Indian capital chokes after Diwali firework frenzy
Toxic air in India’s capital hit more than 56 times the UN health limit early Tuesday, after fireworks for the Hindu festival of Diwali worsened air pollution.This month, the Supreme Court relaxed a ban on fireworks during the festival of lights, allowing the use of less-polluting “green firecrackers” — designed to emit fewer particulates.The ban was widely ignored in past years, however, and environmental groups have expressed doubts about the efficacy of the supposedly greener explosives.In the early hours of Tuesday morning, just after the peak of the bursting fireworks, levels of cancer-causing PM 2.5 microparticles hit 846 micrograms per cubic metre in parts of New Delhi, according to monitoring organisation IQAir.That is more than 56 times the World Health Organization’s recommended daily maximum.By Tuesday morning, PM2.5 concentrations had eased to around 320 micrograms per cubic metre — roughly 23 times WHO limits, but relatively typical for New Delhi in winter.The city regularly ranks as among the most polluted capitals.A study in The Lancet Planetary Health last year estimated that 3.8 million deaths in India between 2009 and 2019 were linked to air pollution.The UN children’s agency warns that polluted air puts children at heightened risk of acute respiratory infections.
La conservatrice Sanae Takaichi devient la première femme Premier ministre du Japon
La nationaliste Sanae Takaichi a été nommée mardi Première ministre du Japon, devenant la première femme à occuper ce poste, grâce à une coalition parlementaire nouée la veille à l’issue de négociations de dernière minute.Mme Takaichi, 64 ans, a été élue dès le premier tour par la chambre basse du Parlement nippon avec 237 voix, soit au-delà du seuil de la majorité absolue (233), puis ce choix a été confirmé à la chambre haute. Contenant son émotion, la nouvelle Première ministre s’est inclinée plusieurs fois devant les députés.Sa nomination deviendra officielle quand elle aura rencontré l’empereur Naruhito plus tard dans la journée.Sanae Takaichi avait remporté le 4 octobre la présidence du Parti libéral-démocrate (PLD), la formation de droite conservatrice au pouvoir quasiment sans interruption depuis 1955.Mais le PLD, de plus en plus impopulaire notamment en raison d’un scandale financier, a perdu ces derniers mois sa majorité dans les deux chambres du Parlement.Et son allié traditionnel, le parti centriste Komeito, a claqué la porte de leur coalition en place depuis 1999, mal à l’aise avec ce scandale et les opinions conservatrices de Mme Takaichi.Pour assurer son élection à la tête du gouvernement et succéder au Premier ministre sortant Shigeru Ishiba, elle a donc formé lundi une alliance avec le Parti japonais pour l’innovation (Ishin), formation réformatrice de centre droit.- Inspirée par Margaret Thatcher – Mme Takaichi, admiratrice de l’ancienne Première ministre britannique Margaret Thatcher, surnommée la “dame de fer”, a promis un gouvernement avec un nombre de femmes “à la scandinave”, contre deux seulement dans l’exécutif de Shigeru Ishiba. L’une d’entre elles devrait être l’ultra-conservatrice Satsuki Katayama, ancienne ministre de la Revitalisation régionale, qui occupera le poste de ministre des Finances, selon des médias nippons. Le Japon est classé 118e sur 148 dans le rapport 2025 du Forum économique mondial sur l’écart entre les sexes, et la Chambre basse du Parlement ne compte que 15% de femmes. Mme Takaichi espère sensibiliser les Japonais aux difficultés liées à la santé des femmes et n’hésite pas à parler ouvertement de ses symptômes liés à la ménopause. Ses positions politiques sur l’égalité hommes/femmes la placent néanmoins à droite d’un PLD déjà conservateur: elle s’oppose ainsi à la révision d’une loi obligeant les couples mariés à porter le même nom de famille, et soutient une succession impériale réservée aux hommes. Dans la ville de Nara (ouest), dont Mme Takaichi est originaire, on salue son ascension: “Elle a vraiment gravi les échelons. Elle a travaillé dur pour en arriver là”, juge Satoshi Sakamoto, un retraité de 73 ans.”J’espère que cela apportera de réels changements, qu’elle fera du Japon un endroit plus facile à vivre pour les femmes”, déclare à l’AFP Keiko Yoshida, 39 ans, employée de bureau. Alors que le président américain Donald Trump doit se rendre au Japon la semaine prochaine, M. Sakamoto a dit vouloir que la nouvelle dirigeante “soit capable de dire clairement +non+ quand il le faut”.Parmi les possibles points de contention, les contours encore flous des 500 milliards de dollars d’investissements envisagés par le Japon dans le cadre de son accord commercial avec Washington. M. Trump souhaite par ailleurs que Tokyo cesse d’importer de l’énergie russe et augmente ses dépenses de défense.- Discours sur la Chine tempéré -Mme Takaichi sera aussi confrontée à la lutte contre le déclin démographique du Japon et la relance de la quatrième économie mondiale. Par ailleurs, sa coalition avec le parti Ishin représente 231 sièges au Parlement, en dessous des 233 nécessaires pour la majorité absolue, et devra donc composer avec d’autres partis pour faire adopter ses textes de loi. Sanae Takaichi s’est exprimée par le passé en faveur de l’augmentation des dépenses publiques, à l’instar de son mentor, l’ancien Premier ministre Shinzo Abe. Bien qu’elle ait tempéré son discours ces dernières semaines sur son recours à des dépenses publiques massives pour relancer l’économie, sa victoire a propulsé la Bourse de Tokyo à des niveaux record. Au plan international, elle a estimé par le passé que le Japon était “complètement méprisé par la Chine” et que Tokyo devait”faire face à la menace sécuritaire” posée par Pékin, tout en appelant à une plus grande coopération en matière de sécurité avec Taïwan.Mme Takaichi a cependant récemment modéré son discours sur la Chine, et s’est prudemment abstenue la semaine dernière de se rendre au sanctuaire Yasukuni, symbole pour les voisins du Japon du passé militariste nippon.
La conservatrice Sanae Takaichi devient la première femme Premier ministre du Japon
La nationaliste Sanae Takaichi a été nommée mardi Première ministre du Japon, devenant la première femme à occuper ce poste, grâce à une coalition parlementaire nouée la veille à l’issue de négociations de dernière minute.Mme Takaichi, 64 ans, a été élue dès le premier tour par la chambre basse du Parlement nippon avec 237 voix, soit au-delà du seuil de la majorité absolue (233), puis ce choix a été confirmé à la chambre haute. Contenant son émotion, la nouvelle Première ministre s’est inclinée plusieurs fois devant les députés.Sa nomination deviendra officielle quand elle aura rencontré l’empereur Naruhito plus tard dans la journée.Sanae Takaichi avait remporté le 4 octobre la présidence du Parti libéral-démocrate (PLD), la formation de droite conservatrice au pouvoir quasiment sans interruption depuis 1955.Mais le PLD, de plus en plus impopulaire notamment en raison d’un scandale financier, a perdu ces derniers mois sa majorité dans les deux chambres du Parlement.Et son allié traditionnel, le parti centriste Komeito, a claqué la porte de leur coalition en place depuis 1999, mal à l’aise avec ce scandale et les opinions conservatrices de Mme Takaichi.Pour assurer son élection à la tête du gouvernement et succéder au Premier ministre sortant Shigeru Ishiba, elle a donc formé lundi une alliance avec le Parti japonais pour l’innovation (Ishin), formation réformatrice de centre droit.- Inspirée par Margaret Thatcher – Mme Takaichi, admiratrice de l’ancienne Première ministre britannique Margaret Thatcher, surnommée la “dame de fer”, a promis un gouvernement avec un nombre de femmes “à la scandinave”, contre deux seulement dans l’exécutif de Shigeru Ishiba. L’une d’entre elles devrait être l’ultra-conservatrice Satsuki Katayama, ancienne ministre de la Revitalisation régionale, qui occupera le poste de ministre des Finances, selon des médias nippons. Le Japon est classé 118e sur 148 dans le rapport 2025 du Forum économique mondial sur l’écart entre les sexes, et la Chambre basse du Parlement ne compte que 15% de femmes. Mme Takaichi espère sensibiliser les Japonais aux difficultés liées à la santé des femmes et n’hésite pas à parler ouvertement de ses symptômes liés à la ménopause. Ses positions politiques sur l’égalité hommes/femmes la placent néanmoins à droite d’un PLD déjà conservateur: elle s’oppose ainsi à la révision d’une loi obligeant les couples mariés à porter le même nom de famille, et soutient une succession impériale réservée aux hommes. Dans la ville de Nara (ouest), dont Mme Takaichi est originaire, on salue son ascension: “Elle a vraiment gravi les échelons. Elle a travaillé dur pour en arriver là”, juge Satoshi Sakamoto, un retraité de 73 ans.”J’espère que cela apportera de réels changements, qu’elle fera du Japon un endroit plus facile à vivre pour les femmes”, déclare à l’AFP Keiko Yoshida, 39 ans, employée de bureau. Alors que le président américain Donald Trump doit se rendre au Japon la semaine prochaine, M. Sakamoto a dit vouloir que la nouvelle dirigeante “soit capable de dire clairement +non+ quand il le faut”.Parmi les possibles points de contention, les contours encore flous des 500 milliards de dollars d’investissements envisagés par le Japon dans le cadre de son accord commercial avec Washington. M. Trump souhaite par ailleurs que Tokyo cesse d’importer de l’énergie russe et augmente ses dépenses de défense.- Discours sur la Chine tempéré -Mme Takaichi sera aussi confrontée à la lutte contre le déclin démographique du Japon et la relance de la quatrième économie mondiale. Par ailleurs, sa coalition avec le parti Ishin représente 231 sièges au Parlement, en dessous des 233 nécessaires pour la majorité absolue, et devra donc composer avec d’autres partis pour faire adopter ses textes de loi. Sanae Takaichi s’est exprimée par le passé en faveur de l’augmentation des dépenses publiques, à l’instar de son mentor, l’ancien Premier ministre Shinzo Abe. Bien qu’elle ait tempéré son discours ces dernières semaines sur son recours à des dépenses publiques massives pour relancer l’économie, sa victoire a propulsé la Bourse de Tokyo à des niveaux record. Au plan international, elle a estimé par le passé que le Japon était “complètement méprisé par la Chine” et que Tokyo devait”faire face à la menace sécuritaire” posée par Pékin, tout en appelant à une plus grande coopération en matière de sécurité avec Taïwan.Mme Takaichi a cependant récemment modéré son discours sur la Chine, et s’est prudemment abstenue la semaine dernière de se rendre au sanctuaire Yasukuni, symbole pour les voisins du Japon du passé militariste nippon.
Après la prison au Bélarus, la renaissance d’une dissidente
Il y a eu l’emprisonnement, la séparation pendant des années, la crainte d’être oubliée. Et puis il y a ce jour de rentrée où Antanina Kanavalava, une opposante bélarusse, accompagne enfin ses enfants à l’école.Dans une rue de Varsovie, le 1er septembre, elle tient par la main Ivan et Anastassia, 11 et 9 ans, qui se sont faits beaux: il porte une cravate ; elle, une chemise blanche à manches papillon.”C’est une immense émotion”, déclare, tout sourire, Antanina. “Mes enfants pourront maintenant dire qu’ils ont une maman qui vient les chercher.” Pendant quatre ans et demi, Antanina, 37 ans, a été emprisonnée pour son opposition à l’autocrate Alexandre Loukachenko, qui a écrasé toute critique au Bélarus et soumis ce pays d’Europe orientale à Vladimir Poutine.Le père des enfants d’Antanina fait toujours partie des 1.200 prisonniers politiques comptabilisés par l’organisation bélarusse Viasna, dont le fondateur Ales Bialiatski, colauréat du prix Nobel de la Paix, est également emprisonné.Ces détenus subissent fréquemment des tortures. Leurs proches endurent, eux aussi, l’absence et l’angoisse qu’ils ne meurent. Et quand ils sortent de prison, il faut se reconstruire.Pour Antanina, ce processus passe par le fait de redevenir une maman. C’est sa revanche contre ses “bourreaux” et cela a commencé, l’hiver dernier, par une dangereuse évasion.- Rivière gelée -En septembre 2020, Antanina est arrêtée à Minsk pour avoir milité avec la meneuse de l’opposition Svetlana Tikhanovskaïa, qui avait défié cette année-là Alexandre Loukachenko à la présidentielle.Le dirigeant bélarusse, au pouvoir depuis 1994, avait remporté ce scrutin avec officiellement 80% des voix, déclenchant des protestations violemment réprimées.Après l’emprisonnement d’Antanina, ses enfants ont fui en Pologne avec leur grand-mère, Hanna, qui a ensuite adopté deux frères ayant perdu leur mère, une militante persécutée au Bélarus et morte d’une overdose en Pologne. A l’été 2024, l’AFP les avait rencontrés. Hanna faisait tout pour qu’Ivan et Anastassia n’oublient pas leur maman. Ils pouvaient lui envoyer des lettres et avoir un appel avec elle limité, chaque mois, à cinq minutes.Alexandre Loukachenko a récemment libéré des dizaines d’opposants pour se rapprocher de Donald Trump. En décembre 2024, Antanina a été graciée. Mais elle n’a pas été autorisée à quitter le Bélarus. En février 2025, elle s’est enfuie en traversant une forêt et une rivière gelée à la frontière avec la Lituanie.”J’étais trempée, je n’arrêtais pas de tomber dans la neige”, relate-t-elle. Selon les gardes-frontières lituaniens, elle avait trois équipes de soldats bélarusses aux trousses.- “Culpabilité” -Dans sa prison à Gomel (sud-est), Antanina a subi de multiples pressions. Elle a été contrainte de signer des aveux – alors qu’au tribunal elle avait plaidé non coupable d’organisation “d’émeutes” -, puis de devenir une “informatrice” des autorités, sous la menace que son père, qui vivait alors au Bélarus, ne soit arrêté. Antanina assure avoir fourni des informations “n’ayant fait de mal à personne”. Mais le pouvoir lui a inoculé par ce biais un “sentiment de culpabilité” qui “restera à jamais”. Elle souffre également de problèmes de vue et de dentition développés en prison, où un responsable lui répétait que ses enfants l’avaient “oubliée” et qu’elle n’était plus vraiment une maman.Comme pour lui donner tort, depuis qu’elle est rentrée, Antanina a accueilli deux autres adolescentes bélarusses, dont la mère, alcoolique, a perdu la garde. En comptant les deux frères adoptés par Hanna, la grand-mère, Antanina a six enfants à charge: “Ils ne te laissent pas perdre espoir, ni te relâcher.”Selon Hanna, il n’est pas impossible qu’Antanina fasse “brusquement” une dépression, mais, pour l’instant, l’ex-prisonnière veut montrer que “maman travaille”. Même si elle reconnaît s’isoler, parfois, pour pleurer.- “Détruire” -Fin septembre, l’AFP les retrouve dans leur petit appartement où règne un joyeux désordre. Sous le regard rempli d’amour d’Antanina, l’espiègle Anastassia et le tendre Ivan expliquent aider leur mère à apprendre le polonais. “Moi, je lui dis quand je suis triste, elle a des bons conseils”, observe Anastassia.Elle et son frère n’ont pas vu leur père, Siarhei Iarachevitch, arrêté en octobre 2020, depuis plus de cinq ans.Antanina ne leur pas encore annoncé qu’ils avaient divorcé. Elle redoute que son ex-mari ressemble désormais à l’opposant Sergueï Tikhanovski, apparu méconnaissable, très amaigri, après sa récente sortie de prison.Pour prévenir un choc, Hanna dit à ses petits-enfants que si leur père revient, il sera “peut-être différent à l’extérieur, mais le même à l’intérieur”.La famille, très active dans l’opposition, participe régulièrement à des manifestations en Pologne pour exiger la libération des prisonniers politiques et dénoncer la tyrannie d’Alexandre Loukachenko.Cette lutte est un moteur pour Antanina. “L’heure de faiblir n’a pas sonnée”, insiste-t-elle. “Et pour ce qu’ils m’ont fait, je veux les détruire.”
Virginia Giuffre shines light on Epstein ordeal in new memoir
A memoir by one of Jeffrey Epstein’s main accusers whose claims led to the downfall of Britain’s Prince Andrew was released Tuesday, promising to keep Epstein’s ties to President Donald Trump in the spotlight.While Trump features minimally in Virginia Giuffre’s book, pre-publication publicity has refocused attention on the Epstein saga in the United States where a row rages over the release of files on the disgraced financier and sex offender.Andrew on Friday renounced his royal title under pressure from King Charles III, following further revelations about his ties to Epstein and repeated allegations in Giuffre’s book that she was forced to have sex with the prince three times, including when she was 17.The ghostwriter of “Nobody’s Girl,” Amy Wallace, said that Giuffre — who died by suicide in April aged 41 — told the Washington Post that the prominent campaigner against sexual abuse had admired Trump.”She was a huge Trump fan… There were two reasons for it: One, she’d met him. She worked at Mar-a-Lago. Her dad worked at Mar-a-Lago. She met Trump several times, and he was always very kind to her,” Wallace told the Post.”And secondly, he said he was going to release the Epstein files. He was on her side. That’s how she felt.”The BBC reported that in the book Giuffre alleges three sexual encounters with Andrew — one of which she claims was an orgy including Epstein, the prince and “eight other young girls.”The so-called Epstein files have been the focal point of the controversy engulfing the second presidency of Trump, who was a longtime friend of Epstein.In 2019 Epstein took his own life while in prison awaiting trial on sex-trafficking charges.Giuffre was recruited into Epstein’s alleged sex-trafficking network when she was a 17-year-old minor while working at Trump’s Mar-a-Lago club in 2000, saying in the book she feared she would “die a sex slave.” Giuffre claimed she was approached there by Ghislaine Maxwell, who was later jailed in 2022 for helping Epstein sexually abuse girls.Trump appeared to be on good terms with Epstein during this time, praising him as a “terrific guy” in a 2002 New York Magazine profile.In the book, Giuffre recounts being introduced to Trump by her father, with the property developer asking her “do you babysit at all.””Soon I was making money a few nights a week, minding the children of the elite,” she said in an excerpt published by Vanity Fair.The publication of a now-infamous photo taken in London appearing to show Prince Andrew with his arm around Giuffre’s waist set in motion the former military helicopter pilot’s downfall.Andrew, 65, has long denied the assault accusations, which have caused considerable embarrassment to the British monarchy and seen the prince virtually banished from royal life in recent years.Prince Andrew reached a financial settlement with Giuffre in 2022.”The hope was that once the book was published for the first time since 2011, she could say: ‘I respect your wish to know my memories of Prince Andrew, Ghislaine, Jeffrey, etc, all the other men. I respect that need. I have done the best version of my story,'” Wallace said.
Chess mourns US grandmaster dead at 29
The chess world has been plunged into mourning following the sudden death of prominent US grandmaster Daniel Naroditsky aged 29.Governing body the International Chess Federation (FIDE) remembered Naroditsky, who was also a chess commentator and streamer, as someone “whose influence extended far beyond the chessboard”.Fellow grandmaster and world number two Hikaru Nakamura wrote on social media: “I’m devastated. This is a massive loss for the world of chess.”Charlotte Chess Center announced the death of California-born Naroditsky on Monday, saying: “Daniel was a talented chess player, commentator and educator, and a cherished member of the chess community.”It said he was “admired and respected by fans and players around the world”.It did not say how he died.FIDE said that Naroditsky “played a pivotal role in popularizing chess content online, bridging the gap between professional and amateur chess”.”There are not many people in the world who manage to achieve so much before turning 30.”Naroditsky was ranked number one in his native United States when he was just nine years old, The New York Times said.
Nigerian monarch takes on oil giant in search of environmental justiceTue, 21 Oct 2025 06:11:28 GMT
Growing up in southern Nigeria during the 1970s, Bubaraye Dakolo would easily catch 20 kilograms of fish within minutes. These days, a fisherman casts nets all night, only to bring back just about three kilograms.Now Dakolo, the monarch of Ekpetiama, a kingdom in the southern coastal state of Bayelsa, a custodian of peace and tradition and …







