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C1: battu par Donetsk, Brest voit s’éloigner la qualification directe

Passé totalement à côté de sa première période, Brest n’est plus maître de son destin pour la qualification directe en huitième de finale de la Ligue des champions après sa défaite (2-0) contre le Shakhtar Donetsk, mercredi.Brest, assuré de disputer au moins les barrages d’accession aux huitièmes, recule à la 13e place avec 13 points. …

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C1: battu par Donetsk, Brest voit s’éloigner la qualification directe

Passé totalement à côté de sa première période, Brest n’est plus maître de son destin pour la qualification directe en huitième de finale de la Ligue des champions après sa défaite (2-0) contre le Shakhtar Donetsk, mercredi.Brest, assuré de disputer au moins les barrages d’accession aux huitièmes, recule à la 13e place avec 13 points. Mais les Finistériens auront besoin d’un miracle pour réintégrer le top 8 et échapper ainsi à la double confrontation prévue mi-février.Terrasser le tenant du titre, le Real Madrid, au Stade du Roudourou, ne sera pas suffisant. Il faudra aussi espérer un scénario favorable lors du méga-multiplex des 18 rencontres finales de la phase de Ligue du 29 janvier.Eric Roy, qui n’a jamais perdu de vue d’où partait Brest – totalement novice sur la scène européenne au début de la saison -, saura relativiser les conséquences sportives limitées de ce revers.Il sera, en revanche, certainement beaucoup moins clément sur la prestation de son équipe lors des 45 premières minutes.Hormis contre Barcelone (0-3), on n’avait jamais vu un Brest aussi dominé techniquement, tactiquement et dans l’agressivité.On savait que les Ukrainiens valaient sans doute mieux que leur 29e place au début de la rencontre et qu’ils étaient des adeptes des bonnes entames de match.Tout juste revenu d’un stage en Turquie et malgré un mois sans match officiel à disputer, le Shakhtar a été impressionnant de maîtrise et de justesse, remportant en outre tous les duels face à des Brestois dont c’est pourtant habituellement la grande force.Comble de malheur, Brest a subi les défaillances de certains de ses leaders qui ont presque offert les buts à leurs adversaires.- Brest inoffensif -L’ouverture du score est venue d’un mauvais contrôle du capitaine Brendan Chardonnet, aux quarante mètres adverses mais en position de dernier défenseur, sur un dégagement ukrainien.L’ailier brésilien Kevin, qui a récupéré le ballon, a pu traverser toute la moitié de terrain brestoise pour tromper un Marco Bizot peut-être placé trop bas au départ de l’action (1-0, 18e).Bizot, qui revenait pourtant en grande forme ses derniers temps, a ensuite concédé un pénalty un peu idiot avec une sortie mal maîtrisée dans les pieds de Irakli Azarov.Heorhiy Sudakov s’est fait plaisir avec une Panenka que le gardien néerlandais a effleuré sans empêcher le 2-0 (37e).Peu avant cela, Eguinaldo avait échappé à l’attention de Chardonnet, profité que Bizot ne sorte pas assez vite sur son contrôle trop long, pour croiser sa frappe, mais un peu trop (31e).Donetsk ayant souvent du mal à terminer ses matches, un semblant d’espoir subsistait à la pause, d’autant que Ludovic Ajorque (15e) et Hugo Magnetti (40e) avaient eu de très belles occasions.Mais si la possession a été très largement en sa faveur, Brest n’a que rarement menacé la cage adverse, hormis un sublime coup-franc de 30 mètres de Mathias Pereira Lage qui a forcé Dmytro Riznyk à une belle parade sous sa transversale (79e).Avec une chance toute théorique de se qualifier directement, la réception du Real sera une belle façon de célébrer quand même la dimension nouvelle prise par cette équipe à part.Le Shakhtar, 27e avec 7 points, reste en vie même s’il lui faudra aller gagner à Dortmund, à quelques kilomètres de la Arena AufSchalke où il dispute ses matches européens, et compter, lui aussi, sur un concours de circonstance favorable pour voir les barrages.

C1: Paris renverse City dans un match d’anthologie et reste en vie

Le couteau entre les dents, Paris a réussi à renverser une situation mal embarquée pour battre Manchester City au Parc des Princes mercredi (4-2) et s’offrir un immense bol d’air en Ligue des champions avant la dernière journée.Avec 10 points avant d’aller à Stuttgart la semaine prochaine, Paris n’est pas encore tiré d’affaire, la faute à ses errements de l’automne, mais a fait un grand pas en avant pour éviter une infamante élimination au premier tour. Surtout, il a livré un match référence qui pourrait influer sur la suite de sa saison.Le prestige du match mais aussi l’immense enjeu, entre deux clubs richissimes et ambitieux au bord de l’élimination, se voyait partout au Parc des Princes: immense tifo qui débordait de la tribune Auteuil, spectacle pyrotechnique, décibels maximaux, invités de prestige (Victor Wembanyama, Teddy Rinner)…Et les deux équipes ont fait honneur aux attentes. Les buts sont arrivés en seconde période mais le premier acte fut déjà très intense et électrique.Lors des 45 premières minutes, City aurait pu reprendre à son compte le message de la banderole déployée par les supporters parisiens: “battu par les flots mais n’a jamais sombré”.L’équipe de Pep Guardiola a en effet cédé la possession du ballon comme rarement (60% pour le PSG) et a subi vague après vague: frappe du remuant Désiré Doué (4), tête de Joao Neves (10), frappe d’Achraf Hakimi (19)…Mais l’inefficacité chronique du PSG en Ligue des champions cette saison a permis aux visiteurs de s’en tirer à 0-0 à la fin du premier acte.En particulier, Gvardiol a sauvé de la cuisse un tir de Fabian Ruiz sur sa ligne (26e). Et puis, Paris a cru avoir marqué un magnifique but collectif mais Nuno Mendes a été lancé d’un millimètre hors-jeu (45+1). Mais une cruelle annulation de l’arbitrage vidéo, pour quelques millimètres, est venue effacer la longue célébration parisienne…- Chasser les démons -Le sentiment d’une chance qui a passé guettait les Parisiens, qui ont pourtant redémarré pied au plancher, avec Ousmane Dembélé, sur le banc à la surprise générale au coup d’envoi, qui a remplacé Lee aprs la pause. Seulement pour être punis par un but contre le cours du jeu de Jack Grealish (50e), qui au deuxième poteau avait bien suivi le ballon, après un pourtant un bel arrêt de Donnarumma.Trois minutes plus tard, Erling Haaland enfonçait le clou (53e), encore au second poteau. Ironiquement pour Paris, ces deux buts se jouaient à quelques millimètres près du hors-jeu.Mais les hommes de Luis Enrique ont eu le mérite de réduire immédiatement le score, avec une course échevelée de Bradley Barcola qui a centré plein de sang-froid pour Démbélé (56).Le PSG a cru encore une fois être maudit quand Doué a frappé sur la barre mais Barcola a parfaitement repris pour trouver le petit filet (60e). La soirée commençait à exhaler un parfum de légende, avec un public extatique.Le ballon a continué de courir d’un bout à l’autre du terrain, et Paris a repris ses mauvaises habitudes: Dembélé a envoyé une frappe en tribunes, Nuno Mendes a mal joué le coup après une belle percée, Barcola a vu sa frappe à bout portant contrée, en l’espace de deux minutes.Dembélé a failli inscrire un but d’anthologie en enchaînant petit pont sur Bernardo Silva et frappe en force dans un angle fermé, repoussée par la barre transversale (70e). Manchester City était au bord du K.O.Le salut est venu d’un coup franc excentré tiré par Vitinha et c’est Joao Neves, au four et au moulin depuis le début du match, qui est sorti de sa boîte pour marquer de la tête (78e).Malgré un inhabituel changement défenseur pour attaquant (Hernandez pour Barcola), venant de Luis Enrique, le PSG a continué de dominer le match et les excursions mancuniennes vers la surface parisienne ont été rares.Servi par Dembélé, Ramos a manqué de faire le break (90e), bloqué par Ederson. Et comme pour finir de chasser ses démons, Paris a réussi à défendre un corner dangereux, avec une belle sortie poing levé de Donnarumma.Sur l’action suivante, Gonçalo Ramos, entré en jeu, a profité d’une bourde défensive des Citizens pour parachever le chef d’oeuvre parisien d’un tir en lucarne (90+3).

C1: Paris renverse City dans un match d’anthologie et reste en vie

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Wembanyama, phénomène inestimable et déjà ambassadeur de la NBA

Victor Wembanyama n’a qu’une saison et demie en NBA mais la puissante ligue nord-américaine de basket voit déjà en ce phénomène  un de ses principaux ambassadeurs, conforté par l’engouement médiatique et populaire de sa venue à Paris avec les Spurs. Il n’y avait qu’à voir la très grande affluence de journalistes – comparable à celle de …

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F1: Hamilton ravi de ses “sensations” pour ses premiers essais au volant d’une Ferrari

Lewis Hamilton a revêtu la combinaison rouge et effectué mercredi ses premiers tours de roue au volant d’une F1 Ferrari sur la piste d’essais de la Scuderia à Fiorano, confiant avoir vécu “une des meilleures sensations de (sa) vie”.”J’ai eu la chance de vivre de nombreuses premières fois dans ma carrière, du premier test à …

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