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Ligue des nations: les Bleues lancent leur année par une courte victoire contre la Norvège

Avec une équipe remaniée et des joueuses cadres comme Wendie Renard et Marie-Antoinette Katoto sur le banc au coup d’envoi, les Bleues ont débuté l’année sans faire rêver et par une courte victoire (1-0) contre la Norvège pour leur premier match de la phase de groupe de Ligue des nations.L’Euro de l’été prochain est encore loin et tant mieux pour Laurent Bonadei, qui semble ne pas avoir encore trouvé son équipe type et son système, lui qui a fait des tests pendant ses quatre premiers matches. Vendredi soir, pour le cinquième, il s’est privé au coup d’envoi de la capitaine Wendie Renard (gênée musculairement), de Marie-Antoinette Katoto et d’Eugénie Le Sommer, qui a égalé le record de sélections de Sandrine Soubeyrand (198) en rentrant en toute fin de match.Deux autres piliers de l’équipe, Delphine Cascarino et Kenza Dali, n’étaient pas dans le groupe. Le championnat aux États-Unis, où elles évoluent, n’a pas encore commencé. C’est Katoto, l’avant-centre du PSG, rentrée au bout d’une heure, qui a trouvé la faille juste avant le dernier quart d’heure (73e), sur un corner de Selma Bacha. Le sélectionneur aura cette phase de groupe de la Ligue des nations et le printemps pour que son effectif (11e Fifa) – marqué par deux éliminations successives en quart de finale aux JO – retrouve des repères et de la fluidité dans le jeu.Au coup d’envoi, seule l’attaquante Kadidiatou Diani dépassait les 100 sélections et la gardienne Pauline Peyraud-Magnin était la seule à avoir plus de 30 ans. Le premier match de l’histoire des Bleues au Stadium à Toulouse (15.000 personnes) a donc été plutôt compliqué, sans vraiment de rythme ni de beaux mouvements. Elles ont été souvent malmenées par les coéquipières de la Ballon d’or 2018 Ada Hegerberg, nouvelle capitaine de la Norvège.Les Scandinaves (16e Fifa), portées par la milieu du Barça Caroline Graham Hansen qui a touché la barre transversale (40e), ont empêché les tricolores de ressortir le ballon proprement une grande partie du match, les Bleues s’obstinant à relancer court et de ce fait, ne réussissant à se trouver.- Premier tir cadré à l’heure de jeu -Pour dire, les Bleues ont cadré pour la première fois à l’heure de jeu sur une frappe de Selma Bacha (60e), avant que Sandy Baltimore n’alerte la gardienne norvégienne (68e). Les attaquantes Kadidiatou Diani et surtout Melvine Malard ont été trop peu influentes et trop peu trouvées. En première période, Griedge Mbock a sauvé plusieurs fois ses coéquipières grâce à deux retours salvateurs (13e, 24e). Longtemps blessée (cause non communiquée) après l’élimination en quart de finale des JO au cours duquel elle est fautive sur le but brésilien (1-0), la défenseuse a retrouvé la sélection et pleinement ses moyens, aux côtés de Maëlle Lakrar.Alors que Laurent Bonadei avait innové à son arrivée avec un système en 3-4-3 et en mettant Constance Picaud dans les buts, le sélectionneur a choisi de faire évoluer les Tricolores en 4-3-3 et avec le retour Pauline Peyraud-Magnin, qui a réalisé des arrêts (9e) et des bonnes sorties (34e, 57e).Mardi contre l’Islande, qui a fait match nul 0-0 face à la Suisse dans l’autre match du groupe, les Bleues auront l’occasion de mieux jouer ensemble. 

Ligue des nations: les Bleues lancent leur année par une courte victoire contre la Norvège

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L1: Très laborieux, Rennes engrange contre Reims

Rapidement en supériorité numérique et menant au score, Rennes a remporté une précieuse mais pénible victoire à domicile contre Reims (1-0) qui n’en finit pas de sombrer, vendredi, en ouverture de la 23e journée de Ligue 1.Avec 26 points, Rennes se hisse provisoirement à la 11e place du classement et prend surtout huit longueurs d’avance sur la zone rouge, où Reims, 14e avec 22 unités, est assuré de ne pas tomber, cette semaine en tout cas.Car avec un 12e match sans victoire pour les Champenois, la série noire se poursuit sans que l’on ne puisse entrevoir d’éclaircie à l’horizon.La “prestation” de Hafiz Ibrahim, entré en jeu à la 73e et qui a pris un jaune à la 79e puis un deuxième à la 89e, laissant Reims à neuf, n’a fait qu’empirer le bilan de la soirée qui avait fort mal débuté.Si un carton rouge à la 5e minute de jeu est toujours une décision très lourde à prendre, le geste de Cédric Kipré — un pied en avant sur le haut de la cuisse de Jordan James –, surtout sur un ballon totalement anodin près de la ligne médiane, n’a guère laissé d’autre choix à Marc Bollengier que de sévir.Trois minutes plus tard, le coude d’Amadou Koné, décollé du corps, même s’il avait les mains derrière le dos, a dévié une frappe de Lorenz Assignon et provoqué un penalty.Arnaud Kalimuendo ne s’est pas fait prier pour le transformer très joliment et marquer son 10e but de la saison en L1 (1-0, 10e).Paradoxalement, cette entame tonitruante n’a pas semblé aider les Rennais qui voulaient pourtant effacer la défaite contre Lille (2-0) où ils avaient peiné à exister vraiment.Peut-être un peu parce que Reims a transformé, surtout en première période, sa surface de réparation en forêt de jambes venant se mettre dans le chemin des passes, des dribbles ou des tirs rouge et noir, comme ceux de Mousa Al-Tamari (20e) et Jordan James (39e).Mais aussi beaucoup parce que Rennes a un gros déchet dans les derniers et avant-derniers gestes ou dans la prise de décision, parfois à contre-temps.Rennes a bien tenté aussi à mi-distance par James (26e), Hateboer (35e) et Carlos Andres Gomez (78e), sans succès.Il ne faut tout de même pas enlever à Yehvann Diouf quelques très jolies parades, sur une déviation subtile de l’extérieur du droit (44e) puis une tête de Jérémy Jacquet (52e), ou une tête plongeante de Seko Fofana (55e).Mais Rennes a tout de même réussi à se faire siffler par son public à la fin des deux périodes pour la lenteur de sa circulation de balle et ses fréquents retours vers l’arrière parce que ses joueurs ne trouvaient pas la faille.Avant d’aller défier la lanterne rouge Montpellier chez elle le week-end prochain, les trois points suffiront pourtant amplement au bonheur du club.

Foot: Oliver Kahn en opération séduction à Bordeaux, Gerard Lopez “pas vendeur”

Oliver Kahn pousse ses pions pour les Girondins: l’ex-gardien international allemand a séduit vendredi à Bordeaux les collectivités locales qui ont jugé “sérieux” son projet de reprise du club actuellement en N2, la 4e division du foot français, mais le propriétaire Gerard Lopez n’est “pas vendeur”, selon son entourage.Accompagné de l’ex-président marseillais Jacques-Henri Eyraud, l’ancienne …

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Foot: Oliver Kahn en opération séduction à Bordeaux, Gerard Lopez “pas vendeur”

Oliver Kahn pousse ses pions pour les Girondins: l’ex-gardien international allemand a séduit vendredi à Bordeaux les collectivités locales qui ont jugé “sérieux” son projet de reprise du club actuellement en N2, la 4e division du foot français, mais le propriétaire Gerard Lopez n’est “pas vendeur”, selon son entourage.Accompagné de l’ex-président marseillais Jacques-Henri Eyraud, l’ancienne gloire du Bayern Munich (55 ans) a pu exposer ses plans pour ce monument du football français, victime de ses déboires financiers et rétrogradé l’été dernier au niveau amateur.Pour le maire de Bordeaux, Pierre Hurmic, qui a reçu vendredi après-midi l’ex-gardien de but aux 86 sélections en équipe d’Allemagne, le projet présenté “a l’air sérieux”. “Ce qui m’a le plus intéressé, a poursuivi l’élu écologiste, c’est qu’ils confirment leur volonté d’acquérir en même temps le stade.”Le grand stade de Bordeaux (42.000 places), construit pour l’Euro-2016, appartient à la Métropole, mais est exploité par la société SBA, filiale des groupes de BTP Vinci et Fayat qui a du mal à le remplir en l’absence d’un club de foot résident évoluant dans l’élite. – “Assez déterminés” -La présidente de la Métropole, Christine Bost, qui a reçu vendredi matin Kahn et son partenaire d’affaires Eyraud, ancien président de l’Olympique de Marseille (2016-2021), a elle aussi évoqué “une rencontre sérieuse avec des gens sérieux”, “assez déterminés”. Sur la question du stade, a-t-elle souligné, “les portes sont ouvertes et ça peut potentiellement faire partie de leur projet global”. L’enceinte et son coût font l’objet depuis des mois de dissensions avec l’opérateur SBA, qui est en conciliation avec la Métropole pour tenter d’obtenir une révision du contrat d’exploitation et a plusieurs fois laissé planer le spectre d’un dépôt de bilan.Pierre Hurmic n’a pas donné de détails sur l’identité des partenaires financiers susceptibles d’accompagner Kahn dans son projet de reprise, laissant ce dernier communiquer sur ce point “le moment venu”. Mais il a précisé que la piste saoudienne évoquée dernièrement dans différents médias n’était “pas du tout ce vers quoi on s’est orienté”.  “Ce qui semble prévaloir dans leur philosophie, c’est d’abord le projet sportif”, a pour sa part déclaré Christine Bost. “C’est ce qui nous anime aussi.”- “Lopez souhaite garder la main” -L’hypothèse d’une vente du club a néanmoins été douchée vendredi soir par l’entourage de Gerard Lopez, propriétaire du club relégué administrativement cet été de Ligue 2 en N2 avec un passif estimé à 118 millions d’euros.”Pour qu’il y ait une vente, il faut un vendeur et Gerard Lopez n’a pas l’intention de vendre aujourd’hui. Ce n’est pas aux élus locaux de prendre cette décision”, a déclaré à l’AFP une source proche du club sextuple champion de France, ajoutant: “Gerard Lopez souhaite garder la main.”Sous la direction de l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois, arrivé aux commandes en 2021 en succédant à plusieurs fonds (GACP, King Street, Fortress), les Girondins ont été relégués en Ligue 2, puis se sont placés l’été dernier sous la protection du tribunal de commerce, abandonnant statut professionnel et centre de formation.L’actuel propriétaire des Girondins, engagé dans un plan de redressement du club, a laissé la porte ouverte à l’entrée au capital de partenaires “minoritaires”.Son entourage met néanmoins en garde sur la solidité financière exigée de tout investisseur potentiel. “De ce que l’on comprend de ce plan-là (Kahn et Eyraud, NDLR), on a deux personnes qui représentent des investisseurs et qui n’investissent pas leur propre argent, comme GACP. Et à Bordeaux, on connaît le risque”, prévient cette source.Kahn, ancien gardien vedette de la Mannschaft et du Bayern Munich (632 matches disputés), a affronté deux fois les Girondins dans sa carrière (en 1993 avec Karlsruhe puis en 1996 lors de la finale de la Coupe de l’UEFA remportée par le Bayern).Il avait confirmé début janvier au quotidien populaire allemand Bild l’existence de “discussions concernant une éventuelle implication aux Girondins de Bordeaux” en précisant qu’elles en étaient “à un stade initial”.Après sa carrière sportive, Kahn a siégé au conseil d’administration du club bavarois à partir de 2019, puis a été président de son conseil exécutif en 2022 avant d’être démis de ses fonctions l’année suivante. 

L1: Longoria, De Zerbi, Benatia, Ravanelli, quatuor gagnant à l’OM

Sorti exsangue d’un pénible exercice 2023-24, l’OM s’est redressé cette saison sous l’impulsion d’un quatuor dirigeant sous forte influence italienne: le président Pablo Longoria, l’entraîneur Roberto De Zerbi, le directeur du football Medhi Benatia et le conseiller institutionnel et sportif Fabrizio Ravanelli.”Il y a une vraie unité. Ils se retrouvent sur de nombreux points et …

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