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WhatsApp dit avoir bloqué un logiciel espion de Paragon Solutions

WhatsApp, une des plateformes de Meta (Facebook, Instagram), a annoncé vendredi qu’elle avait intercepté et bloqué une opération d’espionnage menée par la société Paragon Solutions, qui visait environ 90 utilisateurs, dont des journalistes et des membres d’ONG.L’opération démantelée par WhatsApp reposait sur des documents pdf piégés et envoyés dans des groupes de discussion sur la messagerie, grâce à un logiciel espion commercialisé par l’entreprise israélienne.WhatsApp a directement notifié les utilisateurs concernés et leur a fourni des conseils de sécurité, notamment des ressources provenant de Citizen Lab, un groupe de chercheurs de l’université de Toronto, spécialistes des droits numériques.La messagerie a également envoyé une lettre de mise en demeure à Paragon Solutions. “C’est le dernier exemple en date qui montre pourquoi les sociétés de logiciels espions doivent être tenues responsables de leurs actions illégales”, a déclaré un porte-parole du service. “WhatsApp continuera à protéger la capacité des gens à communiquer en privé.” WhatsApp a refusé de donner plus de détails sur l’incident, notamment sur le ou les pays visés par cette opération. Paragon Solutions fait partie des nombreuses entreprises fondées ces dernières années pour proposer des outils de surveillance sophistiqués à des clients gouvernementaux. Ces sociétés commerciales de logiciels espions suscitent de plus en plus d’inquiétudes et de colère au sein de la société civile. De nombreuses associations les accusent de faciliter des violations des droits humains sous couvert de défense de la sécurité nationale. Le groupe NSO, fondé par des Israéliens et fabricant du célèbre logiciel espion Pegasus, a fait l’objet de nombreuses poursuites judiciaires et sanctions après que son programme informatique a servi à surveiller des journalistes, des militants et des hauts-fonctionnaires dans le monde entier.En 2021, WhatsApp a gagné un procès aux États-Unis contre NSO Group pour une opération similaire. WhatsApp a déclaré vendredi qu’il va continuer de poursuivre en justice les vendeurs de logiciels espions qui ne respectent pas ses conditions de service. Paragon Solutions n’a pas répondu à une sollicitation de l’AFP.Sur son site web, la société indique qu’elle fournit “des outils, des équipes et des connaissances, de façon éthique, pour lutter contre les menaces irréductibles”.”L’histoire montre que le développement de technologies de surveillance va de pair avec la tentation irrésistible de l’utiliser contre la société civile et les journalistes”, a réagi John Scott-Railton, chercheur principal au Citizen Lab. “C’était vrai il y a 50 ans et ça l’est encore aujourd’hui “.

Un “contre-sommet de l’IA” à Paris pour témoigner des conséquences sur nos vies

“Des systèmes vont prendre en charge ce qui relève de nos facultés les plus fondamentales avec le risque d’aboutir à une humanité absente d’elle-même”: face à ce qu’il qualifie de “tournant civilisationnel”, le philosophe Eric Sadin lance un contre-sommet de l’intelligence artificielle (IA) à Paris.L’objectif: “Témoigner de l’envers du décor” du sommet mondial “pour l’action …

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Un “contre-sommet de l’IA” à Paris pour témoigner des conséquences sur nos vies

“Des systèmes vont prendre en charge ce qui relève de nos facultés les plus fondamentales avec le risque d’aboutir à une humanité absente d’elle-même”: face à ce qu’il qualifie de “tournant civilisationnel”, le philosophe Eric Sadin lance un contre-sommet de l’intelligence artificielle (IA) à Paris.L’objectif: “Témoigner de l’envers du décor” du sommet mondial “pour l’action sur l’intelligence artificielle” qui se tiendra les 10 et 11 février dans la capitale française, précise M. Sadin à l’AFP.Ce contre-sommet, co-organisé par Eric Barbier, journaliste à l’Est Républicain (groupe Ebra) et référent IA générative au sein du Syndicat national des journalistes (SNJ), doit se tenir le 10 février après-midi au Théâtre de la Concorde.Une vingtaine d’intervenants, enseignants, journalistes, traducteurs, doubleurs, comédiens, créateurs de films d’animation et syndicats de différents secteurs, “témoigneront des implications de l’IA déjà à l’oeuvre dans leur quotidien”, annonce Eric Sadin. Parmi eux, et en la présence annoncée de la maire de Paris Anne Hidalgo, le comédien Vincent Elbaz.M. Sadin a publié une dizaine d’ouvrages sur les nouvelles technologies et l’IA depuis 15 ans. Ses tribunes sont régulièrement publiées dans la presse française et internationale.Education, culture, transports… L’IA “offre une telle facilitation de l’existence que tout le monde saute à pieds joints, dans le déni total des conséquences sociales et civilisationnelles: un utilitarisme forcené qui n’est autre que le renoncement à nous-mêmes”, regrette-t-il.Selon un baromètre Ifop pour le groupe de conseil Talan, le nombre d’utilisateurs de l’IA dans la population française a grimpé de 60% en 2024. Parmi ces utilisateurs, 48% “considèrent que leur entreprise les encourage dans cet usage”. Mais, dans le même temps, les craintes s’amplifient: 79% des 18 ans et plus se déclarent “inquiets vis-à-vis de l’émergence des IA génératives” (contre 68% en mai 2023).Voulu par le président de la République Emmanuel Macron, le sommet mondial sur l’IA se tiendra au Grand palais – à quelques centaines de mètres du “contre-sommet” -, en présence d’une centaine de pays et plus d’un millier d’acteurs du secteur privé et de la société civile, dont des Prix Nobel.La France “souhaite aboutir (…) à la création d’une nouvelle plateforme mondiale qui servira d’incubateur pour une intelligence artificielle au service de l’intérêt général”, selon l’Elysée.- “Remplacer le génie humain” -“Une grand-messe propagandiste organisée avec des millions d’euros d’argent public qui va surtout accroître les capitalisations boursières des grands groupes et sociétés présentes, faisant le récit merveilleux de lendemains qui chantent. Sans tenir compte de l’essentiel: l’automatisation croissante des affaires humaines qui fait déjà des ravages au quotidien”, rétorque M. Sadin.Textes, sons, images… A l’exemple de ChatGPT, lancé en novembre 2022, l’IA générative, qui produit des contenus, n’est plus seulement un outil au service de l’humain, “elle utilise des systèmes qui pillent et ingurgitent les fonds culturels pour remplacer le génie humain”, estime-t-il, mettant en garde contre ce “cheval de Troie du renoncement à l’usage de nos facultés les plus fondamentales”.M. Sadin anticipe le “dessaisissement du langage, premier vecteur de notre liberté”, qui va devenir “standardisé et nécrosé, dans un monde où ce qui relève de l’invention va disparaître”.Pour Eric Barbier, “il est urgent de rompre avec l’enthousiasme béat autour de l’IA générative devenue un agent de remplacement des employés”, citant en exemple L’Est Républicain. Le quotidien régional, qui fait partie du groupe de presse Ebra, teste depuis plus d’un an l’utilisation de ChatGPT pour corriger et mettre en forme des textes de ses correspondants locaux de presse. Face aux inquiétudes soulevées en interne, le groupe a mis en place une charte pour encadrer le recours à l’IA.”Les patrons de presse brandissent leur charte d’éthique, assurant qu’il y a des garde-fous mais, parallèlement, ils l’utilisent comme un outil de productivité, d’automatisation des tâches pour réduire les effectifs”, dénonce M. Barbier.”Mon rôle, en tant que journaliste, n’est pas de fiabiliser les modèles d’IA générative, qui en plus commettent des erreurs, mais de livrer à nos lecteurs des contenus éditoriaux vérifiés et sourcés”, plaide M. Barbier. Cette technologie “remet en cause le pluralisme de la presse et par analogie la diversité de la pensée humaine”, conclut-il.

Info en direct et terrorisme : l’attentat des JO de Munich en mode thriller au cinéma

En salles mercredi, “5 septembre” joue la carte du thriller pour explorer la difficulté de raconter les attentats, en montrant comment des journalistes ont été parmi les premiers à couvrir en direct une attaque terroriste à la télévision, lors des JO de Munich en 1972.Cette compétition avait été marquée par une prise d’otages, menée contre …

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Info en direct et terrorisme : l’attentat des JO de Munich en mode thriller au cinéma

En salles mercredi, “5 septembre” joue la carte du thriller pour explorer la difficulté de raconter les attentats, en montrant comment des journalistes ont été parmi les premiers à couvrir en direct une attaque terroriste à la télévision, lors des JO de Munich en 1972.Cette compétition avait été marquée par une prise d’otages, menée contre la délégation israélienne par un commando palestinien, au cours de laquelle onze athlètes israéliens et un policier allemand avaient été tués.Le long-métrage, avec notamment Peter Sarsgaard en journaliste, est en lice pour le Golden Globe du meilleur film.Il retrace les dilemmes et tensions auxquels l’équipe de la télévision américaine ABC a été confrontée lorsqu’elle est passée de la couverture des épreuves d’athlétisme et de boxe à celle de l’attaque menée contre l’équipe olympique israélienne.L’un des moments les plus tragiques de l’histoire des Jeux s’est produit alors que la télévision en direct était en plein essor, bien avant l’arrivée des chaînes d’information en continu et des diffusions live sur les réseaux sociaux.”Les Jeux olympiques de Munich ont marqué un tournant dans l’histoire des médias, notamment en termes d’infrastructure de diffusion”, a expliqué le réalisateur Tim Fehlbaum à l’AFP, lors d’un entretien à Paris.”Nous voulions montrer comment la technologie influence les médias et, par extension, notre perception des événements.””5 Septembre” dépeint un paysage médiatique bien différent de celui d’aujourd’hui, marqué par la désinformation en ligne et la crise des médias traditionnels.Au début des années 1970, les caméras utilisaient encore la pellicule 16 mm, les téléphones fonctionnaient sur ligne fixe et les graphismes étaient créés manuellement – un univers que Fehlbaum, passionné de technique, a recréé avec une minutie saisissante.Malgré les erreurs commises par l’équipe d’ABC, le réalisateur suisse-allemand de 42 ans dit les comprendre et, plus largement, comprendre les journalistes contraints de prendre des décisions en une fraction de seconde lors d’événements en direct.”Mon respect pour ceux qui travaillent dans ce domaine n’a fait que grandir”, confie-t-il. “Aujourd’hui, quand je regarde les infos ou les Jeux olympiques, je comprends l’ampleur du dispositif et le nombre de décisions qui sont prises en coulisses. C’est un exercice incroyablement difficile.”La caméra de Fehlbaum reste presque toujours confinée à la régie d’ABC, où des producteurs en sueur doivent choisir ce qui est diffusé. Les acteurs interagissent souvent avec de véritables images d’archives retransmises ce jour-là.Le film, qui vient d’être nommé à l’Oscar du meilleur scénario, ne s’attarde pas sur les vies des victimes ni sur les motivations des auteurs de l’attaque, le groupe palestinien Septembre noir, dont cinq ont été tués dans l’assaut policier. “Nous avons voulu raconter une histoire sur les médias, à travers leur propre regard”, souligne Tim Fehlbaum.

Discussions “avancées” pour que Hanouna vienne sur W9 et Fun Radio, selon le patron de RTL

Les discussions entre Cyril Hanouna et le groupe M6 sont “avancées” pour son arrivée la saison prochaine sur la chaîne W9 et la station Fun Radio, a déclaré vendredi le président de RTL, qui fait aussi partie de ce groupe.”Il y a des discussions avancées avec Cyril Hanouna et effectivement, il pourrait rejoindre Fun Radio …

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Discussions “avancées” pour que Hanouna vienne sur W9 et Fun Radio, selon le patron de RTL

Les discussions entre Cyril Hanouna et le groupe M6 sont “avancées” pour son arrivée la saison prochaine sur la chaîne W9 et la station Fun Radio, a déclaré vendredi le président de RTL, qui fait aussi partie de ce groupe.”Il y a des discussions avancées avec Cyril Hanouna et effectivement, il pourrait rejoindre Fun Radio la saison prochaine si on conclut l’accord”, a indiqué Régis Ravanas sur BFM Business.Après les premières rumeurs le 24 janvier, la direction du groupe a présenté ce projet de recrutement en interne pour “que les collaborateurs sachent dans quel état d’esprit se faisait ce partenariat possible”, selon M. Ravanas. “On a rappelé que c’était un projet de divertissement, que ça n’était pas un projet sociétal ou politique, que c’était pour des antennes qui étaient W9 et Fun Radio, donc c’est quelque chose de très différent de ce que fait aujourd’hui Cyril”, a-t-il fait valoir.Ce projet suscite des résistances au sein du groupe, en raison de la personnalité polémique de l’animateur. Mardi, les Sociétés des journalistes (SDJ) de la chaîne M6 et de RTL ont indiqué qu’une “vaste majorité des journalistes (s’était) prononcée contre l’arrivée potentielle de Cyril Hanouna au sein du groupe”.Le 24 janvier, l’une des vedettes de M6, Karine Le Marchand, avait déjà protesté bruyamment contre cette hypothèse. “S’il vient, je m’en vais”, avait tonné la présentatrice de “L’amour est dans le pré” dans le quotidien Libération.Depuis plusieurs mois, l’avenir de M. Hanouna agite le PAF. La chaîne C8, dont il est la vedette, va s’arrêter le 28 février, car l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, n’a pas renouvelé son autorisation d’exploiter une fréquence de la TNT (télévision numérique terrestre).Propriété du groupe Canal+, dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré, C8 a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende en raison des dérapages de Hanouna, qui présente notamment l’émission “Touche pas à mon poste” (TPMP).Outre la télévision, M. Hanouna officie à la radio sur Europe 1, également dans le giron de M. Bolloré. En juin, son traitement de l’actualité politique avant les législatives avait été jugé “largement univoque” par l’Arcom, avec une surreprésentation de l’extrême droite.Mercredi, le président de Canal+, Maxime Saada, a déclaré que son groupe “continu(ait) à discuter” avec M. Hanouna pour qu’il reste en son sein.

Aux portes de New York, le déclin inexorable des journaux locaux

The Star Ledger, le journal de la série culte “Les Soprano”, ne paraîtra plus que sur internet; son voisin, The Jersey Journal, cesse d’exister après plus d’un siècle et demi: aux portes de New York, le déclin continu de la presse locale laisse ses derniers lecteurs orphelins.”J’ai le coeur brisé”, témoigne Margaret Doman, au pied …

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Aux portes de New York, le déclin inexorable des journaux locaux

The Star Ledger, le journal de la série culte “Les Soprano”, ne paraîtra plus que sur internet; son voisin, The Jersey Journal, cesse d’exister après plus d’un siècle et demi: aux portes de New York, le déclin continu de la presse locale laisse ses derniers lecteurs orphelins.”J’ai le coeur brisé”, témoigne Margaret Doman, au pied des immeubles qui poussent comme des champignons à Jersey City, seulement séparée de New York par l’Hudson River.”Ce journal m’est utile pour plein de choses, pas seulement pour lire les infos mais aussi pour publier des informations, et pour savoir ce qu’il se passe en ville”, se désole cette habitante de longue date, membre d’une association de quartier.”C’est comme si l’on perdait un vieil ami”, peut-on lire dans le courrier des lecteurs.Au milieu des chantiers de Journal Square, quartier qui doit son nom au quotidien fondé en 1867, les grandes lettres rouges du Jersey Journal ornent toujours l’ancien immeuble de la rédaction.Mais avec 17 employés et moins de 15.000 exemplaires vendus, le “Jersey”, ne survivra pas à la fermeture de l’imprimerie qu’il partageait avec le Star Ledger, le plus grand quotidien du New Jersey qui passe au tout numérique ce week-end.- Phénomène ancien -Contacté par l’AFP, le président du Star Ledger, Wes Turner, a seulement renvoyé à un article sur le site NJ.com, auquel est affilié le journal. La fermeture de l’imprimerie y est justifiée par “la hausse des coûts, la baisse de la diffusion et la diminution de la demande”.Le groupe NJ Advance Media, qui possède NJ.com, et dont la maison mère contrôle aussi Condé Nast (Vogue, Vanity Fair), a également décidé de cesser l’impression du Times of Trenton et du South Jersey Times.Le déclin de la presse locale est ancien aux Etats-Unis. Selon le dernier rapport de l’école Medill à l’université Northwestern, plus d’un tiers des journaux du pays, soit 3.300, ont cessé d’imprimer depuis 2005, victimes de la diminution des lecteurs et des fusions de titres aux mains de grands groupes.”Quand un journal disparaît, cela a des conséquences concrètes: la participation aux élections diminue, le vote est moins diversifié et les sortants sont plus souvent réélus. La corruption, les mauvaises conduites policières peuvent aussi augmenter”, énumère le directeur du rapport Zach Metzger.Le déclin de la presse locale, et une information de plus en plus dominée par les grands sujets nationaux, sont aussi pointés comme l’un des facteurs de la polarisation de la société américaine entre progressistes et conservateurs.- “Institution” -NJ Advance Media n’a pu être joint par l’AFP. Son président Steve Alessi a affirmé sur NJ.com qu'”un nouveau chapitre du journalisme numérique dans le New Jersey” s’ouvrait et promis de nouveaux investissements pour le site internet, qui revendique plus de 15 millions de visiteurs uniques mensuels. Il a mis en avant plusieurs projets phares d’investigation, sur l’extrémisme politique ou des scandales de gestion dans les écoles privées de la région, la production de podcasts et des newsletters pour attirer de nouveaux lecteurs. “Mais il existe toujours une fracture numérique dans le pays”, avec “des gens qui vont encore à la bibliothèque ou achètent un exemplaire imprimé de leur journal”, s’inquiète le président de l’Association professionnelle des journalistes du New Jersey, Kenneth Burns.”The Star Ledger est une institution”, ajoute-t-il. “Et il n’y a déjà plus beaucoup de journaux qui suivent les affaires locales”.Le journal que déplie Tony Soprano dans la série sur la mafia dans le New Jersey avait été récompensé en 2005 du prestigieux prix Pulitzer, pour une série d’articles sur les ennuis politiques du gouverneur de l’Etat Jim McGreevey, contraint à la démission après avoir révélé son homosexualité et une relation adultérine.Mais ses ventes ont chuté et plusieurs plans de licenciements l’ont affecté.Avec le passage au tout numérique, son comité chargé des éditoriaux va être supprimé, a annoncé l’un de ses membres, Tom Moran.Phil Murphy, l’actuel gouverneur de l’Etat, “peut dormir sur ses deux oreilles”, a-t-il ironisé dans l’une de ses dernières chroniques. 

Philippe Salle, nouveau PDG au chevet de l'”enfant malade” Atos

A peine sorti d’une période de restructuration financière, le groupe informatique Atos s’apprête à accueillir lundi son nouveau PDG Philippe Salle, qui n’a pas encore annoncé son plan stratégique pour le géant en difficulté.Nommé président du conseil d’administration en octobre, l’homme acquerra officiellement sa nouvelle double casquette samedi, avant son entrée effective en fonction lundi. “Je …

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