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Mondial-2026: groupes piégeux pour l’Argentine et la France, Trump héros de la Fifa
L’Argentine et la France ont hérité de groupes piégeux au contraire de l’Espagne et de l’Angleterre, mieux loties par le tirage au sort du Mondial-2026 effectué vendredi à Washington en présence de Donald Trump, guest-star récipiendaire du premier Prix de la Paix de la Fifa.”C’est un grand jour et c’est un sport formidable”, a clamé le président américain sur le tapis rouge du Kennedy Center, qui accueillait l’événement sous la haute surveillance de la police et des agents du Secret Service.Sur scène, le président de la Fifa Gianni Infantino a fait applaudir Donald Trump, dont il est proche, ainsi que le Premier ministre canadien Mark Carney et la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum, co-organisateurs de la compétition qui se déroulera du 11 juin au 19 juillet prochain.Cette Coupe du monde nouvelle formule, à 48 équipes et sur trois pays, “est le plus grand événement que l’humanité ait jamais vu (…), cela va être stratosphérique”, a déclaré Gianni Infantino avec emphase.- Trump décoré -Il a ensuite attribué à Trump le premier “Prix de la Paix de la Fifa”, un lot de consolation pour le chef d’Etat américain qui a brigué en vain le Prix Nobel 2025. Trump a reçu sur scène un trophée, bien plus imposant que la Coupe du monde elle-même, ainsi qu’une médaille. “L’un des plus grands honneurs de ma vie”, a déclaré le milliardaire républicain.Cette distinction était une manière de rejouer en mondovision l’alliance conclue entre Infantino et Trump, revenu à la Maison Blanche en janvier et qui a fait de la Coupe du monde 2026 un événement central de son second mandat. Et ce en dépit des inquiétudes que font peser sur le déroulement de l’épreuve ses prises de position tous azimuts contre ses co-organisateurs, sa politique migratoire ou ses menaces de priver de rencontres certaines villes dirigées par les démocrates.Dans la deuxième partie de ce show de plus de deux heures, animé par des artistes comme Andrea Bocelli et conclu par les Village People, le sportif a repris ses droits.Le tirage au sort a livré les 12 groupes de quatre et les affiches du premier tour. L’Argentine devra se méfier d’un groupe J où l’attendent l’Algérie, l’Autriche et la Jordanie, qui prépare le premier Mondial de son histoire. Pas de match “facile”, a réagi le sélectionneur argentin Lionel Scaloni.- Mbappé contre Haaland -Les Bleus de Didier Deschamps, dans le groupe I, n’ont clairement pas été gâtés, puisqu’ils ferrailleront contre le Sénégal, qui leur avait joué à un mauvais tour en ouverture du Mondial 2002 (1-0), la Norvège d’Erling Haaland – rival de Kylian Mbappé et tout aussi performant en ce début de saison – et un vainqueur des barrages intercontinentaux (Surinam, Irak ou Bolivie). “Ce groupe fait partie des plus difficiles, si ce n’est le plus difficile”, a glissé Didier Deschamps.Le sélectionneur français de l’Arabie saoudite Hervé Renard, qui a dirigé plusieurs sélections africaines, a dit aux Français de “faire très attention”: “J’ai la chance d’aller souvent au Sénégal, ils ne parlent que de ce match (de 2002) depuis 20 ans et plus.”Quant à Haaland et Mbappé, “les deux hommes sont en feu en ce moment, ils sont peut-être les deux meilleurs joueurs en Europe”, a estimé le sélectionneur norvégien Ståle Solbakken.L’Espagne, autre grande favorite après avoir remporté l’Euro-2024, a pour sa part vécu un tirage plus tranquille avec l’Uruguay, l’Arabie saoudite et le Cap-Vert, lui aussi novice (groupe H). Quant à l’Angleterre, qui vient compléter le carré d’équipes qui ne peuvent pas s’affronter avant les demi-finales sous réserve de finir premières de leurs groupes, elle a hérité de la Croatie, de Panama et du Ghana (groupe L).Parmi les autres poids lourds, l’Allemagne dans le groupe E affrontera l’Equateur, la Côte d’Ivoire et le minuscule Curaçao. Le Portugal (groupe K) est avec un autre débutant, l’Ouzbékistan, ainsi qu’avec la Colombie et l’autre vainqueur des barrages intercontinentaux. Le Brésil, cornaqué par l’Italien Carlo Ancelotti, aura le Maroc, demi-finaliste de la dernière édition, pour adversaire à ne pas mésestimer, ainsi que l’Ecosse et Haïti. Les pays organisateurs, eux, ont été gâtés. Le Mexique (groupe A) jouera le match d’ouverture de la compétition contre l’Afrique du Sud le 11 juin dans l’emblématique stade Azteca de Mexico avant de croiser la Corée du Sud et un vainqueur des barrages européens.Les Etats-Unis se frotteront à l’Australie, au Paraguay et à un barragiste européen. Ce groupe D est l’un des plus abordables du Mondial.Autre curiosité de ce tirage, l’Iran, ennemi déclaré des Etats-Unis avec lesquels les relations diplomatiques sont rompues depuis 1980, va bel et bien jouer sur le sol américain, sur la côte Ouest.
Mondial-2026: l’Angleterre “confiante” après le tirage au sort, dit Tuchel
Le sélectionneur de l’Angleterre, Thomas Tuchel, s’est dit “confiant” bien que le tirage au sort du Mondial-2026, effectué vendredi, ait mis le Ghana et la Croatie sur la route de son équipe, en plus du Panama, dans le groupe L.”Ça semble toujours difficile, mais nous sommes confiants et nous serons bien préparés quand nous arriverons”, a déclaré le technicien allemand au micro de la BBC depuis Washington.Le calendrier offre aux Anglais deux premiers matches contre la Croatie, vice-championne du monde 2018 et demi-finaliste en 2022, puis le Ghana, l’un des bastions du football africain.”Deux habitués de la Coupe du monde, et deux nations fières et fortes”, a décrit Tuchel. “Je ne connais pas grand-chose au sujet du Panama pour le moment, mais nous allons en savoir plus avant le début du tournoi”, a-t-il poursuivi.L’ancien coach du PSG et de Chelsea se prépare pour sa première grande compétition comme sélectionneur, aux commandes d’une équipe qui attend depuis près de cinquante ans une deuxième étoile mondiale, après le sacre de 1966 à domicile.”Pour ce qui me concerne, ma seule expérience des phases de groupes, c’est en format Ligue des champions, et (mon) approche consistait à lui accorder le plus grand respect et à se concentrer entièrement sur la première place du groupe”, a-t-il expliqué.Le tirage permet aussi aux Anglais de débuter tardivement, le 17 juin, soit six jours après le lancement du tournoi. D’un autre côté, ce calendrier signifie une phase finale plus resserrée en cas de qualification.”On sait maintenant que nous allons entrer tardivement dans le tournoi, ça nous donne un peu plus de temps si les joueurs disputent des finales européennes, ce que j’espère”, a indiqué Tuchel. “Mais nous ne souhaitions aucun scénario particulier, car le calendrier sera plus chargé par la suite.”L’Angleterre, 4e nation au classement Fifa, pourrait affronter le Brésil en quart, puis l’Argentine en demi-finale, si chacune de ces nations tient son rang.
Mondial-2026: la France avec le Sénégal, la Norvège et un barragiste intercontinental dans le groupe I
L’équipe de France affrontera le Sénégal, la Norvège et un barragiste intercontinental (Irak, Bolivie ou Suriname) dans le groupe I de la Coupe du monde l’été prochain, un tirage assez relevé, effectué vendredi à Washington.Pour la dernière phase finale de Didier Deschamps en tant que sélectionneur – présent vendredi lors de la cérémonie au Kennedy Center -, les Bleus joueront leurs trois premiers matches sur la côte Est des Etats-Unis (New-York, Boston ou Philadelphie). En revanche, ils ne connaissent pas encore les horaires et le lieu de ces trois rencontres. Les coéquipiers de Kylian Mbappé, 3e au classement Fifa, affronteront le Sénégal, un mauvais souvenir pour les Bleus battus par les Lions de la Teranga en ouverture du Mondial-2002 (1-0).Ils héritent aussi de la Norvège, l’équipe la plus référencée du chapeau 3, avec ses stars Erling Haaland et Martin Odegaard, qui a devancé l’Italie en qualifications.Le troisième adversaire des champions du monde 2018 et vice-champions du monde 2022 n’est encore connu. Il s’agit du barragiste intercontinental, soit l’Irak, le Suriname ou la Bolivie. Les Bleus n’ont jamais affronté les deux premiers et une fois la Bolivie, en match amical en 2019.Les coéquipiers de Mike Maignan auront tout intérêt à terminer en tête de leur groupe pour ne pas croiser avant les demi-finales les tenants du titre argentins, les champions d’Europe espagnols et l’Angleterre de Jude Bellingham, à condition que ceux-ci finissent aussi premiers, selon les modalités du tirage dévoilés par la Fifa.La nouvelle formule, qui qualifie les deux premiers des 12 groupes et les huit meilleurs troisièmes pour les 16e de finale, a facilité la tâche des vice-champions du monde et les a préservé d’une mauvaise surprise avant les rencontres à élimination directe.Mais ils pourraient affronter l’Allemagne dès les 8es de finale, si les deux sélections terminent en tête de leurs groupes respectifs.
Mondial-2026: Trump et Infantino lancent la cérémonie du tirage au sort en grande pompe
“Un grand jour”: la cérémonie de tirage au sort du Mondial-2026 a débuté vendredi au Kennedy Center de Washington, sous l’égide de Donald Trump et très haute surveillance.”C’est un grand jour et c’est un sport formidable”, a clamé le président américain sur le tapis rouge de la grande salle de spectacles de Washington qui accueille l’événement.Donald Trump est ensuite allé s’asseoir au balcon en compagnie du président de la FIFA, Gianni Infantino, dont il est proche, et non loin du Premier ministre canadien Mark Carney et de la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum, co-organisateurs.Sur la scène, Gianni Infantino a fait applaudir les trois dirigeants. “C’est le plus grand événement que l’humanité ait jamais vu (…), cela va être stratosphérique”, a-t-il déclaré avec emphase.Auparavant le ténor Andrea Bocelli avait entonné l’air “Nessun Dorma” (“Que personne ne dorme”) tiré de l’opéra Turandot de Giacomo Puccini, sous les applaudissements du public.En effet durant près de deux heures, c’est un véritable show qui va se dérouler dans l’imposante salle de spectacle située dans la capitale américaine, aux abords de laquelle un imposant dispositif de sécurité a été mis en place, obligeant les personnes accréditées à patienter parfois presque deux heures, sous la neige, pour y pénétrer.Cet évènement en mondovision constitue le premier temps fort de ce tournoi hors-normes organisé dans trois pays (Etats-Unis, Mexique, Canada), pour déterminer le parcours des 48 équipes -une première- lancées dans la course à la succession de l’Argentine de Lionel Messi.L’invité de marque est à n’en pas douter le président américain lui-même. Le milliardaire républicain, revenu à la Maison Blanche en janvier, a fait de la Coupe du monde 2026 un événement central de son second mandat, en dépit des inquiétudes que font peser sur le déroulement de l’épreuve ses prises de position tous azimuts contre ses voisins mexicain et canadien, sa politique migratoire ou ses menaces de priver de rencontres certaines villes dirigées par les démocrates.- “Prix de la Paix” -Trump a trouvé un allié de poids en la personne du patron de la Fifa, Gianni Infantino, avec qui il n’en finit pas d’afficher sa proximité, comme encore lors du début de la cérémonie. Le dirigeant italo-suisse, présent à son investiture et convié plusieurs fois dans le Bureau Ovale, a bien compris la nécessité de se rapprocher du président des Etats-Unis, où auront lieu 78 des 104 matches programmés du 11 juin au 19 juillet prochain, dont la finale au MetLife Stadium (New Jersey).Cette “bromance”, savamment entretenue par les deux hommes au nom d’intérêts stratégiques mutuels, s’est poursuivie durant la cérémonie, avec l’attribution à Trump du premier “Prix de la Paix de la Fifa”. Le dirigeant républicain a reçu sur scène un trophée ainsi qu’une médaille.”C’est l’un des plus grands honneurs de ma vie, nous avons sauvé des millions de vie”, a affirmé le dirigeant républicain, citant le Congo, l’Inde, le Pakistan, “tant de guerres auxquelles nous avons réussi à mettre fin” ou à éviter.Un lot de consolation en mondovision pour le chef d’Etat américain qui se targue d’avoir mis un terme à plusieurs conflits depuis son retour au pouvoir et rêve ouvertement du prix Nobel de la Paix, décerné cette année à l’opposante vénézuélienne Maria Corina Machado.La cérémonie est l’occasion pour la présidente du Mexique Claudia Sheinbaum et le Premier ministre canadien Mark Carney de rencontrer Donald Trump malgré les grosses tensions en raison des droits de douane imposés par le président américain, qui a aussi martelé son souhait de faire du Canada le 51e Etat américain.Même l’Iran, dont les relations diplomatiques avec les Etats-Unis sont rompues depuis 1980, enverra finalement une petite délégation avec à sa tête le sélectionneur Amir Ghalenoei, après avoir affirmé vouloir boycotter la cérémonie pour cause de non-délivrance de visas à plusieurs officiels.- Nouveauté -Sur le plan sportif, l’enjeu est de taille pour les sélectionneurs des 42 pays déjà qualifiés, qui seront rejoints en mars par six barragistes, pour porter à 48 le nombre de participants, une première dans l’histoire de la Coupe du monde.A l’issue du tirage, effectué par plusieurs légendes du sport nord-américain comme Tom Brady (foot américain), Shaquille O’Neal (basket) ou Wayne Gretzky (hockey sur glace), on connaîtra la composition des 12 groupes de quatre et les affiches du premier tour, mais il faudra patienter jusqu’à samedi pour découvrir les lieux et horaires des rencontres.”Il n’y a pas de tirage idéal, on verra bien. On prendra ce qu’on nous attribuera et on se préparera au mieux”, a déclaré le sélectionneur français Didier Deschamps, interrogé par l’AFP dans le Kennedy Center à deux heures de l’échéance.Une autre innovation: les quatre premières nations au classement Fifa (Espagne, Argentine, tenante du titre, France, Angleterre) seront placées dans deux parties différentes du tableau et ne pourront pas s’affronter avant les demi-finales si elles terminent en tête de leur poule, afin d’assurer “l’équilibre sportif”, selon la Fédération internationale.
Mondial-2026: l’effervescence monte pour le tirage au sort, avec Trump en guest-star
Parterre de stars et délégations des pays qualifiés affluaient sur le tapis rouge du Kennedy Center vendredi matin à Washington, où s’apprête à débuter, sous très haute surveillance, le tirage au sort du Mondial-2026, avec Donald Trump en vedette principale.Durant près de deux heures, c’est un véritable show qui va se dérouler dans l’imposante salle de spectacle située dans la capitale américaine, aux abords de laquelle un imposant dispositif de sécurité a été mis en place, obligeant les personnes accréditées à patienter parfois presque deux heures, sous la neige, pour y pénétrer.Cet évènement en mondovision constitue le premier temps fort de ce tournoi hors-normes organisé dans trois pays (Etats-Unis, Mexique, Canada), pour déterminer le parcours des 48 équipes -une première- lancées dans la course à la succession de l’Argentine de Lionel Messi.Parsemée de prestations d’artistes issus de divers horizons musicaux (Andrea Bocelli, Village People, Robbie Williams, Nicole Scherzinger), cette grand-messe, qui sera animée par l’ancien mannequin allemand Heidi Klum et l’humoriste Kevin Hart, énorme star outre-Atlantique, est censée donner le ton d’une compétition à nulle autre pareille.Mais l’invité de marque sera à n’en pas douter le président américain lui-même. Le milliardaire républicain, revenu à la Maison Blanche en janvier, a fait de la Coupe du monde 2026 un événement central de son second mandat, en dépit des inquiétudes que font peser sur le déroulement de l’épreuve ses prises de position tous azimuts contre ses voisins mexicain et canadien, sa politique migratoire ou ses menaces de priver de rencontres certaines villes dirigées par les démocrates.Trump a trouvé un allié de poids en la personne du patron de la Fifa, Gianni Infantino, avec qui il n’en finit pas d’afficher sa proximité. Le dirigeant italo-suisse, présent à son investiture et convié plusieurs fois dans le Bureau Ovale, a bien compris la nécessité de se rapprocher du président des Etats-Unis, où auront lieu 78 des 104 matches programmés du 11 juin au 19 juillet prochain, dont la finale au MetLife Stadium (New Jersey).- “Prix de la Paix” -Cette “bromance”, savamment entretenue par les deux hommes au nom d’intérêts stratégiques mutuels, devrait atteindre son paroxysme vendredi avec l’attribution à Trump, selon plusieurs sources, du premier “Prix de la Paix de la Fifa”.Un lot de consolation en mondovision pour le chef d’Etat américain qui se targue d’avoir mis un terme à plusieurs conflits depuis son retour au pouvoir et rêve ouvertement du prix Nobel de la Paix, décerné cette année à l’opposante vénézuélienne Maria Corina Machado.Co-organisation oblige, la présidente du Mexique Claudia Sheinbaum et le Premier ministre canadien Mark Carney sont aussi présents et rencontreront Donald Trump en marge de la cérémonie, malgré les grosses tensions en raison des droits de douane imposés par le président américain, qui a aussi martelé son souhait de faire du Canada le 51e Etat américain.Même l’Iran, dont les relations diplomatiques avec les Etats-Unis sont rompues depuis 1980, enverra finalement une petite délégation avec à sa tête le sélectionneur Amir Ghalenoei, après avoir affirmé vouloir boycotter la cérémonie pour cause de non-délivrance de visas à plusieurs officiels.- Nouveauté -Sur le plan sportif, l’enjeu est de taille pour les sélectionneurs des 42 pays déjà qualifiés, qui seront rejoints en mars par six barragistes, pour porter à 48 le nombre de participants, une première dans l’histoire de la Coupe du monde.A l’issue du tirage, effectué par plusieurs légendes du sport nord-américain comme Tom Brady (foot américain), Shaquille O’Neal (basket) ou Wayne Gretzky (hockey sur glace), on connaîtra la composition des 12 groupes de quatre et les affiches du premier tour, mais il faudra patienter jusqu’à samedi pour découvrir les lieux et horaires des rencontres.”Il n’y a pas de tirage idéal, on verra bien. On prendra ce qu’on nous attribuera et on se préparera au mieux”, a déclaré à l’AFP le sélectionneur français Didier Deschamps, interrogé par l’AFP dans le Kennedy Center à deux heures de l’échéance.Une autre innovation: les quatre premières nations au classement Fifa (Espagne, Argentine, tenante du titre, France, Angleterre) seront placées dans deux parties différentes du tableau et ne pourront pas s’affronter avant les demi-finales si elles terminent en tête de leur poule, afin d’assurer “l’équilibre sportif”, selon la Fédération internationale.





