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Manchester City, composé essentiellement de remplaçants, n’a pas brillé pour s’imposer face au Wydad Casablanca (2-0) lors de son entrée en lice au Mondial des clubs marquée par les débuts de Rayan Cherki, qui n’a pas réussi grand chose, mercredi à Philadelphie. Pep Guardiola avait décidé de ménager ses titulaires pour affronter la formation marocaine, mais le spectacle proposé par ses joueurs n’a pas dû ravir l’exigeant technicien espagnol. Malgré l’ouverture du score rapide de Phil Foden au bout de 2 minutes, imité ensuite par l’ancien Rennais Jérémy Doku (41e), les Citizens ont livré une prestation qui ne restera pas dans les annales.Il faudra donc attendre de voir à l’œuvre les cadres de City pour savoir si les Mancuniens sont sur le chemin du redressement, après une saison nationale et européenne totalement ratée avec aucun trophée au compteur, une première depuis l’exercice 2016-2017.Guardiola avait notamment aligné d’entrée l’une de ses recrues phares, Rayan Cherki, censé relancer une animation offensive orpheline de son maître à jouer Kevin De Bruyne, parti à Naples. Mais l’attaquant français de 21 ans, acheté 42,5 millions d’euros à Lyon et positionné derrière l’avant-centre égyptien Omar Marmoush, est passé à côté de son match et ne s’est que très rarement mis en évidence.Le meilleur passeur de la saison en Ligue 1, qui s’était récemment distingué en inscrivant un but exceptionnel contre l’Espagne en Ligue des nations pour sa première sélection en équipe de France, a même failli coûter très cher à son équipe avec une passe dans l’axe hasardeuse, interceptée par Thembinkosi Lorch. Mais le lob lointain du Sud-Africain n’a pas inquiété le portier brésilien Ederson (14e). Cherki, trop emprunté, a passé 59 minutes sur le terrain avant de céder sa place et n’aura pas véritablement pesé sur le cours de la partie. Il a connu trop de déchet technique et n’a quasiment jamais servi ses coéquipiers dans de bonnes conditions, hormis une passe en retrait pour Foden, gâchée par l’Anglais, en première période.Malgré une domination sans partage et logique face à des Marocains beaucoup plus faibles, la défense de Manchester City a fait preuve de trop de fébrilité, à l’image du défenseur brésilien Vitor Reis, arrivé l’hiver dernier, qui s’est mis en danger tout seul. Mais le Wydad Casablanca et son attaquant Cassius Mailula n’ont pas su en profiter (31e). L’entrée après l’heure de jeu de plusieurs cadors à City (Erling Haaland, Rodri, Ilkay Gundogan) n’a pas modifié le visage d’une formation qui a globalement effectué une entame assez décevante dans cette Coupe du monde des clubs, terminant même la rencontre à dix après l’exclusion de Rico Lewis pour un tacle au niveau de la tête de Samuel Obeng (88e). 

Seule engagée française du jour, Fanny-Estelle Posvite a échoué en huitième de finale des -78 kg, mercredi aux Championnats du monde de judo de Budapest, où elle espérait plus après de bons résultats récents. Les Bleus achèvent donc une nouvelle journée sans médaille, la troisième de suite, dans la capitale hongroise. Posvite, médaillée de bronze fin avril …

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“C’était le moment de sortir de ma zone de confort”, a expliqué à l’AFP la défenseuse Olga Carmona, ex-capitaine du Real Madrid et championne du monde avec l’Espagne, pour expliquer son choix de rejoindre le PSG, dont elle est la recrue phare de l’été.Question: Comment se passe vos premiers pas à Paris ?Réponse: “Je viens …

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“C’était le moment de sortir de ma zone de confort”, a expliqué à l’AFP la défenseuse Olga Carmona, ex-capitaine du Real Madrid et championne du monde avec l’Espagne, pour expliquer son choix de rejoindre le PSG, dont elle est la recrue phare de l’été.Question: Comment se passe vos premiers pas à Paris ?Réponse: “Je viens tout juste d’arriver, je vais me chercher un appartement. Je suis très enthousiaste et très motivée par ce nouveau défi, à l’idée d’arriver dans ce grand club. Je suis heureuse parce que je pense que nous pouvons faire de grandes choses, je viens pour gagner.”Q: Pourquoi avez-vous signé au Paris Saint-Germain ?R: “Paris est une ville que j’ai toujours aimée. J’ai déjà joué ici et j’ai trouvé qu’il faisait très froid (rires), mais ce club m’a toujours attirée. C’était une des possibilités de transfert que j’avais, mais depuis le début, ils m’ont toujours manifesté de l’intérêt et de l’affection, je pense que c’est très important pour une footballeuse de sentir qu’ils me voulaient vraiment, dès les premiers contacts, et finalement j’ai choisi de venir ici.”Q: Pourquoi partir du Real Madrid où vous étiez la capitaine ? R: “Au final, j’ai passé cinq saisons au Real Madrid. J’ai vécu de très bons moments, tout le monde sait que je suis très reconnaissante pour tout ce que le Madrid m’a donné. Je suis arrivée petite fille et je repars en étant devenue une femme. Je suis heureuse de tout ce que j’ai vécu là-bas, mais personnellement, je pensais que c’était le moment de sortir de ma zone de confort, de continuer à évoluer en tant que joueuse et en tant que personne. J’ai osé relever ce défi et j’en suis très contente.”Q: Est-ce aussi une expérience personnelle au-delà du football ?R: “Oui, bien sûr. Du moment que j’avais décidé de quitter Madrid, je voulais partir pour connaître une autre culture, un autre pays et une autre langue. Dans le cas présent, je dois apprendre le français, mais j’ai déjà eu l’occasion de l’étudier un peu au collège. Je vais tout faire pour m’adapter le plus vite possible et pour pouvoir apporter beaucoup à l’équipe.”Q: Ne redoutez-vous pas d’arriver dans un club régulièrement devancé par Lyon comme le Real l’était par le FC Barcelone dans la Liga féminine ?R: “Bien sûr, L’OL Lyonnes est l’une des meilleures équipes d’Europe. Mais c’est justement là le défi, il y a un beau projet, une belle équipe pour pouvoir rivaliser avec Lyon et essayer de remporter tous les titres que nous pouvons gagner.”Q: Pouvez-vous nous décrire vos tatouages ?R: “J’en ai beaucoup (rires), mais celui-ci (elle montre son poignet gauche) est celui que je partage avec ma mère. Si je me souviens bien c’est le premier que j’ai fait. Il représente une femme et sa petite fille enlacées et se prolonge par le signe infini. C’est un peu le symbole de la relation que j’ai avec ma mère, elle a fait beaucoup de sacrifices pour nous tous, mes deux frères et moi. Nous lui en sommes très reconnaissants. Je n’aurais pas pu être ici sans elle. Cet autre tatouage est une phrase en anglais: +No one is you and that is your power+, personne n’est comme toi et c’est ton pouvoir. Je me considère comme une joueuse avec beaucoup de personnalité. C’est une phrase à laquelle je m’identifie beaucoup.”Q: Il vous faudrait une phrase en français…R: “Quand je gagnerai mon premier titre en France (rires)!”.Propos recueillis par Pablo MELIÁN et Emmanuel BARRANGUET

Seulement médaillée de bronze aux JO de Paris alors qu’elle ne rêvait que de l’or, la judoka Romane Dicko espère prendre sa revanche jeudi en allant chercher à Budapest un deuxième titre mondial et ouvrir une nouvelle page vers les JO-2028 à Los Angeles. Q: Que représentent ces Championnats du monde dans l’après-JO de Paris et …

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L’expérimentée Gabby Williams, nouvelle “star” WNBA, et le phénomène Dominique Malonga, en apprentissage, vivent deux trajectoires montantes en ce début de saison avec le Seattle Storm.A quelques milliers de kilomètres de la Grèce où les Bleues débutent mercredi l’EuroBasket, les deux Françaises, qui ne se sont pas rendues disponibles pour la compétition continentale, poursuivent à …

WNBA: Williams, “la star” et Malonga, “l’éponge”, deux nuances de bleu à Seattle Read More »