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Ligue des champions: rêve brisé pour Lille, le Real se fait très peur

L’aventure de Lille en Ligue des champions a pris fin douloureusement au stade des 8e de finale avec une défaite 2-1 à domicile mercredi face au Borussia Dortmund, alors que le Real Madrid, tenant du titre, a dû en passer par la séance des tirs au but pour écarter son vieux rival, l’Atletico (0-1, 4  t.a.b à 2). Le Losc, qui avait réussi à ramener un nul (1-1) d’Allemagne il y a une semaine, a manqué le match retour devant son public, incapable de se hisser à la hauteur de l’évènement et laissant échapper une occasion unique d’accéder pour la première fois de son histoire aux quarts de finale de la plus prestigieuse des compétitions européennes. Malgré l’ouverture du score rapide de Jonathan David (5e) après une énorme bourde du gardien du Borussia Gregor Kobel, les Lillois ont très vite été malmenés, ne résistant que grâce aux multiples arrêts de Lucas Chevalier. Mais le jeune gardien international français (23 ans) a tout de même fini par céder à deux reprises, sur un penalty transformé par Emre Can (54e) puis sur une frappe puissante de Maximilian Beler (66e). Le Borussia, finaliste de la dernière édition, a été supérieur mais le dénouement est tout de même très frustrant après le très beau parcours de l’équipe de Bruno Genesio, victorieuse du Real Madrid et de l’Atletico de Madrid en phase de ligue et qualifiée directement pour les 8e de finale sans passer par les barrages. Le Real Madrid a lui connu toutes les peines du monde à venir à bout de l’Atlético. Le champion d’Europe, qui avait une petite longueur d’avance après l’aller à Santiago-Bernabeu (2-1), a rendu une copie très terne, encaissant un but au bout de seulement 27 secondes, et ses stars offensives ont été impuissantes face à la défense de fer bâtie par Diego Simeone, à l’image de Kylian Mbappé, parfaitement muselé.Vinicius a lui totalement raté un penalty en forme de balle de match en seconde période (69e), sifflé pour une faute de Clément Lenglet sur Kylian Mbappé, fauché dans la surface de réparation après un raid fantastique. La décision s’est faite aux tirs au but, l’Atlético échouant deux fois (Julian Alvarez, Marcos Lllorente) et permettant au Real de s’éviter une sortie de route précoce qui n’aurait pas manqué de produire des secousses au sein du club aux 15 C1. Les deux clubs anglais en lice mercredi ont eux logiquement passé le cap des 8e de finale après avoir fait l’essentiel à l’aller. Le PSG connait ainsi son adversaire au prochain tour puisqu’Aston Villa, fort de son succès 3-1 en Belgique, a pu dérouler à Birmingham (3-0) contre Bruges, réduit à dix dès la 16e minute après l’exclusion de Kyriani Sabbe.Arsenal, qui avait étrillé le PSV à Eindhoven (7-1), s’est contenté d’un nul contre les Bataves à l’Emirates Stadium (2-2) et s’est offert le droit de défier le Real Madrid.       

C1: Arsenal fait tourner contre le PSV (2-2), la tête en quarts

Surpuissant à l’aller (7-1), Arsenal a fini le travail sans pression ni beaucoup de titulaires contre le PSV Eindhoven (2-2), mercredi à Londres, la tête déjà tournée vers les quarts de finale de la Ligue des champions contre le Real Madrid.La démonstration offensive de la semaine passée aux Pays-Bas a permis à Mikel Arteta de reposer les cadres sur-utilisés et d’offrir un temps de jeu bienvenu aux habitués du banc, à commencer par Raheem Sterling.”Je suis très heureux pour lui et pour beaucoup d’autres qui n’ont pas eu beaucoup de minutes ces derniers temps”, a commenté l’Espagnol. “La façon dont il a essayé de revenir après le corner sur la dernière action où il a reçu un carton jaune, c’est le genre de joueur que nous voulons voir”, a-t-il applaudi.Procéder à une large rotation est un luxe qu’aucun autre entraîneur ne pouvait se permettre à ce stade de la compétition et il n’a fait que des gagnants: les adversaires, d’abord, et les remplaçants habituels d’Arsenal, aussi.Certains d’entre eux ont peut-être gagné une place pour débuter le derby contre Chelsea dimanche en Premier League, à coup sûr le rendez-vous de la semaine le plus attendu à l’Emirates.Ce n’était pas l’ambiance des grands soirs dans l’enceinte d’Arsenal, mercredi, si ce n’est dans le parcage des supporters visiteurs, plein à craquer et qui a chanté à gorges déployées du début à la fin.Sur le terrain, en revanche, ce sont les locaux qui ont contrôlé le tempo de la rencontre, malgré l’équipe très remaniée.- Real Madrid en quarts -Seuls quatre titulaires du match précédent ont survécu à la rotation, un par ligne: le gardien David Raya, le défenseur Gabriel, le milieu Declan Rice et Mikel Merino en attaque.Les places libérées ailleurs ont été occupées sans grosse fausse note par l’ancien blessé Ben White, aligné au coup d’envoi pour la première fois depuis le 10 novembre, ou encore par une victime régulière de la concurrence en la personne de Kieran Tierney.Le premier buteur du soir a incarné ce tableau à la perfection: Oleksandr Zinchenko, défenseur utilisé comme milieu offensif, titulaire pour la première fois en dix matches avec les “Gunners”.L’Ukrainien a placé une frappe plein axe depuis l’extérieur de la surface (6e, 1-0) et n’a pas fêté son premier but en Ligue des champions, par respect par le PSV dont il a porté le maillot le temps d’une saison.Ivan Perisic, ancien du club rival Tottenham, a eu moins de scrupule après avoir profité des largesses défensives d’Arsenal (18e, 1-1).Les “Gunners” ont repris l’avantage vingt minutes plus tard sur une tête de Declan Rice (37e, 2-1), auteur de son deuxième but en deux matches.L’international anglais a profité d’un excellent travail de Sterling sur le côté droit: contrôle poitrine le long de la touche, accélération pour effacer deux adversaires et centre parfait.L’ailier prêté par Chelsea, déjà passeur sur le premier but, s’est mis en évidence avec des coups de rein et des inspirations que les supporters d’Arsenal n’avaient pas vraiment eu l’occasion d’apprécier jusqu’ici.Le public de l’Emirates n’avait pas non plus vu d’équipe visiteuse marquer à Londres cette saison en Ligue des champions, et Eindhoven y est parvenu deux fois.Mis sous pression, Jorginho a perdu dans le rond central et Couhaib Driouech a conclu d’un subtile piqué au-dessus de Raya (70e, 2-2). La rencontre s’est terminée sans enjeu et avec des tribunes dégarnies. Vivement les quarts de finale, où l’adversité sera d’un tout autre niveau: il faudra affronter le Real Madrid, champion d’Europe en titre emmené par Vinicius, Jude Bellingham et Kylian Mbappé, qui a éliminé son rival madrilène de l’Atlético aux tirs au but.

C1: Aston Villa gifle Bruges et rejoint le PSG en quarts

Aston Villa, en roue libre mercredi en Angleterre face au Club Bruges (3-0), sera l’adversaire du PSG en quarts de finale de la Ligue des champions.Le club de Birmingham, vainqueur 3-1 à l’aller en Venise du Nord, n’a jamais été inquiété par les champions de Belgique rapidement réduits à dix après l’exclusion au quart d’heure de Kyriani Sabbe suite à une faute sur Marcus Rashford qui filait droit vers le but de Simon Mignolet.Après Liverpool en 8es, les Parisiens de Luis Enrique devront donc affronter une deuxième équipe anglaise dans leur quête d’une première Coupe aux grandes oreilles. Match aller le 8 avril au Parc des Princes, retour le 15.Une rencontre que Dembelé et Cie aborderont avec le statut de favoris, Villa pointant actuellement à la huitième place de la Premier League à 25 points du leader… Liverpool.Sur le papier, il ne s’agira donc pas de l’adversaire le plus prestigieux du continent tandis que, par exemple, le Bayern devra se défaire de l’Inter Milan et le Barça du Borussia Dortmund.Si Villa et le PSG ne se sont jamais rencontrés sur la scène européenne, les Parisiens feront bien de se méfier d’une formation qui n’a connu qu’une seule défaite cette saison en C1, à Monaco fin janvier (1-0).Les protégés d’Unai Emery, ex-coach du PSG, ont ainsi dominé le Bayern (1-0) à l’automne avant d’accrocher la Juventus (0-0). Tout sauf un oiseau pour le chat, donc. Même si la forme des deux équipes a épousé des courbes opposées ces dernières semaines, le PSG formant un bloc compact de plus en plus impressionnant.- Retrouvailles pour Asensio, Enrique et Emery -Face aux Blauw en Zwart, Villa a donc eu très tôt (17e) la tâche facilitée par l’exclusion de Sabbe.Du pain béni pour les équipiers du capitaine John McGinn qui se sont fait plaisir via un doublé de l’Espagnol Marco Asensio (50e et 61e) et un but du défenseur néerlandais Ian Maatsen (57e).Villa s’offre une rencontre de prestige face au Paris SG. Un match qui sera l’occasion de retrouvailles pour Asensio, prêté cet hiver par le club français à Aston Villa où il a d’emblée conquis les exigeants fans du Midlands (sept buts: deux en Premier League, deux en FA Cup et donc désormais trois en Ligue des champions).Aucune clause du contrat de prêt de l’international espagnol ne l’empêche en effet d’affronter l’équipe à laquelle il appartient selon un contrat valable jusqu’en 2026.Et pour les entraîneurs Luis Enrique et Unai Emery, ce sera aussi l’occasion d’un nouveau duel. Au printemps 2017, le PSG entraîné par Emery avait battu le Barça d’Enrique (4-0) au Parc des Princes avant une remontada catalane au match retour (6-1).

Ligue des champions: Lille plie face à Dortmund et passe à côté de son histoire

En quête du premier quart de finale de son histoire, Lille a plié face à Dortmund (2-1) et au poids de l’événement mercredi au Stade Pierre-Mauroy en huitième retour de la Ligue des champions.Après un avantage d’un but acquis dès la cinquième minute grâce à Jonathan David, le Losc a été dominé par le finaliste …

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Ligue des champions: Lille plie face à Dortmund et passe à côté de son histoire

En quête du premier quart de finale de son histoire, Lille a plié face à Dortmund (2-1) et au poids de l’événement mercredi au Stade Pierre-Mauroy en huitième retour de la Ligue des champions.Après un avantage d’un but acquis dès la cinquième minute grâce à Jonathan David, le Losc a été dominé par le finaliste de la dernière édition jusqu’à craquer par deux fois, puni par un pénalty d’Emre Can (54e) et une frappe de Maximilian Beier (65e).En position favorable une semaine après son match nul au Westfalenstadion (1-1), le club nordiste quitte finalement la plus prestigieuse compétition européenne entre clubs au stade des huitièmes, son plafond de verre.Les Dogues n’avaient jamais été aussi proches de le briser, après quatre défaites en autant de huitièmes de finale disputés contre Manchester United (1-0 deux fois) en 2007 et face à Chelsea (2-0, 2-1) en 2022.Mais dans l’enceinte de Villeneuve-d’Ascq et ses 48.000 supporters, en majorité parés de rouge pour former un mur comparable à celui, tout jaune, du club de la Ruhr, cette perspective vertigineuse était un trop lourd tribut pour les Nordistes.- Lille a “passé un cap” -C’est donc ainsi que se finit un parcours magnifique, ponctué de prouesses face aux grands de Madrid, le Real (1-0), puis l’Atlético (3-1), de performances solides contre la Juventus Turin (1-1), Bologne (2-1), Sturm Graz (3-2) et d’un festival offensif contre Feyenoord (6-1).”Il y a une vraie fierté par rapport à ça”, a souligné le président du Losc Olivier Létang.”Un club ne se construit pas non plus en attaquement de doigt, a-t-il souligné. Il faut une expérience au niveau européen. Ces deux dernières années, on a encore avancé. On a passé un cap.”Sur la pelouse, les joueurs de Bruno Genesio ont subi la majeure partie du match, loin du jeu de possession qui fait d’ordinaire leur force, offrant bien trop d’occasions au club allemand.C’est pourtant Dortmund qui a été très généreux en premier, quand son gardien Gregor Kobel a laissé passer entre ses jambes une reprise molle de Jonathan David (5e), après une montée pleine d’abnégation d’Ismaily.- Les choix perdants de Genesio -Le latéral gauche a fait partie des deux choix forts de Bruno Genesio au coup d’envoi, avec Rémy Cabella, positionné sur l’aile droite. Mais le Lyonnais de 58 ans, magicien depuis le début de la compétition, s’est trompé, cette fois, tant le milieu offensif de 35 ans a eu du mal à défendre dans ce côté droit qui a pris l’eau, avec Ngal’ayel Mukau, au profil plus défensif, en premier rideau plutôt qu’en deuxième.Après le but lillois, les joueurs de Niko Kovac ont eu nombre d’occasions en première période, et il a fallu des petits miracles, comme ce sauvetage sur sa ligne d’Alexsandro (17e), et cet autre de Thomas Meunier (20e), pour empêcher l’égalisation.Le gardien international Lucas Chevalier a dû s’employer à de multiples reprises (19e), effectuant notamment un triple arrêt (20e) de toute beauté.Mais il a dû s’incliner quand le capitaine des Jaune et Noir Emre Can s’est présenté au point de pénalty après une faute de Thomas Meunier sur Serhou Guirassy (54e).Cette égalisation, inévitable au vu du match, n’a fait que donner de la confiance aux Allemands, qui ont insisté (62e, 63e), jusqu’à prendre l’avantage d’une frappe en pleine lucarne de Maximilian Beier (65e).Ce n’est qu’après ce tournant que Bruno Genesio a fait entrer plusieurs joueurs (Chuba Akpom, Matias Fernandez-Pardo, Gabriel Gudmundsson, Osame Sahraoui, André Gomes). Mais c’était bien trop tard.Le Losc pourra regretter l’occasion nette de Benjamin André (34e), qui aurait pu être celle du K.-O., ainsi que la frappe à bout portant de David sur Kobel (79e) et la reprise de la tête trop tendre d’Akpom (84e).Bien plus fort athlétiquement, Dortmund a fait le match qu’il fallait, sans crainte ni retenue, et avec l’expérience de sa grande histoire dans cette compétition, ponctuée d’une victoire (1997) et de deux finales (2013, 2024). Il défiera le FC Barcelone en quart de finale.À l’inverse, Lille devra encore attendre pour écrire la sienne au-delà des huitièmes.

Ligue des champions: le pari manqué de Bruno Genesio

L’entraineur de Lille, Bruno Genesio, fin stratège, qui a épinglé tous les plus grands clubs d’Europe à son tableau de chasse, a perdu son pari mercredi en huitième de finale retour de Ligue des champions face à Dortmund (2-1).C’est un plafond de verre qu’ils ne sont pas parvenus à briser ensemble. Dans son histoire, le Losc n’est jamais parvenu en quart de finale de la plus prestigieuse des coupes d’Europe. Dans sa carrière d’entraîneur, Bruno Genesio non plus, n’a jamais atteint ce stade de la compétition.Mercredi, le Losc et son entraîneur, n’ont jamais été aussi proches d’écrire la plus belle page de leur histoire en coupe d’Europe, mais se sont finalement inclinés face à l’expérience d’un Borussia Dortmund, à la saison chaotique, mais toujours vivant.Cette saison en Ligue des champions, Genesio a tenté beaucoup de paris et les a tous remportés. Face au Real Madrid en phase de Ligue, il a titularisé, le jour de ses 17 ans, Ayyoub Bouaddi contre les Galactiques et le Losc s’est imposé 1-0. A Bologne, au même stade de la compétition, il a placé Ngal’ayel Mukau en numéro 10 et l’international congolais a inscrit les deux buts de la victoire lilloise (2-1).Le catalogue n’est pas exhaustif, mais mercredi en titularisant Rémy Cabella à la place de Matias Fernandez-Pardo, véritable surprise de la composition des Dogues au coup d’envoi, le Lyonnais de Lille a échoué.Cabella, mis sur le terrain pour conserver le ballon et du même coup le score, si d’aventure Lille venait à marquer rapidement, ce qui a été le cas grâce à Jonathan David et une énorme bourde de Gregor Kobel, le portier suisse du club allemand, n’a pas eu l’influence escomptée.”On connait l’importance de l’expérience dans ces matches-là Rémy (Cabella), sous pression, est capable de réaliser de grandes choses” a expliqué Bruno Genesio en conférence de presse. “Il a fait une très bonne première période, mais c’est un secteur de jeu où on est un peu démunis ces temps-ci” a-t-il aussi concédé. Parce qu’une fois leur but inscrit, les Lillois n’ont pas eu le ballon, ont subi les rafales de Dortmund, ne menant à la pause 1-0 que grâce à un Lucas Chevalier en feu. Et dans cette configuration de match, le côté droit de Lille a particulièrement souffert des assauts souvent initiés par Julian Ryerson. Quand Genesio a changé son fusil d’épaule, remplacé Cabella par Gabriel Gudmundsson, rééquilibrant ainsi son équipe, le Borussia venait d’inscrire deux buts. Trop tard. “Le remplacement était prévu depuis longtemps, mais il y a eu un long laps de temps de préparation pour que le joueur soit apte à rentrer : c’est ça aussi le haut niveau, c’est gérer ça, on doit encore apprendre”, s’est justifié Genesio. Ironie de l’histoire, Genesio si brillant cette saison en Ligue des champions, s’est cassé les dents au pire des moments, tandis que son homologue allemand, Niko Kovac a probablement sauvé sa tête sur le banc de Dortmund grâce à cette qualification.Le technicien allemand, arrivé au chevet du BVB pour sauver ce qui pouvait encore l’être d’une saison franchement ratée, avait pourtant exprimé son impuissance après une énième défaite, à domicile, contre Augsbourg ce week-end (1-0). “On a obtenu ce que l’on a montré, à savoir: rien”, avait pesté le Croate de 53 ans après la rencontre. “On ne s’est pas créé d’occasion, pas de situation de but. Il n’y avait pas d’agressivité, pas d’intensité, pas de circulation de la balle”, avait-il tonné en forme de réquisitoire après ce match loupé.En titularisant Maximilian Beier, buteur et excellent mercredi, en lieu et place de Jamie Gittens que tout le monde attendait, Kovac a lui réussi son pari.

Athlétisme: Renaud Lavillenie, absent amer des Mondiaux en salle

Engagé aux Championnats d’Europe, Renaud Lavillenie ne sera pas du voyage en Chine pour les Mondiaux en salle la semaine prochaine en raison de son âge: un critère de la Fédération française d’athlétisme que l’ancien recordman du monde regrette avoir découvert au dernier moment.En amont du All Star Perche fin février, Lavillenie s’était dit “très …

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