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Italie: sale ambiance à l’Inter Milan après l’échec du Mondial des clubs

L’élimination de l’Inter Milan en 8e de finale du Mondial des clubs lundi a laissé des traces: son capitaine Lautaro Martinez a critiqué ses coéquipiers, incitant Hakan Calhanoglu à lui répondre vertement mardi.Après la défaite (2-0) contre les Brésiliens de Fluminense lundi à Charlotte, Lautaro Martinez n’a pas mâché ses mots.”Il faut vouloir être ici, nous nous battons pour certains objectifs. Ceux qui veulent rester, restent, ceux qui ne le veulent pas peuvent partir, j’ai vu des choses qui ne m’ont pas plu”, a déclaré le capitaine argentin à l’issue de la rencontre.”À qui je fais référence ? À tout le monde en général. On ne fait pas les choses tout seul, je suis le premier responsable en tant que capitaine. Je demande pardon à nos supporters, parce que c’est une autre défaite qui fait très mal”, a constaté le champion du monde 2022.Après ce revers américain, l’Inter a donc terminé sa saison 2024-25 sans le moindre trophée et avec beaucoup de frustrations, nées de sa 2e place en Serie A, à un point de Naples, et de sa déroute en finale de la Ligue des champions (5-0) contre le Paris SG.Les déclarations de Lautaro Martinez, conjuguées à celles du président de l’Inter Milan Beppe Marotta qui a lui cité son nom, ont incité Calhanoglu, en partance pour Galatasaray, à leur répondre dans un long message sur ses réseaux sociaux. L’international turc, à l’Inter depuis 2021, a rappelé qu’il n’avait pas disputé le Mondial des clubs, car il s’est blessé à l’entraînement peu après son arrivée aux Etats-Unis.”Il n’y a rien d’autre. Rien en coulisses, nous avons perdu et cela fait mal. Je l’ai vécu avec tristesse, non seulement en tant que footballeur, mais en tant que personne qui se soucie vraiment de cette équipe”, a-t-il écrit.Il a ensuite regretté “les mots durs” de son capitaine, “des mots qui divisent et n’unissent pas”.”Durant toute ma carrière, je n’ai jamais cherché d’excuses (…) le respect ne peut pas être à sens unique”, a-t-il dit. “Et je crois que dans le football, comme dans la vie, la vraie force réside dans le fait de savoir se respecter, surtout dans les moments les plus délicats. Je n’ai jamais trahi ce maillot. Je n’ai jamais dit que je n’étais pas heureux à l’Inter.”

Tour 1985: de Plumelec aux Champs, la 5e de Bernard Hinault, la der’ d’un Français

Sur le podium, au côté du maire de Paris Jacques Chirac, il est tout sourire le Blaireau, maillot jaune sur le dos. En ce 21 juillet 1985, Bernard Hinault remporte son cinquième Tour de France, le dernier d’un Français.En ce milieu des années 80, même si “l’internationalisation” du vélo est en marche – pour preuve …

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Wimbledon: Valentin Royer, un “travaillomane” formé à l’école serbe

Opposé mercredi à son compatriote Adrian Mannarino au deuxième tour de Wimbledon, le Français Valentin Royer s’est formé loin du giron de la Fédération, son parcours atypique passant notamment par la Serbie avant de décrocher lundi son premier succès sur le circuit principal du tennis mondial.Certes, pour s’offrir cette victoire symbolique à 24 ans passés, …

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Tour de France: pour qu’un Français gagne, “il faudrait que tous les autres tombent”, selon Hinault

Dernier vainqueur français du Tour de France, il y a quarante ans, Bernard Hinault désespère de voir un coureur tricolore lui succéder prochainement mais il incite ses compatriotes à attaquer, “quitte à prendre des claques”.QUESTION: Cela fait 40 ans cette année qu’un Français n’a pas gagné le Tour. Est-ce que ça commence à vous peser …

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