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Euro-2025: Angleterre – Pays-Bas, une drôle de “partie d’échecs” sur les bancs

Pièce-maîtresse du staff anglais, Arjan Veurink est chargé de traquer les failles des Pays-Bas, qu’il affronte mercredi et dont il deviendra le sélectionneur après l’Euro féminin, une situation inhabituelle qui devrait donner lieu à une véritable “partie d’échecs”.Le trait d’union le plus connu entre les “Oranje” et les “Lionesses” s’appelle Sarina Wiegman, la Néerlandaise qui a fait gagner son pays à la maison, en 2017, puis les Anglaises chez elles, cinq ans plus tard.Mais derrière la sélectionneuse de 55 ans, il y a aussi un homme de l’ombre à l’influence parfois sous-estimée et qui va prendre mercredi (18h00) à Zurich un peu plus de lumière qu’habituellement.Veurink, reconnaissable à son crâne chauve, est devenu l’adjoint de Wiegman quand elle a pris les rênes de la sélection néerlandaise, puis il l’a suivie sur le banc de l’Angleterre lorsqu’elle a été nommée, en 2021.Pour résumer, la cheffe d’orchestre façonne l’équipe selon les principes de jeu qui lui sont chers et l’assistant procède aux “petits ajustements” tactiques nécessaire pour mettre tout cela en musique, résume auprès de l’AFP Charlotte Harpur, journaliste à The Athletic.C’est le “cerveau” du staff, un “génie tactique” aux fonctions étendues: “Il dirige et planifie les séances d’entraînement, il fait aussi les briefings d’avant-match sur l’adversaire”, détaille cette observatrice avisée des compétitions féminines.- Prise de guerre -L’Angleterre, battue (2-1) par la France pour son premier match dans la compétition, place donc une partie de ses espoirs dans le savoir d’un homme qui va rejoindre le camp rival à l’issue de l’Euro.Cela ressemble à une grosse prise de guerre pour les Pays-Bas et, à l’inverse, à une immense perte pour les Lionesses. Veurink n’est pas qu’un expert du tableau noir porté sur la tactique, il est aussi un membre du staff très apprécié des joueuses, au rire facile et à l’oreille attentive.Pour compenser son départ prochain, Wiegman est allée débaucher ses compatriotes Janneke Bijl et Arvid Smit, deux membres actuels… du staff des Pays-Bas, qui la rejoindront en septembre.”Les adjoints néerlandais savent comment travaille le staff anglais et le staff anglais sait comment travaillent les Néerlandais. Chacun connaît les forces et les faiblesses des autres, ça sera une vraie partie d’échecs”, prédit Charlotte Harpur.Wiegman va aussi croiser une vieille connaissance à Zurich en la personne d’Andries Jonker. L’actuel sélectionneur des “Oranje” était déjà sur le banc, en tant qu’adjoint, quand elle a disputé son 100e match en sélection, en 2001 contre le Danemark.Il y aura donc des retrouvailles avant le grand chassé-croisé de l’été, et surtout des enjeux sportifs très élevés.Les Anglaises, tenantes du titre, n’ont plus le droit à l’erreur après leur faux-pas initial contre les Bleues. La capitaine Leah Williamson et sa coéquipière en défense centrale, Alex Greenwood, devront se méfier tout particulièrement de l’attaquante Vivianne Miedema, autrice de son 100e but international samedi contre le Pays de Galles (3-0).”Viv” a joué avec la première à Arsenal et évolue désormais avec la seconde à Manchester City. Surtout, elle partage sa vie avec Beth Mead, attaquante de l’Angleterre contre qui elle va croiser le fer mercredi.

Mondial des clubs: PSG-Real Madrid, des stars à tous les étages

De l’opposition entre Gianluigi Donnarumma et Thibaut Courtois dans les buts à la bataille pour le Ballon d’Or entre Ousmane Dembélé et Kylian Mbappé, les duels à distance ne manqueront pas lors du choc des demi-finales du Mondial des clubs entre le PSG et le Real Madrid, mercredi.Donnarumma-Courtois, la guerre des goalsLe MetLife Stadium d’East Rutherford verra s’affronter deux références au poste de gardien. Si le PSG a réussi à soulever sa première Ligue des champions cette saison, il le doit en grande partie à son portier italien de 26 ans. Impressionnant sur sa ligne par son envergure (1,96 m), le meilleur joueur de l’Euro-2021 remporté avec la Nazionale a été maintes fois décisif durant le parcours des Parisiens.Un temps contesté au sein du club alors que son contrat se termine en 2026, il est ainsi parvenu à revenir en grâce et les négociations pour une prolongation “avancent bien”, a-t-il affirmé le 18 juin.Thibaut Courtois est lui aussi une pointure et il le prouve encore aux Etats-Unis où il a multiplié les arrêts de grande classe. Signe qu’il est encore loin de la retraite à 33 ans, il a même effectué son retour en mars au sein de la sélection belge à la faveur de la nomination de Rudi Garcia à la tête des Diables Rouges après avoir renoncé un temps à l’équipe nationale.Vitinha-Tchouaméni, premiers à la relanceLes deux milieux ont les clés de la première relance dans leur équipe respective. A Paris, Vitinha a fini par s’imposer comme le rouage essentiel de l’entre-jeu aux cotés de Joao Neves et Fabian Ruiz. L’international portugais de 25 ans, arrivé en 2022 en provenance de Wolverhampton, a attendu le départ l’année suivante de Lionel Messi et de Neymar, pas très tendres avec lui, pour prendre du galon. Oublié le joueur emprunté et timide face aux stars, Vitinha est maintenant l’un des patrons du PSG.Un statut qu’Aurélien Tchouaméni peut également revendiquer dans une équipe pourtant remplie de fortes personnalités. Le Français, finaliste du Mondial-2022 avec les Bleus, est un taulier du Real où il a débarqué en 2022 de Monaco. Le nouvel entraîneur Xabi Alonso ne compte d’ailleurs pas s’en passer puisqu’il lui a concocté un rôle sur mesure, défenseur dans une base arrière à 5 éléments. Il a toutefois évolué au milieu en quart de finale, preuve de sa faculté à s’adapter à toutes les situations.Kvaratskhelia-Vinicius, la gauche caviarIl n’a pas fallu longtemps à Khvicha Kvaratskhelia pour devenir un maillon indispensable du jeu parisien. Sans le Géorgien de 24 ans, pas sûr que le PSG serait allé au bout de son aventure en C1 tant il a été précieux pour occuper le côté gauche, que ce soit en phase offensive ou défensive.Buteur en finale de la Ligue des champions, l’ex-Napolitain acheté 70 millions d’euros au mercato d’hiver est un joueur à l’abattage exceptionnel.Prototype du joueur brésilien adepte du dribble, Vinicius porte les couleurs du Real depuis bien plus longtemps (2018) et s’y est forgé un palmarès hors-normes avec notamment deux C1 (2022, 2024). Ses multiples provocations sur le terrain et sa bouderie pour la remise du Ballon d’Or 2024, décerné à Rodri, ont pourtant brouillé son image.Dembélé-Mbappé, vue sur le Ballon d’OrLes deux champions du monde 2018 rêvent de soulever le trophée individuel suprême. Ousmane Dembélé fait figure de favori, ayant cumulé exploits collectifs et personnels avec le PSG. Auteur de 34 buts cette saison, il a enfin mis de côté cette étiquette de joueur maladroit et inefficace qui lui collait à la peau.Arrivé blessé à la cuisse aux Etats-Unis, il n’a toujours pas été titularisé durant le tournoi mais est parvenu à doubler la mise pour Paris en quarts de finale contre le Bayern Munich (2-0).Kylian Mbappé a vécu un scénario similaire en étant victime d’une gastro-entérite. Il a manqué le premier tour avant d’inscrire un but de toute beauté en quarts. Avec 44 réalisations, le Soulier d’or sort d’un premier exercice prolifique au Real mais décevant sur le plan des titres et espère remporter un trophée majeur avec son nouveau club, histoire de troubler l’esprit des votants dans la course au Ballon d’Or. 

Mondial des clubs: Chelsea et Joao Pedro brisent le rêve de Fluminense

Chelsea a brisé le rêve de Fluminense en se hissant en finale du Mondial (2-0) grâce à un doublé de sa toute dernière recrue, le Brésilien Joao Pedro, qui a joué un bien vilain tour à son club formateur, mardi à East Rutherford. La formation de Rio, qui espérait contester l’hégémonie du Vieux Continent, est passé …

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Mondial des clubs: Chelsea et Joao Pedro brisent le rêve de Fluminense

Chelsea a brisé le rêve de Fluminense en se hissant en finale du Mondial (2-0) grâce à un doublé de sa toute dernière recrue, le Brésilien Joao Pedro, qui a joué un bien vilain tour à son club formateur, mardi à East Rutherford. La formation de Rio, qui espérait contester l’hégémonie du Vieux Continent, est passé à côté de son rendez-vous et ce sont les Blues qui ont gagné le droit de défier dimanche au MetLife Stadium (New Jersey) le vainqueur de l’autre demi-finale entre le PSG, champion d’Europe, et le Real Madrid de Kylian Mbappé.C’est donc un choc 100% européen qui clôturera cette nouvelle formule de la Coupe du monde. Un scénario que le président de la Fédération internationale (Fifa) Gianni Infantino aurait sans doute aimé éviter, lui qui escomptait ébrécher la domination de l’UEFA sur le football de clubs en lançant cette compétition à 32 participants.   Ironie de l’histoire, c’est un ancien carioca, Joao Pedro, qui s’est mué en bourreau de “Flu” en expédiant d’abord une magnifique frappe enroulée en première période (18e) avant un petit exploit personnel après la pause, en conclusion d’une contre-attaque rondement menée (56e).L’attaquant de 23 ans, transféré il y a seulement une semaine en provenance de Brighton contre un chèque de près de 70 millions d’euros, a fêté de la plus belle des manières sa première titularisation, même s’il s’est bien gardé de célébrer ses deux buts de façon ostentatoire par respect envers le club de ses débuts qu’il avait quitté il y a 5 ans pour s’exiler en Angleterre, à Watford. – Défense en difficulté -Joao Pedro a ainsi mis fin au beau parcours de Fluminense, tombeur notamment en 8e de finale de l’Inter Milan (1-0), finaliste de la Ligue des champions. Il n’y aura pas de représentant de l’Amérique du sud et plus particulièrement du Brésil en finale alors que leurs équipes auront été les grandes animatrices du tournoi, aussi bien sur le terrain qu’en tribunes. Mais le 4e de Premier League, malgré un premier tour laborieux, marqué par une défaite face aux Brésiliens de Flamengo (3-1), était logiquement trop fort pour Fluminense et ses vétérans. L’arrière-garde vieillissante des Brésiliens, emmenée par “O Monstro” Thiago Silva (40 ans) et le gardien Fabio (44 ans), a souffert le martyr alors qu’elle avait si bien résisté tout au long du Mondial. Outre Joao Pedro, le Portugais Pedro Neto a été un danger constant sur son côté gauche et le Français Christopher Nkunku aurait même pu encore un peu plus corser l’addition après un très beau slalom dans la surface (65e).Fluminense n’a réellement réussi qu’une seule fois à faire parcourir un frisson dans les travées d’un MetLife Stadium quasiment plein à craquer (près de 80.000 spectateurs) mais la tentative de Hercules a été détournée sur sa ligne par Marc Cucurella (25e).Vainqueur du Mondial des clubs en 2021 sous son ancienne mouture, Chelsea va désormais pouvoir attendre tranquillement l’identité de son futur adversaire. Mais que ce soit le PSG ou le Real Madrid, pas sûr qu’il ait le droit à la même balade dimanche prochain dans le New Jersey. 

Euro-2025: l’Allemagne se sort du piège danois et voit les quarts

Menée au score et étouffée par une défense de fer, l’Allemagne a réussi mardi soir à renverser le Danemark à Bâle (2-1), pour se qualifier en quart de finale de l’Euro-2025. Avec ce deuxième succès en deux rencontres, les vice-championnes d’Europe en titre et médaillées de bronze des JO-2024 se sont qualifiées en quart de finale après le succès (3-0) de la Suède contre la Pologne, dans l’autre match du groupe C. Les deux nations s’affronteront samedi (21h) pour le choc de cette poule qui déterminera la première place. Si elles finissent en tête de leur poule après l’ultime rencontre face à la Suède, les Allemandes croiseront en quarts le deuxième du groupe D, soit pour l’instant la France, qui doit encore affronter le Pays de Galles et les Pays-Bas.”Sur le plan technique, en termes de jeu, nous avons eu beaucoup de mal. Mais l’autre composante qui distingue toujours une équipe allemande a pris le relais: l’esprit de combat, la volonté de gagner”, a insisté le sélectionneur Christian Wück, retenant “une victoire au mental”.Trois ans jour pour jour après le 4-0 essuyé au même stade de la compétition par les Danoises face aux Allemandes, les joueuses d’Andrée Jeglertz sont passées tout près de tendre à leurs voisines le piège parfait, entre cohésion défensive et contre-attaques éclaires.En quête depuis 2013 d’un neuvième titre continental, les coéquipières de Janina Minge, nouvelle capitaine depuis la blessure au genou gauche de Giulia Gwinn face à la Pologne, ont vite pris les commandes, marquant même par Klara Bühl un but finalement refusé pour hors jeu (18e).Mais c’est le moment que les Danoises ont choisi pour sortir de leur boîte grâce à une chevauchée de Pernille Harder, bien défendue par Sarai Linder, avant que l’attaquante de la Juventus Amalie Vangsgaard ne surgisse sur corner pour tromper Ann-Katrin Berger au premier poteau (1-0, 26e).Le match se débridait alors totalement, passant d’une surface à l’autre, entre des Danoises sautant sur chaque occasion d’aggraver le score (28e, 29e, 30e, 45e), et des Allemandes acharnées à percer la muraille rouge (41e).Et après un pénalty refusé aux joueuses de Christian Wück, pour une main de Frederikke Thorgersen à la limite extérieure de la surface (40e), une faute de Katrine Veje sur Linda Dallmann offrait une occasion d’égaliser.Fraîchement désignée vice-capitaine, la milieu Sjoeke Nüsken plaçait une frappe imparable au ras du poteau droit de Maja Bay Ostergaard (1-1, 56e), faisant exulter le St Jakob-Park et ses 16.000 Allemands venus en voisins.Dix minutes plus tard, les demi-finalistes des derniers JO récidivaient avec un peu de réussite: sur un dégagement danois, la néo-Lyonnaise Jule Brand – déjà buteuse et passeuse décisive face à la Pologne – héritait du ballon et servait Lea Schüller, qui enroulait dans le petit filet opposé (2-1, 66e).

Mondial des clubs: pour Kylian Mbappé, des retrouvailles douces-amères avec le PSG

Kylian Mbappé, qui espère compenser la saison décevante du Real Madrid par une victoire finale au Mondial des clubs, devra composer avec des émotions contradictoires mercredi au moment d’affronter en demi-finales (21h00) à East Rutherford le Paris SG, qu’il a quitté fâché l’été dernier.Lundi, le meilleur buteur de l’histoire du club a retiré sa plainte …

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Mondial des clubs: pour Kylian Mbappé, des retrouvailles douces-amères avec le PSG

Kylian Mbappé, qui espère compenser la saison décevante du Real Madrid par une victoire finale au Mondial des clubs, devra composer avec des émotions contradictoires mercredi au moment d’affronter en demi-finales (21h00) à East Rutherford le Paris SG, qu’il a quitté fâché l’été dernier.Lundi, le meilleur buteur de l’histoire du club a retiré sa plainte pour harcèlement moral visant le champion d’Europe. Le signe d’une accalmie dans les relations tumultueuses entre les deux parties ?C’est en tout cas ce que suggère aussi l’entourage de Nasser Al-Khelaïfi, pointant la rencontre entre le père du joueur, Wilfrid Mbappé, et le président du club, dans la loge de ce dernier lors du huitième de finale PSG-Miami à Atlanta, le 29 juin (4-0).Le dirigeant qatari avait envoyé en juin un premier signal d’apaisement lors d’une interview à l’émission de télévision C à vous: “Je veux remercier Kylian aussi pour ce qu’il a donné pour le club (…) On a eu de la chance cette année sans lui mais je lui souhaite le meilleur au Real, parce qu’il est une grande star, un grand joueur aussi. Je lui souhaite du fond du coeur le meilleur”.Et Al-Khelaïfi d’ajouter malicieusement: “Mais pas quand il joue contre nous”. Warren Zaïre-Emery a renchéri mardi: “Il a de très bons amis ici, mais demain les gens ne vont pas lui faire de cadeau”.Car malgré cet apaisement – relatif puisque qu’une procédure aux prud’hommes s’annonce pour réclamer 55 millions d’euros de salaires et primes impayés -, il n’y aura qu’une place en finale dimanche.- Amertume -Et le Real Madrid, ancien roi d’Europe avec 15 titres en Ligue des champions dont six sur la dernière décennie, joue gros contre le PSG champion d’Europe.Kylian Mbappé a donc la pression de toute la Maison blanche sur ses épaules. Mais plus encore la pression d’un narratif autour de sa carrière. Affronter le club où il est passé de jeune joueur fabuleux, en 2017, à superstar planétaire en 2024, va-t-il le bloquer ou le transcender?Le 31 mai, Mbappé a félicité immédiatement le PSG de son titre historique en Ligue des champions, écrivant “Le grand jour est enfin arrivé” sur les réseaux sociaux. Il a ensuite confié en conférence de presse avec les Bleus: “J’étais content parce que je pense qu’ils le méritent. Ils ont connu tellement d’années où ils ont galéré. J’ai fait partie de ça aussi, j’ai connu toutes les étapes de la Ligue des champions sauf la victoire”.Une déclaration fair-play envers un club qui a été jusqu’à le priver de terrain à l’été 2023 face à son refus de prolonger. Mais cet aveu raconte aussi en creux la frustration et l’amertume qu’a laissé à Mbappé son long bail parisien. Son ego de joueur hors norme en a forcément pris un coup lorsque l’équipe qu’il venait de quitter a produit un football de rêve et conquis le trophée que lui a échoué à lui apporter.- Adimiration -L’admiration suscitée par un Ousmane Dembélé non seulement buteur et passeur mais aussi premier défenseur au pressing, et donc candidat au Ballon d’or, n’a sans doute pas échappé non plus à Mbappé.Marquer et gagner contre le PSG mercredi serait envoyer le message que lui aussi a ses meilleures années devant lui et qu’il faudra compter avec lui et le Real Madrid la saison prochaine. Le numéro 9 n’a pas non plus fait une croix sur le Ballon d’or qui sera décerné en septembre, et remporter le Mondial des clubs ajouterait à son statut de “soulier d’or”.Mais la rencontre de mercredi sera aussi pour Kylian Mbappé l’occasion de revoir ses anciens coéquipiers, pour certains de bons amis comme Dembélé et Achraf Hakimi. Emotions positives comme négatives devraient se mêler au coup d’envoi mais le natif de Paris a une belle occasion de faire parler le sang-froid qui a fait sa réputation.

Wimbledon: première frayeur pour Sabalenka, Alcaraz coule le dernier espoir britannique

La N.1 mondiale Aryna Sabalenka, poussée dans ses retranchements mardi par l’Allemande Laura Siegemund, outsider de 37 ans classée en dehors du top 100, s’est qualifiée en trois sets pour les demi-finales de Wimbledon, comme le double tenant du titre Carlos Alcaraz qui a balayé Cameron Norrie, dernier Britannique en lice.La Bélarusse de 27 ans, une …

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