AFP Sports

Afrique du Sud: Selfies, joie et larmes à la Coupe du monde des “mamies foot”

Dans ce vestiaire sud-africain, Mbele Nonhlanhla n’a pas fini de lacer ses crampons argentés que son entraîneur hurle déjà des encouragements à des footballeuses aux genoux grippés, dos raides et respirations laborieuses. À 63 ans, portant le maillot numéro 10, cette grand-mère de sept petits-enfants aux cheveux teints était loin d’être une footballeuse ordinaire lorsqu’elle est …

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Ligue 1: Jean-Louis Gasset “n’est plus l’entraîneur” de Montpellier

Jean-Louis Gasset, qui était revenu au club en octobre, “n’est plus entraîneur” de Montpellier, lanterne rouge de Ligue 1 après neuf défaites d’affilée, a annoncé lundi le MHSC. “D’un commun accord, le MHSC et Jean-Louis Gasset ont décidé ce jour de mettre fin à la mission qui avait été confiée à ce dernier”, a expliqué le …

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Ligue 1: Jean-Louis Gasset “n’est plus l’entraîneur” de Montpellier

Jean-Louis Gasset, qui était revenu au club en octobre, “n’est plus entraîneur” de Montpellier, lanterne rouge de Ligue 1 après neuf défaites d’affilée, a annoncé lundi le MHSC. “D’un commun accord, le MHSC et Jean-Louis Gasset ont décidé ce jour de mettre fin à la mission qui avait été confiée à ce dernier”, a expliqué le club dans un communiqué.A six journées de la fin de la saison, le MHSC compte huit points de retard sur Saint-Etienne, l’avant-dernier, et onze sur le barragiste, Reims.La veille du nouveau revers face au Havre (2-0), Gasset avait déjà assuré qu’il n’était “pas certain de terminer” la saison qui se conclura certainement par une relégation en Ligue 2.”Il faut arrêter d’espérer”, a-t-il reconnu dimanche en conférence de presse d’après-match.”Montpellier, a-t-il détaillé, perd contre Saint-Etienne à domicile, Montpellier perd à Auxerre, Montpellier perd contre Le Havre à domicile. Rideau. On est faibles, on ne marque pas un but, on prend des buts gags au bout de deux minutes de jeu. Ce n’est pas la fatigue, le physique ou le poids, c’est autre chose. Ça veut dire qu’on est mauvais et qu’on n’a pas notre place en Ligue 1, point barre.”Le 16 mars déjà, après le match contre Saint-Etienne, interrompue à la 57e minute par l’arbitre François Letexier en raison d’incidents en tribune Etang de Thau, le technicien de 71 ans s’était déjà interrogé sur la suite de sa “mission ratée”, mais il avait été finalement conforté par le président de Montpellier Laurent Nicollin.”On est chez nous, dans notre ville, dans notre club, et c’est dur à vivre, c’est très dur à vivre. On va la digérer et après on a 15 jours pour réfléchir, pour parler, pour faire ce qui se fait le mieux”, avait alors confié celui qui avait succédé à Michel Der Zakarian le 22 octobre dernier.”Depuis que je suis là, j’ai cette sensation que dès qu’il y a quelque chose qui va mal, c’est contre nous. Depuis que je suis arrivé, il y a un désamour. On n’est plus le club atypique, familial qui essaie de lutter”, a déclaré dimanche le coach. “C’est une espèce de spirale qui est terrible à vivre”, selon lui.

Bannis du sport mondial, des Russes applaudissent le record du hockeyeur Ovechkin

En entrant ce week-end dans l’histoire du hockey sur glace, le Russe Alexander Ovechkin a suscité la joie et l’engouement dans son pays natal, tenu à l’écart du sport mondial depuis son attaque contre l’Ukraine en février 2022.Le hockeyeur a battu dimanche le record du nombre de buts inscrits par un joueur de NHL, la …

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C1: Luis Enrique, la 100e rugissante sur le banc du PSG

L’entraîneur Luis Enrique traverse une période radieuse au moment de s’asseoir sur le banc du Paris SG pour la 100e fois, mercredi (21H00) au Parc des Princes pour le quart de finale aller de Ligue des champions contre Aston Villa.D’abord le staff, puis les joueurs, se sont employés à porter en triomphe un Luis Enrique hilare, samedi au coup de sifflet final de la victoire du titre en Ligue 1 contre Angers (1-0)… Ils ne s’y trompaient pas: le coach est le grand artisan des résultats du club cette saison.Kylian Mbappé parti au Real Madrid, les observateurs s’interrogeaient sur la capacité du PSG à combler un vide de quarante buts par saison… L’inefficacité face au but de la première partie de saison en Ligue des champions a semblé donner corps à ces doutes. Luis Enrique apparaissait alors frustré et grinçant en conférence de presse, réduisant ce manque de réalisme à de la malchance.Mais c’était avant la période de rêve vécue par le club depuis décembre: une pluie de victoires et de buts marqués par une large panoplie de joueurs, une domination dans le jeu, deux grandes confrontations contre Manchester City (4-2) et Liverpool (0-1, 1-0 qualification aux tirs aux buts à Anfield), l’invincibilité en championnat…Des résultats qui ont détendu l’entraîneur, devenu souriant et taquin. Comparée à l’an dernier, “cette saison est clairement meilleure, pas seulement statistiquement, mais aussi grâce à la capacité que l’équipe a de renverser les situations”, “quand elle a été dos au mur” en première phase de Ligue des champions, souligne Luis Enrique.- “Grand moment” -On sent aussi le coach enivré par la profondeur avec laquelle ses idées de jeu si particulières ont pénétré ses joueurs. Possession à tout prix, pressing frénétique, étirement de la défense adverse… Ce PSG n’a plus rien à voir avec celui de Christophe Galtier, articulé autour des stars Messi-Neymar-Mbappé. “Voir l’équipe jouer collectivement et savoir attaquer et défendre tous ensemble, ce n’était pas une utopie”, se réjouit Luis Enrique. “C’est un grand moment pour moi mais il reste les deux derniers mois de compétition et ils sont cruciaux”.Car se relâcher n’est pas le genre de l’intransigeant Espagnol. Lorsqu’un joueur enchaîne les belles performances, il se charge de le ramener sur terre, à l’entraînement ou indirectement en conférence de presse. A l’inverse, il ne trahira jamais devant les médias sa déception sur un joueur défaillant, comme lorsqu’il a dit avoir “toute sa confiance” en Lucas Beraldo, pas toujours très fiable en défense.”Le coach est toujours derrière nous, qu’on gagne ou que l’on perde, pour chercher des choses à améliorer”, explique le capitaine Marquinhos, qui a pu comparer les nombreux coaches qui se sont succédé depuis son arrivée au club en 2013.- “Le boss” -“Il n’est pas usant, il est derrière nous, on a confiance en lui”, témoigne le jeune ailier Bradley Barcola, devenu co-meilleur passeur de France sous les ordres de Luis Enrique (9). “On a énormément de liberté, on a des consignes mais ce qu’il nous dit le plus c’est d’avoir la liberté de bouger partout, de prendre l’espace”.”Il essaie toujours de dire les choses de manière positive. Il nous parle en permanence, surtout des détails qui sont importants”, rapporte aussi Willian Pacho, arrivé l’été dernier.”C’est lui le boss, on suit ses idées”, résume le défenseur international français Lucas Hernandez.Adulé par les supporters, prolongé jusqu’en 2027, “Lucho”, qui a longtemps logé au Campus PSG avant de trouver un appartement, fait désormais partie des murs. Au point que, revenant d’Espagne lors de la dernière trêve internationale à la mi-mars, il a regretté avec humour ne pas être resté à Paris “où il a fait bien plus beau”.D’ailleurs, “il s’exprime de plus en plus en français”, note une source au sein du club, qui, loin de l’image rugueuse renvoyée à l’extérieur, loue “quelqu’un de chaleureux qui fédère autour de lui”.Mercredi, Luis Enrique retrouvera sur le banc d’Aston Villa un autre entraîneur aux idées bien précises, l’ancien coach parisien Unai Emery. Il l’avait croisé pour deux soirées légendaires: au cinglant 4-0 infligé par le PSG à l’aller, le Barça de Luis Enrique avait répondu par la fameuse “remontada” (6-1), le 8 mars 2017.