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Foot: Le Sommer et Renard non convoquées pour l’Euro, la fin d’une ère

La fin d’une époque chez les Bleues: la capitaine emblématique de l’équipe de France Wendie Renard et la meilleure buteuse de l’histoire Eugénie Le Sommer ne seront pas convoquées pour la Ligue des nations ni pour l’Euro, un choix fort qui signe probablement la fin de leur carrière internationale.Ces deux joueuses cadres de 34 et 36 ans, ainsi que la milieu Kenza Dali, 33 ans, ne figureront pas sur la liste dévoilée jeudi (14h00) pour le prochain rassemblement en vue des matches de Ligue des nations contre la Suisse le 30 mai puis l’Islande le 3 juin, selon une source proche du dossier. La liste officielle pour l’Euro (2-27 juillet en Suisse) sera dévoilée elle début juin.”Tout le monde a sa chance, mais personne n’est indispensable”, avait déclaré le sélectionneur Laurent Bonadei au début de son mandat, en octobre. “Cette équipe doit apprendre à jouer sans Wendie, Eugénie…”, avait-il insisté en avril lors du dernier rassemblement.Il a donc décidé de faire entrer les Bleues dans une nouvelle ère et se passera de ces joueuses d’expérience pour la prochaine phase finale de l’Euro (Renard compte 168 sélections pour 39 buts, Le Sommer est la meilleure buteuse de l’histoire des Bleues avec 94 buts en 200 sélections). Kenza Dali compte elle 76 sélections et 13 buts à son compteur.Diminuées par des blessures, toutes trois considéraient le Championnat d’Europe comme leur dernière compétition majeure avec la sélection. Elles doivent donc dire adieu aux Bleues plus tôt que prévu. – Quelle capitaine ? -Elles étaient présentes pendant les dernières grandes compétitions, la Coupe du monde en Australie en 2023 puis les Jeux olympiques l’été dernier bouclés en quarts de finale. La capitaine Wendie Renard, qui a quitté le dernier rassemblement en avril sur forfait, a été souvent blessée ces dernières saisons, comme en Australie (mollet) où elle a quand même joué la grande partie des matches et était l’une des meilleures de l’effectif, et également lors des JO (quadriceps). C’est aussi le cas d’Eugénie Le Sommer qui a connu plusieurs pépins physiques (adducteur, genou, cuisse) ces dernières années. L’attaquante, qui a annoncé son départ de l’OL la semaine dernière, est devenue en février la joueuse la plus capée de la sélection, battant le record de Sandrine Soubeyrand (198) après avoir fait sa première apparition en équipe de France en février 2009. Elle a participé à trois Jeux olympiques (2012, 2016, 2024) et quatre Coupes du monde (2011, 2015, 2019, 2023). Elle a atteint le dernier carré lors de son premier Mondial en 2011 (4e place) et des JO en 2012, mais a échoué le plus souvent en quart de finale dans les grandes compétitions, le plafond de verre des Bleues de sa génération. C’est aussi le cas de Wendie Renard, qui a eu quasiment le même parcours international que sa coéquipière à l’OL.”On a de la qualité, on a du potentiel. On a des joueuses avec beaucoup de talent. On y arrivera, un jour. Peut-être sans moi…”, expliquait Wendie Renard aux lecteurs de L’Equipe en avril. “L’équipe de France est notre vitrine et c’est mon Graal. Un titre nous ferait tant de bien”, ajoutait la Martiniquaise, dont l’héritière en défense est déjà trouvée: Maëlle Lakrar, 24 ans.L’absence de la capitaine Wendie Renard pose une autre question: celle du brassard en équipe de France, sachant que le sélectionneur l’a confié à plusieurs joueuses lors des derniers rassemblements, comme à Sandie Toletti (29 ans), Griedge Mbock (30 ans) ou Pauline Peyraud-Magnin (33 ans). Ces dernières sont désormais les plus anciennes du groupe, avec Sakina Karchaoui (29 ans).”Je me donne du temps (…) pour voir comment je vais faire vivre ce groupe à l’avenir avec peut-être un groupe de joueuses responsables plus élargi. J’ai besoin d’observer comment chacune se comporte”, expliquait Bonadei en octobre.Déjà qualifiées pour le Final Four de la Ligue des nations après quatre victoires en quatre matches, les Bleues – qui affrontent le 30 mai la Suisse et le 3 juin l’Islande pour boucler la phase de groupe de cette compétition – se préparent parallèlement à l’Euro cet été en Suisse, où elles figurent dans un groupe dense avec l’Angleterre, championne d’Europe en titre, les Pays-Bas et le Pays de Galles. 

Équipe de France: l’avènement de Rayan Cherki

Souvent espéré pour son talent, aux portes de l’équipe de France en mars, le Lyonnais Rayan Cherki a fini par être appelé mercredi par Didier Deschamps pour disputer le “Final Four” de la Ligue des nations, début juin.”Ça fait plaisir, c’est le début d’une belle aventure, impatient de commencer”, a expliqué l’attaquant de 21 ans, tout sourire, dans une vidéo diffusée par son club de  l’Olympique lyonnais au moment où le sélectionneur des Bleus annonçait sa sélection. “Surtout qu’on va disputer deux beaux matches (contre l’Espagne en demi-finales le 5 juin à Stuttgart, puis en finale ou pour la 3e place le 8, ndlr), donc impatient d’apporter ma pierre à l’édifice”, a développé Cherki qui ne disputera donc pas le championnat d’Europe Espoirs en Slovaquie avec les Bleuets, dont il était pourtant l’une des pièces majeures. “On perd un leader technique”, a commenté Gérald Baticle, le sélectionneur des Espoirs, “mais c’est une fierté lorsqu’un de nos joueurs est appelé par Didier, cela fait partie de nos objectif et il est atteint”.”Rayan aurait pu être là aussi au mois de mars, par rapport à ce qu’il réalise avec son club où il a été beaucoup plus décisif, que ce soit à travers ses buts et ses passes”, a rappelé Didier Deschamps qui lui avait alors préféré le jeune Parisien Désiré Doué.Mais après un exercice débuté dans le “loft” lyonnais et terminé en boulet de canon, le meilleur passeur de Ligue 1, promis à un avenir radieux depuis ses débuts professionnels à seulement 16 ans, va découvrir les A, faisant du même coup taire les spéculations sur son choix de sélection alors qu’il était susceptible d’intégrer aussi bien l’équipe nationale algérienne qu’italienne en raison de ses origines familiales. La France a fini par emporter le morceau mais Deschamps a nié avoir voulu forcer le destin international de Cherki, se réfugiant derrière des critères uniquement sportifs. “Je n’ai jamais bloqué un joueur ni l’empêché de choisir. Quand je les prends, c’est pour nos besoins mais pas pour les empêcher de faire autre chose. À aucun moment je n’ai joué avec ça depuis que je suis sélectionneur”, s’est-il défendu.Sportivement également, malgré un talent reconnu de tous, Cherki a retardé son éclosion au plus haut niveau en rechignant parfois aux tâches défensives ou en annihilant ses propres actions par un dribble de trop. – Un avenir loin de Lyon ? -“Pour moi, c’est un joueur qui a des capacités d’élimination, de créativité, qui ont pu, pendant des périodes, énerver aussi, parce que ce n’était pas toujours forcément efficace”, a reconnu Deschamps qui situe encore la marge de progression du Lyonnais “dans le travail collectif, défensif”.Mais Didier Deschamps ne veut plus se passer “des capacités individuelles (de Cherki) à pouvoir faire des différences avec un dribble ou une passe” tout en souhaitant qu’il “garde sa créativité, sa spontanéité en étant le plus naturel possible”.Naturel, brut de décoffrage, l’attaquant lyonnais l’a souvent été lorsqu’il a dû s’exprimer dans les médias où les joueurs préfèrent souvent la prudence des propos.Comme lors de la dernière journée de Ligue 1 après la victoire de l’OL face à Angers durant laquelle, il a acté son départ de Lyon, son club de toujours.”Je pense que c’était ma dernière avec Lyon. Maintenant je suis prudent. Je sais ce que j’ai vécu l’été dernier. Cela n’a pas été facile à vivre pour moi, je n’oublie pas par où je suis passé. J’ai commencé la saison au loft alors que je n’ai jamais trahi le club. La saison prochaine ? Je vais voir où le vent me mène”, avait-il alors affirmé.Convoité, Cherki se voit offrir deux nouvelles possibilités de briller au plus haut niveau. “C’est une étape importante pour lui, qui demandera confirmation”, a prophétisé Deschamps. 

Foot: le RC Lens rachète son emblématique Stade Bollaert

Le Racing Club de Lens a acheté le célèbre Stade Bollaert-Delelis à la municipalité mercredi, devenant la troisième formation de Ligue 1 propriétaire de son enceinte après Lyon et Auxerre, dans le but de “diversifier ses revenus”.Le stade avait été estimé à 54,9 millions d’euros, mais la vente s’est conclue à 27 millions en raison de divers prêts, clauses et décotes, a précisé le maire PS de la ville, Sylvain Robert, lors du conseil municipal qui a entériné la transaction.Une clause notamment interdit pendant 20 ans tout changement de nom du stade en échange d’une baisse du prix de vente de 6,5 millions, auxquels s’ajoutent 8,4 millions “au titre des droits résiduels” du club, qui bénéficiait d’un bail jusqu’en 2052, et 10,1 millions “correspondant au montant du prêt contracté par le RC Lens auprès de la région”. Le solde est constitué de décotes.Joseph Oughourlian, président et propriétaire du club qui s’exprimait en préambule du conseil municipal, souhaite rénover l’enceinte de 38.223 places afin but d’augmenter les revenus du club. Les derniers travaux remontent à 2015, en vue de l’Euro-2016. Dix ans après, a-t-il souligné devant les élus, “ses infrastructures commencent un peu à vieillir”.- “Lieu de vie” -L’homme d’affaires entend créer “plus de places VIP”, “développer toutes sortes d’aménagements autour du stade” dont une +fan zone+, mais aussi “changer les vestiaires”, a-t-il développé.Objectif affiché: “Transformer ce lieu emblématique en vrai lieu de vie, que ce ne soit pas un lieu qui vive seulement 18 matches par saison”, soit le nombre de rencontres que le RC Lens joue à domicile.Il a expliqué ce besoin de “diversifier (les) revenus” du RC Lens par “la fragilité des clubs de foot qui dépendent trop des droits TV”.Le football français traverse depuis plusieurs années une crise des droits télévisés, et l’incertitude plane sur les conditions de diffusion de la Ligue 1 la saison prochaine. Joseph Oughourlian s’est du reste érigé en figure de la fronde contre l’accord conclu in extremis l’été dernier qui avait concédé les droits TV de la Ligue 1 à la société britannique de streaming DAZN jusqu’en 2029 moyennant près de 400 millions d’euros annuels.Le rachat du Stade Bollaert-Delelis devrait donner plus de marge financière à un club qui a déjà assaini sa masse salariale l’hiver dernier en se séparant de plusieurs joueurs aux contrats importants, comme son gardien et capitaine Brice Samba et ses défenseurs Kevin Danso et Przemyslaw Frankowski.Le club de l’Artois a également réussi la plus grosse vente de son histoire en envoyant Abdukodir Khusanov à Manchester City contre environ 50 millions d’euros durant ce mercato hivernal, qui a, en revanche, enterré ses espoirs européens. Lens a terminé huitième de Ligue 1.- Identité minière -Bollaert est un véritable chaudron qui affiche un taux de remplissage de 99% cette saison, soit 37.936 spectateurs en moyenne, davantage que la population de la ville (32.600 en 2021), et porte en lui l’identité minière du club.C’est la Compagnie des Mines qui a investi dans la parcelle sur laquelle l’enceinte a été érigée. La construction a été confiée à 180 mineurs, jusqu’à l’inauguration en 1933, 27 ans après la création du club.Le stade, qui a accueilli des matches des Euros 1984 et 2016 et de la Coupe du monde 1998, porte le nom de Félix Bollaert, ancien président du conseil d’administration des mines de Lens, et d’André Delelis, maire de Lens lorsque la ville racheta le stade pour un franc symbolique en 1974 quand la Compagnie se désolidarisa du club.A chaque rencontre, les dizaines de milliers de supporters présents entonnent la chanson “Les corons” de Pierre Bachelet, hommage aux mineurs de fonds.En devenant propriétaire de son stade, Lens suit les pas de Lyon, pionnier en la matière en France.L’Olympique lyonnais a inauguré début 2016 son Groupama Stadium, construit en cinq ans au beau milieu d’un complexe, OL Vallée, qui comprend aussi hôtel, bureaux, commerces, stade d’entraînement et une immense salle polyvalente. Le coût déclaré de ce complexe dans la banlieue lyonnaise était de 450 millions d’euros dont 300 millions pour le seul stade, de 59.000 place.

Equipe de France: l’heure de Cherki a sonné, hécatombe en défense

Auteur de la saison la plus aboutie de sa jeune carrière, le prodige lyonnais Rayan Cherki a été promu mercredi en équipe de France par Didier Deschamps qui sécurise ainsi l’avenir international de l’attaquant, les Bleus faisant par ailleurs face à une hécatombe en défense avant le choc contre l’Espagne en Ligue des nations.Le nom de Cherki, 21 ans, revenait régulièrement ces derniers mois à chaque annonce de liste des Bleus mais le joueur de l’OL restait toujours à la disposition des Espoirs. Le sélectionneur a finalement décidé de mettre fin au suspense en l’enrôlant pour le “Final Four” de la Ligue des nations qui débutera par une demi-finale contre les champions d’Europe, le 5 juin à Stuttgart.  Après un exercice qui l’a vu prendre une nouvelle dimension et être sacré meilleur passeur de Ligue 1, le dribbleur va donc découvrir les A, faisant ainsi taire les spéculations sur son choix de sélection alors qu’il était susceptible d’intégrer aussi bien l’équipe nationale algérienne qu’italienne en raison de ses origines familiales. La France a fini par emporter le morceau mais Deschamps a nié avoir voulu forcer le destin international de Cherki, se réfugiant derrière des critères uniquement sportifs. “Je n’ai jamais bloqué un joueur ni l’empêché de choisir. Quand je les prends, c’est pour nos besoins mais pas pour les empêcher de faire autre chose. À aucun moment je n’ai joué avec ça depuis que je suis sélectionneur”, s’est-il défendu.”Rayan aurait pu être là aussi au mois de mars, par rapport à ce qu’il réalise avec son club où il a été beaucoup plus décisif, que ce soit à travers ses buts et ses passes”, a-t-il ajouté.Sa promotion chez les A le privera cependant de l’Euro Espoirs (11 juin – 28 juin en Slovaquie) avec les Bleuets dont il était jusque-là un des piliers, a précisé Deschamps.- La défense sur le flanc -Le sélectionneur ayant opté pour une liste élargie de 25 joueurs, aucun attaquant ne fait les frais de l’arrivée de Cherki, qui accompagnera les éléments offensifs habituels (Kylian Mbappé, Bradley Barcola, Ousmane Dembélé, Désiré Doué, Randal Kolo Muani, Michael Olise, Marcus Thuram).   Le reste du groupe de Deschamps est surtout marqué par des absences de taille en défense. Avec les indisponibilités de Dayot Upamecano (genou), de William Saliba (ischio-jambier) et de Jules Koundé (cuisse), c’est la quasi totalité de l’arrière-garde titulaire des Bleus qui se retrouve sur le flanc.Pas vraiment rassurant avant de défier l’attaque flamboyante de la Roja, emmenée par le prodige Lamine Yamal.Sans ses piliers défensifs, le sélectionneur a dû brasser large en rappelant notamment des anciens tels que Lucas Hernandez (29 ans), absent depuis un an, et Clément Lenglet (29), dont la dernière sortie en bleu remonte à novembre 2021. Une situation qui profite également aux jeunes Malo Gusto (22 ans), Loïc Badé (25 ans) et Pierre Kalulu (24 ans).Au milieu, Deschamps ne pourra pas non plus compter sur Eduardo Camavinga, blessé (ischio-jambier). Mais Deschamps n’a convoqué aucun nouveau joueur pour le remplacer. Au-delà de cette cascade de forfaits, Deschamps doit aussi composer avec les contraintes du calendrier et les conséquences d’une saison à rallonge. Le sélectionneur a programmé le début du rassemblement au 30 mai mais la fenêtre des matches internationaux ne débute que le 2 juin et les clubs n’ont aucune obligation de libérer leurs joueurs plus tôt, selon le règlement de la Fédération internationale (Fifa).”Si certains clubs décident de libérer leurs joueurs le 2, qui est la date officielle, je ne peux rien y faire. Les calendriers ont toujours été chargés, les fenêtres internationales sont de plus en plus courtes. Je m’adapte, mais les joueurs sont très sollicités”, a-t-il lancé.La question ne se pose pas pour les sept joueurs concernés par la finale de la Ligue des champions entre le PSG et l’Inter Milan (Ousmane Dembélé, Bradley Barcola, Warren Zaïre-Emery, Désiré Doué, Lucas Hernandez, Marcus Thuram, Benjamin Pavard), le 31 mai à Munich. Ceux-là ne sont pas attendus au Centre national du football à Clairefontaine avant le 2 juin, soit trois jours à peine avant la demi-finale de Ligue des nations face à l’Espagne.       kn/jde            

Equipe de France: l’heure de Cherki a sonné, hécatombe en défense

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Angleterre: Guardiola menace de quitter City si l’effectif est trop important

Pep Guardiola a menacé de quitter Manchester City s’il se retrouve avec un effectif trop important la saison prochaine, affirmant qu’il ne supporte plus de faire des choix sportifs à chaque match en écartant des joueurs en forme.Les “Sky blues”, qui ont terminé la saison sans trophée après quatre titres de champion d’Angleterre consécutifs, doivent reconstruire une équipe après le départ annoncé de certains cadres, comme le Belge Kevin De Bruyne.”Je l’ai dit au club, je n’en veux pas”, a répondu l’Espagnol, interrogé sur la perspective d’un recrutement important, après la victoire 3-1 lundi soir contre Bournemouth en championnat. “Je ne veux pas laisser cinq ou six joueurs au frigo. Je ne veux pas et je partirai. Faites une équipe plus petite, et je resterai.””En tant qu’entraîneur, je ne peux pas diriger 24 joueurs et devoir choisir chaque semaine quatre, cinq ou six d’entre eux qui doivent rester chez eux à Manchester parce qu’ils ne peuvent pas jouer”, a-t-il dit.”Il est arrivé que des joueurs soient recrutés immédiatement, il y a eu trois ou quatre mois pendant lesquels on ne pouvait pas aligner onze joueurs, on n’avait pas de défenseurs, c’était tellement difficile. Mais les joueurs reviennent pour la saison prochaine et on ne peut pas continuer comme ça”, a expliqué Guardiola.Et en cas de longue blessure, comme celle du Ballon d’or, Rodri, qui a rejoué mardi pour la première fois depuis septembre, le technicien a assuré qu’il ferait appel aux jeunes issus du centre de formation.

Tennis: au terme d’une “belle ère”, Gasquet “heureux” de sa carrière

A quelques jours de Roland-Garros où il prendra sa retraite sportive, l’ex-enfant prodige du tennis français Richard Gasquet (38 ans) revient pour l’AFP sur sa longue carrière, “heureux” de son parcours mais préoccupé par une “variété” de styles de jeu moindre qu’à ses débuts.QUESTION: S’il fallait retenir un seul souvenir de votre carrière, ce serait …

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