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Foot: D’accord avec le Stade Français, le Paris FC jouera à Jean-Bouin

L’alliance du football et du rugby: le Paris FC et le Stade Français ont trouvé un accord pour partager le stade Jean-Bouin la saison prochaine.Fini Charléty, au moins pour un temps, le PFC a trouvé un stade qui correspond mieux à ses nouvelles ambitions, depuis qu’il a été racheté par la famille Arnault et Red Bull.Idéalement, le club actuellement deuxième de Ligue 2 espère s’y installer en Ligue 1 à la rentrée prochaine.Le club du président Pierre Ferracci cherchait une alternative à Charléty, dans le 13e arrondissement de Paris, jugé peu compatible avec ses projets, avec sa piste d’athlétisme et son absence de loges.Le PFC va donc jouer dans l’ouest de la capitale, juste en face du Parc des princes du PSG, “dès le début de la saison 2025-2026 et a minima jusqu’en 2029″, a annoncé le club parisien dans un communiqué mercredi.”Le Stade Français Paris et le Paris FC annoncent être parvenus à un accord qui fera de Jean-Bouin le stade domicile du Paris FC, (…) le Stade Français demeurant naturellement le club résident et l’utilisateur principal”, est-il précisé.”Parvenir à cet accord pour jouer à Jean Bouin dès la saison prochaine était une priorité pour ma famille afin d’offrir à nos supporters, aux partenaires et aux spectateurs un cadre parfait pour voir évoluer les équipes du Paris FC”, a déclaré Antoine Arnault, cité dans le communiqué.- “Nouvel écrin” -“Dans ce nouvel écrin, le club débutera une nouvelle ère tout en ayant à cÅ“ur de bien finir d’écrire l’histoire pour cette dernière saison à Charléty”, a-t-il ajouté.Bien finir l’histoire dans ce stade, où le PFC pratique la gratuité depuis plus d’un an, ce serait monter en L1, avec laquelle le club flirte depuis quelques années. Il semble mieux parti cette saison, actuellement 2e de L2 et en position de monter au moment de l’annonce du partage de Jean-Bouin.Ferracci avait indiqué en janvier à l’AFP que si son club “allait à Jean-Bouin, c’est en ayant toujours la perspective de revenir à Charléty, avec un réaménagement, en respectant les contraintes du PUC (Paris Université Club), le club résident, qui a une dimension omnisports. Nous souhaiterions faire de ce stade un véritable lieu de développement pour le club.”Le PFC prévoit aussi d’agrandir le centre d’entraînement du club à Orly (Val-de-Marne).A Jean-Bouin, il faudra jongler avec le programme du Stade Français, actuellement en Top 14, soit l’élite du rugby national, mais aussi celui du Paris Saint-Germain.Pour des raisons de sécurité et d’organisation Jean-Bouin et le Parc des princes ne peuvent pas accueillir de matches simultanément.Mais les différents clubs, les ligues et les forces de l’ordre se sont déjà rencontrés pour aborder ces questions.”Il y a des enjeux économiques et, plus important, une question de vie commune avec le Stade français et le PSG voisin”, expliquait Ferracci à l’AFP.”La gestion de l’articulation des calendriers de la Ligue 1, et du Top 14 et celle des forces de sécurité sont un défi, surtout avec les embouteillages possibles”, ajoutait-il. “Il y a des problèmes de couleurs, d’identité, de gestion de l’évènementiel pour les uns et pour les autres, c’est un peu compliqué, mais on va y arriver”, promettait-il.

Foot: la LFP a assigné DAZN en référé pour le paiement d’une partie des droits TV

La Ligue de football professionnel (LFP) a assigné en référé DAZN, détenteur des droits TV de la Ligue 1, devant le tribunal de commerce de Paris pour s’assurer du paiement par la plateforme britannique d’une échéance financière due en février qu’elle menace de ne pas honorer, a appris l’AFP mercredi d’une source proche du dossier.Un …

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Foot: la LFP a assigné DAZN en référé pour le paiement d’une partie des droits TV

La Ligue de football professionnel (LFP) a assigné en référé DAZN, détenteur des droits TV de la Ligue 1, devant le tribunal de commerce de Paris pour s’assurer du paiement par la plateforme britannique d’une échéance financière due en février qu’elle menace de ne pas honorer, a appris l’AFP mercredi d’une source proche du dossier.Un conseil d’administration de la LFP a été convoqué en urgence mercredi à 17h30 pour évoquer la question des droits TV et “une situation malheureusement urgente”, selon les mots de Vincent Labrune, le président de l’instance, dans son mail de convocation envoyé mardi soir.La LFP a ensuite indiqué, dans un communiqué en début de soirée, qu’elle “prenait acte du refus infondé de DAZN d’honorer ses engagements financiers”. “La LFP respecte, pour sa part, scrupuleusement l’ensemble de ses engagements contractuels et mettra tout en Å“uvre pour faire valoir ses droits”, a poursuivi l’instance, évoquant avoir “saisi le juge des référés” pour obtenir le “paiement des sommes prévues”.”La LFP entend défendre avec fermeté les intérêts des clubs professionnels français, tout en espérant une issue amiable à ce différent qu’elle espère temporaire”, a-t-elle conclu.DAZN doit verser vendredi 14 février la quatrième échéance prévue dans le contrat qu’elle a conclu cet été avec la LFP. Mais la plateforme menace de ne pas le faire, invoquant des conditions d’exploitation difficiles en partie liées au piratage et au manque de coopération de certains clubs pour mettre en valeur le “produit Ligue 1” qu’elle vend à ses abonnés. Ce dont la LFP se défend, enjoignant la plateforme britannique d’honorer sa part du contrat. La Ligue estime toutefois que la situation actuelle diffère de celle de 2020 quand Mediapro, le détenteur d’une partie des droits de la L1 à l’époque contre environ 800 millions d’euros par saison, s’était placé sous la protection du droit de la faillite et n’avait pu assurer ses paiements. Cette fois, DAZN a placé sous séquestre les 35 millions d’euros restant à payer pour l’échéance de février, selon une source proche du dossier.      Si les deux parties ont refusé de s’exprimer publiquement, elles continuent néanmoins de discuter du litige qui les oppose, selon plusieurs sources proches du dossier.    Dans un entretien au Parisien le 19 décembre dernier, Vincent Labrune assurait souhaiter “le succès de DAZN à tout prix”, tout en reconnaissant que le diffuseur avait “peut-être fait une erreur en tapant un peu fort au départ sur les tarifs”.Selon plusieurs sources, DAZN compterait autour de 500.000 abonnés, bien loin des 1,5 million d’abonnés qu’elle espérait séduire en se lançant en début de saison.Si elle n’atteignait pas ce nombre en décembre 2025, la plateforme de streaming sportif dispose d’une clause pour dénoncer son contrat avec la LFP qui court normalement jusqu’en 2029. La Ligue a également le droit de rompre le contrat qui la lie à DAZN au même moment. 

“Je me battrai”: Imane Khelif répond à l’offensive judiciaire de la fédération internationale de boxe

La boxeuse algérienne Imane Khelif a dénoncé de nouvelles “fausses” accusations de la fédération internationale de boxe (IBA), qui bataille sans relâche contre la présence de la championne olympique en catégorie féminine, et indiqué qu’elle n’excluait pas une riposte en justice.L’IBA a été exclue du mouvement olympique mais contestait lors des JO-2024 de Paris le …

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Baiser forcé: “aucun doute” que le geste était “non consenti”, selon la procureure

Il n’y a “aucun doute” sur le fait que le baiser imposé par Luis Rubiales à Jenni Hermoso était “non consenti”, a estimé mercredi la procureure Marta Durántez Gil, confirmant ses réquisitions de deux ans et demi de prison contre l’ex-patron du football espagnol.”Ça a été un baiser non consenti: je crois qu’après examen, il n’y a aucun doute, ou du moins pas de doute raisonnable suffisant”, a asséné la procureure au cours de ses réquisitions.Confirmant ce qu’elle avait déjà réclamé avant le procès, la magistrate a demandé à l’encontre de Luis Rubiales une peine d’un an de prison pour agression sexuelle et un an et demi pour avoir exercé des pressions sur la joueuse espagnole pour atténuer le scandale.”Il n’existe aucun précédent d’animosité” qui aurait pu conduire Jenni Hermoso à “ne pas dire la vérité sur ce qui s’est passé au moment du baiser et des contraintes” qui ont suivi, a souligné la procureure, insistant sur la “totale cohérence entre les faits qu’elle a racontés et son comportement immédiat et ultérieur”.- “Comportement héroïque” -La procureure est aussi revenue sur les images montrant la joueuse célébrant avec ses coéquipières le titre mondial obtenu quelques instants avant que Luis Rubiales ne l’embrasse lors de la remise des médailles, des vidéos largement diffusées et mises en avant par la défense. “Combien de temps allons-nous encore exiger un comportement héroïque de la part des victimes d’agression sexuelle? N’avait-elle pas le droit de célébrer un triomphe sportif aussi important que celui d’être championne du monde?”, a fustigé la procureure.Jenni Hermoso faisait “face à la puissance de toute une fédération de football et à un président qui n’était pas à la tête de beaucoup de choses, mais d’absolument tout”, a encore décrit la procureure.Mme Durántez Gil a précisé avoir requis une peine “minimale” pour l’agression sexuelle, expliquant avoir pris en  compte qu’il s’agissait “d’un baiser et non d’un comportement plus intrusif”.Les pressions subies par la joueuse pour qu’elle minimise l’importance de ce baiser se sont quant à elles matérialisées “dans le vestiaire, dans le bus, dans l’avion, à Ibiza (…), auprès de sa famille, par WhatsApp, quand elle n’est pas convoquée en sélection” pour le premier match après l’éclatement du scandale et par l’intermédiaire de membres de la Fédération, a énuméré la procureure.Marta Durántez Gil a aussi confirmé ses réquisitions à l’encontre des coaccusés de Luis Rubiales, l’ex-sélectionneur de la “Roja” féminine Jorge Vilda et deux anciens responsables de la RFEF, Rubén Rivera et Albert Luque, contre qui elle a demandé un an et demi de prison pour les pressions.- Fin du procès jeudi? -Aujourd’hui sélectionneur de l’équipe féminine du Maroc, Jorge Vilda a nié mercredi toute coercition sur Jenni Hermoso pour atténuer l’affaire mais a reconnu avec discuté avec son frère pour “fait part de (son) inquiétude concernant l’impact médiatique” de l’affaire et pour “trouver une manière de normaliser la situation”.Pour la procureure, Jorge Vilda et les deux autres accusés savaient que Jenni Hermoso ne voulait pas faire une vidéo avec Luis Rubiales pour minimiser l’importance du baiser: malgré cela, “ils insistent et essaient de la contraindre à faire ce qu’elle ne veut pas”, a estimé Mme Durántez Gil. Entendu mardi pour la première fois depuis le début de son procès, Luis Rubiales a assuré qu’il était “absolument sûr” que Jenni Hermoso lui avait donné son consentement avant qu’il ne l’embrasse.La joueuse, elle, a fermement écarté cette idée au premier jour d’audience, décrivant aussi les “innombrables” pressions qu’elle avait subies après ce geste pour en minimiser l’importance et étouffer le scandale. Erigée en symbole de la lutte contre le sexisme dans le sport après ce scandale l’attaquante qui évolue aujourd’hui au Mexique, déjà absente lors du dernier rassemblement de la Roja, n’a pas été retenue pour les prochains matches des Espagnoles.Le procès pourrait se terminer jeudi, avec les plaidoiries de la défense et les derniers mots des accusés. Le jugement sera ensuite mis en délibéré et pourrait ne pas être rendu avant plusieurs semaines.

Baiser forcé: “aucun doute” que le geste était “non consenti”, selon la procureure

Il n’y a “aucun doute” sur le fait que le baiser imposé par Luis Rubiales à Jenni Hermoso était “non consenti”, a estimé mercredi la procureure Marta Durántez Gil, confirmant ses réquisitions de deux ans et demi de prison contre l’ex-patron du football espagnol.”Ça a été un baiser non consenti: je crois qu’après examen, il …

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Tour d’Oman: la dernière étape pour Paret-Peintre, le général pour Yates

Le Britannique Adam Yates a remporté le Tour d’Oman pour la deuxième année consécutive mercredi devant les Français Valentin Paret-Peintre, épatant vainqueur de la dernière étape, et David Gaudu, qui a craqué dans les pentes infernales de “la Montagne Verte”.”Cette victoire est de bon augure pour la suite. J’avais dit en début de semaine que …

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