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UAE Tour: Milan récidiviste dans la 4e étape, Pogacar reste leader

Et de deux pour Jonathan Milan. L’Italien de la Lidl-Trek a remporté la 4e étape du Tour des Emirats arabes unis en devançant d’un boyau les Belges Tim Merlier et Jasper Philipsen, jeudi à Umm al Quwain où le Slovène Tadej Pogacar a conservé le maillot de leader.Déjà vainqueur de l’étape d’ouverture lundi, le coureur …

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Espagne: après son triplé, Mbappé a faim de gloire

Auteur d’un superbe triplé face à Manchester City (3-1) qui a qualifié le Real Madrid pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions, Kylian Mbappé part à la chasse aux records, affichant son ambition d’égaler les légendes madrilènes.”Voilà à quoi ressemblent les grandes soirées de la Ligue des champions au Bernabéu”, a lancé …

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Espagne: après son triplé, Mbappé a faim de gloire

Auteur d’un superbe triplé face à Manchester City (3-1) qui a qualifié le Real Madrid pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions, Kylian Mbappé part à la chasse aux records, affichant son ambition d’égaler les légendes madrilènes.”Voilà à quoi ressemblent les grandes soirées de la Ligue des champions au Bernabéu”, a lancé Mbappé à ses dizaines de millions d’abonnés sur les réseaux sociaux après la rencontre.Intenable et affamé, l’attaquant français a signé mercredi sa première grande performance sur la scène européenne sous le maillot de la Maison Blanche, dont il s’affirme, après des débuts timides, comme le leader incontestable.”Je sais qu’il a eu un démarrage plutôt lent et qu’il s’habitue encore à sa nouvelle vie ici, mais maintenant il plane”, a résumé son coéquipier Jude Bellingham sur TNT Sports.”Il est génial. Vous commencez le match en sachant qu’il va avoir une influence dessus. Vous savez que quand Kylian reçoit le ballon dans des zones qu’il aime, il va être dangereux, que ce soit du pied droit ou du pied gauche”, a-t-il poursuivi.- “Je rêvais de ces moments” -Effectivement, le capitaine de l’équipe de France était aux anges mercredi soir: “Je rêvais de ces moments-là depuis mon enfance. De jouer pour ce club et de ressentir ce que c’est une grande soirée au Bernabéu. Beaucoup de gens m’en ont parlé, maintenant j’ai pu le voir de mes yeux, et j’espère que nous allons en connaître beaucoup d’autres”, a-t-il dit en zone mixte.Interrogé par un journaliste espagnol sur le fait d’être le quatrième joueur du Real à marquer un triplé en phase éliminatoire de C1 après Ronaldo, Cristiano Ronaldo et Karim Benzema, Mbappé a répondu: “Ce sont trois cracks, ils ont marqué une époque au Real Madrid. J’espère faire la même chose, je suis ici pour ça”.Après l’avoir sérieusement tancé à ses débuts, la presse espagnole est à présent dithyrambique et le compare déjà à “CR7”, son idole.Son entraîneur Carlo Ancelotti, qui a toujours défendu le Français même lorsqu’il était en crise de confiance et impliqué dans des affaires extrasportives (accusations de viol portées par la presse suédoise, litige financier avec le PSG, absence en équipe de France…), est allé dans le même sens: “Ce ne sera pas facile, il faudra qu’il travaille dur, mais Mbappé a la qualité pour atteindre le niveau de Cristiano, même si la barre est très haute”, a-t-il estimé.- Dans les pas de CR7 -Avant d’arriver à la hauteur du Portugais, meilleur buteur de l’histoire du Real Madrid avec 450 buts, l’ex-attaquant du PSG peut se targuer de marcher aujourd’hui dans ses pas au niveau statistique.Pour sa première saison sous le maillot merengue, “CR7” avait inscrit 33 buts en 35 rencontres. “Kyks” en est aujourd’hui à 28 en 38 matchs, dont 14 depuis le début de l’année 2025.Il lui reste néanmoins beaucoup de chemin à parcourir, et de titres à remporter, pour parvenir à égaler le palmarès du quintuple vainqueur de la Ligue des champions et cinq fois Ballon d’Or, les deux récompenses dont rêve Mbappé depuis l’enfance, lorsque sa chambre était tapissée de posters de son idole.Et il est en conscient: “Marquer des buts, c’est bien. J’étais le meilleur buteur de la Ligue des champions l’an dernier, mais est-ce que j’ai gagné ? Non. Donc je me fiche d’être le meilleur buteur, j’ai déjà marqué beaucoup de buts dans ma carrière. Mais si avec mes buts nous gagnons des titres, je signerai avec mon sang. Si je peux marquer 50 buts tant mieux, mais l’important c’est de gagner des titres”, a-t-il détaillé.Il est, sans aucun doute, au bon endroit pour le faire.

Ligue des champions: le flop européen du foot italien

La Serie A a la gueule de bois: après les éliminations de la Juventus Turin, de l’AC Milan et de l’Atalanta en barrages d’accession aux 8e de finale de la Ligue des champions, il ne reste plus que l’Inter Milan dans la compétition reine du football européen.Moins d’un an après le sacre enthousiasmant de l’Atalanta en Ligue Europa face au Bayer Leverkusen (3-0), deux ans après la finale de C1 perdue par l’Inter contre Manchester City, le football italien, toujours fragile sur le plan économique, fait grise mine.Il faut remonter à 2014-15 pour trouver trace de la dernière édition de Ligue des champions avec un seul représentant du Calcio en 8e de finale, la Juventus qui avait atteint, et perdu, cette année-là, la finale contre le FC Barcelone.C’est seulement la troisième fois, après 2013-14 et 2014-15, que l’Italie est aussi mal représentée à ce stade de la compétition depuis la création de la Ligue des champions sous cette dénomination.Des cinq clubs italiens initialement en lice, Bologne n’a pas dépassé la phase de poules, alors que l’AC Milan, la Juve et l’Atalanta ont tous les trois mordu la poussière en l’espace de 24 heures face à des adversaires a priori à leur portée.L’AC Milan, plombé par l’exclusion de l’international français Théo Hernandez, n’a pas pu faire mieux qu’un nul à domicile (1-1) à San Siro après s’être incliné à l’aller sur le terrain du Feyenoord (1-0).La Juve, avec son effectif jeune, a perdu une nouvelle fois cette saison le contrôle et a subi la loi du PSV Eindhoven (3-1 après prolongation), sans pouvoir compter sur les buts de sa recrue Randal Kolo Muani.Surclassée par une jeune équipe de Bruges, sans complexes, l’Atalanta a pris une leçon à domicile (3-1) pour s’incliner 5 à 2 au total sur les deux confrontations.- “Pas capables de rivaliser” -Ces déroutes vont laisser des traces: pas sûr que Hernandez, dont l’attitude est régulièrement critiquée depuis le début de la saison, soit encore un joueur du Milan l’été prochain ou encore qu’Ademola Lookman, “blessé” par les reproches publics de son entraîneur Gian Piero Gasperini, n’évolue en Serie A en 2025-26.Cela pourrait s’étendre aux entraîneurs Sergio Conceiçao, arrivé en décembre en remplacement de Paulo Fonseca au Milan, Thiago Motta, dont la première saison à la Juve est loin d’être convaincante, ou encore Gasperini qui, en poste à Bergame depuis 2016, semble arriver en bout de cycle.Selon la Gazzetta dello Sport, “ce flop européen pourrait très bien rebattre les cartes pour l’avenir des entraîneurs”.Mais pour Fabio Capello, ces barrages ont surtout montré les lacunes de la Serie A: “nos équipes ne sont pas capables de rivaliser en termes de rythme et d’intensité de jeu”, a souligné l’ancien entraîneur de l’AC Milan et du Real Madrid.”Prenez le PSV, pas une fois ils ont fait une passe en retrait à leur gardien, ils ont joué toujours vers l’avant, même quand ils menaient, les équipes italiennes ne sont pas habituées à cela”, a-t-il constaté.Espérée par beaucoup d’observateurs, dont Capello, la réforme de la Serie A n’a pas eu lieu. Avec vingt clubs en championnat et une Supercoupe d’Italie opposant désormais quatre équipes en janvier en Arabie saoudite, le calendrier est particulièrement indigeste.L’Inter a ainsi disputé douze matches en un peu plus d’un mois. Au prochain tour, les champions d’Italie en titre retrouveront l’un des tourmenteurs du Calcio, le PSV Eindhoven ou Feyenoord.”Sur ce qu’il a montré contre la Juve, le PSV a plus de qualités que Feyenoord. Il faut espérer pour l’Inter que le tirage au sort lui sourit”, a conclu Capello, guère confiant.

Six nations: sous la direction de Quesada, l’Italie apprend le pragmatisme

Souvent présentée comme une équipe joueuse parfois imprévisible, l’Italie, opposée dimanche (16h00) pour la 50e fois à la France lors du Tournoi des six nations, a fait sa mue sous la direction de l’Argentin Gonzalo Quesada.. Trois victoires en sept matches du TournoiDepuis qu’il a succédé au Néo-Zélandais Kieran Crowley après la Coupe du monde …

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