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Microsoft annonce héberger Grok, le modèle d’intelligence artificielle de Musk

Microsoft a annoncé lundi ajouter Grok, la famille de modèles d’intelligence artificielle (IA) générative d’Elon Musk, à Azure, sa plateforme de “cloud” (informatique dématérialisée) pour les développeurs, après une nouvelle polémique autour du service de l’homme d’affaires d’origine sud-africaine.Grok a provoqué la stupeur la semaine dernière en évoquant un “génocide blanc” en Afrique du Sud, …

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Le titre du chinois CATL s’envole lors de son introduction à Hong Kong

Le titre du géant chinois des batteries pour véhicules électriques CATL s’est envolé lors de son introduction à la Bourse de Hong Kong, considérée comme la plus grosse opération de ce type cette année dans le monde.Dans les minutes qui ont suivi l’ouverture du marché à 09H30 (01H30 GMT), le titre a atteint 299 dollars de Hong Kong (34 euros), soit une hausse de 13,7% par rapport à son prix d’introduction de 263 dollars de Hong Kong. Leader mondial avec plus d’un tiers du marché, CATL fournit des grandes marques comme Tesla, Mercedes-Benz, BMW et Volkswagen.Le fabricant de batteries est déjà coté à la Bourse de Shenzhen. Son projet de cotation secondaire à Hong Kong avait été annoncé en décembre.Selon un prospectus déposé la semaine dernière, le groupe a introduit sur le marché quelque 117,9 millions d’actions, ce qui chiffre le montant de l’opération à plus de 31 milliards de dollars de Hong Kong (3,5 milliards d’euros).Fondée en 2011 dans la ville de Ningde, dans l’est de la Chine, CATL, de son nom complet Contemporary Amperex Technology Co. Limited, bénéficie de l’engouement croissant pour les véhicules électriques en Chine, premier marché automobile mondial.L’entreprise profite aussi d’un solide soutien financier de Pékin, qui donne la priorité au développement des industries nationales de haute technologie considérées comme stratégiques.- Expansion internationale -CATL a annoncé en décembre la création en Espagne avec Stellantis, pour 4,1 milliards d’euros, d’une vaste usine de batteries dont la production devrait démarrer d’ici fin 2026.Le groupe chinois construit une deuxième usine en Europe, en Hongrie, après avoir ouvert son premier site de production en Allemagne en janvier 2023.A l’heure où les ventes automobiles s’essoufflent, CATL continue d’afficher de solides performances. Son bénéfice net a bondi de 32,9% au premier trimestre pour atteindre près de 14 milliards de yuans (1,68 milliards d’euros).La Bourse de Hong Kong attend avec impatience le retour des grandes sociétés de Chine continentale dans l’espoir de retrouver son statut de première place mondiale pour les introductions boursières.Hong Kong a connu une baisse constante des nouvelles introductions après un tour de vis réglementaire de Pékin à partir de 2020, qui a conduit plusieurs méga-entreprises de Chine continentale à suspendre leurs projets.Dans une liste publiée en janvier par le ministère américain de la Défense, CATL a été désignée comme une “entreprise militaire chinoise”.La commission d’enquête de la Chambre des représentants américaine sur le Parti communiste chinois a souligné cette inclusion dans des lettres adressées à deux banques américaines en avril, les exhortant à se retirer de l’opération d’introduction en bourse d’une “société chinoise liée à l’armée”.Mais les deux banques en question, JPMorgan et Bank of America, ont maintenu leur participation.Le gouvernement chinois a qualifié la liste du ministère américain de “persécution”, et CATL a nié être impliquée “dans des activités liées à l’armée”.Selon Bloomberg, CATL a prévu de réaliser l’opération sous la forme d’une offre “Reg S”, qui n’autorise pas les ventes à des investisseurs américains “onshore”, ce qui limite l’exposition de l’entreprise aux risques juridiques aux États-Unis.

Trump promulgue une loi contre le “revenge porn” et les faux nus créés par l’IA

Le président américain Donald Trump a promulgué lundi une loi criminalisant le partage sans consentement d’images pornographiques réelles ou créées par l’intelligence artificielle, notamment à des fins de vengeance (“revenge porn”), un phénomène en pleine croissance.Ce texte nommé “Take It Down Act”, soutenu par la Première dame Melania Trump, avait été précédemment adopté par le …

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Trump promulgue une loi contre le “revenge porn” et les faux nus créés par l’IA

Le président américain Donald Trump a promulgué lundi une loi criminalisant le partage sans consentement d’images pornographiques réelles ou créées par l’intelligence artificielle, notamment à des fins de vengeance (“revenge porn”), un phénomène en pleine croissance.Ce texte nommé “Take It Down Act”, soutenu par la Première dame Melania Trump, avait été précédemment adopté par le Sénat américain et la Chambre des représentants, où il avait recueilli un large soutien des deux partis.”Il s’agira de la toute première loi fédérale visant à lutter contre la diffusion d’images explicites et fictives sans le consentement de la personne”, s’est félicité le président républicain.”Quiconque diffusera intentionnellement des images explicites sans le consentement d’une personne encourra jusqu’à trois ans de prison”, a-t-il détaillé, évoquant également des “responsabilités civiles” pour les réseaux sociaux et sites internet qui hébergent ces images mais “refusent de retirer ces images rapidement”, c’est-à-dire dans un délai de 48 heures.La diffusion non consentie d’images à caractère sexuel, parfois créées grâce au concours de l’intelligence artificielle (IA) est un phénomène qui touche majoritairement les jeunes filles et femmes – dont certaines célébrités comme la chanteuse Taylor Swift ou l’élue démocrate Alexandria Ocasio-Cortez.Avec la popularisation des outils d’IA, la fabrication de ces montages photo ou vidéo hyperréalistes s’est simplifié et a ouvert la voie à leur utilisation massive à des fins de harcèlement ou d’humiliation, prenant de cours les législateurs du monde entier.- “Arme légale” -“Cette législation constitue une étape décisive dans nos efforts pour garantir que chaque Américain, en particulier les jeunes, puisse se sentir mieux protégé contre les atteintes à leur image ou à leur identité par le biais d’images non consenties”, s’est félicité Melania Trump aux côtés de son époux, lors d’une rare apparition publique.La Première dame, mobilisée sur ce dossier, avait pour l’occasion invité à la Maison Blanche des jeunes filles victimes de telles pratiques.Parmi elles, une adolescente texane qui avait découvert fin 2023 des montages hyperréalistes (deepfakes) à caractère sexuel d’elle et de plusieurs de ses camarades, fabriqués sans leur consentement par un élève de son collège puis partagés sur le réseau Snapchat.”Les filles ne faisaient que pleurer, et pleurer à ne plus en finir, elles avaient honte”, avait à l’époque confié à l’AFP sa mère, Anna Berry McAdams, qui s’inquiétait que ces images ne resurgissent dans le futur.”Cela pourrait les affecter toute leur vie”, alertait-elle, pointant du doigt l’impuissance des victimes à agir et faire défendre leurs droits.”J’ai désormais une arme légale à ma disposition (pour défendre ma fille)”, s’est réjoui lundi auprès de l’AFP Dorota Mani, mère d’une autre jeune victime, saluant une législation “très puissante”.- Risque de “censure” -Seuls quelques Etats américains, dont la Californie et la Floride, disposaient jusqu’à présent de lois criminalisant la fabrication et la publication de fausses images à caractère sexuel.Cette loi fédérale représente donc un “pas significatif” dans la lutte contre ce phénomène, estime auprès de l’AFP Renée Cummings, criminologue et chercheuse en intelligence artificielle à l’Université de Virginie. “Mais son efficacité dépendra de sa mise en oeuvre rapide et fiable, de sanctions sévères à l’égard des auteurs de ces actes et de son adaptabilité en temps réel face aux menaces numériques émergentes”, a-t-elle insisté.Et de prévenir: “nous devons veiller à ce que les mesures législatives protègent la société et punissent les auteurs, sans pour autant éroder par inadvertance le cryptage ou étouffer l’expression légitime” sur Internet.Un risque pointé par plusieurs associations de défense des libertés publiques, qui se sont inquiétées d’un risque de censure.”Si la protection des victimes face à ces invasions odieuses de l’intimité est un but légitime, les bonnes intentions seules ne suffisent pas à faire une bonne loi”, a ainsi estimé l’Electronic Frontier Foundation, dénonçant des “définitions vagues et le manque de garde-fous” qui pourraient mener à la censure.

Trump promulgue une loi contre le “revenge porn” et les faux nus créés par l’IA

Le président américain Donald Trump a promulgué lundi une loi criminalisant le partage sans consentement d’images pornographiques réelles ou créées par l’intelligence artificielle, notamment à des fins de vengeance (“revenge porn”), un phénomène en pleine croissance.Ce texte nommé “Take It Down Act”, soutenu par la Première dame Melania Trump, avait été précédemment adopté par le Sénat américain et la Chambre des représentants, où il avait recueilli un large soutien des deux partis.”Il s’agira de la toute première loi fédérale visant à lutter contre la diffusion d’images explicites et fictives sans le consentement de la personne”, s’est félicité le président républicain.”Quiconque diffusera intentionnellement des images explicites sans le consentement d’une personne encourra jusqu’à trois ans de prison”, a-t-il détaillé, évoquant également des “responsabilités civiles” pour les réseaux sociaux qui hébergent ces images mais “refusent de retirer ces images rapidement”.La diffusion non consentie d’images à caractère sexuel, parfois créées grâce au concours de l’intelligence artificielle (IA) est un phénomène qui touche majoritairement les jeunes filles et femmes – dont certaines célébrités comme la chanteuse Taylor Swift ou l’élue démocrate Alexandria Ocasio-Cortez.Avec la popularisation des outils d’IA, la fabrication de ces montages photo ou vidéo hyperréalistes s’est simplifié et a ouvert la voie à leur utilisation massive à des fins de harcèlement ou d’humiliation, prenant de cours les législateurs du monde entier.- “Honte” -“Cette législation constitue une étape décisive dans nos efforts pour garantir que chaque Américain, en particulier les jeunes, puisse se sentir mieux protégé contre les atteintes à leur image ou à leur identité par le biais d’images non consenties”, a salué Melania Trump aux côtés de son époux, lors d’une rare apparition publique.La Première dame, mobilisée sur ce dossier, avait pour l’occasion invité à la Maison Blanche plusieurs jeunes filles victimes de telles pratiques.Parmi elles, une adolescente texane qui avait découvert fin 2023 des montages hyperréalistes (deepfakes) à caractère sexuel d’elle et de plusieurs de ses camarades, fabriqués sans leur consentement par un élève de son collège puis partagés sur le réseau Snapchat.”Les filles ne faisaient que pleurer, et pleurer à ne plus en finir, elles avaient honte”, avait à l’époque confié à l’AFP sa mère, Anna Berry McAdams, qui s’inquiétait que ces images ne resurgissent dans le futur.”Cela pourrait les affecter toute leur vie”, alertait-elle, pointant du doigt l’impuissance des victimes à agir et faire défendre leurs droits.- Risque de “censure” -Seuls quelques Etats américains, dont la Californie et la Floride, disposaient jusqu’à présent de lois criminalisant la fabrication et la publication de fausses images à caractère sexuel.Cette loi fédérale représente donc un “pas significatif” dans la lutte contre ce phénomène, estime auprès de l’AFP Renée Cummings, criminologue et chercheuse en intelligence artificielle à l’Université de Virginie. “Mais son efficacité dépendra de sa mise en oeuvre rapide et fiable, de sanctions sévères à l’égard des auteurs de ces actes et de son adaptabilité en temps réel face aux menaces numériques émergentes”, a-t-elle insisté.Et de prévenir: “nous devons veiller à ce que les mesures législatives protègent la société et punissent les auteurs, sans pour autant éroder par inadvertance le cryptage ou étouffer l’expression légitime” sur Internet.Un risque pointé par plusieurs associations de défense des libertés publiques, qui ont se sont inquiétées d’un risque de censure.”Si la protection des victimes face à ces invasions odieuses de l’intimité est un but légitime, les bonnes intentions seules ne suffisent pas à faire une bonne loi”, a ainsi estimé l’Electronic Frontier Foundation, dénonçant des “définitions vagues et le manque de garde-fous” qui pourraient mener à la censure.

Trump promulgue une loi contre le “revenge porn” et les faux nus créés par l’IA

Le président américain Donald Trump a promulgué lundi une loi criminalisant le partage sans consentement d’images pornographiques réelles ou créées par l’intelligence artificielle, notamment à des fins de vengeance (“revenge porn”), un phénomène en pleine croissance.Ce texte nommé “Take It Down Act”, soutenu par la Première dame Melania Trump, avait été précédemment adopté par le …

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Fortnite poursuivi pour avoir créé un Dark Vador parlant grâce à l’IA

Dark Vador génère encore une résistance: le syndicat des acteurs américains, SAG-AFTRA, a annoncé lundi engager des poursuites contre les créateurs du jeu vidéo Fortnite, qui intègre depuis peu une version du seigneur Sith capable de converser grâce à l’intelligence artificielle (IA).Le méchant le plus célèbre de la galaxie reprend la voix de James Earl Jones, l’acteur qui lui prêtait déjà son timbre dans la saga Star Wars.Après son décès en septembre, un accord a été trouvé avec sa famille pour que ses enregistrements servent de base à la création d’une IA conversationnelle.Le développeur de jeux vidéos Epic Games a ainsi annoncé vendredi introduire ce “personnage emblématique de l’univers de Star Wars” dans “Fortnite Battle Royale”, volet multijoueurs de sa franchise où les participants s’affrontent pour être le dernier survivant.Le “chatbot” est rapidement passé du côté obscur de la force: certains joueurs l’ont poussé à prononcer le plus d’insultes possibles et ont publié leurs conversations sur internet.D’autres ont simplement assouvi leur curiosité, en posant des questions au seigneur noir sur sa commande McDonald’s préférée, ses tendances fétichistes ou ses conseils pour une romance entre personnages de jeux vidéos.Mais cela n’a pas fait rire le syndicat SAG-AFTRA, qui avait paralysé Hollywood en 2023 avec une grève où les craintes autour de l’utilisation de l’IA étaient au centre des revendications.L’organisation, qui représente aussi de nombreux doubleurs de jeux vidéos, reproche à la filiale d’Epic Games travaillant sur Fortnite de voler leur travail, sans avoir négocié avec elle. Elle a donc engagé une procédure devant l’inspection américaine du travail (NLRB).”Nous devons protéger notre droit de négocier les conditions d’utilisation de la voix qui remplacent le travail de nos membres, y compris ceux qui ont précédemment fait le travail d’adaptation du rythme et du ton emblématiques de Dark Vador dans les jeux vidéo”, a insisté le syndicat.Qu’ils soient acteurs, danseurs ou musiciens, les artistes s’inquiètent de plus en plus des progrès de l’intelligence artificielle, capable d’exploiter leur travail sans qu’ils soient rémunérés, ou de les remplacer à moindre coût.Aux Etats-Unis, cela fait partie des revendications de la grève qui touche plusieurs géants du jeu vidéo, dont Activision, Disney, Electronic Arts et Warner Bros. Games, depuis juillet 2024.Ce mouvement social, mené par le SAG-AFTRA, concerne environ 2.600 artistes qui assurent le doublage de jeux vidéo, ou dont les mouvements servent à animer les personnages de synthèse.Contacté par l’AFP, Epic Games n’a pas répondu dans l’immédiat.

Fortnite poursuivi pour avoir créé un Dark Vador parlant grâce à l’IA

Dark Vador génère encore une résistance: le syndicat des acteurs américains, SAG-AFTRA, a annoncé lundi engager des poursuites contre les créateurs du jeu vidéo Fortnite, qui intègre depuis peu une version du seigneur Sith capable de converser grâce à l’intelligence artificielle (IA).Le méchant le plus célèbre de la galaxie reprend la voix de James Earl …

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Vérification de l’âge des ados: Snapchat renvoie la balle aux magasins d’applications

Face aux pressions politiques pour vérifier l’âge des adolescents sur les réseaux sociaux en France, Snapchat pousse pour que cette mesure s’effectue au niveau des magasins d’application, gérés notamment par Apple et Google, a indiqué lundi à l’AFP son directeur général France.En matière de protection des mineurs, “notre défi à nous et à l’industrie en général, c’est la vérification de l’âge”, a expliqué Grégory Gazagne, en marge de l’inauguration de nouveaux locaux à Paris, à laquelle a assisté le président de la République, Emmanuel Macron. Pour ce dirigeant d’une plateforme particulièrement prisée des jeunes – 91 % des 15-24 ans utilisent Snapchat, d’après l’entreprise – , il faut “centraliser cette décision au niveau des magasins d’application, que ça soit l’Android Store ou l’App Store”. Il s’agirait d’obliger, “au moment de la configuration du téléphone, les utilisateurs à donner leur âge réel et à vérifier avec une carte d’identité”, a poursuivi M. Gazagne. “Cela permettrait d’avoir un lieu unique, où on ne le ferait qu’une fois”, et ce paramètre s’appliquerait ensuite à toutes les applications, a-t-il souligné. Par ailleurs, Apple et Google “sont des acteurs qui ont l’habitude de traiter les données personnelles” et celles-ci seraient “vraisemblablement plus en sécurité que si elles étaient éparpillées au sein de toutes les applications disponibles”, selon lui. Snapchat, qui compte 26 millions d’utilisateurs actifs mensuels en France, est lui contraint par le RGPD (règles européennes de protection des données) concernant les données personnelles qu’il peut recueillir, a rappelé Grégory Gazagne. “Il y a une discussion avec le gouvernement, les acteurs majeurs et les autres plateformes, qui ont exactement les mêmes enjeux, pour essayer de trouver au niveau de l’industrie une solution qui soit simple et pérenne”, a-t-il aussi précisé.  Emmanuel Macron a confirmé, lors de son interview sur TF1 la semaine dernière, vouloir imposer une vérification de l’âge des adolescents pour s’inscrire sur les réseaux sociaux, estimant qu’il y avait “une jeunesse qui a été percutée” par ces plateformes.La ministre déléguée chargée du Numérique, Clara Chappaz, tente ainsi de mobiliser les partenaires européens de la France pour exiger la vérification de l’âge des utilisateurs par les grandes plateformes, à l’instar de ce qui se fait déjà en France pour les contenus pornographiques. Mme Chappaz veut même aller plus loin et milite pour une interdiction des réseaux sociaux avant 15 ans en France. Comme Snapchat, le géant américain Meta (Facebook, Instagram) plaide pour que l’obligation de vérification de l’âge pèse sur l’App Store (Apple) et le Google Play Store, et non sur les réseaux sociaux. Pour prôner ce message, l’entreprise de Mark Zuckerberg a engagé une campagne de publicité avec des spots TV et des affiches.

Vérification de l’âge des ados: Snapchat renvoie la balle aux magasins d’applications

Face aux pressions politiques pour vérifier l’âge des adolescents sur les réseaux sociaux en France, Snapchat pousse pour que cette mesure s’effectue au niveau des magasins d’application, gérés notamment par Apple et Google, a indiqué lundi à l’AFP son directeur général France.En matière de protection des mineurs, “notre défi à nous et à l’industrie en …

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