’autre policier n’a pas répondu à l’AFP.

Livre sur la DGSI: procès ordonné pour un journaliste et deux ex-policiers

Auteur en 2019 d’un livre sur la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), le journaliste Alex Jordanov a été renvoyé en correctionnelle pour des atteintes au secret défense, tout comme deux ex-policiers présentés comme ses sources.Selon l’ordonnance de renvoi du 10 septembre dont l’AFP a eu connaissance vendredi, Alex Jordanov, 66 ans, et les deux …

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Eurovision : vote début novembre à l’UER sur la participation d’Israël

Les membres de l’Union Européenne de Radio-Télévision (UER) se réuniront début novembre pour voter sur la participation d’Israël à l’Eurovision, après les appels de plusieurs pays européens au boycott, a indiqué l’organisation vendredi.”Une lettre (…) a été envoyée aux directeurs généraux de tous nos membres pour les informer qu’un vote sur la participation au concours Eurovision de la Chanson 2026 aura lieu”, a indiqué à l’UER, à l’AFP.Ce vote se tiendra lors d’une “réunion extraordinaire de l’Assemblée générale de l’UER, qui se tiendra en ligne début novembre”, a précisé l’organisation, qui est la première alliance mondiale de médias de service public.Dans cette lettre, vue par l’AFP, la présidente de l’UER, Delphine Ernotte Cunci, explique que le Conseil exécutif de l’organisation “a reconnu qu’il existe une diversité de points de vue sans précédent concernant la participation de KAN”, le diffuseur israélien du concours.Le Conseil exécutif estime que l’UER défend “l’inclusion et un dialogue culturel ouvert” mais reconnaît l’impossibilité de parvenir à un consensus concernant la participation israélienne, indique-t-elle.”Étant donné que l’Union n’a jamais été confrontée à une situation de division comme celle-ci auparavant, le Conseil a convenu que cette question méritait une base démocratique plus large pour qu’une décision soit prise” afin que tous les membres puissent “avoir la possibilité de s’exprimer”, a-t-elle ajouté.Les pays européens sont divisés sur le sujet.L’Autriche, pays hôte de l’Eurovision en 2026, a regretté les appels de plusieurs pays européens au boycott si Israël participe à la prochaine édition. Le ministre allemand de la Culture Wolfram Weimer a également fustigé ces appels, affirmant qu'”exclure Israël aujourd’hui, c’est aller à l’encontre de cette idée fondamentale et transformer en tribunal une fête d’entente entre les peuples”.L’Espagne, l’Irlande, la Slovénie, l’Islande et les Pays-Bas ont annoncé qu’ils n’enverraient pas de représentant au concours à Vienne en mai prochain si Israël est autorisé à participer.D’autres pays comme la Belgique, la Suède et la Finlande réfléchissent également à un boycott.L’association de l’audiovisuel public néerlandaise Avrotros avait justifié sa décision par les “sérieuses violations de la liberté de la presse” commises par les Israéliens à Gaza. Elle accuse aussi Israël d’avoir commis “des interférences prouvées lors de la dernière édition, se livrant à une instrumentalisation politique de l’événement”. La chanteuse israélienne Yuval Raphael, survivante de l’attaque du 7 octobre, était arrivée seconde au concours 2025, portée par le vote du public.L’Eurovision est régulièrement le théâtre d’oppositions géopolitiques. La Russie a été exclue à la suite de l’invasion de l’Ukraine en 2022. Le Bélarus l’avait été un an plus tôt après la réélection contestée du président Alexandre Loukachenko.

Eurovision : vote début novembre à l’UER sur la participation d’Israël

Les membres de l’Union Européenne de Radio-Télévision (UER) se réuniront début novembre pour voter sur la participation d’Israël à l’Eurovision, après les appels de plusieurs pays européens au boycott, a indiqué l’organisation vendredi.”Une lettre (…) a été envoyée aux directeurs généraux de tous nos membres pour les informer qu’un vote sur la participation au concours …

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Meta met en place un abonnement payant sans publicité au Royaume-Uni

Le géant américain Meta a annoncé vendredi le lancement d’abonnements payants sans publicité au Royaume-Uni sur ses plateformes Facebook et Instagram, comme cela se fait déjà dans l’Union européenne, pour se mettre en conformité avec la législation.”Dans les prochaines semaines, en réponse aux récentes directives réglementaires du Royaume-Uni et après d’étroites consultations” avec le régulateur britannique de la protection des données (ICO), “nous proposerons au Royaume-Uni un abonnement permettant de supprimer les publicités”, selon un communiqué de Meta.Les utilisateurs résidant au Royaume-Uni pourront choisir entre continuer à utiliser Facebook et Instagram gratuitement tout en acceptant des publicités personnalisées, ou souscrire un abonnement pour ne plus voir de publicités.L’abonnement coûtera 2,99 livres (3,42 euros) par mois via les navigateurs web ou 3,99 livres (4,57 euros) sur les applications mobiles — soit moins que les abonnements dans l’UE, proposés à partir de 5,99 euros par mois.Meta avait instauré cet abonnement sans publicité dans l’UE fin 2023 pour se mettre en conformité avec les règles européennes sur le traitement des données personnelles, qui lui ont déjà valu plusieurs condamnations et amendes.Saluant “l’approche constructive” britannique vendredi, Meta a en parallèle critiqué dans son communiqué les “exigences excessives” dans l’UE, où il a dû mettre en place une option supplémentaire avec des publicités “moins personnalisées”.L’ICO britannique a lui aussi “salué” vendredi l’annonce d’un abonnement sans publicité qui “permet à Meta de se conformer à la législation britannique”, se félicitant aussi d’avoir obtenu un prix “considérablement réduit” par rapport aux propositions initiales du groupe américain, et “presque deux fois inférieur à celui des utilisateurs de l’UE”.

Meta met en place un abonnement payant sans publicité au Royaume-Uni

Le géant américain Meta a annoncé vendredi le lancement d’abonnements payants sans publicité au Royaume-Uni sur ses plateformes Facebook et Instagram, comme cela se fait déjà dans l’Union européenne, pour se mettre en conformité avec la législation.”Dans les prochaines semaines, en réponse aux récentes directives réglementaires du Royaume-Uni et après d’étroites consultations” avec le régulateur …

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Bolloré, Stérin, Pigasse… Dans l’arène politique, ces hommes d’affaires se cachent de moins en moins

Les milliardaires sortent du bois: à droite comme à gauche, une poignée de riches hommes d’affaires investissent la sphère politique et médiatique pour pousser leurs idées, avançant à visage de plus en plus découvert avec des méthodes différentes.Nouveau signal de cette offensive, l’annonce vendredi du rachat prochain de l’hebdomadaire conservateur Valeurs actuelles par un trio d’investisseurs …

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Bolloré, Stérin, Pigasse… Dans l’arène politique, ces hommes d’affaires se cachent de moins en moins

Les milliardaires sortent du bois: à droite comme à gauche, une poignée de riches hommes d’affaires investissent la sphère politique et médiatique pour pousser leurs idées, avançant à visage de plus en plus découvert avec des méthodes différentes.Nouveau signal de cette offensive, l’annonce vendredi du rachat prochain de l’hebdomadaire conservateur Valeurs actuelles par un trio d’investisseurs où figure… le milliardaire Pierre-Édouard Stérin.Catholique conservateur exilé en Belgique, l’homme d’affaires reste un personnage discret dans les médias. Mais celui que les coffrets cadeaux Smartbox ont rendu milliardaire perturbe le paysage politique depuis que son projet Périclès, acronyme de “Patriotes enracinés résistants identitaires chrétiens libéraux européens souverainistes”, a été rendu public en 2024 par L’Humanité et le JDD.Son objectif, “promouvoir” des “valeurs libérales et conservatrices” dans le champ politique au sens large, a assumé en mai devant une commission parlementaire le directeur de Périclès, Arnaud Rérolle, associé de M. Stérin qui avait, lui, refusé la convocation des députés.L’investissement se chiffre en millions d’euros: huit en 2024 et une vingtaine prévus pour 2025 pour financer diverses associations, entreprises ou think tanks, selon M. Rérolle.Parmi ces structures, l’Observatoire de l’immigration et de la démographie, dont la méthodologie a été régulièrement mise en doute par des économistes et spécialistes, ou encore le média conservateur L’Incorrect, à l’origine de la diffusion d’une vidéo ayant valu aux journalistes Thomas Legrand et Patrick Cohen des accusations de connivence avec le Parti socialiste.- “Faire contrepoids” -Cette affaire cristallise justement ces derniers jours l’attention des médias d’un autre milliardaire, Vincent Bolloré. CNews, Europe 1 ou encore le Journal du dimanche (JDD) accusent le service public de partialité en faveur de la gauche depuis longtemps. Signe d’une guerre désormais ouverte, la patronne de France Télévisions Delphine Ernotte Cunci a répliqué en accusant pour la première fois CNews d’être une chaîne d'”extrême droite” et en accusant ces médias de vouloir “la peau de l’audiovisuel public”, ce que ces derniers contestent.Le milliardaire conservateur, lui, s’est toujours défendu de mener tout “projet idéologique”.Ces derniers jours néanmoins, des liens ont été établis entre son empire médiatique et la très large diffusion d’une pétition lancée par l’ancien eurodéputé souverainiste Philippe de Villiers appelant à l’organisation d’un référendum sur l’immigration, proposition phare de la droite et de l’extrême droite.De l’autre côté de l’échiquier politique, l’ancien dirigeant de la banque Lazard, Matthieu Pigasse, 57 ans, a lui aussi investi l’espace médiatique ces dernières semaines, en affirmant son soutien aux mesures de justice fiscale prônées par la gauche.L’homme d’affaire à la tête du groupe Combat, propriétaire de Radio Nova, du magazine Les Inrockuptibles, de festivals de musique, multiplie les messages sur X et les apparitions dans les médias.Son défi: mener la “bataille culturelle” pour “faire contrepoids” aux groupes “poussés par des milliardaires de droite ou d’extrême droite”.Et cela passe par des échanges de moins en moins secrets avec les dirigeants politiques. Interrogé, un cadre du PS affirme que M. Pigasse entretient des relations “amicales” avec le premier secrétaire Olivier Faure. “On pourrait le faire rentrer dans un dispositif politique”, ajoute le même, mais “il n’y a rien d’opérationnel pour l’instant”.Idem dans la sphère Stérin, où le bras droit de l’entrepreneur, François Durvye -annoncé sur le départ par plusieurs médias-, a contribué au livret économique du Rassemblement national. Il “serait un excellent député s’il était investi”, reconnaît un proche de Marine Le Pen. Un autre cadre RN tempère néanmoins: “L’influence de Stérin est complètement surestimée.”- “Raidissement” -Bolloré, Stérin, Pigasse… Vont-ils encourager les autres ultrariches, traditionnellement plus réservés, à changer de braquet dans la guerre de l’influence ? Bernard Arnault, patron de LVMH déjà propriétaire du groupe Les Echos-Le Parisien et de l’Opinion, est en passe de racheter le magazine Challenges et s’est distingué ces derniers jours pour sa virulente charge contre la taxe Zucman sur les hauts patrimoines. Quant à Rodolphe Saadé, patron de CMA CGM, il vient d’acquérir le média Brut, en plus d’Altice Médias (BFMTV, RMC). “Le paysage est en train de changer”, estime Michel Offerlé, professeur émérite de sociologie politique à l’ENS. “Mais s’il existe une frange radicalisée de chefs d’entreprise, on n’en est pas à imaginer certains grands patrons français entrer en politique”, tempère ce spécialiste du patronat, tout en observant un certain “raidissement du Medef”, qui vient d’annoncer un grand meeting patronal le 13 octobre.

L’univers pop du Comic-Con de San Diego débarque en Espagne

Sorciers, guerriers et créatures fantastiques vont déambuler pendant quatre jours dans les rues de Malaga (sud de l’Espagne), qui accueille depuis jeudi la première édition hors États-Unis du Comic-Con de San Diego, grande convention dédiée aux cultures pop, en présence notamment d’Arnold Schwarzenegger.Dans la métropole andalouse, comme c’est la cas dans la ville californienne, sont attendus des présentations de films à succès, des figures marquantes du monde de la bande dessinée et des jeux vidéo, ainsi que des milliers de personnes déguisées en leurs personnages préférés.Décrit par ses organisateurs comme “un moment unique pour les fans de divertissement et de culture pop en Europe”, l’événement est l’occasion pour les passionnés d’apercevoir quelques acteurs: le “Terminator” Arnold Schwarzenegger, Gwendoline Christie (“Game of Thrones” et “Star Wars”) ou encore Luke Evans (“Le Hobbit” et “La Belle et la Bête”).La convention de quatre jours se tiendra au Palais des Expositions et des Congrès de Málaga (FYCMA), où les organisateurs espèrent accueillir plus de 100.000 fans espagnols ou étrangers, soit une affluence comparable aux quelque 130.000 participants du Comic-Con de San Diego.Interrogé par le journal espagnol Sur, le directeur exécutif de la Comic-Con de Málaga Javier Barberá a comparé la nouvelle convention à l’originale: “L’essence est la même. Nous partageons de l’ADN, d’une certaine manière nous sommes semblables”, a-t-il déclaré, soulignant néanmoins sur le “processus d’intégration” des talents locaux au cœur de l’édition espagnole, dont il espère qu’elle deviendra annuelle.Ainsi, outre les invités internationaux, la convention comptera sur la participation d’Espagnols tels que l’illustrateur Óscar Giménez et l’acteur Pedro Alonso, qui a incarné Berlin dans le succès Netflix “La Casa de Papel” ainsi que dans la série dérivée centrée sur son personnage.Deux films seront aussi diffusés pour les fans, selon le directeur exécutif de la Comic-Con andalouse: “Tron: Ares” de Joachim Rønning et “Predator: Badlands” de Dan Trachtenberg, déjà présentés, au moins sous forme d’extraits, lors de la Comic-Con de San Diego en juillet 2025.Fondé en 1970, le Comic-Con de San Diego a grossi au point de devenir bien plus qu’une grand-messe de geeks et d’amateurs de bande dessinée: il attire aujourd’hui des foules immenses et des stars de premier plan, qui viennent promouvoir leurs nouveaux films et séries.

L’univers pop du Comic-Con de San Diego débarque en Espagne

Sorciers, guerriers et créatures fantastiques vont déambuler pendant quatre jours dans les rues de Malaga (sud de l’Espagne), qui accueille depuis jeudi la première édition hors États-Unis du Comic-Con de San Diego, grande convention dédiée aux cultures pop, en présence notamment d’Arnold Schwarzenegger.Dans la métropole andalouse, comme c’est la cas dans la ville californienne, sont …

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