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Près de 5 millions de téléspectateurs en moyenne pour Macron sur TF1

Près de 5 millions de téléspectateurs en moyenne ont regardé mardi soir l’intervention d’Emmanuel Macron lors d’une émission spéciale sur TF1, format traditionnellement moins suivi que les allocutions solennelles lors d’événements exceptionnels, selon les chiffres publiés par la chaîne mercredi.Entre 20H15 et 23H25, 4,9 millions de téléspectateurs en moyenne ont regardé TF1, leader de la …

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Retailleau va réunir les entrepreneurs dans les cryptomonnaies après plusieurs affaires d’enlèvement

Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau va réunir place Beauvau les entrepreneurs du secteur des cryptomonnaies, a-t-il annoncé mercredi, au lendemain d’une violente tentative d’enlèvement en pleine rue à Paris et après plusieurs kidnappings suivis de séquestrations.”Je réunirai à Beauvau les entrepreneurs, il y en a quelques-uns en France, qui sont dans ces cryptomonnaies, pour que, avec eux, on travaille à leur sécurité” et “pour qu’ils soient conscients aussi des risques”, a assuré Bruno Retailleau sur Europe 1/CNews. “Il faut qu’on prenne ensemble des mesures pour les protéger. Mais les commanditaires, où qu’ils soient – peut-être même à l’étranger – on les retrouvera”, a-t-il encore promis.La réunion aura lieu vendredi matin place Beauvau, a ensuite précisé le ministère.Ces derniers mois, plusieurs dirigeants de sociétés spécialisées dans les cryptomonnaies, ainsi que leurs proches, ont été ciblés. La dernière tentative d’enlèvement, avortée mais spectaculaire, mardi en pleine rue à Paris, a visé la fille et le petit-fils du PDG de la plateforme d’échange Paymium.Fin janvier, le cofondateur de Ledger David Balland et sa compagne avaient été kidnappés à leur domicile dans le Cher. L’alerte avait été donnée par Eric Larchevêque, l’autre cofondateur du spécialiste de portefeuilles crypto, qui avait reçu une vidéo d’un doigt coupé de David Balland, accompagnée d’une importante demande de rançon en cryptomonnaies. Séquestré à Châteauroux, David Balland avait été libéré le 22 janvier. Sa compagne avait été retrouvée ligotée dans le coffre d’un véhicule dans l’Essonne le lendemain.Au moins neuf personnes ont été mises en examen dans cette affaire, dont le commanditaire présumé de cet enlèvement.Début janvier, un homme de 56 ans avait été retrouvé dans le coffre d’une voiture près du Mans, à plusieurs centaines de kilomètres de son domicile situé dans l’Ain. Selon plusieurs médias, il s’agissait du père d’un influenceur en cryptomonnaies basé à Dubaï, qui publie régulièrement des vidéos sur ses gains. Une rançon “très élevée” avait été réclamée.Le 1er mai, le père d’un homme ayant fait fortune dans les cryptomonnaies avait lui été enlevé par quatre hommes encagoulés, déjà en plein Paris, et libéré deux jours plus tard. Cinq personnes ont été mises en examen dans cette affaire.

Retailleau va réunir les entrepreneurs dans les cryptomonnaies après plusieurs affaires d’enlèvement

Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau va réunir place Beauvau les entrepreneurs du secteur des cryptomonnaies, a-t-il annoncé mercredi, au lendemain d’une violente tentative d’enlèvement en pleine rue à Paris et après plusieurs kidnappings suivis de séquestrations.”Je réunirai à Beauvau les entrepreneurs, il y en a quelques-uns en France, qui sont dans ces cryptomonnaies, pour …

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IA: Le Monde signe un accord avec Perplexity pour l’utilisation de ses articles

Le Monde, premier quotidien national français, et Perplexity, start-up d’intelligence artificielle (IA) générative américaine, ont annoncé mercredi un partenariat garantissant notamment la rémunération du journal pour l’utilisation de ses articles.Ce contrat pluriannuel, dont le montant et la durée n’ont pas été dévoilés, permettra également au Monde d’accéder aux technologies de Perplexity, selon un communiqué.En mars 2024, …

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IA: Le Monde signe un accord avec Perplexity pour l’utilisation de ses articles

Le Monde, premier quotidien national français, et Perplexity, start-up d’intelligence artificielle (IA) générative américaine, ont annoncé mercredi un partenariat garantissant notamment la rémunération du journal pour l’utilisation de ses articles.Ce contrat pluriannuel, dont le montant et la durée n’ont pas été dévoilés, permettra également au Monde d’accéder aux technologies de Perplexity, selon un communiqué.En mars 2024, Le Monde avait déjà annoncé un accord en France avec la start-up américaine OpenAI, créatrice de ChatGPT. Celui passé avec Perplexity se révèle “moins important dans la mesure où nous ne contribuons pas à l’entraînement de leurs modèles”, comme c’est le cas avec OpenAI, a précisé à l’AFP le président du directoire du groupe Le Monde, Louis Dreyfus.Concrètement, lorsque les usagers de Perplexity – qui combine un assistant IA et un moteur de recherche – lui poseront une question, les données piochées dans les articles du Monde “apparaîtront dans les réponses avec des liens vers nos articles”, explique Louis Dreyfus. Outre des revenus supplémentaires, “assimilés aux droits voisins” du droit d’auteur, “cela peut nous apporter une nouvelle audience”, souligne le dirigeant, en particulier pour la version du Monde en anglais, inaugurée il y a trois ans.Par ailleurs, Perplexity “met à disposition” du Monde un outil qui sera “déployé progressivement” dès mercredi sur son site et ses applications et s’appuiera sur les contenus du journal pour répondre aux questions des lecteurs, selon M. Dreyfus.Le groupe Le Monde, qui a réalisé en 2024 un chiffre d’affaires de 309,5 millions d’euros (+5 millions par rapport à 2023) et revendique 661.000 abonnés pour son journal amiral, souhaite étendre “à terme” cet accord à ses magazines (Le Nouvel Obs, Télérama, etc.). Le Monde est aussi “très désireux de signer avec d’autres acteurs” de l’IA, fait valoir M. Dreyfus. “Les interfaces pilotées par l’IA comme Perplexity sont l’avenir de la recherche” sur internet “et, avec ce changement, nous devons continuer à soutenir les éditeurs d’actualités dont le contenu est essentiel pour fournir des réponses précises et fiables”, a justifié Jessica Chan, responsable chez Perplexity des partenariats avec les éditeurs, citée dans le communiqué.Lancée fin 2022 et soutenue par le fondateur d’Amazon Jeff Bezos, Perplexity avait déjà signé un premier partenariat média en France, révélé fin janvier par le Figaro, avec Humanoid, éditeur du site Numerama et propriété du groupe Ebra. Ce partenariat portait sur le partage d’éventuels revenus publicitaires, un volet également compris dans l’accord passé avec Le Monde, qui “va bien au-delà”, selon Louis Dreyfus.En octobre, deux médias américains, le Wall Street Journal et le New York Post, ont par ailleurs porté plainte contre Perplexity, l’accusant de piller leurs contenus.D’autres ont adhéré à son offre de partage des revenus publicitaires lancée en juillet, dont les magazines américain Time et allemand Der Spiegel. La société assure répondre chaque semaine à “plus de 100 millions de questions dans le monde”.

Le patron d’Airbnb en quête de “nouveauté” et de “fraîcheur”

“La nouveauté, c’est cool. C’est excitant. Je veux être nouveau. Je veux être frais. Je veux être jeune”, lance Brian Chesky, le patron d’Airbnb, lors d’un entretien avec l’AFP mardi à Los Angeles, où il est venu présenter une nouvelle offre services à domicile sur l’application.A côté de la réservation de logements – qui n’a “plus rien de nouveau”, note-t-il – les utilisateurs vont désormais pouvoir trouver des professionnels des soins de beauté et bien-être ainsi que des traiteurs, prêts à venir dans leur location de vacances ou même chez eux.L’entreprise n’avait jamais tenté une telle diversification de ses sources de revenus depuis sa naissance en 2008 à San Francisco.”Pour rester pertinente, l’entreprise doit se développer et évoluer. Mais ça, c’est notre problème, cela n’intéresse personne”, continue Brian Chesky.”Le vrai problème que nous voulions résoudre, c’est qu’il est très difficile d’obtenir ces services”.Il raconte qu’au début, l’idée semblait juste “intéressante”, mais elle petit à petit devenue “essentielle”. “Nous avons soudain réalisé que cela pourrait entraîner un usage hebdomadaire, et non plus seulement annuel, de l’application”.Dans un premier temps les coiffeurs, masseurs et photographes sélectionnés par la plateforme seront disponibles dans 260 villes dans le monde. L’offre doit ensuite être étendue à d’autres lieux et d’autres services.Comme la garde d’enfants, “l’objectif ultime”. Car proposer des baby sitters sur l’application signifierait que les utilisateurs font vraiment “confiance” à l’entreprise.”Nous devons travailler pour mériter ce niveau de confiance. Nous n’en sommes pas encore là, mais c’est ce qui nous guide”, assure le dirigeant.- “Concierge parfait” -Etonnament, alors que l’intelligence artificielle (IA) générative domine tous les investissements et nouveaux produits dans la Silicon Valley depuis deux ans, Brian Chesky n’a quasiment pas mentionné la technologie à l’oeuvre dans ChatGPT.”Je n’en ai pas parlé, mais nous avons un nouvel agent IA pour le service client, et c’est le meilleur de toutes les applications de voyages”, se vante le dirigeant.Entraîné à partir de “centaines de millions ou même milliards” de données et informations relatives à des séjours de clients, il est d’abord déployé auprès des utilisateurs américains, avant de gagner d’autres pays, dans d’autres langues que l’anglais, dans les mois à venir.Mais Airbnb est plutôt attendu du côté des assistants IA capables de composer tout un séjour sur mesure, et de faire les réservations ensuite, comme celui de la start-up Mindtrip.Un secteur très convoité – Expedia, Booking ou Google essaient depuis des années de s’imposer comme la plateforme centrale des voyageurs.”Nous allons avoir plus de choses dans l’IA”, promet le patron. “A la fin nous deviendrons le concierge parfait pour les voyages et la vie quotidienne”.- Politique -En attendant, Airbnb fait face à des problèmes moins technologiques et plus politiques.Le groupe californien a dû prendre ses distances avec Joe Gebbia, son cofondateur qui a rejoint l’équipe Doge d’Elon Musk, chargée par Donald Trump de traquer les dépenses fédérales qu’elle considère inutiles.Des hôtes de la plateforme ont annoncé quitter Airbnb en réaction à cette situation – les méthodes de la commission sont largement jugées brutales et contre-productives par la gauche américaine.”Nous n’avons pas vu d’impact”, affirme Brian Chesky.”Je pense que le concept d’Airbnb dépasse largement les idées d’une personne ou d’une autre”, ajoute-t-il, avant de rappeler que Joe Gebbia n’est plus impliqué dans les activités quotidiennes d’Airbnb depuis deux ans.Le patron se montre aussi diplomate sur la question des politiques économiques du président américain, qui ont fait plonger les marchés et sèment l’incertitude dans tous les secteurs.Airbnb a observé une baisse du nombre de touristes étrangers venant aux Etats-Unis, mais “nous avons une forte capacité d’adaptation”, assure-t-il. “Si des voyageurs choisissent de partir en vacances dans leur propre pays, ils iront peut-être quand même dans des Airbnb”.”Cela dit, je pense qu’un monde où les frontières sont ouvertes et où les gens voyagent librement est certainement la meilleure chose qui soit”, lâche-t-il, “tant pour l’économie que pour les rencontres culturelles entre les communautés”.

Le patron d’Airbnb en quête de “nouveauté” et de “fraîcheur”

“La nouveauté, c’est cool. C’est excitant. Je veux être nouveau. Je veux être frais. Je veux être jeune”, lance Brian Chesky, le patron d’Airbnb, lors d’un entretien avec l’AFP mardi à Los Angeles, où il est venu présenter une nouvelle offre services à domicile sur l’application.A côté de la réservation de logements – qui n’a …

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Ubisoft s’apprête à conclure une année mouvementée, sauvée par “Assassin’s Creed”

Un assassin qui a fait du bien: l’éditeur de jeux vidéo Ubisoft devrait dévoiler mercredi des résultats annuels “à l’équilibre”, sauvés in extremis par le dernier volet de sa série phare “Assassin’s Creed”, après de nombreuses déconvenues ces derniers mois.Le géant français du secteur, qui a affiché des bilans en dents de scie ces dernières années, a ainsi connu un lancement en demi-teinte pour “Star Wars Outlaws” l’été dernier, l’arrêt prématuré de son jeu de tir en ligne “XDefiant” et une dégringolade boursière. Il a toutefois su redresser la barre à la fin de son exercice décalé 2024-2025 grâce au succès d'”Assassin’s Creed Shadows”.Sorti le 20 mars, cet opus situé dans le Japon féodal a comptabilisé plus de trois millions de joueurs en une semaine, d’après l’éditeur, devenant même le deuxième jeu le plus vendu de l’année aux États-Unis, selon le cabinet Circana.De quoi rattraper une année annoncée “à l’équilibre” par le PDG Yves Guillemot, lors d’une audition au Sénat le 5 mai dans le cadre d’une commission d’enquête sur l’utilisation des aides publiques aux grandes entreprises, dont Ubisoft a bénéficié à hauteur de 38 millions d’euros en 2023-2024.- Nouvelle filiale -Surtout, le groupe a lancé fin mars la création d’une nouvelle filiale – qui n’a pas encore de nom – regroupant ses trois sagas phares: “Assassin’s Creed”, “Far Cry” et “Rainbow Six”.Selon Yves Guillemot, cette filiale réunira environ 3.000 des quelque 17.000 salariés du groupe dans le monde. Elle ne détiendra pas directement ces marques mais paiera des royalties à sa maison mère Ubisoft pour leur exploitation.Valorisée à plus de 4 milliards d’euros (plus de deux fois la valorisation boursière actuelle d’Ubisoft), cette nouvelle entité sera détenue à environ 25% par le géant chinois de la tech Tencent, qui apportera 1,16 milliard d’euros d’argent frais.Pour Martin Szumski, analyste financier chez Morningstar, “c’était la solution la moins engageante possible, sans pour autant retourner les mains vides devant les actionnaires”, alors qu’un fonds d’investissement minoritaire tente de fédérer une partie d’entre eux pour demander un virage stratégique.Ce qui n’a pas empêché l’action d’Ubisoft de s’effondrer dans la foulée, alors que le marché boursier était plongé dans la tourmente par l’annonce des droits de douane américains.Depuis début janvier, le titre a perdu plus de 12%, tombant en avril à son plus bas niveau depuis plus de 10 ans.- L’ombre de Tencent -“Le marché a été déçu”, affirme Martin Szumski, car “la plupart des investisseurs s’attendaient à une modification plus significative du fonctionnement de l’entreprise”.Cette transaction permettra aussi à Tencent, entré au capital d’Ubisoft en 2018, d’affirmer encore un peu plus sa position au sein de l’entreprise française, même si le PDG du groupe a assuré devant les sénateurs qu’il comptait bien “garder la main” sur cette filiale.Mais, “si Ubisoft n’utilise pas l’argent investi par Tencent de manière significative”, le groupe chinois pourrait “chercher à racheter l’entreprise directement”, avertit l’analyste de Morningstar, malgré l’opposition affichée des frères Guillemot, qui en tiennent les rênes.Ubisoft, dont la dette atteignait 1,4 milliard d’euros fin septembre 2024, a entamé il y a deux ans un plan de réduction des coûts qui a déjà entraîné des fermetures de studios à l’étranger et le départ de plusieurs milliers de salariés.L’entreprise ne remplace désormais qu’un départ sur trois, a précisé Yves Guillemot devant les sénateurs.Ubisoft a également connu plusieurs mouvements de grève en 2024, portant sur les rémunérations et le travail à distance, qui ont mobilisé jusqu’à un quart de ses 4.000 salariés en France, selon les syndicats.

Les dix premiers pays en finale de l’Eurovision sont connus

“Le public de l’Eurovision nous a donné tout son amour”, exulte Kevin Holmstrom du groupe KAJ, qui a qualifié la Suède pour la finale samedi du plus grand télé-crochet du monde en Suisse, où il se mesurera à 25 autres candidats.Quinze pays étaient en lice ce mardi en début de soirée à la Sankt Jakobshalle de Bâle. Et au terme de 2H45 de spectacle aux effets visuels spectaculaires et avec quelques surprises, il n’en resta que dix. Outre la Suède, favorite depuis des semaines, se sont qualifiés pour la finale: l’Albanie, l’Estonie, l’Islande, la Norvège, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, Saint-Marin et l’Ukraine.Des millions de téléspectateurs ont pu voter mais les résultats restent secrets pour ne pas fausser le reste de la compétition, et surtout la deuxième demi-finale jeudi.L’Azerbaïdjan, la Belgique, la Croatie, Chypre et la Slovénie n’ont pas eu assez de voix.Pays hôte oblige, le spectacle de l’édition 2025 de l’Eurovision s’est ouvert sur une chorégraphie mélangeant costumes traditionnels suisses, danse moderne et un yodle typique des montagnes mâtiné d’électro et de cor des Alpes.Vêtu de costumes argentés scintillants et de larges lunettes de soleil, le duo islandais de musique électronique Vaeb – les deux frères Matthias et Halfdan Matthiasson – est monté le premier sur la scène de la Sankt Jakobshalle, devant un public de 6.500 fans chauffés à blanc. Et il y retournera samedi.Est venu ensuite le tour de la Polonaise Justyna Steczkowska, 52 ans et qui avait déjà participé à l’Eurovision 1995, de se lancer en polonais dans une puissante ode à “Gaja” (Gaïa, la déesse de la terre), moulée dans un ensemble en cuir noir lacéré. Elle aussi a su séduire.”Je n’ai pas de mots pour vous dire ce que je ressens. Je brûle”, dit-elle. Et d’ajouter: “C’est mon dernier Eurovision. Je suis mère de trois enfants. Je suis la femme la plus âgée du concours”.- Fais-toi un sauna -Depuis des semaines, les parieurs donnent la Suède et le groupe comique KAJ, avec sa chanson hommage à l’art du sauna, très largement vainqueurs. KAJ espérait que son “Bara bada bastu” (“Faites un sauna”) fasse rire le public. Il a en tout cas voté pour lui.Pour le chanteur belge Red Sebastian, ce sera un bien triste anniversaire, éliminé le jour de ses 26 ans malgré un rythme endiablé et une prouesse vocale. “On a été volés”, tranche Ruben Verdonck, qui trouve cela totalement inattendu. “Je ne comprends pas”.Claude, né en République démocratique du Congo, représente les Pays-Bas avec “C’est la vie”, une chanson entraînante en français et en anglais, qui a plu.Tout comme Tommy Cash, qui a choisi le mode comique avec son “Espresso Macchiato” pour représenter l’Estonie. Ses clichés appuyés ont irrité l’Italie mais le public a aimé. Hop, en finale. “On se croirait dans un film d’action. À un moment, on ne fait plus qu’un avec la scène. On ne fait plus qu’un, on ressent ce calme, la musique démarre, le public se tait, puis ils se mettent à crier”, décrit-il.- Possibilités illimitées -Le cadre de scène est spectaculaire, avec des estrades s’allongeant au coeur du public sur trois côtés. Visuellement, les possibilités semblent illimitées. Des écrans géants très haute définition, 4.500 lumières et lasers pulsés et des jets de flammes de plusieurs mètres de haut viennent accompagner les artistes.Les demi-finales ont été introduites en 2004 et permettent aux artistes de se faire connaître du public. Seize artistes participeront à la deuxième demi-finale de jeudi, dont dix seront qualifiés. Aux côtés des cinq principaux bailleurs de fonds de l’Eurovision (la Grande-Bretagne, la France, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne), la Suisse, pays hôte, accède automatiquement à la finale. Ils seront donc 26 à se succéder samedi soir.- Le mystère Céline Dion -Quant à Céline Dion, sa participation à l’édition 2025 reste un mystère. Elle avait remporté le concours de l’Eurovision pour la Suisse en 1988 avec “Ne partez pas sans moi”, le public lui reste entièrement acquis, et l’attente est immense.”Je ne demande pas mieux que d’être avec vous à Bâle en ce moment. La Suisse occupera à jamais une place spéciale dans mon cÅ“ur: c’est un pays qui a cru en moi et m’a donné la chance de participer à quelque chose d’aussi extraordinaire”, a dit la chanteuse en anglais dans un bref message vidéo rediffusé mardi soir juste avant la fin.

Les dix premiers pays en finale de l’Eurovision sont connus

Les dix premiers candidats à rejoindre la finale de l’Eurovision 2025 samedi ont été désignés mardi à Bâle, à l’issue d’un show aux effets visuels spectaculaires et avec quelques surprises. Quinze pays étaient en lice en début de soirée à la Sankt Jakobshalle de Bâle. Et au terme de 2H45 de spectacle il n’en resta que …

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